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[Guerre] Poelée de Teirmiens

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Maximilien


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[Guerre] Poelée de Teirmiens Vide

Maximilien
Message Sujet: [Guerre] Poelée de Teirmiens | Dim 3 Aoû 2008 - 14:52


Teirm se profilait au loin, avec ses murs épais et immaculés, sa citadelle inexpugnable, ses mouettes hurlant au dessus des toits, déployant leurs atours autour d'imposante tours. Le port vint à surgir, d'abord tapi dans le bleu verdâtre de l'océan, il était à présent lumineux, inévitable. Il occupait tout le champ de vision de l'Amirante Rogaton. Même d'ici on entendait les apparaux soupirer, les voiles chuchoter leurs histoire de marins. Et puis il y avait ce rythme tonitruant, ces coups qui se répétaient, cette odeur de goudron et ces cris d'ouvriers. On ne lui avait pas menti, ici, on se préparait à la guerre. Le Concile les prendrait de court. Les mosquitos n'avaient repéré aucun vaisseau, quel qu'il soit, dans quelque crique ou quelque lagune que ce soit. Grossière erreur, le groupe Aéronaval Baleine Hurlante allait tuer dans l'œuf les velléités maritimes du Nomins.

Rogaton s'arracha à ses plaisantes songeries. Victoire, gloire, puissance, tout cela endormait sa méfiance. Et s'il y avait bien une occasion où il ne fallait pas perdre une once de son acuité, c'était bien celle-ci. Sa main caressa le chambranle doré de la fenêtre. Tout n'était, dans sa cabine, qu'ors, cuivres et boiseries. Le plafond était ouvragé avec bon goût, deux séduisantes cariatides soutenaient le linteau de la porte, des nixes souples étaient dos au mur, se livrant tout entières aux yeux ravis de l'Amirante. Faisant face au verre limpide de la fenêtre, un télescope damasquiné pointait sa lorgnette luisante vers quelque point indéfini dans le lointain. Sur une crédence d'acajou, un sextant rutilant trônait, louchant drôlement vers un charmant astrolabe. Rogaton sourit à cet idylle naissant, et se détourna du paysage. A présent, il s'agissait d'organiser les opérations aériennes. Le plan de Plümd K'anaar, en bas, était simple, les opérations aériennes se devaient de s'ajuster parfaitement aux manœuvres maritimes.
Il y avait, posés sur une carte récente de la ville et de ses alentours, une vingtaine de ballons de nacre empalés sur des tiges en laitons, elles-mêmes plantés dans des socles d'ébène. Du grand art, et utile qui plus est ! On pouvait tout voir d'ici, tout saisir, tout appréhender et tout faire. Il y avait encore des ballons plus petits en réserve, représentant les dirigeables mosquitos chargés dans la matrice sombre de leurs aînés. Mais, même sans ceux-ci, la flotte restait conséquente. Six dirigeables « Barre-à-mine » qui, habituellement, balayaient les fortifications au sol à l'aide d'immenses barres de fer. Ce type de ballons était abondamment cuirassé, les balayages ne pouvant s'effectuer qu'à basse altitude. Il y avait aussi douze « Grizzlis », ceux-là étaient des bombardiers de taille respectable, pouvant aussi bien prendre en chasse d'autres zeppelins que briser un régiment entier. Chacun était chargé d'un « Mosquito », zeppelin léger principalement utilisé en éclaireur, pour désorganiser les troupes au sol et faire joli.
Enfin, il y avait deux aéronefs  « Terraformeurs « . La plus grande force de destruction que l'Homme aie jamais inventé. C'étaient d'énormes ballons qui occultaient le soleil en son entier, qui vomissaient des torrents de feu, de bruit et de fureur sur leurs adversaires. Chaque Terraformeur transportait trois mosquitos, et souvent des tonnes de Feu-Grégeois. Le Terrible, zeppelin amiral de Rogaton, disposait pour sa part de trente boute-feux, capables de vomir toute la cargaison brûlante du vaisseau en quelques minutes si le besoin s'en faisait sentir... Avec tout ça, le gentilé de Teirm pouvait décemment chier dans son froc, il n'y aurait aucune honte, et personne ne le leur reprocherait.


