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Prison Break [Terminé]

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Dayazell


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Prison Break [Terminé] Vide

Dayazell
Message Sujet: Prison Break [Terminé] | Dim 31 Aoû 2008 - 0:03


-Il s'appelle Gorsgal...Il a tué cinq enfants humains en faisant effondrer les fondations de leurs maison...

Syaldo regarda Cyril, il étaient rentrés à Gil'ead, vers l'après-midi, pour ne pas se faire trop remarquer des gardes, et ils avançaient à présent dans la route principale...Des marchands criaient a tue tête, des discussions fusaient de partout, des gens riaient, des enfants couraient...Si il savaient quel drame allait se passer dans cette ville. Si ils savaient de combien le taux de criminalité allait augmenter aprés que Syaldo et Cyril aient faits ce qu'ils avaient à faire...
Syaldo avait été convoqué par Kaylan dans sa maison, ou plus précisément, son domaine, car il avait des centaines de serveurs plus un énorme manoir. Ce Kaylan lui avait proposé un travaille digne de ce nom, certes dur, mais il en valait la peine. Syaldo est un malfaisant, mais pas dans ses actes, dans ses pensée...Car Syaldo était le cerveau, celui qui préparait des plans machiavélique. Et Kaylan lui avait proposé ce boulot : Faire évadé les pires assasins de la prison de Gil'ead...
Il lui avait dit qu'il travaillerait avec un homme de terrain : Cyril, un mercenaire professionnel, qui l'aiderait dans sa tache. C'était l'homme de terrain, et Syaldo, le cerveau. Ils se complétaient mutuellement. Et ils auraient besoin d'une bonne relation, pour le bon fonctionnement de la mission.
En ce moment, ils sillonnaient la ville, et Syaldo lui montrait les profils des assasins qui devaient s'évader :

-Lui c'est Ashkalaz, il a trente trois ans...Mercenaire de métier, assassin par défaut. Il a été arrêté il y a de cela deux ans pour avoir tenter de pénétrer la maison du maire. Il aurait tué vingt trois gardes avant de se faire assommer par un lâche qui serait venu par derrière...

Sans se soucier de ce que pensait Cyril, il continua :

-Là je pense que c'est parmis les plus rusé...C'est un chaotique, ça veut dire quelqu'un qui a comme seule obsession le chaos, la destruction, et le désordre...Il a été arrêté il y a deux ans pour avoir tué dix huit famille en faisant tomber leurs domiciles comme une pile de dominos ! Pour cela, il a effondré les fondations de quatre maisons par la guauche.
Les maison seraient tombées l'une sur l'autre, faisant plus de soixante-quinze morts...
En comptant les passants ça en fait cent cinquante trois...Et en comptant l'incendie qui en suivait, ça fait plus de deux cents morts...


Syaldo était impressionné par le nombre de décès qu'un fous furieux pouvait commettre...Mais il continua son récit, sachant très bien que Cyril se promettait de faire pareille la prochaine fois...

-Lui c'est un professionnel je pense...Il met une charrette dans une ruelle sombre très fréquenté par les enfants, et il y inscrit "La pause confiserie, gratuit pour aujourd'hui..." Et quand l'enfant approche, une dalle piégé qui est en fait une trappe qui méne a un cachot s'ouvre !! Et l'enfant est emprisonné ! En rassemblant plus de deux cents cents enfant, il a eu une demande de rançon de plus de 300 000 couronnes !! Et aprés avoir eu la rancon, il aurait fait effondrer le sol sur les gamins, tuant ainsi la moitié...

C'était assez cruelle, ils s'imaginaient à la place des gamin, emprisonné d'abord dans un cachot durant deux jours sans nourriture, puis être écrasé par des dizaines de tonnes de terres. Mais après tout, Syaldo avait fait pire, pourquoi regretterais-t-il de simples âme âgées de seulement quelques dizaines d'année ?

-Celui là s'appelle Alcatraz...Drôle de nom ! Il serait âgée de plus de cinquante ans maintenant car il a passé vingt ans en prison. Il se serait passer pour un noble dans une de ces fêtes que les riches se donnent...Puis au milieux de la festivité, il aurait dégainé un marteau de guerre, et tué ainsi plus de vingt gentes dames...Puis il aurait ordonné a ces archers complices d'abattre une salve de flèches. Touts les nobles, c'est a dire environ quatre-vingt seraient morts dans cette soirée.
Bien fait pour ces sales noble avec leurs manières et leur orgueil !! Ils ne méritaient que ca !!

Bien sur, Syaldo, étant assez pauvre, ne savait pas que naître sous l'argent n'est qu'une chance, et que ces malheureux noble n'avaient fait aucun crime, si ce n'est de naître...

-Ah ! Celui là j'aime bien ! Il se nomme Vyaldo, et il serait monté sur une colline, et aurait lâché des boule de pailles enflammées qui roulèrent dans les rues, créant des incendie et brulant vivant des dizaines de corps...L'incendie qui s'est ensuite déclaré serait parmis les plus meurtrier de l'histoire Alagaësienne...Il aurait ravagé plus de 1550 maison, faisant plus de 3200 sans abris, et plus de 574 000 couronnes de dêgats !!

Syaldo marqua une pause, le temps de s'éclaircir la gorge, et de reprendre sa lecture :

-Ingénieux...Vraiment ingénieux ce Dran'gu'lane ! Il a tué le Maire de Teirm en en l'attaquant avec des Termite !! Eh oui ! Il a mit des termites dans les murs de la maison...Et le maire serait mort aplati après qu'un mur se serait détaché des piliers en bois pour l'écraser dans sa salle de bains !!
Dans ce coup là, on ne l'a pas arrêté, c'est dans le suivant qu'il s'est fait chopé...
Le coup suivant serait un chef d'œuvre...Il s'est ramené avec une loupe géante qu'il a accroché à une montgolfière !! Avec le soleil, il a brulé avec sa loupe le barage en bois qui s'est défit sur Therrinsford, faisant plus de 524 morts !!!!

Maître Kaylan avait bien choisi ses meurtriers, il y avait dans cette liste que des chaotiques, des fou ! Des psychopathe...Mais ils étaient tous auteurs des plus grandes catastrophes Alagaêsienne, et si ils créaient une union avec maître Kaylan, ce dernier deviendra puissant, très puissant...Quand on a plus de cinquante malades sous ses ordres, il y avait de quoi créer la panique. Et Syaldo adorait la panique, voir ces petits gens s'agiter comme des fourmis l'éxitait. Toute cette destruction et ces images chaotiques était le seul loisir de Syaldo, la seule activité. Et ce qu'ils allaient faire, lui et Cyril, dépassaient le chaos, dépassaient l'imagination...Touts ces meurtriers accompli allaient se retrouver à l'air libre, et il devront rattraper touts les assassinat qu'il auraient dût faire durant leur période d'emprisonnement.
Maître Kaylan sera reconnu de tous, son nom sera craint car la population saurait que si un seul de ses mercenaires voyaient un quelconque signe de rébellion, les manifestants se verront tranché la gorge la nuit...
Syaldo jubila à ces images ! Toute cette apocalypse était excitante ! Les gens ne sortiront plus le soir, et la population diminuera dangereusement...
Mais en attendant, il devait continuer sa lecture a Cyril...

-Oulà !! Incroyable ! C'est un tueur en série...Il a cambriolé plus de soixante quatre domicile. Pour que tout ses cambriolages marchent, il a tué les propriétaire de la maison discrètement avec des flèches...Il aurait fait tout ça en...Une nuit !! Et pour passer de maison en maison, il utilisait une planche, pour aller dans les toits. A partir de là, il perçait la chaume, et cassait les poutre. Avant de s'introduire dans la maison...

Syaldo tourna la page.

-Ouais, bon, c'est rien comparé aux autres...Un dénommé Kuoil aurait pris d'assaut une banque en mettant un tonneau de poudre noir dans le comptoir...Tout les gens présent là bas sont mort, et la porte du coffre a été soufflé dans l'explosion. Lui ouvrant ainsi la voie sur a peu prés 60 000 couronnes...


Il aiderai maître Kaylan si il avait des problèmes financier !! Un manque d'argent serait intolérable pour un maître du chaos aussi grand que Kaylan !!
Syaldo se racle la gorge, et reprit au point ou il s'était arrêté :

-Pas mal...Un certain Drouweig'gil'doyenard aurait provoqué un glissement de terrain sur un quartier bourgeois de Teirm. Pour ca, il aurait creusé durant plus de deux mois à la recherche d'un point faible dans la roche...Puis il aurait détourné une riviére sur le trou qu'il a fait. Provoquant ainsi une pression qui fit ceder un pan de la montagne...Plus de 213 bourgeois morts dans ce coup là...Il a été attrapé aprés par des soldats qui passaient par là.


Bien sur, l'expression "pas mal" était assez faible pour décrire un cataclysme du genre. Mais je l'ai dit tout à l'heure, Syaldo avait vu bien pire pour s'étonner de ça !

-Il en reste plus que trente autre qui ne sont que des mercenaires professionnels, qui au cours de leurs vies auraient faits plus de 133 morts...Ils sont experimenté et sont des gars imbattable dans la maîtrise des armes. La plupart d'entre eux ont tué des duchesse et des nobles.

Puis il ferma le petit livre que Maître Kaylan avait écrit pour lui...
Ils dormirent dans une auberge, avant de se reveiller à quatre heure du matin pour accomplir leurs taches.
A présent, il fallait passer à l'action, ils sortirent dans la nuit froide, portant avec eux des mini récipients rempli de poudre noire dans les poches. Et avec des cordes, des crochets des couteaux et toute sorte de choses utiles à leurs opération dans un sac que Syaldo portait par dessus son épaule...Il se dirigèrent dans les rue déserte vers la taverne.
Quand elle apparut, Syaldo déclara :

-Voilà la taverne...Il faudra user d'otages pour le persuader de nous dire. Je compte sur toi, Cyril, de bien lui faire peur et de le neutraliser en fin d'interrogatoire. Dit Syaldo d'un ton professionnel.

Puis, sans ce soucier de la réponse de Cyril, il défonça la porte de la taverne...
Ils ne trouvèrent personne, a part quelques ivrognes endormi et le Tavernier qui essuyait le comptoir...
Ce dernier gronda en pestant sur les somnambules :

-Vous ne voyez pas l'heure qu'il est ? J'ai une vie moi aussi...

Voyant que les deux personnes qui s'approchaient inexorablement de lui ne bronchaient pas, il rajouta :

-Et les bonjours, c'est pour les chiens !!

Syaldo mit un coude sur le comptoir et dit d'un ton innocent :

-Qui est ce qui approvisionne la prison de Gil'ead en nourriture ?

Le tavernier, surprit par la question, mit du temps à répondre...Et Syaldo vit clairement qu'il tâtait quelque chose dans son comptoir. Probablement une arme ! Il s'étaient fait reconnu...
Syaldo se tourna vers Cyril :

-A toi l'honneur...


Dernière édition par Sabretran le Jeu 18 Sep 2008 - 1:45, édité 1 fois
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Kaylan


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Kaylan
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Lun 1 Sep 2008 - 13:16


Il y a quelque jours, Kaylan avait mis Cyril sur un coup avec Syaldor, un sadique de la pire espèce, lui c'était le cerveau et Cyril les muscles. Ils formaient un bon duo et c'était leur première mission ensemble. Ils marchaient dans les rus de la ville de Gil'ead à la recherche d'une auberge où passait la moitié de la nuit. En route, M.Cervaux lui lisait à voix haute ( car lui ne savait pas lire ) le profil d'une cinquantaine de personnes, pas n'importe lequel, tous des psychopathes, des chaotiques, des mercenaires expérimenté, des tueurs. Syaldor n'était pas le seul à avoir une liste. Kaylan en avait donné une à Cyril ne savant pas que celui-ci ne savait pas lire, mais heureusement qu'il avait lu devant lui. Cyril avait une bonne mémoire, et commença à montrer la photo de chacun en récitant.

- Celui-ci c'est Kael, il n'a que 16 ans. Il tue les vieilles dames et leur voles leur argent. La dernière qu'il tua c'était la grand mère du maire de petrovya. En tout il a tué dix-neuf grand père et a ramassé une fortune de 1246 couronnes. Maitre Kaylan le veut car il joue très bien les espions.

Il montra ensuite du doigt un autre type, il n'avait plus d'oeil et le nez à moitié casser.

- Celui-là est surprenant ! Il peut rivaliser avec les plus gros Kull ! C'est un voleur lui aussi mais il n'ai pas discret ! Pour rentrer dans une maison, il le fait brutalement, avec ses poing il arrache les murs. Il c'est fait choper en confandant le poste e police et la maison de Madame Montecarlo. Le pauvre ...

En passa ensuite à la photo d'un autre voleur. Il avait la trentaine, il avait des habits moulants en noir.

- J'aime bien celui-là, il se nomme le Clown. C'est un bon voleur et kidnappeur. Il porte toujours avec lui un masque horrible cachant son visage, il s'introduit dans les maisons en jouant les acrobates. En volant un diamant, il c'est fait arrêté le soir même. Mais personne ne connait son vrai visage puis ce qu'il est caché par un masque collé par magie.

Il avait encore les photos d'autre voleur, mais Cyril avait une bonne mémoire de quelque jours, à présent il avait oublié les autres, mais ce n'était pas graves, c'était tous des gens extraodinairement bon dans le crime. Après une petite marche, ils rentrèrent dans une taverne et ressortirent vers les 4 heures du matin. Ils se dirigèrent ensuite vers une taverne : Le clair d'Ivre. Quelques ivrognes étaient là, et le tavernier à son comptoir, il gromela quelque chose dans sa barre avant que le compagnon de Cyril ne parle. Le tavernier cherchait quelque chose, et Cyril n'eut le temps que de sortir un poignard et l'abbatre sur la main du tavernier mais il visa mal et troncha l'oriculaire. Le tavernier cria en levant sa main et l'a montrant à tous.

- J'ai perdu mon p'tit doigt !

Cyril encore un peu choqué d'avoir raté sa cible, répondit au tavernier.

- Tu as intérêt à nosu dire ce que l'on veut avant que l'on ne coupe tes autres doigt !

Le tavernier répondit alors de peur de se voir sans doigt qui peut attraper la bonne monnaie ou servir de la bière dégoulinant et rendant ivre tout ceux qui la boient.

- C'est M.Poivertier qui approvisonne la prison en nourriture, il ne sert que du pain, d'la soupe périmé et dl'eau. La prochaine fois qui l'a livre c'est dans une demi-heure mais pitié, ne me coupez pas mes p'tits doigt !

Cyril sourit à son compagnon, ils avait eu ce qu'ils voulaient !
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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Lun 1 Sep 2008 - 15:02


Cyril coupa le petit doigt du Tavernier. Syaldo ne cilla pas, et laissa son compagnon continuer. Il voulait voir comment il allait s'en sortir.
Le tavernier lui répondit :


- C'est M.Poivertier qui approvisionne la prison en nourriture, il ne sert que du pain, d'la soupe périmé et dl'eau. La prochaine fois qui l'a livre c'est dans une demi-heure mais pitié, ne me coupez pas mes p'tits doigt !

Et puis ce débile de Cyril se tourna vers lui, content...
Syaldo ne fit pas attention à lui et rajouta :

-Tu es un petit malin toi. Tu nous dit le nom...Mais en s'en fou ! Nous on veut savoir ou il habite !

