Une forteresse venait de sortir du sol en se moment même. Cette forteresse construite par les plus grand magicien et ouvrier de l'Alageasa venait de faire son apparition !
Elle était en pierre grande comme la cathédrale de Chartes. Avec quatre tour en pointe, un donjon au milieu, et des batisse tout au tour ! Des urgals venait et revenait sur les tours et chemin de rondes ! Une protection magique se faisait autour de la forteresse et dans la forteresse qui, possèdait nombre impressionant de piège et de passage secret.

Kaylan avait de nouveau une demeure à lui !

Ritos venait d'arrivée dans la maison de Kaylan avec son cheval elle dit avec un air plutôt drôle:

-C'est pas trop tôt !

Ensuite un Urgals vint vers elle alors elle lui dit:

-Je veins voir Kaylan puis-je entrée!

Un kull s'avanca vers elle

-Il n'est pas dans sa demeure ! Il vous a s laissé un message vous disant de le rehoindre au désert ou vous l'aiderez à combattre un certain samoth ! Allez y vite !

d'accord j'y cours et merci petit serviteur de Kaylan!

Ensuite elle se mit sur son cheval et galopa pour rejoindre Kaylan au désert!

Toola arriva juste après Kaylan Elle devait partir ,elle avait quelque chose à faire ,mais avant devait dire quelque chose .

"Kayln je te confi Tara pendant le temps ou je serais absente !"

*Oh je pouvais le dire moi-même !*

-D'accord

Kaylan regarda Tara qui était entrain de lui sourire, il lui rendit son sourire

(Je peux venir hein ?)

Un cheval noir galoppait depuis plusieurs jours déjà, avec sur son dos une cavalière en quète de découverte. A vrai dire, Pasiphaé c'était perdue, elle souhaitait aller de son village jusqu'à Teirm, une ville dont elle avait beaucoup entendue parler mais son chemin avait... Beaucoup dérivé ! Elle était arrivée dans le désert du Hadarac dont elle avait beaucoups entendu parler. Et maintenant, elle chercher le chemin le plus court pour en sortir... Elle cherchait mais ne trouvait pas. Alors que Pasiphaé commençait à se résigner de se laisser déshydrater au soleil, une forteresse se dessina à l'horizon...

*C'est un mirage... C'est un mirage...*

Mais, comme elle ne savait de toute façon pas où aller, elle partit en direction de ce qu'elle croyait être un mirage. Mais, une fois au pied de la forteresse, elle effleura les murs de ses doigts fins et soupira... Enfin un endroit où demander son chemin. Pasiphaé attacha son cheval et descendit puis ne put se résigner à laisser son violon, et le prit donc avec elle. L'instrument à la main, elle entra et regarda à droite et à gauche... Elle aurait bien demandé si il y avait quelqu'un, mais il se trouvait qu'elle ne pouvait pas... Alors, elle envoya un message par pensée à toutes les personnes qui pourraient éventuellement être aux alentours...

*Il y a quelqu'un ?*

Les urgals étaient allés mangé et laisser la forteresse sans garde, ce n'est pas grave, kaylan sentit quelqu'un approchait et lui parlé par la pensée. Il répondit par la même voie

*Bien sûr qu'il y a quelqu'un !*

Il descendit le donjon et alla devant l'entrée, une humaine se trouvait là bas. Elle avait l'air fatigué, avec un sourire kaylan lui demanda

-Que me vaut cette visite innatendu étrangère ?

[Ouais tu peux venir ^^]

Pasiphaé s'inclina. La demeur était grande et la personne en face d'elle devait être le propriétaire... Surement quelqu'un d'important bien qu'inconnu de Pasiphaé. Celui-ci avait quelque chose d'étrange, et son sourire avait un sens caché... Du moins c'est ce qu'elle sentait... Peut-être se trompait-elle. Elle serra son violon dans sa main gauche pour se donner du courage et se redressa en faisant un joli sourire de jeune fille bien élevée.

*Bonjour... Excusez mon intrusion mais... Celà fait deux jours que je tourne en rond dans ce désert et quand j'ai apperçut ce batiment, je me suis dit qu'on pourrait m'aider et m'indiquer le chemin pour sortir d'ici... S'il vous plait...*

Demander de l'aide à cette personne mystèrieuse donnait la chaire de poule à Pasiphaé mais c'était son unique échapatoir et son unique chance de s'en sortir vivante... Alors elle espèrait vivement que l'homme accepte de l'aider... Et si possible de lui fournir des provisions contre un peu d'argent...

