La renaissance du Phénix Noir...

Phöenix se téléporta devant la maison de son père. Son regard noir, scrutait les environs. Il se décida alors à rentrer, attednant l'arrivée certaine de ce qui fut ses amis...

Elfrania arriva enfin là d'où provenait la magie de Phöenix. C'était devant la maison de Quadéhar. Elle aperçut Phöenix mais il n'était plus le même. Elle monta sur Aldrae qui grogna.

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Très très loin de là. Une flaque d'eau dessine Elfrania ainsi que Phöenix puis se brouille...Un eclair noir et puis plus rien..

Quadehar arriva, puis dit, en voyant Argetan arriver :

"Nous allons avoir besoin de vous, en tout cas de votre énergie, ainsi que celle d'Aldrae, pour alimenter le sort qui va nous permettre à moi et Layos d'accumuler le pouvoir de toute notre lignée, afin de lutter et de redonner le contrôle à Phöenix. Donnez moi votre main..."

Le gigantesque dragon du maître dragonnier se posa non loin d'eux, en les fixant, concentré...

Elfrania tendit sa main à Quadehar tandis qu'Aldrae concentrait toue son énergie.

Quadehar prit la main de la jeune fille, puis celle de son fils. Argetan joignit ses forces avec celles de son maître dragonnier. Le père et le fils se regardèrent, ayant la formule à l'esprit. Puis avant de commençer, le vieil elfe dit à Elfrania :

"Ca risque de vous prendre une très grande quantité d'énergie. C'est donc pour cela que je vous demanderai de nous laisser faire contre Phöenix, de rester dehors. Si vous mourrez, Phöenix n'aura plus aucun espoir, alors restez en dehors, pour ce moment, je vous en prie."

Quadehar et Layos fermèrent les yeux, puis prononcèrent la formule, leur permettant d'accumuler et recevoir le pouvoir mental de toute leur famille réunie. Dans une sonorité résonnante, il dirent :

"Par l'esprit du Serpent, et la puissance du Vent, je m'en remet au pouvoir du Temps. Ornios, Gayann, Soluri, Xoloste, Mornino, Altarius, Filosko, Noxinann, Phistas, Asniar, donnez moi le pouvoir de détruire le Phénix Noir. Que votre force mentale accumulée m'imprègne pour anihiler cet esprit sans pitié ! Permettez moi de remporter cette lutte inachevée !"

Un puits gravitationnel de couleur violette se forma, tournant sur lui même, s'illuminant de plus en plus...

Elfrania acquiesça. Elle se concentra, laissant venir en elle toute sa puissance. Aldrae en fit de même. Une aura orangée engloba l'elfe et la dragonne...

Un grand rayon d'énergie s'échappa et fusa vers Layos ainsi que Quadehar. Ils reculèrent, puis ouvrirent les yeux. Ils brillèrent un moment d'un éclat doré intense, puis redevinrent normaux. Le père s'adressa alors à Elfrania :

"C'est entendu, ne faites rien, quoiqu'il arrive !"

"Compris.."

*J'espère que ça va marcher.*
*Moi aussi....*

Elle attendit, anxieuse de voir si le Phénix noir allait enfin être vaincu une fois pour toute.

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Très loin de là....
Un épais nuage se profila dans le ciel, porteur d'orage et le traversa en un eclair. Le froid disparu aussi soudainement que le nuage était apparu...

Après avoir reçu le pouvoir mental accumulé de toute la famille, Quadehar et Layos se regardèrent, une lueur d’inquiétude brillant tout au fond de leurs yeux. Ils soufflèrent un bon coup, puis pénétrèrent dans la maison, en laissant la porte d’entrée ainsi que le petit portillon ouverts derrière eux. Argetan les regarda, avec une mine de sévère impassibilité…
Les deux elfes arrivèrent dans la bibliothèque, en face de la salle de bains. Quadehar et son jeune fils jetaient des regards surpris, car certaines armoires flottaient légèrement au-dessus du sol. Elles retombèrent quand ils mirent un pied dans la pièce. Deux yeux les fixaient sombrement.