Le Tavernier mit encore du temps à répondre, surement que le livreur était son ami...Syaldo réfléchit, puis sauta sur le comptoir, sortit sa dague, et d'un mouvement circulaire, détruit touts les verres et bouteilles de bières.
Avec un un horrible bruit, les multitudes de morceaux de verres s'écrasèrent sur la pierre lisse...Puis Syaldo fit exploser un tonneau de vin. Le liquide se répondit avec un bruit flasque sur le sol. Mais le tavernier ne répondit toujours pas...

-Bien, se dit Syaldo pour lui même...

Il sauta de nouveau le comptoir, et se dirigea vers un ivrogne. Il lui prit sa tête, et passa la lame sous sa gorge. Puis il dit au Tavernier avec un sourire Sadique :

-Alors le gros lard ? Voulez vous vous sentir coupable de la mort d'innocents ?

Le tavernier regarda l'ivrogne, puis il dit d'un ton lent :

-Vous devez me promettre avant que vous n'allez pas tuer le livreur ou lui faire du mal..


Syaldo garda son calme, le tavernier était en train de lui faire un chantage. D'habitude, s'était lui qui faisait ce genre de marchés...Mais il se retint et dit, un sourire sadique se dessinant sur son visage.

-Promis ! Vous avez la parole d'un meurtrier !!

Puis Syaldo éclata de rire à sa propre blague, son rire s'amplifiant jusqu'à ce qu'il se transforme en un fou rire. Et pour rire encore plus, il fixa intensément le tavernier, de facon à ce qu'il se sente obligé de rire exprès. Ce qu'il fit. Et quand le tavernier rit exprès, Syaldo s'arrêta, et dit d'un ton froid :

-Pourquoi tu rigole ? Ma parole ne te suffit pas ?

Le tavernier était sur le point d'exploser de rage, mais il n'en fit rien. Et dit plutôt d'une voie apeuré :

-Si, elle me suffit, monsieur...?

-Appelez moi, J'suiscon...

Le tavernier ouvrit les yeux et demanda :

-J'suiscon ?

Syaldo éclata de rire, son rire s'amplifiant jusqu'à ce qu'il se transforme en un fou rire. Et pour rire encore plus, il fixa intensément le tavernier, et appuya la lame sur la gorge du pauvre ivrogne endormi, de facon à ce que le tavernier se sente obligé de rire exprés. Ce qu'il fit. Et quand le tavernier rit exprés, Syaldo s'arrêta, et fixa d'un ton meurtrier le Tevernier qui continuait à rire :

-Mon nom te fais rire p'tite tête ?

Le tavernier blémit, et serra les poings :

-Mais non, il est trés joli votre prénom, dit-il en serrant les dents.

-Ouais c'est ca...Maintenant, tu me dit ou il habite ton ami Poivretier.

-J'ai votre parole ?

-Avez vous vraiment le choix ,monsieur...?

-Je m'appelle Droupi...

-Pourquoi tu me dit ton prénom ? J'en ai rien a battre de ton foutu nom de femelette !!

Le Tavernier était sur le point de pleurer. Mais il réussit a se contenir et dit tout de même :

-Il habite assez proche de la prison, a coté d'un monticule de terre qui est derrière sa maison...

-Plus de précision ! Rugit Syaldo.

-D'accord, d'accord ! Il se situe entre deux hautes maison, se sont les plus hautes de Gil'ead, vous ne pouvez pas les rater.

Syaldo jubila, il avait eu son information, maintenant, ils devaient passer à l'étape suivante, et pour plus de sécurité au niveau des coordonné de la maison de poivretier, il dit au tavernier qui croyait le cauchemar finit :

-Bieeen, on progresse au niveau de la raison...Maintenant, tu vas me bander ton petit doigt, et tu vas venir avec nous, si tu reste sage, un mage va te restituer ton oriculaire...

Le Tavernier regarda son petit doigts avec nostalgie, la douleur lui crispait le visage. Cependant, il ne pleurait pas, c'était un dur.
Syaldo eut tout de même une certaine pitié pour ce Tavernier qui n'avait rien fait, et il lui dit d'un ton moins moqueur :

-Mais ton doigts dans un bocal d'alcool, il sera conservé...

Le Tavernier s'exécuta, et par de mouvements mal assuré, glissa son doigts dans un pot d'alcool.

-Bieeen, maintenant tu vas doucement contourner le comptoir, et sortir de ton trou a rat !

Le Tavernier s'exécuta, et s'approcha de Syaldo d'un pas mal assuré.

-Voyons, n'aie pas peur, je ne vais pas te mordre ! Et puis si je le fait tu ne sentira rien...
et maintenant, tu va avancer devant moi.


Le Tavernier vint devant lui, et Syaldo enleva sa lame de sous l'ivrogne qui s'affala sur le coté, pour la mettre dans le dos du Tavernier. Syaldo souffla a ce dernier d'un ton calme :
-Au moindre mouvement, je t'enfonce ma dague dans t'a colonne vertébrale. Et mon copain continuera le travaille en te décapitant proprement.

Syaldo demanda a Cyril de se poster aux coté du tavernier, pour le taper en cas d'évasion. Et ensemble, ils sortirent dans la nuit froide. Pour continuer leurs taches digne du diable...
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Kaylan


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Kaylan
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Lun 1 Sep 2008 - 15:48


Cyril suivit l'échange entre le tavernier et son copain au drôle de nom. Lorsque Syaldo rigolait, Cyril essayait de faire de même et lorsqu'il se taisait, il se taisait lui aussi. Le pauvre tavernier, quel malchance il avait de tomber sur ses deux gars là. Après une bonne rigolade et quelque menaces, on arriva à un bon résultat.

- Bon, M. Gaupi vous vous dépechez ?!

Gaupi, quel drôle de nom encore. gaupi, grosse pie plutôt ! Hahahaha ! Cyril sortit lui aussi sa dague et lorsque Syaldo lâcha l'ivrogne, Cyril le tua, un mouvement du poignet et la dague se trouva bien au milieu du front de notre ivrogne. Celui-ci tomba raide sur le sol dur, sa tête fit un bruit sec en se cognant aux dalles.

- Vous avez promit de ne pas le tuer ! S'exclama le tavernier.

Cyril rit en regardant le tavernier pour qu'il rit mais cela ne marcha pas avec lui, il aurait juré pourtant ... Bon pas grave, il arrêta de rire pour répondre.

- Non, moi je n'ai rien promit, c'est lui qui a promit. Bon maintenant avançons !

Syaldor et le tavernier sortirent laissant Cyril seule dans la taverne, celui-ci alla chercher un bout de bois et l'enflamma avant de le jeter dans la taverne et sortir, les ivrognes qui y étaient resté allaient se faire bruler vif et le petit commerce aussi.

- dépéchons, dépêchons !

Ils arrive bientôt prêt d'un petit monticule de terre, devant eux se trouver ladite maison et les deux batiments et juste en face la prison, durant le petit trajet, le tavernier n'avait pas arrêté de se plaindre de son petit doigt.

- Nous voilà arriver je crois !

Ils n'avaient plus besoin du tavernier. Cyril avec sa dague lui ouvrit la cage thoracique après l'avoir bailloné. Puis il le jeta sur le monticule de terre, il moura bientôt.

- On est arriver. fais ce que tu as à faire.
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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Mar 2 Sep 2008 - 18:01


Syaldo chercha cet imbécile de Cyril. Quand soudain, la ruelle sombre fut illuminée par une lumière orangé. Syaldo se retourna. Et il vit Cyril qui accourait vers eux, derrière lui, la célèbre Taverne se consumait, le feu avait pris vite à cause de l'alcool, et les ivrognes endormi avait défoncé la porte pour sortir, le pantalon en feu, puis ils détalèrent, criant au feu. Mais il en manquait un, des ivrognes...
Surement cet idiot de Curil qui l'avait massacré. Syaldo le regarda avec un regard plein de reproches :

-Tu vas nous faire remarquer si tu continue, sois sage la prochaine fois !!

Puis il se tourna vers le tavernier qui pleurait à chaude larme derrière lui.

-Et toi, tu avance, ou sinon mon pied va aller dans ton cul !

Le tavernier le regarda d'un regard noir, puis cria de rage et se précipita vers Cyril, en tendant les mains comme un zombie, au passage, il sortit un couteau de cuisine. Syaldo eu juste le temps de tendre sa main devant le coup de Droupi qui tomba à la renverse. Puis il mit un genoux a terre et glissa à l'oreille du tavernier.

-Je t'avait promit qu'au moindre mouvement je te transpercerais la colonne vertébrale...Quesqui m'en empêche de le faire maintenant ?

Le Tavernier déglutit, et sa pomme d'Adam heurta la lame qui s'appuyait de plus en plus sur sa gorge. Syaldo continua :

-Ce qui m'en empêche, c'est que ton dos est face contre terre...Tu es un petit veinard. LEVE TOI !!

Droupi se leva rapidement et applatit ses mains contre son corps. Syaldo ne put s'empêcher de lâcher :

-Repos !!

Et il éclata de rire à sa propre blague, mais cette fois ci, il n'obligea pas le tavernier a faire de même.
Puis ils partirent, sillonnant les rues de Gil'ead tendit que des habitants accouraient en sens inverse pour etteindre le feu qui se propageait à une vitesse hallucinante. Syaldo dut admettre que l'incendie leur donnaient un avantage, car les soldats aideront à éteindre les flammes et ca leur laisserait la voie libre. En attendant, ils marchaient toujours, et au loin se profilait la silhouette caverneuse de la prison. Droupi dit d'une voie interrompue par des hoquets :

-Voi..Hic..là, c'est par..hic !... là bas !!

-Essuye t'a morve, Tavernier !!

Droupi ne fit pas attention a sa remarque et continua d'avancer, sous la menace de la dague. Ils arrivèrent bientôt sur le monticule de terre.
Là, comme prévue, Cyril le tua et l'enterra dans le monticule de terre.
Syaldo ne put s'empêcher de ressentir une certaine pitié pour ce brave tavernier qui avait probablement une famille derrière le comptoir...
Mais il se ressaisit et pour s'encourager, annonca à Cyril :

-Etape deux...Allons faire regretter à Mr Poivretier d'avoir accepté ce Job...

Ils contournèrent la maison pour arriver devant la porte d'entrée de la maison délabré. Le propriétaire était bête, pourquoi avoir choisi une maison entre deux géante ? Ils ne recevra pas de soleil toute la journée sauf a midi ! Tss il n'y as pas meilleur pour avoir aussi froid en hiver ! Puis d'un pas élancé, Syaldo franchit le pallier et prépara son gadget. Il l'appelait le "Coup de pouce"
Cette petite merveille était le moyen idéal pour ouvrir une porte fermé à clé sans la défoncer. Ainsi, Poivretier ne sortira pas armé pour voir qui le dérange à quatre heure du matin ou encore, il ne se réveillera pas sous le bang sonore de la porte qui sortait de ses gong.
Syaldo fit rentrer la lame dans le fin espacement qu'il y a entre la porte et fixa le coup de pouce avec des vices qui s'accorchére au mur et à la porte. Puis il prit la manivelle et la tourna dans le sens des aiguille d'une montre. En fait, il n'y avait pas une lame, mais deux, qui s'espacèrent une fois que Syaldo tourna la manivelle. Cette exercice demandait beaucoup d'énergie et il préférait que ca soit Cyril qui le fasse, mais bon, c'était pas si grave...Avec de petit craquement qui montrait que la porte et le mur s'espaçaient, de petite poussières tombèrent de l'embrasure de la porte avant que cette dernière ne s'ouvre, sans bruit. Syaldo pénétra dans la demeure, et partit en direction des escaliers. Il devait trouver la chambre du livreur. Elle était au fond du couloir à gauche et elle n'était pas fermé a clés. Syaldo faillit même crier de soulagement quand il vit un bureau sur lequel reposait du papier et des plumes d'oies. Le livreur savait donc écrire...
Il dégaina sa lame, et l'appuya sur la gorge de Mr Poivretier qui dormait a poing fermé.
Syaldo augmenta la pression jusqu'à ce que Mr Poivretier crache et suffoque en essayant veinement de respirer. Une goutte de sang tacha son oreiller, et il ouvra finalement les yeux. Il mit du temps a comprendre, son cerveau encore engourdi pas le sommeil essayant de reconnaitre ce qui lui faisait mal à la gorge...Il s'étrangla quand il comprit, et recommença sa crise incessante de toussement et d'éternuement.

-Quesqui'il y a Mr Poivretier ? Vous avez manger du poivre ? Hahahahaha !!

Syaldo mit du temps à reprendre son sérieux et a sortir du papier et un stylo qu'il tendit au livreur. Ce dernier retrouva enfin la parole :

-Par le pain périmé et l'eau sale !!!! Qui êtes vous ?

-On est ton cauchemar, ton ultime pensée qui sortira apeuré de ton crane ouvert avec son ami l'âme, vous dirigeant ainsi vers l'enfer, les flammes et le ténèbres pour vous rendre compte que ce n'est pas terminé !!! Hahahahaha !!

De nouveau, Syaldo eu du mal à retrouver son calme, et il regrettait sincèrement de ne pas être poète...

-Nan, plus serieusement, on est des serviteurs d'un maître incontesté de l'obscurité qui désirait ardemment une bande de voyou échappée de l'asile et qui sont actuellement en taule...Ca te va comme ca ?

Le livreur cligna plusieurs fois des yeux, comme si il ne croyait pas ce qui ce passait. Puis quand il se rendit compte c'était la réalité, il pissa dans son lit, marquant le drap d'une tache jaune qui s'agrandissait de plus en plus.

-C'est un réaction compréhensible chez les ingrats de ton espèce, mais tu sais, il est inutile de pisser, car on veut de toi simplement une lettre nous donnant l'accès à la prison...

Poivretier eut un sursaut et dit d'un ton plus ferme :

-Vous voulez faire évader les prisonniers du bloc seize ? Jamais !! Ce sont les prisonniers les plus dangereux du pays !

Syaldo soupira, et roula des yeux, décidément, les Alagaêsiens avaient trop entendu les recits héroïque des chevaliers !

-Ecoute vieillard, la réalité, c'est pas ca. Tu vois cette lame ? Elle a été aiguisé au troisième degrés, il me suffit d'appuyer un petit peu plus et ta tête sera tranché a moitié, te plongeant dans d'atroces souffrances. Mais le pire, c'est que tu ne mourras pas de suite ! Il te faudra encore quelques dizaines de minute à souffrir, et ce que tu entendra, ce sont simplement nos moqueries qui résonneront à jamais dans ton oreille poilue et sale !! Maintenant tu vas prendre ce papier, et va écrire ce que je vais te dicter.


Poivretier prit d'une main tremblante le morceaux de papier et se leva en direction du bureau. Là, il s'assit et attendit de recopier le message.
Syaldo acquiesça et commença à lire :

-Je suis absent durant toute la semaine, je ne pourrais donc pas assurer la livraison de nourriture pour la prison de Gil'ead. Aussi je laisse ma tache à mes deux neveux, qui ont assez d'expérience pour assurer la tache, faîtes leurs confiance.
Mr Poivretier, livreur de la prison de Gil'ead.

Quand le vieillard finit, il leva la tête, attendant patiemment la suite.
Syaldo lui dit :

-Bieeeeen, maintenant tu vas nous dessiner à peu prés le plan de la prison. Si tu nous fait une quelconque tromperie, mon copain que voilà, va t'envoyer une flèche enflammé depuis la prison afin de transformer cette maison en barbecue !! Hahahhaha !!