*Au fait, j'en oubli les bonnes manières... Je me nomme Pasiphaé...*

Elle espèrait que l'homme ne fasse aucunes remarque sur le pourquoi elle ne parlait pas de vive voix... Pasiphaé ne pourrait alors répondre que parce qu'elle n'en avait pas...

-Ma pauvre enfant ! Vous devez vraiment être très fatigué ! Entrez , entrez dans ma humble demeure !

Il lui fit signe d'entrer en la poussant dans le dos 'amicalement'. Lorsqu'elle se présenta Kaylan fit de même savant que la jeune fille connaitra son nom et son origine

-Et moi c'est Kaylan.

Cela sonnait froid, et le nom avait l'habitude de faire frémir les gens. Kaylan remarqua qu'elle ne parler pas de vive voix, une seule explication elle était muette. La porte d'entré se referma magiquement

Eänwen marchait sous un soleil brûlant son cheval à ses côtés. Elle venait d'un étrange taverne où personne n'avait vraiment su lui indiquer son chemin. Le soleil éblouissait complètment ce qu'elle voyait. Elle était sûr qu'elle allait mourir si elle ne trouvait rien. Elle vit une ombre noir courir, ou plutôt galoper, c'était un cheval. Eänwen le suivit enfourchant son étalon d'un geste habitué.

"HEY-HOOOOOOOOOO!"

La personne (ou la chose, qui sait) ne l'entendit aparemment pas, ce qui ne l'étonna guère. Elle alla à sa rencontre directement, mirage ou pas, cela lui donnait un peu d'espoir. Au fur et à mesure de son avancement, une forteresse s'imposait de toute sa grandeur.
Arrivé à cette forteresse elle se cacha derrière un pan de mur, elle vit une humaine, celle du cheval, un elfe apparut à l'entrée. Eänwen n'entendit pas un son, peut-être y avait-il un enchentement, ou parlaient-ils par pensée. L'elfe l'invita à entrer, Eänwen s'approcha voulant entrer à son tour dès quil serait hors de vus.

Pasiphaé sentit son coeur accélerer de rythme quand elle entendit le nom de son hôte. Elle avait déjà entendue parlé de ce nom dans la taverne de son petit village... Elle ne savait plus exactement ce qui se disait mais ce n'étaient pas des choses positives... Tant pis, Kaylan était sa seule chance de sortir de ce maudit désert où l'air était presque irrespirable.

*Vivement que je parte...* pensa-t-elle en bloquant cette pensée.

Alors que l'hôte la poussa à entrer, un peu trop vivement au gout de Pasiphaé, la jeune femme entendit un bruit de pas silencieux mais ne fit pas de remarque... Si la personne ne voulait pas se montrer, c'était son choix... Et Pasiphaé n'avait pas envie que Kaylan en soit au courant... Cet être ne lui inspirait en aucun cas confiance (je parle de Kaylan)... Tenant fermement son violon, Pasiphaé lutta pour garder une expression sereine et un sourir. Quand la porte d'entrée se referma alors que personne ne l'avait poussé, la jeune femme sursauta. Trop occupé à modeler sa propre apparence, elle ne fit pas attention au décors qui l'entourait, un peu volontairement pour ne pas découvrir les "exploits" de Kaylan...

*Courage... Je demande mon chemin et je pars après avoir payé des provisions...* songea-t-elle toujours en bloquant la pensée...

Kaylan lui montra l'escalier qui mène à une salle de séjour et plus haut, aux appartements de Kaylan. Il lui montra donc l'escalier et l'invita à y monter. Puis, il lui demanda par la pensée

*Est ce qu'un jour vous avez déjà songer à retrouver la parole ?*

Avant de refermer la porte, Kaylan avait entendu un bruit. Laissant faire les court des choses, il n'alla pas voir l'inconnu qui si jamais s'avèrent dangeureux vas être vite surpris par la maison

Eänwen poussa la porte, de la demeure appartenant sûrement à l'elfe, espérant qu'elle ne grince pas.
Mais, elle poussa directement la porte quant elle crut voir apparaître des urgals. Elle se retrouva face à un escalier. Elle tourna la tête cherchant à apercevoir un quelconque indice lui révélant l'identité du propriétaire.
Ne voyant rien, elle grimpa les escaliers faisant le moins de bruit possible. Elle arriva dans une salle de séjour. Elle se demandat ce qu'elle allait faire, ne voulant trop chercher les ennuis elle décida de trouver des vivres et de s'en aller illico presto. Elle stoppa net son geste quant elle repensa aux urgals qu'elle avait cru apparître. Bon tanpis, elle avisera.