Sur une petite chaise, au milieu des meubles, était assis Phöenix. Il était habillé d’une tunique noire avec des bottes de la même couleur de nuit. Il ne quittait pas des yeux les deux « intrus ». Ces derniers avancèrent un peu, restant tout de même à une distance de cinq pas d’écart. Phöenix prit la parole en premier :

« Je vous attendais.
-Oui, bien sûr. Nous venons pour te ramener à la maison, répondit Layos sur un ton doux et posé, en souriant.
-Je n’ai pas de maison, répliqua-t-il froidement.
-Si une maison, ainsi qu’une famille, poursuivit Quadehar.
-Une famille qui veut me contrôler, rétorqua Phöenix.
-Non ! Nous sommes ici pour t’aider, enchaîna son frère.
-Vous voulez m’aider ? J’ai l’air d’en avoir besoin ?
-Oh oui, plus que tu ne le penses, lâcha Quadehar. »

Une lampe vola sur toute la largeur de la pièce et s’écrasa contre un mur, portée par la télékinésie de Phöenix, qui fixa son père, en lançant méchamment :

« Sors de ma tête ! »

La porte d’entrée de la maison et le petit portillon se fermèrent d’eux-mêmes, par télékinésie…

Le portillon se ferma devant Elfrania dans un grincement plus que sinistre. La jeune Elfe senti s'insinuer en elle un froid qui se répandait dans ses veines. Aldrae perçut l'angoisse de sa dragonnière. Elle étendit une aile protectrice vers elle et glissa sa tête derrière son épaule. Aldrae n'était plus un simple bébé dragon innoffensif; il avait laissé place à une magnifique dragonne orangée aux yeux flammes et au longs piquants dorés plus durs que le fer. Ses yeux se plantèrent dans ceux de la jeune Elfe et sa voix profonde résonna dans sa tête.

*N'aie pas peur, ils sont forts et savent ce qu'ils font.*
*J'ai un mauvais pressentiment. Je ne sait pas ce qui se passerait si je venais à perdre Phöenix pour toujours.*
*Quoi qu'il advienne, vous vous aimez et l'amour peut renverser les montagnes. Et puis tu m'as et jamais je ne te laisserais.*
*Tu as raison. Je ne serais pas seule...*

hj c qui phenix oir ^^ c phoenix en oir c mieu en rose enfin resu ple

Dans la maison, Phöenix regardait vers le sol, dans le vide. Des larmes perlaient au niveau de ses paupières, luttant désespérément contre l’emprise que ses propres pouvoirs exerçaient sur son esprit. Son père avança et dit d’un ton sec :

« Phöenix, regardes-moi. Je peux t’aider, regardes-moi ! »

Le jeune homme ferma un moment les yeux, laissant une larme couler le longe de son visage anguleux, puis les rouvrit en montrant ses dents :

« Sors de ma tête ! »

Autour du trio, les chaises et les fauteuils se soulevaient légèrement, flottant dans les airs, tandis que les meubles de la bibliothèque se mirent à trembler dangereusement, animés par une puissante force mentale. Quadehar parla brutalement à son fils, de manière à lui faire retrouver la raison, alors que Layos restait en retrait :

« Phöenix tu es un danger pour toi et ceux qui t’entourent, mais moi je suis là pour te venir en aide ! »

Son fils laissa ses larmes couler, sa conscience partant à la dérive, tout en entendant vaguement les sermons de son père :

« Vois ce qui t’arrive en ce moment ! Tu pourrais tuer ta fiancée, l’amour de ta vie, parce que tu ne contrôles pas ton pouvoir…
-Non, laisses moi !!!, hurla l’elfe à l’encontre de son paternel. »

Derrière lui, une fenêtre éclata, tandis que Quadehar et Layos furent violemment projetés contre le mur, derrière eux…

hj il manquerai + QUE JAPPARAISE EN DEMI OMBRE

Une fenètre eclata, projetant des eclats de verre vers l'exterieur. Aldrae s'interposa, laissant les bouts de verres rebondir sur ses écailles. Elfrania devint de plus en plus inquiète; tout ceci ne laissait rien présager de bon. Elle avança de quelques pas vers la maison mais fut stoppée par la queue garnie de piquants d'Aldrae.