Poivretier observa le mercenaire, et eu une frayeur quand il vit ses nombreuses armes et sa musculature puissante. Puis il prit le papier, et dessina minutieusement le plan de la prison. Quand il eut finit, c'est à dire après une quinzaine de minute, Syaldo lui arracha la feuille des mains et lui demanda d'un ton froid.

-Quand à lieu t'a prochaine livraison ?

-Dans dix minutes environ, je livre toujours la nuit pour qu'ils préparent à temps le petit déjeuner.

-Tu coopère bien...Maintenant tu va rentrer dans ce placard que voilà. Et tu va y rester pendant que l'on piège la porte. Ainsi, tu resteras dans le trou à rat jusqu'à ce que l'on vienne te sortir de là.


Le livreur ouvrit des yeux rond et regarda le placard obscur que Syaldo désignait du doigt. Il rentra docilement dedans et ferma la porte sur lui. A présent, il fallait piéger le tout. Syaldo réfléchit un moment, puis il accrocha une visse creuse dans le plafond, et une au sol, puis il sortit du sac une arbalète fixatif qu'il vissa dans le mur d'en face, il fit passer une corde entre les deux clous et la passa également dans le détonateur de l'arbalète. Aprés, il tendit la corde de l'arbalète avec la manivelle. Et déclara assez fort pour que le livreur enfermé l'entende.

-A présent, si tu ouvre la porte, deux flèches te perceront sous différents angles. Et pour que tu n'appelle pas à l'aide, on va placer des plaques métalliques imprégné d'un sort qui fait taire les sons dans les ouvertures !

En parlant, Syaldo sortit les dites plaques que le magicien Sirius avait confectionné pour eux. Sirius était leurs complice, il attendait de l'autre coté de la prison pour les faire sortir, et il était assez puissant pour les sauver contre d'éventuels attaques.
Syaldo mit les plaques dans les fenêtres et portes, isolant ainsi parfaitement la pièce. Puis il prit le bric-a-brac de papiers et sortit de la chambre. Au passage, il glissa a Cyril :

-Etape deux réussit, ne fais rien à ce bonhomme, il peut encore nous être utile.
Et au fait, prépare toi, nous entrons à présent en prison, et c'est là que tu sera utile...


Puis il se dirigèrent silencieusement vers la cave du livreur, prirent sa charrette déjà chargé, et empruntèrent le chemin sinueux qui menait à la prison. Plus ils avançait, plus le temps qui séparait l'Alagaêsia de sa catastrophe approchait...
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Kaylan


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Kaylan
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Ven 5 Sep 2008 - 19:54


Les pauvres ivrognes, après avoir joué les saouls, ils jouaient les torches humaines. Déjà que le trio s'éloignait de la taverne que déjà des civils et des soldats accouraient pour l'éteindre. Une bonne diverstion que le jeune homme savait que Syaldro approuvait. Après s'être débarassé du tavernier comme si on se débarassait d'un chiffon, le duo pénétrèrent dans la maison à la façon de l'intello de service. Une fois dedans, Cyril jouait les grosse brute avec son couteau ect, ect.

Après avoir piégé Mr. Poivretier, ils s'en allèrent vers la prison alors que la taverne illuminait encore la nuit. La prison qui est une grande battisse, la plus sécurisé des prisons et qui a la réputation de refermer les plus grands criminels de l'histoire.

Devant eux se trouvait l'entrée, gardait par deux gardes armées de lances et de glaives alors que des archers étaient sur les murailles. Cyril présenta la lettre après avoir déposé la charette qui se faisait vérifier, heureusement que le poivretier avait un tirroir secret dans la charrette où il mettait le pain qui n'était pas périmé pour le manger après. Là, ils avaienty mis leurs armes. Après la routine de controle les gardes les laissèrent rentrer dans la cour, ils devaient se diriger vers la salle qui était devant.

- On fait quoi maintenbant ?
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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Sam 6 Sep 2008 - 13:15


Syaldo sentit un frisson lui parcourir le dos quand ils entrèrent dans la prison.
A présent, la moindre erreur leurs couteraient la vie. Syaldo avait bien préparé ses plan machiavélique. Et dans ses plans, tout se passait bien...Serait-ce le cas pour la réalité ? Il en doutait sérieusement. Mais de toute façon, en cas de faute fatale, il était entouré d'un mercenaire professionnel et d'un magicien de l'autre coté des murailles. Syaldo secoua ses épaules pour reprendre ses esprits. Si il voulait que le plan marche, il fallait s'y concentrer, non ?

-Ce qu'on va faire...Tu vois le garde manger là bas ? On va y aller, et comme Poivretier ce fait vieux, il devait probablement être aidé par des soldats afin de décharger la carriole. Pendant qu'on sera dans le garde manger, caché des regards des autres, on neutralisera les soldats en on prendra leurs uniforme. Tu es prêt ?


Syaldo était trop stressé pour entendre la réponse de Cyril, mais il essaya tout de même de se cacher derriére un masque de sureté. Il ne fallait pas paraître bizarre devant les gardes qui allaient décharger la carriole. D'ailleurs ceux ci approchaient de la charrette.
Le plus grand d'entre les trois dit d'un ton insolent :

-Z'êtes qui vous ?

Syaldo eut un tic devant l'expression arrogante du soldat, il lui aurait volontiers coupé la tête en deux, mais malheureusement, cela nuirait au bon déroulement de la mission. Aussi, il leur tendit la lettre qu'avait écrit Poivretier.
Le grand tendit la lettre au plus petit car il ne savait pas lire. La demi portion regarda longuement le papier, puis murmura quelque chose au géant. Ce dernier toisa Syaldo et Cyril et dit d'un ton moins méfiant :

-B'jour, moi c'est Daygey, le petit c'est Kiri, et le dernier qui n'as pas encore parler, c'est Joude. On va vous aider a décharger.

Ensemble, il garèrent la carriole devant la porte du garde manger, puis Syaldo mit un pied a terre, et commença a mettre les pots de vin dans la réserve. Il ne put s'empêcher de demander a Kiri :

-Vos prisonniers ont l'habitude de boire du vin à leur guise ?

Kiri regarda les tonneau de vin, puis Syaldo. Son visage s'éclaira quand il comprit enfin :

-Ah ! Hahahaha ! Non, non c'est pour le directeur et les hauts gradé qu'il y a du vin...

-Évidement...Mais je ne comprend pas encore un chose. Votre rôle dans cette prison c'est de décharger les charrettes ?


Syaldo voulait tenter de lui soutirer des informations capitale par la ruse, et le petit Kiri était le meilleur pour ce genre d'opération.

-Non, non ! On est de simple garde qui font la ronde à quatre heure et demie du matin...On nous a demandé de décharger, alors on le fait.

-Étant donné que vous êtes peu a faire la ronde, vous déchargez chaque jour ?

Si Kiri répondait a cette question, le plan se déroulerait a merveille. Syaldo pria, il n'avait jamais prier, mais cette fois, cet étrange, il en ressentait le besoin.

-Non, non ! On est pas du tout peu a faire la ronde ! On est cinq groupe de huit !

Voilà, Syaldo avait eu son information. Maintenant, il devait attendre le moment propice pour tuer le trio de débile. Quand les trois soldats seront tous dans le garde manger, alors Cyril pouvait agir. Cinq minutes plus tard, Kiri, Daygey et Joude se retrouvèrent touts les trois dans la salle. C'était le moment, le moment de les tuer, Syaldo glissa a l'oreille de Cyril :

-Montre moi ce que tu as dans le ventre en les tuant tous en moins de cinq seconde, proprement et sans bruit...
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Kaylan


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Kaylan
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Sam 6 Sep 2008 - 13:30


Cyril ne pouvait pas s'empêcher de claquer des doigt chaque minutes. Il avait peur de quelque chose, mais de quoi ? Le cerveau donna les papiers au grand soldat qui étaient devant eux, celui-cu surpassait Cyril d'une tête mais était moins musclé. Après les présentation, Syaldo arriva à avoir quelque information de la part de Kiri le plus bête. Cyril riait.

- Et qu'est ce que vous mangez-vous ?

Kiri se gratta la tête, une drôle de question.

- On mange tout ce qui reste et qui n'a pas était donné au prisonnier avec un suplément de flan au caramel.

La chance ! Cyril avait toujours rêvé de de manger du flan ! Après êtres rentré dans le garde-manger, les gardes commencèrent à décharger et Syaldo glissa quelque chose à l'oreille du mercenaire, celui-ci n'entendit que tuer.

Il alla vers un sac et essaya de le prendre mais il tomba, le grand garde dit alors.

- Laisse moi t'aider !

Il se baissa pour prendre le sac et à se moment la, Cyril lui saisit la nuqe et l'a brisa dans un bruit sec. Joude qui avait vu et qui ne pouvait pas crier prit sa lance et s'élança vers Cyril qui lui saisit Kiri et le plaça devant lui, Joude tua Kiri avec sa lance et Cyril acheva le muet avec ses poing. Tout ceci n'avait durer que dix secondes.

- Voilà

Cyril prit alors l'uniforme du gros garde et se déshabilla avant d'enfiler le costume.

- Et à présent ?
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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Mer 10 Sep 2008 - 14:31


Syaldo vit avec étonnement la manière dont Cyril tua les trois idiots...Impressionnant. Mais quand ce dernier se tourna vers lui, Syaldo se cacha derriére un masque d'impassibilité, il ne fallait pas paraître étonné devant un mercenaire, même si il est avec vous.

-Maintenant, on pénètre cette prison, ni vu, ni connu...Enfin presque, ceux qui nous auront vu seront morts...


Puis il prit le costume du muet, il était un peu petit, mais ça fera l'affaire.
Aprés, Syaldo se dirigea vers la charrette, et commença a chercher dans un sac...Son visage s'éclaira lorsqu'il le trouva. Avec précaution, il sortit trois choses : Une corde, une autre corde attaché à un crochet, et une petite boule qui ressemblait étrangement à une bombe. Il expliqua a Cyril :

-Nous allons détruire les barreaux de cette lucarne...Ça fera du bruit, mais les plaques de métal silencieuse feront l'affaire...

Il prit le crochet, le passa dans un barreau, et l'attacha à une corde qu'il serra sur la charette. Puis il fit peur aux chevaux, ces derniers galopèrent de toutes leurs forces, et quand la corde se tendit, ils furent étranglé, la lucarne... soufflée. Des soldats qui faisaient la ronde arrivèrent en courant. Syaldo continua sa tache,comme si de rien n'était, sachant que Cyril devait déjà se débarrasser des corps...Il prit la petite bombe...C'était un sort d'air et de feu qui avait été compressé dans cette petit boule grace à leur magicien complice [comment il s'appelle déjà ?^^] Sans plus attendre, il la lança par la lucarne sur les quelques gardiens qui s'étaient amassé devant la petite fenêtre qui donnait sur le couloir.
BOUM !! Les cinq soldats n'étaient plus.
Syaldo se glissa par la lucarne, après avoir veillé à ce que la deuxième corde soit bien accroché quand il voudrait remonter. Puis il attendit Cyril...


[Les soldats qui sont à l'entrée des cachots vont venir, tu devras les tuer, pour ca, on se cachera derriére la porte, et...tu improviseras ^^]
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Kaylan


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Kaylan
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Jeu 11 Sep 2008 - 14:58


Pendant que Syaldo parlait et faisait son petit manège. Lui, le tas de muscles se chargeât de cacher les corps ! ne pensait pas qu'il était bête, loin de là. Il avait déjà penser à cela lorsqu'il était dans la maison de M.Poivretier. Il cacha les trois corps dans de grand sac de farine. Soudain, cinq gardes arrivèrent et repartirent aussitôt.

Le mercenaire laissa Syaldo passait devant avant de le rejoindre, il monta la corde come si il montait une liane dans l'une de ces forêt tropicales. Il sortit ses armes, une épée qui n'en n'était pas une avec plein de crochet sur ses côté. Une rapière qui était à présent accroché à son bras. Un fouet à sa ceinture et le voilà bien armé pour tuer les gardes qui venaient vers eux.

Un petit garde ( ils n'ont que des nains comme employé ou quoi ?) arriva et fut immédiatement tuer par la rapière qui lui coupa presque complètement la tête. Un deuxième abasourdi pour réagir mourut par l'épée à crochet qui par la même occasion lui ravit le coeur et un poumon à deux lobes.

- On pars par où ?!

Tout en parlant, il ouvrit un deuxième sac de farine ou se trouvait une créature de maitre Kaylan. Une petite chimère qui occupera les gardes pendant encore longtemps. Ils devaient se dépêchait

[ Je te l'avais dit ! ]
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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Jeu 11 Sep 2008 - 23:24


Dans le premier Paragraphe, je joue la chimère]

Mes yeux étaient devenus rouge, n'importe qu'elle chose qui se présentera a moi aura le malheur de se faire déchiqueter par mes dents aussi tranchante que la fine lame de Kaylan. Ce dernier m'avait crée et m'avait tout de suite enfermé dans une sorte de boite, assez grande pour que je m'y glisse, mais pas assez pour que j'y fasse des mouvements à mon aise. On avait fait quelques tuyau pour que l'air pénètre, et on m'avait bandé le museau pour que je ne puisse ni crier ni mordre. Pendant plus de trois heure, je restait là, enfermée dans cette morbide boite, à attendre sagement que le couvercle s'ouvre. Puis soudain, je me vit la tête à l'envers, deux fois, comme si on essayait de me faire rentrer dans quelque chose. Je compris ce qui se passait seulement quand un nuage de farine envahit mon cercueil. Aucun doute la dessus, on me mettait dans un sac de farine !!!!
Je regardais avec anxiété le trou par laquelle la cage était aéré, apparemment, mes kidnappeur avait eu assez d'intelligence pour ne pas boucher également mon aération. Après, une secousse régulière m'indiqua que j'était sur un cheval, ou sur une charrette... On me déplaçait. Surement pour me vendre. Non ! Je ne voulais pas passer ma vie comme esclave, aussi, je me débattit de plus belle, essayant vainement de déchirer ce qui bandait mon museau et de crier de toutes mes force, d'arracher mes cordes vocale pour la liberté. Mais la vie n'était pas aussi belle, et je ne réussis qu'a avoir plus chaud ! Puis soudain, tout s'arrêta, pendant dix minute environ, c'était le silence. Et soudain, les chevaux partirent au galop pur, me faisant tremble aussi fortement que Kaylan quand il secouait les épaules de quelqun !!!! BOUM ! Une énorme secousse me fit tourner dans touts les sens, un tonneau de vin s'écrasa sur ma cage, faisant couler de la liqueur sur mon trou d'aération. Dans moins de deux minutes, je serai mort, noyé dans un sac de farine ! Quel piètre destin ! Mais tandis que je perdait tout espoir, on sortit ma prison miniature du chargement de la charette, et avec un craquement à me faire exploser de joie, quelqu'un ouvra le sac de farine, et sortit ma boite. Le couvercle pivota, et tout se passa assez vite dans les secondes qui suivirent...On retira d'abord le bandeau de mon museau, et la première chose que je vit, c'était un trou noir. Autour du gouffre se trouvait plusieurs débris de pierre, et des barres métallique tordu, comme si un doigt de géant s'en était pris à cette petite lucarne.
Ma logique était simple : "J'ai un trou devant moi, je rentre à l'intérieur."
Ce que je fis, je descendit, et après une chute de quelques mètres, je me retrouvait dans une cave, ou plus précisément, des cachots. J'était entouré de cinq corps, et le sol était ciselé par des fissure et taché de noir, comme si une bombe avait soufflé tout ce qui se trouvait sur son passage.