« Capitaine Klébert, nous allons frapper un coup sec et puissant, ici » déclama-t-il théâtralement, pointant du doigt les quais de Teirm. Il s'agissait de neutraliser le flotte avec diligence, sinon les galères de Plümd K'anaar seraient confrontées à de violents assauts, ce qu'il fallait à tout prix éviter. « Les troupes terrestres de Sire Brexinga arriveront d'ici ce soir, nous allons occuper tout ce petit monde avant leur arrivée. » Oui, occuper la population entière de Teirm, accaparer son attention, tandis que, derrière, des milliers d'hommes viendraient pour leur briser la nuque. Enfin, il faudrait passer sur les gens du Nomins avant... « Monsieur Klébert, nous enverrons un escadron de Grizzlis soutenir nos hommes, cela suffira pour leur donner l'avantage. »
« Votre sagacité est éblouissante de clarté, monseigneur. Nous suivrons vos ordres à la lettre » Oui, Klébert cédait facilement aux facilités de la flagornerie, et Rogaton s'en rendait parfaitement compte. Mais cela lui convenait parfaitement, et même, ça lui faisait plaisir.
« Bien, branle-bas de combat, rassemblez les boys ! »

Pendant ce temps-là, trois cent mètres plus bas, sur la mer étale. La Réale vogue fièrement, toutes voiles dehors et tous rameurs à leur poste. Le plan était établi. Il s'agissait de bloquer la péninsule de Teirm et d'empêcher toute fuite navale de l'ennemi. Et on y avait mis les moyens. Des dizaines et des dizaines de dromons avançaient sur trois lignes, soutenus par des essaims discrets de Galeïas, prêtes à broyer le moindre vaisseau adverse qui aurait eu la folie de s'isoler.

Plümd K'anaar avait, pour l'occasion, revêtu sa tenue de combat. Une épaisse et fort lourdement ornée brigandine, par dessus laquelle flottait sa sempiternelle tunique délavée. Ses chausses et ses gants restaient les mêmes, mais il les avait tout de même raccommodés. Enfin, Zoïtl les avait raccommodés, mais ça revenait au même. « Hardis compagnons ! Levez les oriflammes, faites sonner des trompettes, nous allons nous battre ! » Et les bannières furent déployées, arborant fièrement le singe de la famille K'anaar. Sur les autres galères, les armoiries personnelles de chaque capitaine allaient rejoindre celles du Concile, observant côte à côte le port de la ville.

Les trois lignes s'immobilisèrent soudain, il s'agissait juste de bloquer le port, pas de le prendre d'assaut. L'on savait les défenses de la ville fortifiée trop imposantes pour cela. On se contentait donc d'armer les catapultes, vérifier les bout-feu, ramener les réserves de grégeois, prendre des armes. Bien au dessus les escadrons de Rogaton filaient droit sur le port, ils savaient ce qu'ils avaient à faire. A l'altitude qui était la leur, toute l'artillerie de Teirm serait dans l'incapacité de les abattre. Mais l'inverse n'était pas vrai. La gravité avait cela de formidable qu'un tonneau était toujours plus facile à faire tomber qu'à faire voler. Et les théoriciens Drasois du combat aérien l'avaient bien compris, préconisant donc de toujours se trouver à fort bonne hauteur... Et ils avaient fait des études pour dire ça...


De nouveau trois cent mètres plus haut, et une centaine de mètre au-devant de La Réale, le Terrible se déploie. Avec lui deux escadrons de Grizzlis, le Macaque Furieux a raflé les deux autres escadrons. Les Barre-à-mines sont restées en retrait, cet assaut liminaire demandant une certaine vélocité qu'elles n'ont pas. En effet, il s'agit de badigeonner de feu-grégeois tout ce qu'il peut y avoir de bateaux à Teirm et de repartir. Et il est primordial de rester bien en hauteur pour ne pas se faire trouer par quelque scorpion. Soit trois cent mètres, altitude réglementaire.

