Dras Leona, cité de l’ombre, régit par les ombres…Telle était l’image que beaucoup de personnes avaient d’elle, on se plaisait a raconter comment la ville avait été prise par le passé, et on inventait des crimes atroce, exagérant ceux commis par la Guilde en temps de guerre.
La vérité était en beaucoup de point contraire aux potains Alagaësien, a commencé par les victimes civiles, il était vrai que beaucoup de personnes avaient été tuées, mais le cadre était celui de la guerre, et la guerre ne se résumait pas aux victimes militaires.
La guilde avait entreprit, peu après la fin de la guerre et l’instauration d’une paix provisoire, une rénovation de Dras Leona , elle avait changée en quelques moi la cité et ses alentours.
Les alentours de la cité étaient plane, il n’y avait pas un arbre, et les champ, bordaient les routes a partir de 300 mètres des mur de la cité, les terres misent en jachères servaient de pâturages pour les troupeaux.
La ville abhorrait a présent une forme de muraille en étoile. Elles étaient plus hautes que les précédentes, en pierre blanche comme le calcaire, des créneaux tout en haut, et deux rangées de meurtrières, juste en dessous. Il y avait en tout quinze tours, deux a chaque entrée, et une a chaque pointe de l’étoile. Elles étaient elles aussi en roche blanche et dépassaient les murs d’une dizaine de mètres.
Sur la muraille des soldats patrouillaient, en armures, ils avaient juste un arc a la main, et une épée sur le coté, a chaque base des pointes des étoiles, il y avait une grosse plaque de bois, en temps de guerre, on la faisait coulissait et on remontait soit une baliste, soit une catapulte. Les armes étaient immobile, mais pouvait tourner grâce à un axe de rotation.
On entrait dans la ville par cinq portes. Ces portes, paradoxalement à ce que leur nom sous-entendait, ne se fermaient visiblement jamais. Chaque entrée de Dras Leona permettait l’entrée de plusieurs personnes à la fois, deux chariots pouvaient s’y croiser sans que cela ne pose de problème. Les entrées en elle-même était magnifiques et inhabituelles, en dehors du fait qu’elle n’aient pas de porte, ni de herses, elles n’était pas faite en en pierre comme le reste de la muraille, chacune était taillée dans une gemme différente, diamant, saphir, rubis, émeraude, et citrine. Cinq entrées et cinq couleurs différentes, dans chaque entrée, les gemmes étaient décorée de runes inconnues par la plupart des gens, utilisant la magie ou non, il n’y avait aucun gardien de visible, tout était paisible, en fait, il n’y avait pas besoin de soldats.
Dans l’enceinte des murailles, la ville avait changée, beaucoup, tout avait été nettoyer, quartier par quartier les bâtiments avaient été détruits puis reconstruits, de manière a ce qu’il y ait des quartiers plus visibles, et a éviter les dédales de ruelles. Il y avait quelques grand axes, debouchants sur les places de marché, emménagé pour la circulation, dallé, des parterres de fleurs étaient placés au milieux de manière a séparer deux coté de la rue, afin d’éviter les problèmes de circulations. Les fleurs étaient multicolores, l’herbe était verte, les oiseaux gazouillaient tranquillement sur les pins plantés, qui proféraient un ombrage agréable les jours d’été, alors que les cigales chantaient.
Il y avait aussi une place réservée aux écoles, fondées pendant la reconstruction, c’était un parc, ombragé en été, il y avait de nombreux jeu, auxquels les enfants pouvaient jouer en toute sécurité. Entres les quartiers, c’était les petites rues qui assuraient les liaison, elles étaient dallée, comme les axes principaux, mais elles étaient moins large, et n’avaient pas de parterres de fleurs.
Les commerces se situaient le long des axes principaux, les habitations étaient les plus proche des murailles pour les familles les plus modestes, et se rapprochaient du centre pour les familles les plus aisées. Les industries de Dras Leona se trouvaient plus au centre de la ville que les habitations, on y fabriquait des armes, on effectuai des recherches sur les maladies, on fabriquait des meubles, toute l’industrie de la ville produisait des articles qui étaient vendu a moindres coût pour les habitants de la cité, afin que même les plus pauvres puissent être a l’aise. C’était las bas que se trouvaient tous les bâtiments administratifs, de la mairie, au centre des impôts, le poste de police, la caserne principale des pompiers…
Quand à la cathédrale, elle était toujours installée au même endroit, mais avait été nettoyée pour des raisons d’hygiène, et malgré la pression de la religion, dans les nouvelles on savait juste que les dirigeants de l’insubordination avaient disparut du jour au lendemain, et personne n’en avait jamais reparlé.
Le centre même de la cité, personne ne connaissait ce qu’il y avait au delà des mur qui cachaient cet endroit. Ils étaient aussi grands que ceux de la muraille entourant la ville, il n’y avait aucune porte qui permettait d’entrer, on pouvait juste apercevoir une grande tour, faite en pierre noire qui pointait vers le ciel. On l’appelait la tour de l’ombre …
Question sécurité, malgré le fait que la ville ne grouille pas de soldats en armure, il y avait une police mobile, par groupe de cinq, ils ne portaient pas d’armure, juste une épée sur le coté, ils étaient habillé en blanc, entièrement, seul un plastron avec les armoiries de la guilde permettait de les reconnaitres. On les appelait la garde blanche.
Il n’y avait aucun cimetière dans la ville, on venait chercher les morts et on les emmenait a Carvahall disait-on, mais on entendait plus jamais parler d’eux, il n’y avait aucune maladie dans la ville, sitôt que quelqu’un était malade, on venait le chercher, et on l’emmenait dans le laboratoire afin de le soigner, selon la gravité de la maladie, on autorisait une dernière visite, et puis on emmenait la personne au centre de la cité, là ou pointait la tour de l'ombre.