-Mon dieu ! Une abomination de la nature à l'effigie de la mort ! Fuyez ! Les femmes et les enfant d'abord !!

C'était un imbécile de soldat, et ils accourait à présent vers l'escalier, pour monter sonner la cloche. L'imbécile, comme si il y avait des femmes et des enfants dans ce cachot de merde ! Tandis que je me moquait de lui, ma faim remonta ma gorge, et me fit lécher les babines. C'était de la viande qui se présentait à moi, en abondance. Mon coeur battit plus vite, le gout du sang me revint en souvenir, et c'est en raclant le sol que mes griffes rétractiles sortirent de leur orifice. Ma langue pendait, et je m'aplatit sur le sol de façon féline avant de lâcher mes muscle et de m'allonger à l'extrême.
Un saut de cinq métre. Mes griffe s'enfoncérent dans le do du soldat. Avec le bruit d'un oreiller qui tombe, le gardien s'effondra sur le sol, raide mort.
Avant même que j'eus le temps de vérifier si l'imbécile était bel et bien mort, un groupe de soldat accourait déjà, alerté par le bruite et le cris du soldat. Je me cachait derriére la porte, et je l'ai attendit. Ils rentrèrent au nombre de huit. D'un saut ample, je tordit la nuque du plus proche, et je suis tomber avec lui pour éviter le coup de dague du deuxième. La lame effilé continua sa course et se planta dans le torse du troisième...
Deux morts.
Celui qui avait sortit sa dague ouvrit des yeux rond en découvrant ce qu'il avait fait. Mais il n'avait même pas réalisé qu'il avait tué quelqu'un qu'il fut mordu par un fouet, ou plutôt, ma queue de serpent. Il s'abattit sur le sol, son visage palissant à une vitesse alarmante. Il restait cinq garde. J'ouvrit ma gueule, une boule de feu crama le quatrième, qui 'effondra, l'armure en feu. Mais à présent, les derniers soldats s'étaient préparés, et avaient sortits leurs dague. Ils abbatirent tous sur moi leur arme en même temps. Je reçu les quatre lame dans mes flancs. Pour la premiére fois, un petit cri de douleur sortit de ma gorge. Ca faisait mal, ca piquait, ca brulait...Je voulais que ca cesse, ne plus ressentir l'impression de vide qui suivait le passage de la dague. Mon sang noir tacha les dalles du cachot d'une petite nuance. J'était blessé, et j'était énervé aussi. Mes yeux s'embuaient de larmes, et c'est en ayant un champ de vision trés réduit que les quatre derniers soldats moururent dans un mélange très rapide de morsure de serpent, coup de griffe, boule feu, et un bruit paranormale de braillement de chévre.
Huit morts...
Il n'y avait plus aucun garde dans les cachots, et j'était trop grand pour me glisser dans les cellules des prisonniers encore tétanisé par ma présence. Je n'avait plus rien a faire, et j'était horriblement blessé. Il fallait trouver un point d'eau pour me soigner. Je prit donc la décision de sortir par la même entrée. J'emportait avec moi tout de même un des corps saignant des malheureux soldats. En tirant le cadavre, je m'approchais de plus en plus du petit carrée de lumière, se dessinant en haut du sale mur recouvert de toile d'araignée...

Syaldo vit Cyril lâcher la petite chimère, il lui défit le petit morceau de tissu qui clouait son museau et la libéra prés de la lucarne, elle sauta à l'intérieur du trou. Syaldo voulut s'agenouilla pour suivre l'itinéraire du l'animal incroyable. Il fut même trés impressionné de voir la tactique avec laquelle la chimère en finit des cinq premiers soldats. Mais une grimace tordit son visage lorsqu'il vit les trois sabres lacèrer les flanc de l'animal mythique. Et c'est dans un exés de rage que la chimére en vint à bout des derniers gardiens.
dix sept morts...Il n'y avait à présent aucun soldat qui courrait dans les cachots. La voie était libre, et ce, en moins de deux minutes. Mais la tache continuait, et Syaldo devait en finir avec la chimère qui l'egorgerait probablement dés qu'elle le verrait...
Il prit un tube qu'avait confectionné Sirius pour lui. C'était une sorte de barre creuse, à l'intérieur de trouvait un sortilège, qui se déclenchait dés qu'on appuyait sur le détonateur. Syaldo prit le fameux objet dans ses mains, et l'observa un instant avant de s'occuper à viser l'animal blessé. Il contracta son doigt, le sortilège se déclencha, et explosa à l'intérieur du tube, faisant ainsi pousser le seule point faible qui se trouvait devant lui : la balle. Cette dernière fusa vers la chimère et pénétra profondément dans la chaire de l'animal, qui s'effondra une fois pour toutes, sans vie.

Dans ce monde, il y avait toujours quelque chose pour compliquer les plans, et ce fut avec un soupir que Syaldo entendit au loin le bruit de ferraille indiquant que tout un régiment se dirigeait vers eux. Il courut à toute vitesse vers la charrette qui s'était arrêté, à cause des chevaux égorgé. Il prit une fourche dans la carriole, en donna une également à Cyril, et fit semblant de fouiller le contenu de la charrette. Avec son uniforme et son air sérieux, Syaldo avait tout l'air d'un membre de la sécurité de la prison de Gil'ead. Il espérait que Cyril savait jouer la comédie, car le régiment apparu à l'angle du mur, il y avait une vingtaine de soldats, et leurs chefs étaient troublé. Syaldo dit d'un ton professionnel à leurs chef :

-Lieutenant ! Nous sommes en train de fouiller la charrette du livreur, il a été assassiné dans le garde manger. Nous ne savons toujours pas les raisons, mais nous pensons qu'ils soit possible que cette charette soit piegé. Aussi moi et mon ami avons entreprit la charge de la fouiller.

Le chef du petit régiment hocha la tête, encore choqué parce qu'il venait d'entendre :

-Nous avon effectivement entendu des cris par ici, c'est pour cela que nous accourons, croyez vous que cela soit une tentative d'évasion ?

Syaldo eut beaucoup de mal à ne pas crier de rage, le chef ne savait pas que c'était eux les coupables, mais tout le monde serait alerté, et on entreprendrai de verifier que chaque cellule était pleine, ce qui incluait les cachots...Il se débarrassa donc rapidement du lieutenant :

-Nous avons vu plusieurs soldat accourir vers le bloc quatre. Vous devriez vous y ramener.

Le bloc quatre se situait à l'autre bout de la prison, et ils prendraient du temps avant de comprendre que Syaldo se moquait de lui.

-Merci soldat, et je voudrais que vous continuez de fouiller cette caravane.
En avant soldats !


Le lieutenant avança, et Syaldo pouffa de rire derriére lui. C'est incroyable ce qu'on pouvait raconter comme salade lorsque l'on portait le même uniforme qu'un gardien de prison ! Mais malheureusement, il fallait faire vite, et ce n'était vraiment pas le temps aux rigolades. Il avaient perdus une minute, quel gachit ! Encore énervé, Syaldo se glissa par la lucarne, sachant que Cyril faisait de même. Les cachots étaient humide, et des prisonniers leurs demandant pitier en s'agenouillant dans leurs cellule. Les priant pour qu'il les fasse évader avec eux. Syaldo avait prévu ça, et pour éviter que les prisonniers ne les dénonce par vengeance. Il lança une autre petite boule. Il y avait un sort de silence compressé à l'intérieur. Et lorsque la sphère explosa, le silence se fit maître. Plus aucun son ne tintait aux oreilles de personne, aucun son ne faisait vibrer l'air. Tout bruit était engourdi dans un épais voile invisible qui l'étouffait, sans bruit...
Les prisonniers se regardèrent avec étonnement, ils n'entendait plus rien, c'était une expérience nouvelle pour eux, et ils ouvrirent grand la bouche. En temps normale, un énorme cris serait sorti de ces gueule grande ouverte, mais rien n'y fit. Le silence régnait toujours en maître. Quand a Syaldo, il avançait toujours d'une expression indifférente. Et s'approchait inexorablement du bloc seize. Pour y accéder, il y avait une double grille, et les trois gardes qui étaient censé veiller à l'accès étaient mort, un petit peu plus loin. Syaldo s'approcha, et tata avec empressement les poches des gardes, il n'avait vraiment pas le temps, et il se rendait compte qu'ils en avait énormément perdu, justement. Il finit par les trouver...C'était un vrai désastre, il y en avait une douzaine qui tintait joyeusement sur le porte clés. Syaldo essaya d'en trouver une simple, un peu vieille et rouillé, comme celle que l'on trouve pour toute les cellules. Il y en avait trois de ces clés, et Syaldo les glissa frénétiquement dans l'orifice, et tourna...Sans succès. Il dut essayer avec cinq clés différentes pour enfin trouve la bonne. Et c'est d'un mouvement rageur qu'il poussa la grille contre le mur.
Il prit d'une de ses poches un flacon vide, et sortit également une de ces "bombes"
Puis d'une voie très assuré, il annonça haut et clair à toutes les cellules environnante du bloc seize :

-Le Maître Kaylan désire vos services. J'ai dans ma main une bombe qui vous fera souffler votre âme en cas de réponse négative, mais dans l'autre main, j'ai un flacon. Vous y verserez une goutte de votre sang. Cette fiole est incassable, et elle est imprégné d'un sort, si vous y versez de votre sang, vous serez lié obligatoirement au Maître Kaylan, et en cas de traîtrise. La goutte s'emplira de toute la colère de Kaylan, et retournera dans votre corps, vous empoisonnant de facon à ce que vous alliez dans l'autre monde...Faîtes votre choix, que choisissez vous, être liberté contre le service du Maitre. Ou se faire éclater dans un endroit inconnu infesté de rats...J'attend la réponse.

La voie de Syaldo avait résonné, haute et clair, et le silence qui s'y fit après témoignait de la longue réflexion qui plongeait à présent chacun de ses prisonniers...
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Kaylan


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Kaylan
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Ven 12 Sep 2008 - 14:37


Les chimères étaient les créatures favorite de Maitre Kaylan avec les aigles géants. Celle-ci alla vers le trou des cachots pour tuer des gardes. Hommes qui à présent gisaient sur un sol stérile séparait de leurs âmes. Au bout de quelques minutes, la chimère remonta à la surface, elle avait fait son boulot et pourrait éventuellement se tourner contre eux. Syaldo avait pensé la même chose et avait déjà tué la pauvre créature d'une façon .. originale !

Tout de suite après, des bruits de pas et des entrechoquement d'armures se firent entendre au loin. Surement toute une escouade qui venait attirer par le bruit funeste qu'avait fait la chimère et des explosions. Le brillant cerveau qu'avait se maniaque du crime se mit en marche et déjà Cyril se trouva avec une fourche dans la main. Que voulait-il qu'il fasse avec ? Tuer les gardes ? Faire un saut avec au dessus d'eux pour mieux s'enfuir ensuite ? Le tas de muscles sut l'explication seulement après que Syaldo se mit à l'oeuvre ! Il voulait faire la comédie, ils allaient le faire. Cyril se mit à reproduire les même geste que son ami. La fourche pénétra les sacs de farine et autre en les trouant ou juste en les remuant. Syaldo était un génie. Lorsque le chef de la petite troupe se trouva devant eux, Syaldo sut exactement comment le faire balader mais cela ne pouvait pas durer éperdument.

Les deux compères laissèrent tombé leur fourches et rentrèrent dans les cachots par la petite brèche aménagé. Ils ne perdirent pas de temps inutilement que déjà ils se trouvèrent devant les cellules et que le patron commença son discours qu'il avait soigneusement préparé à l'avance. Dans les cellules, les prisonniers se concertèrent et choisirent la bonne option. Un d'entre eux prit la parole.

- Nous acceptons se marché. Nous connaissons l'Ombre et acceptons avec joie de travailler pour lui en échange de notre liberté !


Cyril regarda Syaldo avant de prendre une clé et ouvrir la cellule de celui qui avait parlé. C'était celui qui avait tué le maire de Teirm avec des termites. Il prit le poignard de Cyril et s'entailla le bras avant de verser une goûte de son sang dans la précieuse fiole. Un par un les prisonniers continuèrent se drôle de manège jusqu'à que les cinquante cellule furent vide. Les sadiques souriait déjà, les violeurs claquèrent des mains, les voleurs riait, les chaotique souriait avec les autres.

Cyril ne savait pas ce qu'il devait faire à présent. Syaldo ne lui avait pas soigneusement expliqué le plan de l'évasion et il se demanda si ils n'étaient coincé. La patrouille arrivera bientôt, l'inspection du bloc quatre n'aura pas duré bien longtemps vu leur nombre.

- Syaldo, qu'est ce que l'on fait à présent ?

Si ils se battaient contre la petite troupe de gardes, ils les massacreront du à la rage des prisonniers prêt à faire subir touts ce qu'ils avaient vécu x10 à ces soldats qui avait joué d'eux pendant plusieurs moins et même année pour certain d'entre eux. Cyril sortit de sa poche une sorte de sarbacane, dedans se trouvait des munitions et celle-ci tue sur place. Il s'en arma et commença déjà à tirer, les gardes tombèrent au sol comme des plantes dont on avait coupé la tige ! Les évadés grouillaient sur place comme des cafards que l'on avait trop longtemps laissaient enfermé dans un bocal et dont on n'avait pas nourrit. Les gardes qui eurent la chance de venir jusqu'à eux tombèrent eux aussi au sol la gorge coupé, le visage lacéré ou le cœur trouait. Un petit tas s'était formé, un tas humain dont les corps était inerte, mort.

- On doit vite fuir.

L'alagaësa va connaitre bientôt un moment de terreur et d'horreur. La population sera terrorisé, les grandes personnes de l'empire vont disparaitre une à près l'autre, les femmes auront trop peur de sortir au delà de 17h, les enfants ne joueront plus dans les rues, les hommes seront trop inquiet pour tenter quoi que ce soit.
Ils étaient sortit depuis un bon bout de temps et personne n'étaient à leur recherche.

De l'autre côté de la muraille, avant que Sirius n'entendit la cloche d'alerte sonnait. Il avait filer vers une vieille bâtisse désinfecter qui autrefois, avait servit d'usine de chaussettes pour bébé en coton. Sirius, ouvrit la porte de l'usine, trois chimères sortirent pendant que lui, se cachait derrière la porte. Les trois chimères prirent chacune une direction différente pour faire plus de dégâts. Sirius, souriait, le paradis serait encombré d'âmes à present. Déjà les cris d'agonie s'nentendait quelques pars...De simple citoyens qui avaient eu le malheur de rencontrer la terrible créature des enfers dans leurs chemin.
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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Sam 13 Sep 2008 - 2:40


Les prisonniers se regardèrent un long moment. Syaldo sentait son cœur battre tellement le silence était lourd. Aucun bruit, aucun mouvement, juste un profond moment de réflexion qui se présentait en une phrase pour ces prisonniers : "Si je m'évade je risque m'a vie, si je reste je meurt, si je pars je serai obligé de servir qu'elqun que je ne connais même pas, je serai comme son esclave, si je trahit ce maître, je meurs." Les prisonniers prenaient leurs temps, sachant très bien que c'est sur le mot qui franchira leurs lèvre que se jouera leurs vie....C'était comme un jeu de poker dans une taverne, on a mis une grosse somme d'argent, et on se dit : "Si je perd je suis ruiné, si je ne mise rien je serai comme même ruiné, si je mise je pourrai gagner beaucoup d'argent, mais si je triche, je risque m'a vie" Pendant prés d'une minute, ce fut cette logique qui envahit l'atmosphère, qui modifia le cours de choses d'une façon si soudaine que personne n'osait bouger, ou parler. Mais un silence est toujours rompu, et Syaldo sursauta lorsque la voie si soudaine d'un des détenu tonna dans les cachots, ce répercutant ici et là, se multipliant.