*Ce n'est pas une bonne idée...*

Les deux hommes se relevèrent et, main dans la main pour unir toutes leurs forces mentales, ils firent face à Phöenix, toujours assis dans sa chaise basse. Autour d’eux, et dans toute la maison, des objets volaient, tournaient, s’écrasaient contre le mur ou le plafond, balayés par une puissance psychique incroyable.

Le combat télépathique des trois elfes était d’une intensité inouïe. Les veines du visage de Phöenix prirent une teinte noire, comme le fond de ses yeux, alors que la jolie couleur vermeille de ses lèvres s’effaçait petit à petit, prenant celle de sa face. Ses lèvres étaient closes, mais s’ouvraient légèrement, le jeune homme étant dans une fureur incroyable.
Son père et son frère se tenaient toujours la main, luttant à l’unisson avec le pouvoir de toute la famille, pour conserver le contact mental que Quadehar avait établi avec son fils, dès sa naissance, en prévision du retour d’un Phénix noir. Ce contact, seule voie de passage entre l’esprit du jeune homme et du vieil elfe, ne tenait plus qu’à un fil, un très mince fil…

L’affrontement gagnait en intensité à un moment où la bataille psychique faisait rage. L’eau de l’évier de la salle de bain s’envolaient et flottait dans les airs. Les lampes, les assiettes, les livres, les chaises, les tables, les meubles, les morceaux de verre cassés volaient à travers la maison, soulevés, brassés, emportés, projetés contre les murs avec force, par une télékinésie d’une puissance dépassant l’entendement, et surtout sans aucun contrôle, engendrée par une colère et une haine sans égal…

Quadehar et Layos plissaient les yeux, jetant toutes leurs forces dans cette ultime confrontation, alors que le visage de Phöenix devenait de plus en plus sauvage, inhumain. Arrivé à la barrière mentale de son père, il releva la tête, une expression de félicité et de défiance haineuse se peignant sur sa face : la barrière, qui l’empêchait de se développer tout son potentiel, venait de voler en éclat, de céder. Il se leva de toute sa hauteur, de la chaise où il était assis, les bras parallèles au corps, les doigts tendus comme des griffes vers le sol, ses yeux noirs fixant intensément et méchamment ses deux adversaires. La maison se souleva de terre à environ dix mètres du sol, portée par l’esprit de l’elfe. Une aura de feu doré sans chaleur enflamma et redessina les contours du jeune homme, littéralement hors de lui, ayant perdu tout contrôle sur ses actions, laissant ses pouvoirs se déchaîner et déverser toute leur puissance : La renaissance du Phénix Noir…

*Attention !!*

Elfrania senti les serres puissantes d'Aldrae la soulever. Elle se hissa jusqu'à la selle et s'accorcha soigneusement. Les évènements prenaient décidément une très mauvaise tournure. Aldrae pris encore, de l'altitude, se hissant à la hauteur de la maison. Elle stabilisa son vol, ne quittant pas d'une seule seconde la maison; c'était à elle de protéger sa dragonnière...

Le Phénix Noir ne quittait pas des yeux les deux combattants, paniqué, qui s’opposaient à lui. L’aura prit plus d’ampleur, illuminant la pièce d’un éclat doré, irradiant la maison d’une couleur de feu. Les objets et les meubles qui volaient à travers la demeure, explosaient, partaient en poussière, se désintégraient à la manière des murs, eux aussi annihilés par le potentiel illimité et destructeur du Phénix Noir.

Quadehar et Layos ne se lâchaient pas la main, unis comme jamais. C’est alors qu’ils se mirent à léviter au-dessus du sol, portés par leur adversaire commun. Ils froncèrent plus encore les sourcils, se serrant plus fermement la main au point de faire blanchir leurs jointures. Le pouvoir de toute la famille s’opposait à l’unique puissance du jeune homme. A forces égales, les deux opposants remirent pied à terre, repoussant les assauts de plus en plus forts et de plus en plus intenses.

