Après de nombreuses semaines d'érrance à manger des racines, des baies et quelques autres végétaux je m'enfonçais enfin dans le forêt du Du Weldenvarden qui était mon but final. J'avais la ferme intention d'aller à Ellesmera pour trouver la maison de mon enfance où mes parents étaient morts, tuées par les Urgals. Mais j'étais fatigué car j'avais dû parcourrir le trajet de Teirm jusqu'à la forêt à pied car mon cheval était resté chez Max, mon maître dont je n'avais plus de nouvelle depuis. Je marchai depuis déjà depuis presque une heure, entre les épais troncs de la forêt et sous le ciel de verdure que créer les feuilles, à la recherche d'une clairière où je pourrai me reposais lorsque j'entendis des gémissement d'un animal perdu en danger. Je sortis mon sabre de son fourreau et accouru de là où le bruit semblé venir. L'endroit était une clairière plutôt lumineuse bordé d'anciens arbres et de vestiges de ceux qui semblait être une ancienne maison elfique chanté dans un arbre très imposant. Les gémissement redoublèrent et je trouvé un petit louveteau qui était pelletonné contre une pierre noire et lisse seulement parcourru par des veines blanches. J'observai la forêt attentivement pour savoir ce qui avait pû causait une telle frayeur au louveteau et je le vis enfin. C'était un gros sanglier qui portait la marque de plusieurs morsures, surement la meute dont fesait parti le louveteau. Si je consitéré les traces de sang sur les défénse de la bête la meute avait surement était décimé. Il faut dire que même pour un gros sanglier, c'était une belle bête. Je rafermis la prise sur mon sabre car son attention se portait maintenant sur moi. Je m'éloignis doucement du louveteau pour évité qu'il soit mélé au combat et m'appretis à bondir quand il chargerait pour lui assener un coup de sabre. C'est ce que je fis mais je loupa mon coup et j'antailla à paine le cuir épais de l'animal. Je passais alors à l'attaque et fis décrire à mon sabre une courbe gracieuse, porteuse de mort, qui se ficha profondèment dans son cou. Le coup ne le tua pas mais il ne dût guère apprécié car il me chargea et je fis un bont sur le coté tout en mettant mon sabre de sorte que le sanglier s'embroche dessus. La lame traversa le palais avant de ressortir par le cou déjà mutillé. Il s'écroula et une flaque de sang se créa autour de corps. Je retira mon sabre de la bouche du monstre à l'agonie et j'essuya la lame du katana sur le poil rêche de l'animal et le rengaina. Je m'approchis du jeune louveteau mais il n'était plus là. Finalement peut-être que sa meute était toujours en vie. En tout cas je l'espèrais de tout coeur. A sa place tronait toujours la pierre étrange que j'avais déjà aperçu avant le combat. Je décidais de l'amener alors à Max qui saurait peut-être ce que c'était mais quand je la pris délicatement dans mes mains la pierre émit une sorte de couinement et un bruit d'oeuf que l'on casse. La pierre était chaude et bougé comme si il était animé d'une vie propre à elle. Je me rapella alors quand mon père me raconté la découverte de son dragon. C'était l'histoire que je préfèrais. Cet pierre n'en était pas une comme je l'avais cru au départ mais un oeuf et de dragon qui plus est. Mon père m'avait aussi racontait que le dragon pouvait resté dans son oeuf éternellement tant qu'il ne trouverait pas son dragonnier et ce dragon m'avait donc choisi si puisqu'il avait éclo. Je reportais mon attention quand je vis qu'une petite tête noir sortait de la coquille qui était maintenant fentu de tout son côté. Le dragon mit un coup de sa geule, qui, un jour cracherait des taurrens de flamme, et la coquille fini de se briser pour laisser le reste du corps du dragon passé. Il déplia ses ailes couleur noirs comme une nuit sans lune et sans étoile qui brille dans le ciel. Il avait un corps et sur sa colonne vertébralle se dressait une rangait de piquant pour l'instant aussi grand qu'une phalange mais qui un jour serait grande et piquante. Il y avait aussi un petit creux sans pique pour, quand il pourrait soutenir mon poids, me mettre sur son dos. Il avait aussi des dents petites mais redoutables. Sa dentitino ne fesait aucun toute sur la composition de ses repas : de la viande. J'approchis ma main pour le toucher. Ma main au contact de ses écailles avait était parcourru d'une courrant comme un éclair et maintenant l'éclair se propagait dans tout mon corps. Quand le phénomène fut fini j'étais couvert de terre et d'herbe, mes vêtements était en piteux état et j'avais les cheveux qui me tombait sur les yeux.