"HAAAAAAAAAAAAAAAAA!"

Eänwen se retrouva suspendu sans avoir eu le temps de comprendre ce qu'il se passait.
Elle sortit un poignard qu'elle dissimulait dans sa chaussure mais sa prison ne céda pour rien au monde, peut-être de la magie...

Pasiphaé se figea quand l'ombre changea de sujet pour parler de son mutisme... La rage monta en elle mais la jeune femme la retint, trouvant elle même son comportement enfantin... Il ne fallait plus se voiler la face, elle avait un handicap, alors elle l'assumerait.

*Retrouver la parole ? C'est impossible... Je suis née dans le silence et je mourrais dans le silence...* répondit-elle à Kaylan.

Ses yeux brillèrent mais aucune larmes ne s'aventura sur la peau de Pasiphaé. Puis elle emprunta l'escalier qui mène au séjour et vit avec étonnement une femme... Une femme emprisonné magiquement... Pasiphaé lança un regard interrogateur à Kaylan.

*Pourquoi une femme est-elle prisonnière dans votre maison ?*

La jeune femme interrogea aussi du regard l'inconnue qui se trouvait dans une bien mauvaise posture... Qu'avait donc fait cette fille ? Ou qu'avait donc fait Kaylan ? Pasiphaé serra plus fort son violon, au point qu'une corde lui trancha superficiellement la peau. Des douttes de sang de cette blessure tomba à terre tacher le sol... Pasiphaé commençait fortement à regretter d'être tombé sur Kaylan et d'être toujours chez lui...

*Il y a un moyen pour retrouver la parole.*

Puis lorsqu'ils emprintèrent le séjour, ils virent une femme dans un des filet magique de Kaylan. C'était elle qui c'était aventurer dans la forteresse sans permission

*C'est une étrangère qui est rentré ici clandestinement*

Il se tourna vers la prisonnière et reconnu Eänwen, il l'avait combattu à la forteresse de Durdi avec Kira

-Oh Eänwen ! Ca faisait longtemps !

*Quel est ce moyen si miraculeux ?*

Pasiphaé ne quitta pas des yeux Kaylan, ayant plus peur de lui que l'étrangère entrée ici clandestinement.

*Si il me dit qu'il va utiliser sa magie pour le faire, je pars...*

La jeune femme ne vit pas de méchanseté dans le regard de la prisonnière et décida donc de prendre son parti.

*Elle cherchait peut être juste comme moi un endroit dans ce désert pour demander son chemin ou alors y passer la nuit... Ses intentions ne sont pas obligatoirement mauvaises...* transmit-elle en pensée à Kaylan.

Pasiphaé se mordit la lèvre. Elle espèrait sincèrement que l'ombre n'en veuille pas à la femme que d'ailleurs il semblait connaitre.

Kaylan alla jusqu'à un meuble et sortit une bague, celui qui l'a porte peut parler de la voix qu'il devait avoir. La bague était argentée avec un petit rubis en dessus.

*Voilà se moyen.*

Puis il mit la bague dans sa poche et regarda Eänwen. Il claqua des doigt et le piège disparut

*Tu as peut être raison*

-Eänwen, que veux-tu ?

Encore! Saïden avait le don de se perdre..Même en présence d'une carte...Son maître assassin n'avait pas juger bon de lui apprendre a s'en servir d'une...De plus, qu'est ce qu'un aveugle ferait avec une carte?

Heureusement, son arsenal était léger, ce qui limitait l'effort fourni... De plus, il n,avait pas d'armures...seulement une combinaison...

Il savait qu'il était dans le désert puisqu'il marchait dans du sable depuis un moment... Il ne s'attendait quand même pas a se frapper contre une immense porte...

Essayant d'être poli, il cogna à plusieurs reprises...Peut être le propriétaire de cette demeure saurait ou il pourrait trouver le Brexinga qu'Arkillon lui avait parlé...

Une jeune femme entrait dans la pièce où se trouvait Eänwen accompagné de..

"Kaylan.." dit-elle en plissant les yeux.

Elle ne l'avait pas vraiment reconnu à l'entrée, le jour de leur rencontre fut un peu confus pour elle.
Il sortit une bague d'un meuble.

"Voila se moyen" dit-il.

De quel moyen parlait-il ?
Elle le regardait fixement ésperant trouver une réponse.
Elle finit pas la laisser en suspens et répondu à sa question.

"Je venais pour.."

Un bruit sourd la coupa.