Néanmoins, le Phénix Noir avait compris que son potentiel immense rivalisait avec celui de toute la lignée réunie, mais qu’aucun ne pouvait surpasser l’autre, combattant dans une parfaite égalité. Ne pouvant vaincre ses ennemis avec sa seule force d’esprit, il décida d’utiliser son pouvoir familial d’explosion. Il concentra toute sa puissance dans un nuage d’énergie d’une couleur de feu orangé à forme sphérique, d’environ trente centimètres. Cet amas d’énergie pure était l’essence même du pouvoir d’explosion, dont le garçon avait hérité.

Ayant remarqué la manœuvre, Quadehar et Layos créèrent un nuage d’énergie identique, avec les mêmes propriétés explosives, afin de poursuivre la lutte. Les deux projectiles se faisaient face, comme leurs créateurs respectifs. Dans l’espoir d’un abandon, le père lança à Phöenix, d’une voix suppliante :

« Phöenix, je t’en pries, ne nous y force pas ! »

Le fils, figé dans une expression de féroce impassibilité, fixa son père. Une lueur sauvage parcourut ses yeux, au milieu de l’aura dorée. Il leva la tête vers les deux combattants, envoyant son attaque d’explosion sur eux. Quadehar et Layos, forcés, firent de même.

Les deux sphères se percutèrent. Un nuage d’énergie géant se forma entre les opposants. Une onde de choc d’une intensité surnaturelle balaya Phöenix, qui hurla à l’impact, tandis que Quadehar et Layos crièrent, projetés par le souffle infiniment puissant de leurs deux attaques mêlées.

Dans un bruit assourdissant, la maison qui lévitait à dix mètres du sol, explosa toute entière, désintégrée par l’onde de choc visible des deux ultimes projectiles. Le souffle déracina tous les arbres se situant autour de la demeure, ou du moins, ce qu’il en restait…

Des formes floues se dessinèrent dans une flaque et se précisèrent peu à peu, laissant apparaitre une maison sur le point d'exploser ainsi qu'une elfe montée sur un dragon orange. La flaque reflétait aussi une silhouette encapuchonnée de noir, le haut du visage dissimulé dans les ténèbres. Les lèvres s'agitèrent pour former une suite de mots silencieux.
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Au même moment, dans une vallée, une pierre bleutée reflétait la même scène. Une ombre ailée se dessina sur le sol puis un eclair bleuté illumina la pierre.
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La maison de Quadehar explosa soudainement et le souffle, d'une force incroyable se rapprochait dangereusement d'Aldrae et de sa dragonnière.

*accroche toi!*

La dragonne se prépara à encaisser le choc. Deux boucliers, l'un bleuté et l'un sombre comme la nuit apparurent quelques fractions de secondes avant qye le souffle ne les atteignirent. Les boucliers tremblèrent sous la force de l'onde de choc mais tinrent bon. Lorsque ils se disspèrent ainsi que la fumée, Elfrania regarda le triste spectacle qui s'offrait sous ses yeux. Les arbres avaient été déracinés sur un cercle de plusieurs mètres autour de la maison de Quadehar, ou plutôt de ce qu'il en restait. Elfrania senti les larmes lui monter aux yeux tandis qu'elle fixait les rdécombres de la maison...

[je vais manger]

[bon appétit !]

Tout n’était plus qu’un amas de débris, de cendres, retombant par morceaux éparpillés. Des petits feux brûlaient sur ce qui pouvait ressembler à d’anciens meubles, détruits dans la gigantesque explosion. En voyant le désastre, on aurait put croire que ce fût un véritable champ de bataille.

Dans le silence de cette nuit mortelle, un bruit sourd s’entendit. Au milieu d’un tas de bois taillé en fines planches, brisées par l’onde de choc, un grognement s’échappa. L’amas de bois fut repoussé par des bras, venant d’en dessous. La silhouette se releva difficilement, jetant un regard noir autour d’elle.