" Qu'est que c'était ?" exclama-je.
J'étais surpris par ce phénomène. Je rattachais mes cheveux et enlever la terre de mes vêtements et de ma peau quand je remarquis que ma main avait maintenant une marque, comme celle des dragonniers, comme celle de mon père. J'étais mantenant un dragonnier enfin un aprenti au moins et j'avais bien besoin de manger, boire et me nettoyer tout comme le petite dragon qui était maintenant mon dragon. Pour lui communiquer j'essaya de lui parlais :
" Tu as fait de moi ton dragonnier ?"
Mais je me suis dis que tout comme les elfes quand il ne sont que des bébés ils ne doivent pas savoir parler. Il m'envoya des images de viande et d'eau pur me signifierqu'il avait faim et soif. Je lui fis comprendre de ne pas bouger et j'alla chercher des la viande sur la carcasse du sanglier mort. Les charognards n'avaient pas encore commencé le festin mais il n'allait pas tarder je découper des grands morceaux de viande et les découpa en petits cubes. Je découpa aussi des provisions pour le dragon noir pour le voyage suivant et les jours à venir. Je les sala pour que la viande se concerve et récupéra aussi quelque baies et racines et mis la nouriturre du dragon et la mienne dans deux sacs que je chargea sur mon épaule et je dénicha aussi un petit ruisseau près de la maison. C'est alors que j'eu un flash. Quand j'était encore un enfant je venais içi et cet maison n'était autre que celle de mes parents. Cela voulais dire ... que j'étais proche de Ellesméra. Alors comment cet oeuf de dragon n'a t'il pas déjà éclo pour un autre elfe depuis le temps et que fesait-il là. Serait-il possible que ce soit le bébé du dragon de mon père ? C'était probable ma foi. Je déposa mes affaires sur le sol de l'entré et alla chercher le petit dragon et mes affaires et les amena à l'entré. Il boulversait ma vie ce petit dragon. Je le regarda explorait la maison d'un pas hésitant et mal assuré. Il essaya après de volait en fesant battre ses ailes mais il n'arrivait pas à décolait. Je le laissa un peu se reposer puis le pris pour qu'il aille se désaltérait et moi je remplis ma gourde d'eau et en bu de longues gorgées. Après avoir étanché ma soif je me mis en quête de la cheminé et de la cuisine où ma mère me préparait ses petits plats. Içi j'alluma le feu et mis une marmitte dessus et remplis d'eau l'ustencile et y fis bouillir les aliments ramassé. En attendant que le repas soit près j'alla n'éttoyer mes vêtements avant de les faire sécher. Je me nettoya, après des semaines de voyages je n'étais pas bien propre et en plus avec ce qui c'était passé avec le dragon ca ne m'arrangeais guère. J'étais aussi intriqué par cet marque que j'avais sur la main qui était apparu au contacte du dragon. Avec la tête pleine de questions je rentra à la maison et donna à manger la viande au dragon et moi je mangea ma soupe. Je découvris des vêtements presque neuf dans la chambre de mon père et casi identique au mien. Je les enfila mais garda néemmoins les miens et les mis dans un sac. Je décrouva aussi des pièces d'or et des pierres précieuse, je les fourra dans ma bourse car mon argent avait diminué pendant le voyage et même si j'en avait encore une bonne quantité je préfèrais ne pas prendre le risque d'être à court de monnaie. Dans ma chambre je n'y jeta qu'un bref coup d'oeil, je fis une breve excurssion dans le grenier pour voir si l'argent