- Nous acceptons ce marché. Nous connaissons l'Ombre et acceptons avec joie de travailler pour lui en échange de notre liberté !

Syaldo faillit lui faire remarquer que ce n'était pas un marché, mais plutot une obligation. Il se retint cependant, et dit plutôt avec un certain sourire de soulagement :

-Bieeeeeen, je vois que vous avez le sens de la raison...Maintenant vous allez m'écouter, on va sortir par cette lucarne, et on va courir a fond jusqu'à la muraille. Là, vous verrez ce que je vais faire et vous ferez de même. Nous serons couvert par notre expert en arme, Cyril, et notre magicien, Sirius. Êtes vous prêts ?

Un des détenu le regarda de travers, et dit d'un ton qui ne visait pas que Syaldo mais plutôt l'ensemble des prisonniers :

-Ah oui ? Et tu crois que les archers ne vont pas nous voir ? Il y en a plus d'une cinquantaine sur les toits, plus une autre cinquantaine de soldats à pied qui font la ronde en ce moment même, sans oublier la cavalerie qui risquerait de nous poursuivre. Comment tu feras pour éviter tout cela Archimède !! (à l'époque, il y avait pas Einstein ^^)

Syaldo le foudroya du regard, d'un ton froid et sans pitié, qui vous rappelait cruellement la notion du mal, et de la violence. Mais à l'étonnement de tout le monde, il ne s'énerva pas, il dit plutôt d'un ton calme et posé :

-J'ai deux questions à te poser.

Le prisonnier le regarda d'un air étonné, il s'attendait plus a des réponses et a de la colère qu'a cela.

-Oui, quoi ?

-As tu un cerveau, et si oui, sais-tu t'en servir ?!!?!!

Le détenu serra ses poings, et faillit donner un crochet à Syaldo pour refroidir ses ardeurs, mais il n'en fit rien, çà ne le mènerai à rien et le gars qui était en face de lui n'apprécierai surement pas...Il opta donc pour un ton insolent :

-Et toi qui prétend si bien en avoir un...Pourrais-tu m'expliquer ton plan si ingénieux ?

-On dit s'il vous plait !

Le détenu le regarda d'un ton froid, et serra encore plus les poings, c'était incroyable comme il avait envie d'éclater la face de rat qui était devant lui. Mais une fois de plus, il se retint.

-Pffff ! S'il te plait...

Syaldo s'amusait de plus en plus, ils perdaient du temps, certes, mais il fallait arranger une petit peu les idées de tout le monde pour qu'ils forment tous une bonne équipe. Le meilleur moyen pour que le plan se déroule à merveille, c'était que tout le monde ait une même idée de la situation.

-Tu progresse...Je vais te dire ce qui va se passer. On va sortir en courant de cette lucarne, on va tous me suivre à un endroit que je connais, et pendant que le magicien nous couvre et que Cyril tue les quelques fantassin qui viendront nous déranger, nous passerons la muraille, littéralement. Et maintenant, tu vas te taire ou je te laisse ici...Avant de faire exploser tout le bloc seize !

-Et comment compte tu distraire touts les gardes qui nous entourent ? En prison et en ville ?

-Sirius devrait avoir lâcher en ce moment les trois chimères en ville, ça occupera les soldats en ville, et en ce moment, en sonne la cloche pour avertir qu'une tentative d'évasion se passe dans le bloc quatre, à l'autre bout de la prison. Bon ! On arrête de discuter, et on passe à l'action ! Cyril passera en premier, je fermerais les rangs.

Le détenu voulut rajouter quelque chose, mais il s'abstint, et partit rejoindre la file qui se formait devant la lucarne, les autre prisonniers les regardèrent passer et tapèrent contre les barreaux de leurs cellules, en criant et en rugissant. Mais rien n'y fait, cette partie était imprégné d'un sort de silence et n'importe qui, qui traversait le couloir ne pouvait plus entendre ou parler. Les prisonniers sortirent à l'air libre un par un, à l'aide de la corde, et ce fut bientôt au tour de Syaldo de fermer la marche. A présent qu'ils s'étaient réunis, ils pouvaient passer à l'étape suivant : Piquer un sprint.
Le garde manger était caché des murailles, et donc, on ne pouvait voir ce qui s'y passait. Mais si on tournait à l'angle du mur, alors on se retrouverait dans une sorte de plaine qui nous séparait de la muraille. Une cinquantaine d'archers surveillait cette place, et y passer inaperçu était impossible...Sans l'aide d'un magicien.
Prudemment, ils s'avancèrent de l'angle du mur, puis sans prévenir, Syaldo piqua un sprint vers un endroit très précis, suivi des cinquante personnes. C'était la course contre la mort, une sensation prenante du fait que l'on peut tomber dans l'herbe d'un moment à l'autre, et que rien autour de nous nous rassurait. Évidement, touts les archers du coin les virent, cinquante personne çà ne passe pas inaperçu. Il détendirent leurs arcs. Une pluie de flèche s'abattit sur le groupe. Si on comptait, ca faisait une pour chacun, un flèche par cœur, un trou par âme.
Le régiment qu'ils avaient berné étaient retournait vers eux et dégainaient déjà leurs sabre, au loin, la cavalerie accourait dans un bruit de tonnerre. Tout encerclait les cinquante prisonnier, tout était centré sur le groupe de détenu, "Ils vont certainement crever", se disait le lieutenant. "Ma flèche leur fera un gros trou dans le gosier" se disait le chef des archers. "Un bruit de sabot, un coup de sabre, et ils ne seront plus de ce monde" se disait l'officier de la cavalerie. Mais rien de cela ne se fit, car, en haut de la muraille se dressait haute et fier, la silhouette de Sirius...

Sirius regarda sa montre, normalement, Syaldo et Cyril devaient être en train de lâcher la chimère dans les cachots. Il partit en courant vers un entrepôt tout proche, il servait autrefois la confection de chaussette de coton pour bébé. Il ouvrit la grande porte métallique d'un mouvement du poignet. La salle était haute et spacieuse, quelques boîte ou tables étaient encore là. Il y avait même une charrette cassé à l'autre bout de la salle, ses débris jonchaient le sol et rajoutait une certaine froideur au lieu déjà peu accueillant. Ses pas sonnaient avec la même puissance que le tonnerre lui même, tendit qu'il avançait vers trois boîtes posées à quelques dizaines de mètres de la porte. Il les prit, puis les tiras rapidement vers l'entrée de l'entrepôt. Et priant pour qu'elles ne regardent pas derriére la porte, il ouvra les couvercles. Trois chimères sortirent d'un pas longs de leurs ancienne cage. Elles reniflèrent l'air d'un ton enjoué, puis ellels se lancèrent dans un galop effréné au milieu des rues de la ville. Tcouf ! Un bruit de corps qui tombe. Un craquement de nuque ici, un cri de détresse par là. Les animaux mythique créèrent un vrai désastre, arrachant un ultime cri à leurs victimes avant que ces derniers ne tombent pour toujours. Pendant cinq minutes, les chimères l'emportèrent sur la surprise, décourageant les plus courageux des hommes. Puis un bataillon solide se créa, regroupant les meilleurs soldats, et ce fut la bataille. Trois chimére contre plusieurs centaines de soldats. Cela les occupaient bien, et pendant ce temps, Sirius se dirigea vers la prison. Une sentinelle le vit, la sentinelle perda la vie (j'adore le jeu de mot ^^) Et c'est d'un pas assuré qu'il foula le terrain vague entourant la prison. D'un sort, il créa une dizaines de pierres qui se collérent aux murailles, créant de prises. Sirius entama sa monté. Les archers avaient l'air d'être préoccupé par autre chose. Ils regardaient vers l'intérieur de la prison. Puis ils eurent une réaction de surprise, et cherchèrent frénétiquement une flèche dans leurs carquois. Plus aucun doute, il fallait que Sirius agisse maintenant, et vite. Les archers lâchèrent leurs salve de flèche. Mais bizarrement, un fin mur de plus de cinq centimètre apparut juste au dessus des évadé, et toutes les flèches se fracassèrent inutilement contre la roche. Les archers, la cavalerie, et les fantassins eurent un regard étonné, puis avec des mouvements d'yeux exorbité, ils cherchèrent le coupable de ce miracle. Trop tard, Sirius envoya des piques de bois à touts les archers qui se tenaient prés de lui, c'est à dire une quinzaine. Mais il restait encore ceux qui étaient sur les toits de la prison... Derrière un solide bouclier, Sirius envoya des pierres à une telle vitesse que l'on ne voyait qu'un trait fuser dans la nuit. Qui terminait finalement sa course généralement entre les deux yeux. Quatre Archers tombèrent avec un bruit sourd dix métre plus bas. Pour le reste, le magicien adopta une autre technique, il créa un disque de pierre tranchant, et le lança de gauche à droite, faisant ainsi tomber touts les archers qui se trouvait sur son passage, soit tous. Ils n'avait pas assez d'énergie pour neutraliser la cavalerie et les fantassins, aussi passa-t-il à la dernière étape de l'évasion. Tandis que les évadé sain et sauf venaient vers lui, Sirius jeta un sort sur la terre qui bordait la prison.
Et dans la nuit, une énorme planche de cinq mètre de large contre plus de dix sept de long se leva, dégageant une tonne de poussière et faisant glisser la terre qui la recouvrait. Avec un bruit mat, elle s'abattit sur la muraille, puis elle pivota, et finit par basculer vers l'intérieur de la prison. Mais Sirius avait gaspillé trop d'énergie, elle il tomba de la muraille...Ce fut dans une chute de plus de dix mètre qu'il perdit la vie...

Il y a de cela plus d'un mois, Sirius avait fait glissé sous la terre une planche d'une certaine largeur et longueur, de façon a ce qu'elle soit invisible et ne soit pas recouverte de trop de masses de terres...Elle avait été conçu pour le plan. Étant donné qu'il était impossible que les cinquante hommes passent inaperçu ou s'évadent d'une quelconque autre facon que de franchir les murailles, Syaldo avait eu l'idée de créer une sorte de balançoire que l'on trouvait dans les parcs pour enfant, la planche avait pour socle le haut de la muraille, et ce sera le poids des cinquante hommes qui, dépassé la moitié, les fera basculer de l'autre coté. Très ingénieux, et efficace aussi, car çà leur permettrai de franchir la muraille en passant par l'endroit le plus imprévu, et ainsi, surprendre leurs adversaires. A présent, la planche avait basculer du coté de la prison, et les hommes essoufflé accouraient vers cette sorte de pont... l'espoir était à son apogée.

Syaldo vit son complices Sirius sur le haut de la muraille, pendant un moment, même la lumière de la lune ne passa pas à travers le bouclier de pierres qui les protégea de la volée de flèches, ces dernières s'écrasèrent sur la paroi avec le bruit de la pluie sur une vitre. Et au fond de lui, Syaldo était très impressionné par la réflexion dont faisait preuve Sirius. Puis des pierres fusèrent ici et là, et un certain boomerang de pierre fit le tour de la prison, comme une mouche dans un salon, emportant toutes les vie qui étaient sur son chemin. Touts les archers étaient morts. Pour Syaldo, ce qui comptait, c'était de courir vers l'endroit prévu, sans se soucier du bruit indiquant que la cavalerie se rapprochait, ou encore le bruit de féraille que produisaient les soldats en marchant vers eux. Son cœur était sur le point de lacher, tout espoir le quittait aussi facilement que la fumée d'un café. Peut-être qu'ils n'y arriveraient pas, peut être qu'ils ne réussiront pas. Tout reposait sur la chance à présent, quoi que ce fut, ce ne sera pas eux qui se sauveraient ou se planteraient, le hasard fera bien le travaille, avec un peu de chance. Et puis un soudain BOUM se fit entendre, tandis que la lumière de la lune fut encore caché par l'énorme planche qui se soulevait vers eux, cette derniére prit comme point de rotation le haut de la muraille et bascula vers eux, s'enfonçant dans le gazon, et tachant l'habit de Syaldo de boue. Mais ce dernier s'en fichait, car au bout de la planche, il savait que c'était la liberté et le soulagement qui l'attendaient...
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Kaylan


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Kaylan
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Sam 13 Sep 2008 - 15:52


[ Je vais jouer une chimère à mon tour ]

Spoiler:

Un bruit sourd se fit entendre. Un couvercle qui s'enlève et une lumière qui m'aveugle voilà les sensation et bruit que j'entendis alors que je sortais de ma léthargie. Il y a quelques mois, j'ai était conçu par Kaylan un ombre avide de puissance qui excelle dans le domaine des créatures maléfiques. Je suis resté très longtemps dans cette boite et assez à mon goût. Je ne connaissais pas le sort qui m'étais réservé mais je voulais manger. Oui, de la bonne viande et du sang coulait entre mes babines. J'attendis dans ma boite un bon moment et ne voyant que rien ne se passe, je fis un bond à l'extérieur. Deux autres de mon espèce était entrain de renifler le sol et scrutant l'endroit où nous étions. Devant nous, une grande porte métallique et derrière nous une charrette à moitié cassé et dont les débris ornaient le sol froid. Une chimère monta dessus comme pour inspecter avant de redescendre et de se diriger vers la porte métallique qui était grande ouverte, l'autre la suivit. Moi je resta là avant de me décider à sortir tout en reniflant le sol. Je sentis une odeur de chaire fraiche, une chaire croustillante qui ne demande que que mes dents la lacèrent. Mais je ne le fis pas. Pourquoi ? parce ce que cette chaire appartenait à notre libérateur et je lui était reconnaissant. D'un pas lent et majestueux je quitta vite l'endroit. J(entendis un cri, un cri de douleur et d'effroi suivit d'un autre d'agonie. Mes amies avaient frappaient et moi je n'allais pas tarder ! Au galop, j'arriva vite à un marché. Il faisait encore nuit mais l'aube allait bientôt montrer son bout de nez et il y avait déjà sur place quelque marchand qui déballait leur marchandises et les installait sur de longues tables en bois. pauvre d'eux, je sauta à la gorge d'un lui arrachant l'artère et le privant de vie. Les autres marchands crièrent et laissèrent tomber leur marchandise pour fuir mais trop tard. J'avais déjà ôter la vie à un autre puis au suivant jusqu('à faire un tas de quatre marchand dont l'âmes étaient partit rejoindre les cieux. Soudain, un autre bruit, je tourna la tête vif vers l'endroit où je l'entendis. D'une ruelle jaillir deux gardes de la ville avec des lances comme seule arme et une cuirrasse pour seule défense. Montrant mes dents j'attaquai le premier qui était plus avancé du deuxième, avec ma queue je lui arracha les yeux et avec mes dents et mes griffes lui ouvrit le crâne. Le deuxième garde appeuré et lache, laissa tomber ses armes et s'enfuia. Je perdis une victime. Mais j'en avais gagné une autre, elle venue d'un pas pressé. A ma grande surprise c'était un homme femelle ou ce qu'ils appelaient femme. Elle laissa tomber son vase lorsqu'elle me vit qui se fracassa sur le sol. Elle était tétanisé par l'effroi que déjà je luis autait à la poitrine, lui arrachant ses seins et on lui grignotant le ventre. Mais malgré toutes ces vies ôtaient, j'avais encore faim. Au loin, plusieurs cries s'entendaient, tous hommes ou femmes et quelque enfants qui était sortit de chez eux en plein fin de la nuit. Un autre cri bizarre se fit entendre mais celui-ci n'était pas celui d'un humain. Une chimère avait succombé à ces blessures. Un frisson me parcourut et je décida donc de déguarpir d'ici avant que toute une escouade de garde courageux pas comme celui que j'avais laissé filer se pointe. D'un saut, je monta sur un toit, le toit était fait de chaume et seule mon poids suffit pour le briser. Je tomba sur un lit ou dormait un homme et sa femme. Ils ne s'étaient pas réveillé ! tant mieux ! J'approcha ma gueule de cele de la femme e l'ouvrit grand. Une grande partie de sa tête entra dans ma geule que je referma, sans un cri, la femme mourrut et un bruit d'os brisé se fit entendre. Puis, je m'attaqua à l'homme, j'ouvrit encore grand ma bouche et souffla au visage de l'homme mon haleine de chacal, il se réveilla, d'abord un oiel puis le deuxième.