Le capitaine Klébert se tient prêt. Les pédaleurs assistent à présent les voiles, le Terrible atteint sa vitesse de pointe, soit vingt-cinq nœuds. La sueur emplit peu à peu le pont, on se noierait presque dedans. Les artilleurs sont cramponnés à leurs boute-feux, les Tonneliers, eux, vérifient que leurs rampes de bombardement sont bien ajustées, prêts à balancer leurs fûts mortels au-dessus de la ville. Un petit rat roux court entre les jambes tendues des hommes d'équipage, il observe, il ne comprend pas bien ce qui se passe. Jusqu'à maintenant on s'amusait bien, il y avait toujours une bouteille de rhum renversée, toujours un pois roulant par-terre. Et puis là, rien, il ne se passait rien, les grands types ne mangeaient plus, ne buvaient plus. Le petit rongeur en était fort marri, ainsi décida-t-il d'aller se réfugier dans la jolie cabine, celle de l'Amirante. Et puis il fut surpris.
Klébert avait ordonné le feu à volonté. Les boute-feu gerbaient leur grégeois, et celui-ci allait ruisseler en cascades sur les navires de Teirm. Les tonneaux roulaient à présent, faisant frémir les rampes sous leur poids. Ça tonnait de partout, ça crépitait. Un bourdonnement assourdissant venait d'en bas, du sol. Des cris aussi. Enfin, pas trop non plus, les gens avaient du voir venir les zeppelins de loin, bien que ne sachant pas ce que ce pouvait être, certains avaient sûrement eut le bon sens de se réfugier. Mais pour les autres, les cons, les inconscients et les aveugles c'était l'heure de passer à la casserole. On ne rigolait plus là, c'était la guerre, la vraie, la saignante.


Dernière édition par Docteur Jest le Jeu 28 Aoû 2008 - 14:18, édité 1 fois
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GreyMalkin


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GreyMalkin
Message Sujet: Re: [Guerre] Poelée de Teirmiens | Mer 13 Aoû 2008 - 16:56


Noir dans le noir...

Des jours avaient passé depuis l'arrivée d'une partie de la division chameauportée à Teirm. Ces quelques jours ayant été mis à profit pour fortifier la ville et faire de grands travaux dans le port, on était prêts – enfin, on pensait être assez préparé – pour tenir quelques temps face aux Conciliens. D'ailleurs, les éclaireurs avaient annoncé l'arrivée de troupes importantes par la terre. Et comme on savait aussi que le Concile possédait une jolie flotte, on ne doutait point qu'il en profiterait pour effectuer une tenaille, le rêve de tout général qui se respecte.
Ainsi donc, on observait la mer, et aussi un peu le ciel de temps en temps, juste au cas où on verrait passer un boulet de canon tiré par inadvertance. Rêver, c'était beau. Certains, à cette heure, espérait qu'une tornade vienne et emporte sous l'eau les vaisseaux ennemis. D'autres, simplement d'un bon lit bien moelleux. Mais tous attendaient, finalement...
À une heure bien tardive, enfin, les premiers signes arrivèrent. D'abord, pour quiconque aurait regardé le ciel, on aurait pu penser à de gros oiseaux. Mais vraiment très gros. Et puis, en fin de compte, on opta pour des dragons aux ailes repliés qui parvenaient quand même à planer. Là, c'était assez inquiétant. Ne serait ce que parce que les lois élémentaires de la physique interdisaient ça.

Quelques ordres brefs furent rapidement donnés. Si ces trucs volants attaquaient par la mer, c'était qu'ils en avaient aux bateaux. Ainsi, tous les équipages les quittèrent rapidement, sauf pour les plus importants, qui prirent la mer en direction du nord, avec à leur bord quelques mages qui tenteraient de dévier les projectiles. Suffisait que ces trucs contre-nature balancent un ou deux cailloux, et c'en était fait de la flotte.