de mes parents était toujours; mon argent et j' alla ensuite sur la tombe de mes parents. Après avoir aménagé la maison pour quand je reviendrais et l'avoir cellai par magie au cas où des gens avec de mauvaise intention chercherais à venir içi. Pour voler par exemple. Je chercha Max mentalement pour pouvoir le rejoindre et le trouva avec une facilité adéconcertante comparé à avant. Il était avec Equina dans la crête et je ne préférais pas le déranger. Je l'attendrais alors à Carvahall chez lui. Les paroles de mon père me revienrent alors en mémoire : " Si un jour tu deviens un magicien ne cherche pas à battre un dragonnier grâce à la magie car un dragonnier, même apprenti aura toujours plus de puissance que toi car les dragonniers tels que moi puisont l'énergie magique à la fois dans nos reserve magique propre à nous mais aussi dans celle de nos dragons et même des fois autrement mais cela fait parti de l'enseignement des apprentis dragonniers et je ne peux pas te le révéler ..."
" Ainsi il me donnerait déjà des reserves magique supplémentaires ! marmonais-je pour moi même."
" Bon aller en avant. On va voir Max et son dragon, Athorn et sa Equina et son dragon. Ca te vas ?" lui demanda-je. Je me sentais idiot comme si il pouvait déjà me comprendre. Mais comme pour me dire oui il hocha la tête. " D'ailleurs comment t'apelle tu ?"
* Je suis Eloë.* déclara le dragon ou plutôt la dragonne car c'était bel et bien une fois féminine et douce qui s'élèvait de son esprit.
*Mais c'est ...*
*Imposible ? Non rien et impossible. Mon père le dragon de ton père, qui ma donnait naissance, ma dit que c'était mon héritage car il sentait un danger et un risque de mort pour lui et on père et voulait tout de même laissait une part de lui en moi. Et la meilleure facon pour lui c'était de me bénnir et de me donner son nom. C'est pour ça aussi que j'ai le haut des piques blanc et non noir car ...*
* Car le dragon de mon père était blanc ...* Après un moment de silence je lui dis * Je suis sur que tu seras digne de son héritage. Et au fait comment ce fait fait t'il que tu parle dès la naissance ? C'est normal pour un dragon ?*
*Non mais mon père ma laissait une part de sa mémoire mais de l'enseignement des dragons et des dragonniers il ne m'a rien laissé, il m'a dit qi'il ne pouvait rien me dévoiler.*
* Oui mon père a moi me disait ça aussi ... C'était 7 mois avant sa mort.*
* La fin de ton père tout comme le mien fut une perde tragique et l'on ne peut jamais s'en remettre complètement ...*
* Oui tu as raison mais nous ne devons pas baisser les bras et nous devons continuer d'avancer sur le droit chemin !*
Sans m'en rendre compte je m'étais arrêtais, je me resaisis et me remis en marche laissant derrière moi la forêt . Des pensés, des questions, des souvenirs pleins de choses tourné dans ma tête sans que je n'arrive à ranger tout ça dans un coin de ma tête.
* A aussi je me rapelle maintenant comment parler mais je sais aussi marcher, ce sont le peu d'héritage avec mon nom et sa bénédiction qu'il ma laissé.*
*D'accord je te dépose par terre.*
Il avancat d'abord d'une mainiere chancelante s'aidant des ses ailes, encore minuscules, et de sa queue pour ne pas tomber. Il pris petit à petit le rythme et me suivais mantenant alors que je marchais d'un bon pas sur le chemin de terre. Je rabattu ma capuche sur ma tête voillant ainsi ma figure.