- Qui es-tu ?

Si je pouvais parler je lui aurais dit, je suis ta mort ! Mais je ne dis rien naturellement. Je fouetta l'air avec ma queue et lui arracha la vie avec. Je ne dégaina pas le manger et je mangea plutôt la femme. Elle était drôlement bonne ! Je quitta la maison par mon entrée et allais m'attaquer à de nouvelle maisons là où des gardes ne pourront me trouver. J'étais la mort.

Cyril quant à lui ne jouait plus les gros bêta. Il écoutait attentivement Syaldo et reproduit exactement les mêmes gestes que lui. Il fit son sprint avec lkes autres meurtires qui connaissaient bien se genre d'exercice lorsqu'il fuyaient la justice. Le jeune homme s'arrêta dès que les archers les pointèrent. Syaldo les avaient conduit à leurs mort assuré ! Le gros musclé ferma les yeux lorsque les flèches quittèrent les arcs mais par miracle, il ne se fit pas tuer. UN gros tas de terre ou autre avait heurté les flèches les empêchant de tuer qui que se soit. Cyril poussa un soupire de soulagement avant de voir la terre se détaché du sol. Au fait non, si on voyait de plus prêt, c'était une gigantesque planche qui sortait du sol ou bien était-elle tapi ? Elle s'abbatit sur la muraille et bascoula du côté de la prison au même moment où Sirius tombait du haut de sa muraille mort de fatigue et d'épuisement. * On devrait y montait je présume ?* Se demanda alors celui qui ne réfléchissait presque jamais. Oui, lorsqu'il vit Syaldo et les autres s'y dirigeait, il fit de même. A présent, cinquante deux personnes se trouvaient sur une gigantesque planche sur intervalle entre la prison et la sortie. Comment allaient-ils faire pour passer de l'autre côté ? Cyril avait comprit le principe de la balançoire, d'ailleurs il s'y balançait lorsqu'il était petit avant d'être recruté par Kaylan. Qu'allait faire Syaldo pour que la balançoire les balance de l'autre côté. Côté que Cyril avait prit soit de ramener une soixantaine de cheveux pour eux et les évadés.

- Syaldo, propulse nous vite avant que d'autres hommes armés d'arc viennent nous trouer le gosier comme des moutons que l'on sacrifie.

[ cette fois-ci je prend une initiative ]

Soudain, ils se virent glisser sur la planche. Le stratagème avait fonctionnait ! Mais qui les avaient poussé ? Les hommes se virent tombaient à plat ventre et glissaient sur une vingtaine de mètre les uns sur les autres en poussant des cris de surprise ressemblant plus à des <> qu'à des << Aaaaaah >>. Arrêtons de faire durer le suspens et on va vous dire qu'est ce qui les a propulsé de l'autre côté. Au fait c'est simple. Un sorcier du coin, les avaient suivit et admirer leur stratagème. Il avait donc décidé de les aider lorsqu'il avait vu l'autre sorcier tombé de la muraille. Il créa un énorme rocher sur la planche et le détruisit avant que nos amis ne le percutent. Se sorcier se nommait affectueusement Patmolle puisque lorsqu'il était encore môme, il n'arrivait pas à courir sur de longues distances. Le sorcier en question était un fervent admirateur du mal et avait donc décidé d'aider les évadés dans leur évasion. Ceci n'était surement pas prêvu dans le plan de Syaldo mais c'était un imprévu qui leur avaient fait gagner une énorme quantité de temps. Si on revenait à Cyril, il avait fermé les yeux mais en continuant de crier, il avait cru qu'il allait percuter en plein fouet le rocher qui les avait fait basculait mais ce qui les avaient percuté réellement c'était un sol entre le mou et le dur. A peine que notre Cyril leva la tête que les autres évadés lui tombèrent dessus un par un jusqu'au dernier. Qui était leur mystérieux sauver ?
Le jeune homme se dégagea du tas, les évadés pesaient lourd avec tous leur muscles et même un éléphant n'aurait tenu sous se gros tas. Devant lui se tenait un homme, en habit noir. un homme séduisant. Un homme d'une chevelure de couleur neige argenté. Un homme au regard intriguant et d'une couleur argenté à la fois pénétrant, limpide et charmant. Un homme au regard qui vous dévore constamment et qui vous transperce sans pitié comme si ses yeux étaient des fauves affamés qui mangeait votre chair sans jamais s'arrêter. Un homme au visage revêche qui cache une douceur incroyable. Toujours le dos droit, le corps habillé de vêtement xombre qui cache sa peau marquer autant par les frappes de sables que de sabres et d'encres, il est imposant et vous regard d'une hauteur convenable vu qu'il mesure à peine six pieds un. Un corps élancé et musclé, sans toutefois posséder des gros bras. Seulement, il a un corps robuste qui cache une puissance et une vitesse hors du commun que tous ceux qui l'ont côtoyé, ont appris à se méfier. Certain le compare jaguar à cause de sa grande souplesse et sa férocité, mais d'autres disent qu'il est aussi vemineux qu'un scorpion. Cyril le détailla minutieusement et ne manqua aucun détaille. Il époustoufla ses habits qui à présent était épargné de la poussière avant de prendre la parole en mettant une main sur un glaive.

- Qui êtes vous ?

L'homme le regarda longuement avant de répondre.

- Je me nomme Yasumikimadororyalomora mais on me nomme yasu tout simplement.

Yasu est quelqu'un de complexe ... Par moment lui même ne se comprend pas vraiment avec ses réactions diverse et ses sentiments variés ... Nous pouvons dire de lui qu'il est le jour et la nuit . Mais au final il reste quelqu'un de compréhensif même si il n'hésitera pas à tuer sur ordre toute autre race contraire au dark . Il semble aimé les choses simple mais son gout de l'invention , de l'innovation fait dire le contraire . Une personne au caractère bien à lui , il ressemble à aucun autre dark . Pour une information , pour chaque personne tuer il prend le soin de les enterrer grâce à un sortilège utilisant l'élément de terre . Etrange pour un dark qui sont d'ordinaire sans merci , sanguinaire et sans pitié , qui aime faire souffrir . Lui n'éprouve aucun plaisir à cela mais il le fait quand même . Etant tout jeune encore il ne peut se permettre de désobéir !
Déjà qu'il n'est pas accepté complètement par son nouveau peuple ... Il serait certainement surnommer le traitre , jusqu'à la fin de sa vie . Mais lui ne demande qu'une chose... être aimé et accepté c'est pourquoi il fera tout se qu'on lui dira !

L'histoire de yasu est simple , du moins c'est se que l'on croit ... Il est née de deux elfe noir race cousine à celle des elfes vivant le Weldenvarden , les noms de ses parents lui sont inconnu pour des raisons ... plutôt triste dirons-nous . Avant que sa mère le mette au monde son père avait été tuer quelque jour plus tôt ... Tuer pour avoir eut un hélant de pitié pour une famille d'humain qui habitait comme des fermiers dans une foret non loin de celle de son peuple . Son père au nom inconnu n'était pas mort par la main de ses humains ! Mais belle et bien par celle d'un "drow" autrement dit un elfe noir ou bien plus connue en Alageasa par le nom de dark ... Ne voulant pas tué cette famille d'humain , c'est alors sous les ordres d'une certaine personne , elle aussi inconnu , on envoya un drow pour le tué . Sa mort fut rapide mais pour emmener son assassin avec lui dans les enfers ! Juste avant de mourir il brisa une des fioles contenant un poison très puissant , au effet immédiat . En quelque seconde l'assassin tomba à son tour . D'autres drow furent envoyer pour aller chercher les corps et les ramener ... Le corp du père de Yasu fut bruler ! Et celui de l'assassin enterrer .
Après avoir mis au monde son enfant la mère au nom inconnu se donna la mort quelque année plus tard ... ( en traitant son fils comme un inconnu ) ... Du moins c'est se qu'on disait ... Mais sa mort reste un mystère ... C'est pourquoi l'enfance de Yasu fut d'une profonde solitude et de grandes tristesses ... Il dut vivre seul très vite ... De plus rejeter de tous il dut faire ses preuves de façon sanguinaire qu'il regrettera toute sa vie ! Pour prouvé qu'il n'était pas comme son lâche de père , à l'adolescence il profita d'une nuit sombre et bruyante pour entré dans une ferme d'humain ... Et tua dans leurs sommeil tout les humains présent ... femme ... enfants ! Au retour dans la foret sombre de son peuple il dépose devant tout le monde les têtes des humains tués ! Vous vous demandez certainement avec quoi il les a tuer ... et bien c'est très simple avec deux dagues tranchantes qu'il avait hériter de son père et de sa mère .
Des lors tout le monde le laissa vivre dans la communauté ... Mais il ne fut pas réellement accepté pour autant ... Tout le monde avait encore la soit disant traitrise de son père en tête ... Qu'elle mal y avait à ne justement pas vouloir faire de mal ? ... Mais très vite Yasu essaya de ne plus pensé à se genre de chose , pour ne pas reproduire se qui c'était passé dans le passé avec son père . Malheureusement plus facile à dire qu'a faire ! Car Yasu était devenu quelqu'un de très sensible et complexe .
On aurait put croire que Welh serait devenu un assassin de l'ombre comme son père mais au final ... Il semblait bien plus doué dans le domaine de la sorcellerie . Mais il ne laissa pas pour autant ses deux dagues , et continua de s'entrainer à les manier avec précision avec ses long bras étonnamment musclé pour un sorcier , bien sure il n'est pas un expert dans l'art des dagues n'y du corps à corps mais il sera capable de contré avec ses dagues ou même d'attaquer , évidement ses attaques seront plutôt faible comparé à un grand guerrier ! . La seul vois qui suivit des ses deux parents était leurs don pour les potions et autre poison en tout genre . Décidément très fort en alchimie il inventa de nombreux poison ... Pour des usages que vous comprenez certainement ! Se gout de l'invention le poussa un peut plus loin , il modifia son armure qu'il avait trouvé dans la maison " familiale" , de façon à être à son image ! C'est à dire unique ! et étrange ...
Vous devez vous demandez mais comment est-il réellement devenu un sorcier ? ... Et bien c'est très simple , c'est le domaine , " l'art " ou il était le plus fort , le meilleur . En plus de cela il respecte profondément la terre , et la remercie tout les jours de le laissé justement la foulé . Yasu est un sorcier qui maitrise à la perfection du moins pour son niveau l'élément " TERRE " ! ... C'est peut être pour cela qu'il lui voue un culte . Pour le moment Welh se contente de simplement deux sort ... dont-un qui la lui même inventé , crée ... ! ( je ne sais pas si j'ai le droit :X ) Dans un ancien ouvrage que tout le monde semblait avoir oublier Yasu avait trouvé un jour un passage qui parlait d'un sort peut utiliser ... La création d'arbre centenaire , c'est à dire de gros arbre au tronc énorme et très solide ! Ce sort se nommait " Foret " ... A la vu d'un sort si bienfaisant pour la terre il décida de crée lui même un sort qui la protègerai ! C'est alors qu'il créa le sort " Vengeance des racines !" C'est un sort qui complète en quelque sort celui de " Foret " . Une fois avoir crée un arbre centenaire il peut utilisé son second sort pour utilisé les racines de l'arbre qui sortirons de la terre pour attaquer une cible et ainsi protéger se qu'il aime . Mais se n'est pas juste un contrôle de racine ! Il invoque en quelque sorte sur ses racines des minuscules épine quasiment invisible , qui sont extrêmement venimeux ! Qualité première de se venin est tout d'abord d'avoir un effet immédiat mais aussi d'empoisonner la cible pour que ses muscles soit paralyser , mais cette paralyser fait véritablement souffrir , car elle fait contracté le muscle en dépassant les limites , se qui peut causé des blessures pour un temps limité .Voila donc la vie de Yasu ... Le vilain petit canard ...

Evidemment Kaylan ignorait son existence et Cyril et Syaldo aussi.


Dernière édition par Kaylan le Sam 13 Sep 2008 - 17:14, édité 2 fois
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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Sam 13 Sep 2008 - 16:11


T'a technique est bonne aussi, mais si on avancait encore plus de dix métre, la planche se balancera automatiquement, tu ne crois pas ?
Trés joli post ^^ Ton plus long ?
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Kaylan


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Kaylan
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Sam 13 Sep 2008 - 17:15


Je crois que oui. Bon c'est à toi de poster
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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Dim 14 Sep 2008 - 22:37


Syaldo voulait que l'on avance dans la planche, et au fur et a mesure, celle ci se balancerait. Mais il était trop tard, les fantassins les avait rattraper et n'était qu'à un mètre du dernier détenu. Ils n'auraient pas le temps, mais là, un miracle se produisit, et un énorme rocher tomba de l'autre coté de la planche. Le poids des cinquante homme était évidement plus lourd. Mais avec la vitesse par laquelle le rocher était tombé, les hommes furent projeté en l'air. Syaldo sentit ses pieds se dérober sous lui. On se croirait dans une tapette à mouche géante !! Ils firent quelques mètres en vol plané, avant de retomber dans un craquement de l'autre coté de la prison. Les cinquante hommes tombèrent l'un sur l'autre, comme un vieux tas de merde. Syaldo était évidement celui d'en dessous, et il entendit ses vieux os craquer tendit
que son visage s'enfonçait dans un gros derriére. Pendant un instant il crut qu'il allait mourir ! Et cela lui fit redoubler de rage pour qu'il se dégage...Il faut avouer que mourir étouffé par un gros derriére sous le poids de cinquante homme qui étaient tombées l'un sur l'autre après qu'une tapette géante ait cassé, était un peu, comment dire...Indigne. Mais les détenu eurent le bon sens de se lever et de se repartir de façon moins dense. Le malheur était que le prisonnier qui s'était assis au dessus de son visage trouvait ça confortable, et pendant que Syaldo étouffait, lui, il respirait lentement l'air frais ! Il ne restait plus qu'une seule solution...Syaldo mordit de toute ses forces la masse imposante de chair qui se présentait à lui. L'effet fut immédiat, le détenu sauta en l'air en se tenant le cul et lâcha un affreux juron. Puis lorsqu'il se calma, il se retourna vers Syaldo, et grogna en le regardant d'un air dangereux. Mais Syaldo était habitué à ce genre de regards, pas étonnant, lorsque l'on a passé sa vie à foutre le chaos et la colère. Puis ils se releva, et se résuma la situation. Ils avaient pénétrer la prison sans imprévue, et avaient fait sortir les prisonniers de la lucarne, mais ils n'avaient pas prévues l'arrivée de la cavalerie ainsi que celle des fantassins. Ils n'avaient aussi pas prévu la mort de Sirius et l'arrivée d'un autre gars. Syaldo toisa celui qui les avaient catapulté à plus de vingt mètre de haut, mais ne put dire ce qu'il aurait voulu dire. Car une sorte d'explosion sonore retentit au dessus d'eux, une sentinelle sonnait la lourde cloche d'alerte, et la plupart des habitants qui n'étaient pas encore revillé se levèrent, observant de leurs fenêtre une population bruyante qui criait à la chimère, et le son grave de la prison de Gil'ead qui avertissait une évasion. Les dispositifs de sécurité se mirent aussitôt en marche, touts les soldats de la ville furent réveillé, on ordonna de fermer toute les portes de la cité et de renforcer les effectifs des gardes. Bientôt, les rues de la ville grouillait de gardes, cherchant la chimére et les prétendues "évadé" Les archers prirent position au dessus des toits, et des chiens enragé furent lâché librement dans la cité. Une unité spéciale d'intervention fut appelé et les habitants durent obligatoirement retourner à leurs propres domiciles. C'était la panique, tout le monde criait, des bébé hurlaient. Et on avait l'impression de se retrouver au milieu d'un champ de bataille.
Ca ne faisait que commencer...