Alors commença le feu infernal. Les barils – si c'en était bien, vu qu'ils conservaient pas longtemps leur intégrité – explosaient en plein ciel, répandant leur contenu embrasé sur les quais et les bateaux. Les mages eurent la bonne idée de dévier du mieux possible la trajectoire des tonneaux qui risquaient de mettre le feu aux bateaux qui avaient pris la mer – cinq au total. Ils ne pouvaient rien faire de mieux, surtout de nuit.

Noir dans le noir...

Imaginez un truc noir. Imaginez ensuite que ce truc noir vole de nuit. Supposez après que ce truc, ce soit un dragon, spécialiste de base-ball, avec pour batte sa queue – même si le base-ball ne portait pas encore ce nom à l'époque, mais ça, on s'en fout. Imaginez que ce truc transporte quelques gros cailloux. Imaginez qu'il lui prenne la bonne idée de balancer ces gros cailloux, avec sa queue, sur les trucs volants en toile et bois. Puis supposez qu'il dispose d'un correcteur de trajectoire intégrée – enfin, bon, qu'il est censé disposer – en la personne de sa dragonnière. Visualisez tout ça, et vous aurez une idée de ce qui se passait dans le ciel de Teirm.
Bien sûr, le correcteur de trajectoire était un peu nul. Bien sûr, les gros cailloux – pas si gros que ça en fait, mais balancer avec assez de force, ils pouvaient faire des dégâts, quand même – rataient leur cible neuf fois sur dix. Bien sûr, la réserve de cailloux était limitée...
Mais bon, un dragon noir, de nuit, c'était dur à voir, et ça pouvait à la rigueur aller au corps à corps. Surtout si ça espérait l'arrivée imminente d'un confrère.
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Maximilien


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Maximilien
Message Sujet: Re: [Guerre] Poelée de Teirmiens | Jeu 14 Aoû 2008 - 17:24


Le sous-officier Passepoil était lieutenant de lâche-fûts à bord du Macaque Furieux... En somme, il vérifiait si toutes les charges tombaient au bon endroit et de demander à ce qu'on fasse bouger le ballon si tel n'était pas le cas. En l'occurrence, ça se passait plutôt bien. En effet, passant un œil délicat dans l'œillère cuivré de sa lunette Voit-par-rouge (alors qu'on y voyait tout vert), il constatait que de grosses tâches blanches mouchetaient son champ de vision. Le sort qui habitait la longue-vue lorgnant le sol était certes plus que défectueux, mais là, non, là ce n'était pas un hasard. Et, comme pour corroborer les conclusions de Passepoil, ça tonnait sec en bas, ça crépitait, hurlait.
Hé ! On allait pas s'arrêter en si bon chemin ! Notre bon ami se dégagea d'un geste vif et, voyant que la lunette amourachée de son œil le poursuivait, il la rétracta dans un chuintement métallique, beau, agréable, celui des mécaniques bien huilées.
« Allez me chercher d'autres fûts, bande de moules ! Allez, plus vite que ça ! » Les hommes autour de lui s'égaillaient à la recherche de ce qu'on leur demandait. C'était facile, il n'y avait que de ça, des fûts, mais ils paniquaient un peu. Passepoil leur faisait peur, normal, vu sa tête. C'était une sorte d'amas de peau et de poils boursouflé, avec des dents jaunes en plus. Enfin, au moins, à défaut de sympathie, il obtenait de l'obéissance de la part de ses subordonnés. « Bon, ils viennent ces fûts ?! » Oui oui, ça venait, mais fallait le temps de les rouler à travers le pont, ce qui prenait pas loin de dix secondes quand même. Et puis il fallait éviter les boute-feux.
Bref, on chargea bien les deux lâches-fûts dans des claquements secs. Une petite pièce de bois qu'on cale, une manivelle qu'on tourne, un ou deux rouages qui caquètent, et vlof ! La rampe s'abaisse brutalement, les liens grommellent sous l'effort, les vis et les clous couinent un peu. Une nouvelle dose de feu pour les Teirmiens. Ça allait vraiment chier pour eux. On retourne à la lunette pour vérifier quand même. Un des deux tonneaux est dévié, ça se voit bien même, il embrase les maisons de quelques négociants. L'autre s'écrase en plein sur une fort belle galère dans un craquement gras. Ça monte jusqu'ici.
« Allez les cloportes, deux autres ! » Et ainsi de suite...


