J'arrivai dans une étrange rue. Je ne la conaissait pas. J'était seule, apeurée, en larme. Ces retrouvailles n'étaient pas les bienvenues, ça non ! J'avançai sielncieusement. Soudain j'entendis un cracement. Je me retournai, apeurée, je prit mon poignard dans la main. Mais... dans un choc sourd, queqlue-chose heurta ma tête. Chancelante, je tentai de retrouver mon equilibre. Malheureusement j'étais à moitié assomée. Un deuxiéme choc me jeta à terre. Je me retournai. Et entendis une voix. "maintenant, tu vas gentiment venir avec nous " Ma tête me tournai, ma vue se troublait. J'entraperçut 2 homme qui m'emenai dan une sombre batisse. Je voulu crier mais ma voix était à peine plus forte qu'un murmure "non... au... se cour..."Souflai-je.

Je me reveillait le lendemain, dans une sombre maison. Une minuscule fenêtre donnait sur le rue. *qu'est-ce qu'ils me veulent ? je ne les connais pas.* Je me dégageai, puis me rendis compte que je n'était pas attachée. La porte était condamnée. Si seulement, quelqu'un pouvois venir. Mais personne ne m'entendra. Je me mis à hurler " au secour !!!!!!! " "venez m'aider, je suis là !!!"

*Mais... je suis bête. Je suis magicienne maintenant. *Je me retournai pour trouver mon sac avec mes livre à l'intérieur. Je le cherchai dans tout les recoins de la piéce sans le trouver. * non, non... faites que ce ne soit pas vai... non... pas le livre. Ils... Mais oui ! C'est ça qu'ils cherchent ! ce livre ! Il faut que je sorte d'ici.*

Je m'approchait de la porte. "Brisingr !" rien ne se passa. Ainsi qu'avec jierda. Je tentais une phrase qui était retée dans ma tête : "Du grind huildr !" La porte s'ouvra lentement. Je put enfin sortir. Je me mis à courir dans une direction quelqu'onque.

*trop facile, c'est beaucoup trop facile comme ça !

Nous arrivâmes dans la rue étrange. Je reconnu la maison où j'avais étée enfermée. La porte était close. Je pris une épingle dans mes cheveux et crochetai la porte. J'aurais pu l'ouvrir grace à la magie, ça aurait été plus rapide. Mais aussi plus bruyant et je voulais garder mes forces pour plus tard. Je réussi à l'ouvrir. j'espérais intérieurement que Gwenael n'alait pas me poser de question sur le pourquoi je savais faire ça. Je ne voulais pas lui parler de mon passé.
Nous entrâmes le plus silencieusement possible pour des humains.
*Si seulement Ellenwen était là. Elle verrai dans le noir et pourrai nous guidé.*
A taton, nous progressâmes. Mais nous ne trouvions pas le livre...
La maison semblait déserte. Nous heurtions sans cesse une table ou une chaise renversée. Comme si les habitants s'étaient enfuis d'un seul coup.

Gwenael s'avanca et buta contre une table. A tatons, elle y trouva une bougie et un briquet, et l'alluma puis les 2 jeunes filles décidetrent d'un commun accord de descendre dans la cave, ells regarderent partout mais ne trouverent pas le livres enn remontant vers la cuisine, Gwenael se demanda pourquoi sa compagne cherchait tant ce livre, et elle se rendit compte qu'elle ne savait rien de l'histoire d'Illecamie. Mais elle décida que si son amie ne lui avait rein dit, c'est qu'elle ne voulait peut etre pas en parler. Gwenael décida donc de se taire et de montre seule en haut pendant d'Illecamie regarderait dans la cuisine. Le haut semblait etre fait de chmbres miteuses. Apres une longue périodes de recherche sous une épaisse couche de poussiere, elle trouva un livre qui ressemblait a la description de celui de son amie. Elle l'a contacta mentalemant et lui dit:
-Je crois que je l'ai trouvé, je redescend et nous partons car je trouve cet maison pas aussi inhabité qu'elle en a l'air.
Quand elle arriva en bas, elle montra sa trouvaille a Illecamie qui poussa un soupir de soulagement.Elles sortient et furent ébloluis par le soleil qui inondait la rue.

Bjorn était sur un toît dans l'ombre, dans cette rue étrange, il regardait Skarg marchander
*Cet chose doit être plus puissante que moi, sa ne va pas être facile de lui parler...*

Il descendit furtivement et se retrouva face a Skarg, un des deux ventres-dur hurla, Bjorn déglutit dificilement

"Bonj...Bonjour Mon..monsieur, j..je.. souhaiterais..v.v.ous parler"

"Et bien... je vous observe depuis assez longtemp, je vous espionne, en quelque sorte, et j'ai vu que vous êtes un hom... ogre bien, comme par exemple l'aide que vous avez fourni a un jeune Dragonier, je suis désolé de vous avoir espionné, mais j'aimerais me mettre a votre service, et si vous pouviez être mon maitre, je me bat a la Hallebarde."