Phöenix avait survécu au souffle surpuissant, engendré par les opposants. Cependant, il s’en était sorti très grièvement blessé. Son épaule saignait abondamment, mais la blessure était en partie cachée par son autre main. Quant au bras qui saignait, il empêchait le sang de s’échapper de la longue et profonde entaille qu’il avait à la cuisse. La tunique qu’il portait était en partie déchirée, et il était légèrement voûté sous le poids de la douleur. Son souffle rauque était visible dans la fraîche obscurité de la nuit. Son torse se soulevant au rythme de sa respiration saccadée, il fixa Elfrania, haletant. Un brasier sans chaleur illumina les formes du jeune homme, tel un phénix déployant ses immenses ailes enflammées, qu’il rabattit sur l’elfe, qui disparut dans une étoile dorée, se téléportant loin des ruines de l’ancienne demeure.

Quand le Phénix Noir eut disparut, une toux puissante troubla le silence pesant de l’obscurité. Des morceaux de table s’écartèrent, pour laisser un elfe tenter de se mettre debout, sans succès. Un rayon de lune laissa alors apercevoir ses traits. Quadehar avait aussi survécu à l’ultime attaque. Néanmoins, il était trop sérieusement blessé, pour espérer se relever. Il resta à quatre pattes. Étourdi, et hagard, il observa la grandeur du désastre, qui s’étalait devant ses yeux. Il regarda Argetan, puis eut une prise de conscience. Il rampa difficilement, parmi les débris, en murmurant, avec une voix éprouvée, lointaine :

« Layos…Layos, où es-tu… Layos… réponds-moi… »

Il vit un bras, sous une horloge cassée, brisée par le souffle de l’explosion. Le maître dragonnier poussa les restes du meuble, avec le peu de forces qui lui restait. Un visage apparut des décombres.
Layos avait les yeux fermés, la bouche entrouverte d’où un mince filet de sang s’échappait. Une entaille profonde était visible au niveau de son torse, jusqu’à sa cuisse. Quadehar prit son jeune fils par les épaules et posa sa tête sur sa propre cuisse, ayant tendu sa jambe douloureuse pour faire accoudoir. Il poussa les cheveux de l’elfe, leurs visages poussiéreux étant très proches. Dans un souffle, il demanda, d’une voix inquiète, chargée d’émotion :

« Layos… parles-moi, dis quelque chose… je t’en pries… pas toi… pas comme ça, pas maintenant… »

Il se mit alors à pleurer sur le corps inanimé de son fils, sans vie. Une plainte déchira le manteau sombre du ciel, empreinte d’une tristesse et d’un désespoir sans limites. Layos était mort, mais pour Quadehar, c’était comme si il avait perdu ses deux fils…

je peux vous rejoindre pour vous aidr?

[ c'est gentil, mais non, je t'ai envoyé un MP^^]

Aldrae se posa sur les ruines encore fumantes et Elfrania mit pied à terre, les larmes aux yeux. Elle s'approcha de Quadehar et chercha à le réconforter du mieux qu'elle put. Elle tenta d'oublier sa tristesse, ou plutôt de la dissimuler..

Quadehar pleurait à chaudes larmes, quand il sentit Elfrania près de lui. Il regarda vers elle, puit parvint à déglutir difficilement, sa voix entrecoupée de sanglots :

"J'ai... échoué... échoué... Layos... mort..."

Elfrania ne sut quoi dire pour réconforter l'elfe. Elle resta un moment silencieuse, revoyant la mort de sa nièce. Tant d'autres souvenirs douloureux affluaient dans sa mémoire...Elle posa une main sur l'épaule de Quadehar. Aldrae tourna sa tête vers Quadehar

*Je suis peut-être brusque mais nous ne pouvons reter ici à se lamenter. Il aurait voulu que vous sauviez Phöenix au lieu de vous lamenter. Il vous reste encore un fils et le mieux que nous puissions faire, c'est d'offrir une sépulture décente à Layos !!*

Quadehar hocha lentement de la tête, les larmes ruisselant sur son visage faible et poussiéreux. Il regarda le visage de Layos, puis les ruines de sa maison, dévastée. Il ferma les yeux, parlant d'une voix faible :

"Oui... tu as raison... mais pas maintenant... je suis beaucoup trop faible... et blessé... je ne peux même pas me relever..."

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