"Je crois que quelqu'un toque à la porte" dit-elle avec un sourire, contente d'esquiver sa question. Il se serait quelque peu foutu d'elle si elle lui avait répondu qu'elle venait chercher des vivres chez lui.

Pasiphaé recula d'un pas quand Kaylan sortit une bague et tendit ses mains en avant pour lui faire comprendre qu'elle ne voulait pas toucher à ça.

*Je ne sais pas quelle magie enchante cet objet, mais il va contre la nature... Je n'en veux pas, même si vous me payeriez pour le porter.* transmit-elle par pensée à l'ombre.

La jeune femme se détendit quand l'ombre rangea l'objet et remarqua les gouttes de sang qui tombaient de sa main. Elle passa son violon à l'autre main et porta sa main à sa bouche pour sucer le sang sortant de sa plaie pour ne pas que celui-ci donne du travail à son hote.

*Encore une cicatrice de plus à cause de ce violon...* pensa-t-elle...

Puis quelqu'un toqua à la porte et Eäwen, comme l'avait appelé Kaylan, se sentit donc débarrassé de s'expliquer... Peut-être avait elle réelement mérité sa prison magique, finalement... Enfin Pasiphaé n'était rien pour juger les gens alors comme d'habitude, elle resta impassible, face à l'inconnue. Bientôt les deux femmes seraient seules dans la pièce puisque l'ombre devrait bien se décider à un moment ou à un autre d'ouvrir la porte...

*Décidément ce désert est plus peuplé qu'il n'y parait...*

[Kaylan simple question, qui t'as permis d'avoir des Kulls et des Urgals pour défendre ta forteresse. Parceque au dernière nouvelle ses moi qui dirige les troupes et je ne crois pas t'avoir laissé le droits d'en avoir.]

Je marchais dans le désert du Hadarac, pourquoi, pour la simple et bonne raison que je devais aller voir cet apprenti-ombre qui était venu nous rejoindre et qui m'avait aidé au concil. Pas pour le remercier, non, c'était surtout pour pouvoir tester ses capacité magiques et sont potentiel. J'avais mit plusieurs heures à retracer son esprit, le désert du Hadarac est un endroit sordides et dangereux, mais surtout immenses, et trouver un esprit dans celui-ci est extrèmement long. Au moins pendant ses heures j'avais eu le temps de me reposer un peu et de reprendre un peu d'énergie. Je n'avais même pas pris la peine d'enlever mon armure doré qui reflètait au soleil de mille-feux. Une pure merveille cette armure. Elle avait été forgé à partir de vrai minerais d'or se qui la rendais très résistante mais le procédé que les forgerons elfiques avait utilisé avait tout de même réduit son poids se qui faisait d'elle une armure résitante et pas trop encombrante. Ma double épée pendait dans mon dos.La paresse plus qu'autres choses. Je n'avait simplement pas eu envie de la dématérialiser comme à l'habitude. Le sang de Torca et des autres personnes que ma lame avait touché coulait encore sur celle-ci était suintait un peu sur mon armure.

J'arriva finalement devant se qui avait tout à fait l'air d'une jolie petite forteresse. Décidément si c'était la demeure de l'Ombre il aimait les grandes choses. Ils aimaient les belles et jolies demeures, aussi grande que son désir du pouvoir absolu. Son chateau était en fait une représentation de lui-même. J'arriva finalement devant la porte. Voila le moment d'hésitation, on cogne ou on ne cogne pas. Je m'en allais cogner lorsque je sentit des auras foncer vers moi. Elles étaient hostiles, et probablement prêtes à me tuer si jamais je leur résisteraient. Je ne bougea pas, je ne remua même pas le petit doigt. Des Urgals, ceux qui défendait sa maison probablement était autour de moi. MAis que faisait-il ici. Tous me tenait en jougs avec la pointe de leur lame pr¸^ete à me transpercer, même si entendons le, il n'aurait probablement pas réussi. Je n'avais même pas besoin de parler. Je leur envoya à chacun une vague d'énergie, la mienne. Il la reconnaitrait.

"Retourner rejoindre les autres. Vous n'avez AUCUNE raison d'être ici"

Tous partirent laissant à tous jamais cette demeure sans surveillance. Donc ou en étais-je, je cogne ou je ne cgne pas, après cet petite surprise je n'avais plus envie de cogner. JE toucha à la porte et murmura quelques mots en anciens langage. La matière qui la composait se liquéfia et tomba sur le sol. J'avais rechauffer la porte au point ou toute matière se liquifiait. Je traversa l'ancien portail à la recherce du maître des lieux