« Monsieur Robert ! D'épais navires de guerre quittent Teirm ! Ils tentent de s'enfuir ! » Voilà, en gros, ce qu'avait pu dire le giton de Otto, qui au passage lui servait aussi d'assistant. Ah ah ! Les teirmiens étaient de naïfs enfants, ils ne saisissaient pas l'ampleur de l'offensive. Comme si on allait leur laisser déroulée devant eux une voie dorée pour partir sains et saufs. En même temps, ils n'avaient pas d'autres solutions, mais quand même. Voilà, c'était idiot. Mieux vaut-il mourir cramé ou broyé ? A moins que ce ne soit noyé. En tous les cas, mourir des mains de l'Aéronautique Drasoise manquait souvent d'élégance. Soit on avait en guise de dépouille qu'un tas de cloques, ou alors un membres calciné, ou une cage thoracique défoncée, ou alors un arrêt cardiaque. Une sorte de consensus tacite disait que c'était la façon la plus bête d'être éliminé... Arrêt cardiaque... Quelle pitié !
« Jeune éphèbe, doux et séduisant soldat, nous allons.... » Robert s'empare d'une petite maquette noire représentant son vaisseau Barre-à-mine, le Casse-Noix, de son luisant gant de croupon. Il le glisse sous son regard impassible. Normal, il porte d'épaisses lunettes de protection et un jolie cache-nez de daim noirci. En gros, sa tête, on la voit pas. Même ses cheveux sont cachés sous un chapeau Kapitän, qu'il est de bon ton de porter lors de dîners de la commanderie. Et Robert est très élégant, il aime les plumes de corbeaux austères qui ornent son large couvre-chef ! Et puis aussi son caban tout noir, et son ceinturon en chagrin et le plateau cuivre ciselé qui serre tout ça, et ses culottes bouffantes ! Qu'est ce que c'est chouette et élégant « nous allons.... » il caresse la maquette, détourne le regard vers la nuit noire, et abrège un peu, parce que bon.... « Les passer au rideau de fer ! » Et puis on nappe le tout d'un petit rire sardonique de rigueur dans ces occasions là.
L'ordre fut transmis au clic-clac, et bientôt deux escadrons de barres-à-mines se rangeait en formation « rideau de fer » derrière les galères de Teirm. Les immenses tiges d'aciers effleurant à peine l'eau. On avait le vent en poupe, on irait plus vite, toujours plus vite que les coquilles de noix devant, qui avaient tout de même le vent en poupe elles aussi. On les rattraperait bientôt, et si tel n'était pas le cas, la flotte de Plümd K'anaar suffirait à remplir cette mission....
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Laïaga

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Laïaga
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Message Sujet: Re: [Guerre] Poelée de Teirmiens | Ven 29 Aoû 2008 - 1:07


Bon là ien a pas foncièrement besoin vu que vous vous arrangez plutot bien, mais est-ce que vous accepteriez que j'arbitre cette bataille ?
Mêmes raisons que dans l'autre topic avec le camp, pour éviter les dissensions et les discutions HRP.
Sachant que je m'engage à être objectif, et que si oui, les deux généraux sont invités à m'envoyer leurs effectifs et la manière dont ils sont disposés par MP, ainsi éventuellement leur tactique à venir.
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