Syaldo n'avait également pas prévue la cloche, et entendre l'alerte générale le désarçonna quelque peu. Mais lorsqu'il retrouva ses esprits, il ordonna que l'on chevauche les chevaux. Ces derniers ont été soigneusement volé par Sirius de l'écurie du quartier pendant la nuit. On monta les chevaux, tandis que de l'autre coté de la prison, les grilles s'ouvraient, et la cavalerie les rejoignait, suivit d'une cinquantaine de fantassins. La situation se gâtait. Mais Syaldo se rappelait du plan comme du visage de sa mère, il avait passé des mois à l'apprendre, et a chercher un quelconque défaut.
Ce qui faisait de la prison de Gil'ead la plus sécurisé, c'était qu'elle était au milieu de la ville, contrairement aux autre prison. Et les meilleurs dispositifs de sécurité avaient été mis en place. La prison ne s'arrêtait donc pas aux murailles qu'il venaient de franchir d'un ingénieux tour de passa-passe...Non, elle continuait à plusieurs kilomètres, et Syaldo vit nettement des archers se poster aux toits des maisons, et des soldats patrouiller les rues. Pendant qu'il montait son étalon, il rit intérieurement... Que fera la population lorsqu'elle réalisera qu'elle serait sous la menace des pires chaotiques du pays ? L'hypothèse la plus probable est la panique, et en ce moment même, il vit une petite fille qui courrait dans les rues, chassé par une chimère qui l'avait fait sortir de son lit. Syaldo donna un coup de talon, et le cheval s'ébroua, suivit des cinquantes autres. Ce plan était si ingénieux, si bien réfléchi...Il se sentait fier d'avoir put le concevoir, il était un vrai génie, un maître du mal mentale.
A l'angle de la muraille ils pouvaient voir la cavalerie qui les suivait. Comme ils étaient stupide, Syaldo aurait mis tant de temps pour rentrer dans la prison et à la fin, ne pas savoir s'en sortir ? Il prit la direction d'une ruelle sombre, suivit des autres. Le principe était simple, neutraliser la cavalerie, et à lui seul, Syaldo pouvait le faire. Il avait été envoyé des mois plus tôt pour se faire un plan de la ville. Et en allant observer la position de la prison, il avait remarque une ruelle obscure. D'ailleurs, c'est pour ça qu'elle était sombre, un toit la couvrait...Les habitants s'étaient réuni avec les marchands et avaient decider de recouvrir la rue d'un toit de plâtre, ça arrangeait les marchands en bas qui, quand il exposait leurs produit, voyaient le linge que les habitants pendaient à des fil dégouliner leurs saleté sur leurs marché. De plus, ca arrangeait également les habitants qui pouvaient poser leurs vêtements sale sur un sol exposé au soleil...Mais quelle rapport à tout ce charabia avec Syaldo et son plan d'évasion ? Je l'ai dit tout à l'heure, il voulait exterminer la cavalerie...
Ils avancèrent donc dans la rue couverte, la cavalerie les suivait, quelques dizaines de mètre plus loin. Lorsque les évadés arrivèrent au bout de la rue, et donc, là ou toit s'arrêtait, Syaldo sortit un autre tube de fer, fermé d'un coté, ouvert de l'autre. Il y glissa une boule de fer, et visa la poutre qui soutenait le toit. Pendant ce temps là, la cavalerie avançait naïvement. Click. BOUM ! Il déclencha le sortilège avec le détonateur et battit des cil quand l'explosion s'entendit. La balle fila droit vers le milieux de la poutre. Et dans un panache de poussière, elle craqua. Les autres piliers ne pouvaient supporter le poids sans la poutre pour l'alléger, ils craquèrent eux aussi.
Le chef de la cavalerie comprit trop tard. Avec un bruit dégueulasse, les cinquante chevaliers furent littéralement écrasé sous les milliers de kilo de plâtre et de bois. Pendant un instant, on n'y voyait rien à cause de la poussière qui avait été profondément remué par l'onde de choc. Mais quand tout redevint clair, Syaldo s'avança, sans un seul regard en arrière. Ils déambulèrent dans les rues, parfois, des archers les criblaient de flèches, mais Syaldo avait confiance au magicien et à Cyril. Son estimation pour le duo fut confirmé lorsqu'il entendit le bruit de corps qui chutait derriére sans dos. Il ne restait pas beaucoup de temps, et en ce moment, l'unité spéciale était déjà sur la prison, en train de dénicher un quelconque indice. Syaldo s'extasiait, quand il pensait qu'ils avaient, Sirius, Cyril et lui, déclenchés la panique générale dans une ville en moins de dix minutes...Il confirmait ainsi qu'il était fait pour ce boulot, il était né pour foutre le bordel, il était né pour foutre le chaos.
A l'évidence, ils ne pouvaient pas sortir de la ville par la porte, où une quelconque autres issue, ils seraient aussitôt embroché par les centaines d'archers qui les attendaient. Les gardes n'était pas assez bête pour laisser la sortie non surveillé. Mais ils étaient assez bête pour croire qu'ils allaient quitter la ville par la surface. Syaldo bifurqua dans une autre rue, et rentra dans ce qui ressemblait à une salle à part, qui se trouvait entre deux avenue.
C'était une salle dallé, à l'air libre, et mouillé de jour comme de nuit. Au fond, on pouvait distinguer plus de quatre colonnes de deux métre chacune, formé par un empilement de sauts en fer. Un peu sur le coté, on distinguait clairement : Une fontaine...

Gil'ead se trouvait à coté d'un énorme lac, ou plutôt, vu sa taille d'une mer. La ville avait profité de sa position géographique et avait installé un ingénieux système de pompage. Ainsi, la ville était alimenté en eau douce toute l'année, et les habitants pouvait ramener des sauts d'eau à deux pas de chez eux. En pleine journée, la fontaine était bondé. Mais la nuit, le silence l'emportait. Après avoir longuement observé la source, Syaldo sortit de son sac un autre gadget, "Le pousse tout" Il l'accrocha aux murs entourant la fontaine, puis le vissa à l'extrême. Il prit ensuite la manivelle et la tourna. Un marteau recula alors, au fur et a mesure qu'il était tendue. Quand les cordes craquèrent Syaldo arrêta de tourner, et enclencha le bouton... CRACK ! La fontaine fut défoncé, de l'eau inonda la salle avant de se verser dans la rue. Mais Syaldo s'en foutait, ce qui l'importait, c'était le gouffre noir qui s'offrait à lui. Un sourire aux lèvres, il se tourna vers les évadés :

-Messieurs, en rentrant dans ce tunnel, vous rentrerez dans l'histoire Alagaesienne. Car dans les jours qui vont suivre, tout le monde se demandera de quelle façon on est sortits de la ville sans passer par aucune porte... A vous l'honneur...

Puis, ravi, il vit les évadé de Gil'ead pénétrer un à un dans le tunnel obscure...
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Kaylan


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Kaylan
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Lun 15 Sep 2008 - 15:11


Cyril monta sur un cheval, il choisit le plus majestueux que Sirius avait volé pour lui. Tel une majestueuse créature, on pourrait presque dire d'elle qu'elle est parfaitement conformée. Sa robe d'un blanc pur et laiteux laisse entrevoir sa personnalité. Son poil est luisant et l'on pourrait croire avec les rayons de la lune qu'elle est entourée d'une aura blanche. Défaut de vision? Son arrière train est d'une très grande puissance et assure un beau coup de saut. Sa tête est digne d'être comparée à une sculpture tant elle est raffinée. Sa peau fine laisse voir les reliefs des vaisseaux sanguins qui parcourent sous la peau. Son souffle chaud est d'un grand réconfort lorsqu'il fait froid. Une magnifique rapière au milieu de son chanfrein permet sans faire douter un instant qu'il s'agit bien d'une jument de combat . Sa beauté égale celle dune princesse et son panache fait des envieux. L'élégance lui est tout à fait naturelle et l'on peut se demander à juste titre comme une si gracieuse créature a pu venir au monde sur ses terres. Est ce que Sirius a bien volé une écurie de quartier ? On dirait pas. Cyril se promit de l'offrir à son maitre. Yasu qui les avait aidé et dont Cyril était particulièrement devenu son ami monta sur le cheval de Cyril derrière lui car, il n'y avait point d'autre cheval pour lui. Syaldo en tête et lui en queue, ils galopèrent jusqu'à une ruelle sombre surmontait d'un plafond de marbe et la dépassèrent. Là, le jeune intello s'arrêta et attendit la cavalerie et une fois venue, il écroula le toit sur eux. Même Cyril grimaça tant le bruit d'un tas d'os brisé faisait crispé un visage qui avait connu pire. Ils continuèrent ensuite leur avancé jusqu'à arrivé devant une fontaine, Syaldo voulait-il qu'ils prennent un bain avant de retrouver Maitre Kay qui était à la guerre ? On dirait que non, il défonça la fontaine qui versa son eau dans la ruelle. D'ailleurs yasu était encore dehors, Cyril lui avait parlé de Maitre Kaylan et il avait donc décidé de l'honorer avant de le servir. En lettre de feu grand comme un dragon adulte, il écrivit sur le ciel étoilé le nom maudit : K A Y L A N. Dehors en entendit plusieurs cris, est ce que les chimères sont mortes ? Sans doute .. yasu s'empressa de rentrer dans le tunnel à la suite de Cyril. Ils étaient rentrés dans l'histoire de l'Alagaeasa en réussissant là où les autres avaient échoué. Cyril voyait la population dans des tombes, où des squelettes y sortaient pour jouer de la musique, conduisaient des charrettes. Des mamans squelettes emmenaient leur enfant squelette à l'école. Des épouses squelettes se mariaient à des époux squelettes. Des chiens squelettes reniflant des poteaux, et des chevaux galopant avec la mort en selle. Il s'engoufra donc, le tunnel humide, les évadés poussaient parfois des Aaah comme si ils étaient chez le médecin alors qu'ils sont simplement émerveillé par se beau spectacle.

- Et à présent ? Dehors l'aube commence à tomber !

La voix de Cyril résonna dans toute la caverne, comme un son que l'on amplifie avec de la magie.

[ désolé pour le court post, pas trop chose à dire et manque d'information sur le plan aussi .. Bon à toi de poster ! ]
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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Avec un horrible craquement, Yasu fendait les poutre ssu | Mer 17 Sep 2008 - 23:33


Des Stalagmite vous tailladaient l'épaule parfois. Les gorges étaient asses belle, et tandis que les sabots de leurs chevaux raclait le sol irrégulier, ils purent admirer pleinement l'étrange architecture qu'offrait l'érosion de l'eau. Environ dix centimètres d'eaux recouvrait les sabots des chevaux. Des gouttes d'eau venaient s'écraser sur leurs nez, mais parfois, c'était un vrai filet d'eau qui vous glaçait le crane. Chaque bruit était aussitôt répété à l'infini par les multiples parois que l'eau avait creusé. Ils y avait même des trous qui faisaient tituber son cheval. Plus ils s'enfonçaient, moins il y avait de lumiére, et ils durent bientôt avoir besoin de lumiére pour regarder où ils allaient. Syaldo distribua une torche allumé pour chaque groupe de dix, il en tenait lui même une qui ne cessait de se cogner au plafond bas, faisant éclater une gerbe d'étincelle sur ses cheveux. Les détenus étaient trop ému pour parler, ils n'avaient toujours pas réussi à réaliser qu'ils étaient libre. Mais il ne fallait pas s'estimer heureux, car Syaldo savait que l'équipe spéciale d'intervention était déjà sur leurs traces, et qu'on pouvaient s'attendre à les voir sortir n'importe où, n'importe quand...Et comme pour confirmer ses pensée, ils entendirent un énorme "Splash" au loin, suivit d'un grondement de tonnerre qui s'amplifiait de plus en plus, et ça se rapprochait. Syaldo comprit, et soudain, il réalisa à quel point ils n'étaient toujours pas sortit d'affaire...Car on avait lâcher sur eux les digues, dans moins de deux minutes, ils seraient percuté de plein fouet par un mur d'eau de deux mètres de haut, sur deux de larges...

J'était sur le point de dégainer ma dague et de foudroyer touts ceux qui se trouvaient devant moi. Mais je ne pouvais pas, en tant que colonel de l'unité d'intervention en cas d'évasion, médaillé or du tournoi festival devant la reine de Surda, Mirwen, et enfin, commandant en chef de la cinquième division Nominsienne. Ca en faisait beaucoup de titre, vraiment beaucoup pour Treidon, cet homme colérique. Premièrement, on le réveille pour lui annoncer que les cinquante pire meurtrier du pays s'étaient évadé. Après, on lui dit que la cavalerie qui s'est lancé à leur recherche à été écrasé par un plafond de plus de vingt centimètre de large. Et enfin, on lui dit qu'il n'y avait aucun indice, signalant comment les évadé avaient soudainement disparu de la ville. Il y a de quoi vous rendre en colére, et vous faire peur aussi, car toute l'Alagaêsia gardait en trace les horribles attentas qu'avaient perpétré ces maîtres du chaos. Que dirait la population lorsqu'elle découvrira qu'elle n'était nulle part en sécurité ? Ce qui était sur en tout cas, c'est que les évadé s'étaient volatilisé. Treidor se calma, puis s'assit sur un tabouret, réfléchissant à la situation, et tentant desepérement de trouver un plan. Il avait soif, et il demanda qu'on lui donne à boire. Un majordome se précipité à la tache, emportant avec lui un gros verre de biére, le seul qu'il avait trouvé. Il prit ensuite sa tête entre ses mains et dit d'un ton grave à son officier :

-Des indices ? Un quelconque signe m'indiquant où et comment cinquante hommes peuvent se volatiliser dans une ville dont le niveau de securité est au plus haut niveau, en évitant aussi les archers qui se comptent par centaine au dessus des toits, et enfin en...

Son officier l'interrompit, mais c'était une erreur fatale.

-Monsieur, vous permettez qu...

-NON JE NE PERMET PAS !! ON A MIS PLUS DE CINQ ANS A PREPARER DE BONNES DEFENSES POUR CETTE PRISON !! ET TOI ! OUI, TOI !! AVEC T'A FACE DE RAT, TU ME DIS QUOI ? TU ME DIS QUE LES EVADES ONT DISPARU !! EXPLIQUE MOI COMMENT CINQUANTE HOMMES DISPARAISSENT !!

La voie de l'officier tremblait lorsqu'il répondit :

-Je voulais simplement vous dire qu'ils on été apercu par des archers...

Treidon se calma et observa longuement l'officier, avant de demander d'un ton venimeux :

-Et ils sont où ces archers ?

L'officier se tordit les doigt et n'osa pas regarder le colonel dans les yeux, puis il lacha d'une seule traite :

-Tous mort monsieur...On dirait q'un magicien est parmi eux.

Treidor sursauta, et haussa de nouveau le ton :

-Et d'où vient ce magicien ?

-On ne sait pas monsieur, mais le corps des archers s'arrête à deux rues du massacre de la cavalerie, ce qui nous laisse penser qu'ils sont rentré dans une des maison environnante.

-Alors fouillez moi ces maisons...

Soudain, le majordome apparut, le sourire au lèvre, et l'expression de quelqu'un qui sait quelque chose que les autres ne savent pas. Il n'avait plus de verre dans les mains, comme si il avait tout laché lorsqu'il avait découvert la chose. Il s'arrêta un moment, observant Treidor et son officier. Puis il raconta son aventure qui commençait comme d'habitude toujours par un :

-J'avançais tranquillement dans la rue pour aller dans la fontaine, car il n'y avait plus d'eau dans la cave du repaire et...

-On s'en fiche de ca, le but, on veut le but !

-Et...Euh, d'accord...Alors voilà, j'ai vu de l'eau qui avait inondé la rue, je suis rentré dans la pièce et devinez ce que j'ai trouvé !!

-Mais vite bordel !! Quesque t'a trouvé !!

-La fontaine était défoncé, ouvrant sur le chemin qu'on a construit à partir du lac, ils l'ont emprunté, car j'ai vue dans le carrelage une bouse de cheval !!

-Mon dieu ! Mais oui ! Les gorges du lac ! Il veulent sortir par les souterrain !

Treidor remercia le majordome, et se leva, avant de communiquer rapidement à son officier trois mots. Ils furent transmis de part et d'autre de la ville, j'usqu'a parvenir à un garde : Brisez la digue. Ce garde là se dirigea vers le minuscule barrage, et ouvrit les vannes à fond. C'est ainsi que des milliers de métrés carré d'eau se déversèrent dans le tunnel qu'empruntaient les prisonniers... Ils allaient tous crever.

Syaldo réfléchit vite fait à une solution, le grondement se faisait de plus en plus fort. Une solution, vite ! Une solution, solution...Le temps pressait, et aucun mot ne sortait de la bouche des évadé. Seul le bruit des bottes de Syaldo qui trépignait le sol se répercutait sur les paroi. Puis son visage s'éclaira et il ordonna a Yasu :

-Explose le plafond, vite !

Sans réfléchir, il lança un sort sur le plafond épais de plus de cinquante centimètre. Des débris tombèrent sur eux et des stalagmites se détachèrent pour les blessé légèrement. Mais ils n'avaient pas le temps, et rapidement, ils grimpèrent par le trou qui s'offrait à eux. Il était large de plus de trois mètres de diamètre, et ils purent tous s'agripper en même temps... Ils débouchèrent dans ce qui ressemblait à une chambre à coucher. Le couple qui y dormait se réveilla soudainement et poussa des cri à s'en décrocher la machoire. Syaldo dit d'un ton las :

-La ferme...

Boum ! Une balle de plomb perça les deux corps qui se serraient mutuellement. Le silence ce fit. Puis il se tint le visage dans ses mains et réfléchit à la situation. Le tunnel principal qu'ils avaient pris est à présent inondé,et l'unité d'intervention doit les attendre à la sortie pour les pécher, avec un filet. Ils vont se rendre compte au fil du temps qu'on avait pas été emporté par le torrent et qu'ils devaient nous chercher dans chaque maison. C'était pas gagné, pour eux et pour Syaldo et Co.
Le sol trembla de plus en plus, si soudainement qu'il ne comprit pas d'abord pourquoi, Syaldo s'écarta du trou quand son esprit devint plus clair...Le torrent d'eau passa à la vitesse de l'éclair sous leurs pieds, parfois, il y avait un remous et une vague de plusieurs métre de haut s'écrasait dans la pièce, glaçant les os de Syaldo. Ce dernier vit comment l'eau se divisa en deux lorsqu'elle atteignit le pied du lit, et son visage s'éclaira.

-Mais oui !! Cette fontaine là est principale, mais il doit bien y avoir d'autre fontaine dans la ville ! Cyril, passe moi la carte de Gil'ead.

Il lui arracha des mains et essaya de trouver la fontaine la plus proche. Elle était à quatre rue de là, à plus de trois cent mètres en résumé. Mais elle était une dérivé de la principale et donc, devait être elle aussi inondé. Il devait chercher une qui soit indépendante. Son doigt parcouru la carte et se posa sur un point à plus de six cent métre de là...Impossible, à priori, mais si ils sautaient de toit en toit, à la façon du tueur en série qui devait être parmi les évadé, ils auraient une certaine chance. Syaldo cria au groupe qui se bousculait dans le peu d'espace qu'il avait à sa disposition :

-Qui est le tueur en série qui a sauté de toits en toits à l'aide d'une planche ?


Un doigt se leva, fièrement, puis une voie grave résonné :

-C'est moi ! Vous désirez de mes services ?

-Ouais...On va aller de toits en toit à cette fontaine là.


Il lui designa un point dans la carte, il siffla puis déclara :

-Woow, trop loin, mais c'est pas impossible, que voulez vous de moi ?

Syaldo inspira, et demanda d'une voie peu enjoué, il n'avait pas l'habitude de demander de l'aide, c'était plutôt le contraire...

-Tu va me dire tout ce que tu sais, comment tu fait pour atterrirs pile poil sur une poutre, et pas sur la chaume, comment tu fais aussi pour ne pas glisser, transporter la planche et calculer la longueur ou la trajectoire.

L'évadé lui expliqua tout en détail, n'omettant rien, il lui expliqua comment reconnaitre une poutre, même quand elle est caché sous un mètre de chaume. Où encore, à savoir dans quel toit poser sa planche, les toit en pente sont préférable car il y a toujours plus de chance que la planche butte contre quelque chose, et il lui dit même comment marcher rapidement sans briser la passerelle. Syaldo acquiesça, puis fit rentrer tout cela dans sa mémoire de génie. Il organisa ensuite un plan et encouragea les hommes. Deux minutes plus tard, ils étaient sur le toit, Yasu créa une planche, de huit métre de long, deux de large, dix centimétre d'épaisseur. De quoi supporter un éléphant ! Ils avancèrent tous ensemble dans la planche, à plus de vingt métre du sol. Yasu lança une pluie de flèche aux hommes qui se trouvaient déjà sur le toits, chacune cueillit un archer au niveau du front, et dans le silence, vingt cinq archers tombèrent dans les rue, mort. Parfois même, une dizaine d'épéiste émergeaient d'on ne sait où. Avec un horrible craquement, Yasu fendait les poutres en dessous de leurs pieds. Ils firent ainsi, sur des dizaines de toits, levant la planche, la rabaissant, et ainsi de suite. Chaque archers qu'ils croisaient trouvait la mort. Les poutres s'abaissaient sous leurs poids, mais elle tenaient bon. Et comme des ninja elfe (ce sont les plus agile ^^) Ils sautèrent de toits en toits, tuant ici et là un quelconque obstacle, déjouant la gravitation, déjouant le poids... Ils arrivèrent finalement à la fontaine, plusieurs centaines de mètres plus loin. Ils y descendirent, et avec le même gadget, Syaldo détruit la mosaïque qui décorait la fontaine, révélant de nouveau un tunnel obscure. Cette fois, pas d'émerveillement, les évadé foncèrent tête basse dans le tunnel, se rapprochant de plus en plus de la sortie. Ils avaient eu un bref imprévue, mais ils retrouvaient leurs esprits, et déjà , de la lumière apparaissait de plus en plus à l'autre bout des gorges. La liberté se rapprochait, de plus en plus, et certainement...Dans moins de dix minutes il serait sortit de Gil'ead, L'alagaêsia tombera sous le terrorisme et le chaos, pas comme l'époque de Galbatorix, mais c'était à peu prés ca. C'était à peu prés ca...

Treidor participa lui même à la pèche, ils avaient lâcher la digue, et bientôt, le torrent d'eau allait emporter les corps des évadé trop audacieux. Tout est bien qui finit bien, n'est ce pas ? Il sera acclamé par le grand public, tout le monde l'aimera. Il sera bientot un héros. Mais plus les minutes passaient, plus son sourire disparaissait. Des flot d'eau se déversaient sans cesse sur la rue, l'inondant sous plus de dix centimétre d'eaux. Il y avait des Stalagmites qui écorchaient parfois le filet, des rochers également. Mais aucune trace de corps, de sang ou de prisonniers. Ils n'étaient tout simplement pas là. Avaient-il quitter les lieux à temps ? Ou étaient-il sortit de l'autre coté depuis bien longtemps. Lorsqu'il vit clairement que les évadé n'apparaissaient pas, Treidor poussa un grand cri de rage et de désespoir, puis il lanca sa dague qui alla se planter dans le mur de bois, à quelques dizaines de métres de là. Il mit ensuite un genoux à terre, abbatue. Il fallait faire quelque chose ! Fouiller toutes les maison ? Lancer une cavalerie à la poursuite des évadé hors de la ville ? Que faire ? Que faire, bon sang !!
Et, instinctivement, il sut ce qu'il allait faire, pourquoi la solution ne l'avait pas effleuré plus tot ? Il envoya des régiments de dix chevalier dans toutes les fontaines de la cité, ils fouillèrent chaque quartier, chaque rue, la moindre des fontaines était coché dans une liste fait à la hâte. Ils procédèrent comme ca durant un quart d'heure, rien ne passa sous leur regard de lynx, la ville avait et entièrement remué, de fond en comble. Et quand ils trouvèrent enfin le nouveau trou, ils poussèrent une exclamation de joie, avant de s'engouffrer, suivant de prêt les évadé. Les gardes reprenaient la situation en main, maintenant qu'ils savait qu'elle autre fontaine avait été pénétré. Et à partir de maintenant, tout ce jouerais sur la chance, où l'intelligence...

[Double post car j'ai depasser la limite de caractére]
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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Mer 17 Sep 2008 - 23:34



Syaldo comptait chaque pa, en se basant sur le kilométrage et sur un bref calcul rédigé à la va vite. Ils ne leurs restait plus qu'une centaine de mètres, et ils arriveraient au trou qui avait été creusé par Syaldo lui même, à l'extérieur de Gil'ead, il y a de cela deux jours. Mais un claquement s'entendit derriére eux, s'amplifiant de plus en plus, à la manière du torrent, mais en beaucoup plus lentement. L'unité spéciale d'intervention les avaient rejoint, et il fallait faire vite à présent. Syaldo murmura quelque chose, et les ancien détenu piquèrent un Sprint vers la lumière qui s'engouffrait pleinement par le trou béat. Ils y arrivèrent deux minutes plus tard, essoufflé. Pendant ce temps, la cavalerie s'était approché, elle était à trois minutes d'eux, les temps qu'il fallait pour qu'ils montent tous à l'air libre. Et, un par un, il s'aggripérent au bord du trou, se hissant à la surface avec un sourire de sphinx. Poussé par la force de la liberté, ils montèrent plus vite que prévue, en deux minutes, ils étaient tous à la surface, où, presque, car Syaldo et Yazu étaient encore en bas. Le magicien dit tout bas :

-Tu pense à ce que je pense ?

Syaldo acquisca.

-Tu as des pensée aussi cruelle que les mienne mon cher Yazu.

Et le magicien se tourna vers la digue dont on apercevait une partie vu d'ici. Puis, regroupant ses dernières forces, Yazu lança un sort puissant, c'était une flèche de pierre, dont le diamètre ne cessait de s'agrandir au fur et à mesure qu'on s'éloignait de la pointe. Elle fila dans l'obscurité, et avec un bruit mât, se ficha dans le barrage. Le lézardant de fissure et de faille. L'eau jaillit de quelques endroit, avant d'en venir à bout et d'exploser le mur qui la retenait. Le rugissement qui s'en suivit était à recouvrir les bruits de sabots de la cavalerie. La montagne d'eau se déversa dans le tunnel, emportant tout ce qui se trouvait sur son passage, Stalagmite où encore pierre précieuse, le murs furent rasé, tout ce qui sortait du mur était arraché, sous la puissance destructrice de la vague. Un dernier hennissement, quelques prières, et la cavalerie n'était plus. Soufflé, emporté par une force incommensurable.

Syaldo s'étira une fois à la surface, puis il bailla à s'en décrocher la mâchoire. Ils étaient libre, enfin, après plusieurs heures de panique et d'anxiété, de mort et de sang, ils voyaient enfin les champs s'étendre à perte de vue. Yasu à coté de lui, Cyril un petit peu plus loin. Ils avaient réussi, les cinquante hommes étaient sain et sauf. Quelques imprévues avaient compromis leur plan, mais ca s'arrêtait là. Ils avaient fait ce que personne n'avait jusque là fait. Ils avaient prit au dépourvu plusieurs centaines de soldats, en avait tuer une centaine, avaient fait paniquer la population d'une cité entière, et enfin, ils avaient bifurquait touts les imprévues en improvisant, s'en sortant de peu, parfois. Syaldo prit sereinement la direction du bateau qui les attendaient. Il paya bien le commandant, avant d'embarquer, et de voir Gil'ead défiler au loin. Un petit ricanement tout bas fut la dernière chose qu'il adressa à la ville...


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Kaylan


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Kaylan
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Mar 30 Sep 2008 - 23:56


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Pierrot
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Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Mer 1 Oct 2008 - 12:13


[absolument pas ... ce sont des PNJ ... et il y a un règlement clair là dessus.]
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Kaylan


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Kaylan
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Mer 1 Oct 2008 - 12:23


[ Tu te rappelle plus ? Tu m'as toi même donner l'autorisation ! Je me rappelle encore de ton message où tu dis : que tant qu'on y est tu accepte mais cela sera valable pour une seule quête ]
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Pierrot

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Pierrot
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Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Mer 1 Oct 2008 - 12:38


ça veut dire qu'il sont là pour un but précis, et si la quête c'est de raser un village, c'est niet. et u'après une "mission", qu'ils ne peuvent réaliser que si c'est toi qui les mène et qui fait la majeure partie du boulot, ils ne pourront plus être utilisés.
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Kaylan


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Kaylan
Message Sujet: Re: Prison Break [Terminé] | Mer 1 Oct 2008 - 13:21


[ Ne t'inquiète pas. Ils ne vont pas raser une ville ce n'est pas leur spécialité. Certains vont aller voler des maisons, tuer quelques nobles, faire connaitre Kaylan ]
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