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Prise éclair [topic ineffectif]

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Loki


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Prise éclair [topic ineffectif] Vide

Loki
Message Sujet: Prise éclair [topic ineffectif] | Dim 16 Sep 2007 - 15:59


Un léger vent soufflait sur la plaine ondulante, donnant un semblant de vie aux herbes hautes, qui jonché le sol. De vue aérienne, on pourrait dire, que des animaux vivant se mouvaient en son sein. Des corbeaux volaient par-ci, par là, suivant de très près le détachement de cavalier, attendant que la bataille ne commence, pour pouvoir ainsi profitait pleinement de leurs statuts de charognards.
Montés sur de puissant chevaux, leurs armures flambantes rutilaient aux soleils, leur donnés une aura de conquérants, ce qu’ils étaient, sans aucun doutes. C’étaient tus d’excellent guerrier, leur armement n’était pas factice, ils savaient s’en servir, et ne tarderaient certainement plus à le faire. Ils se rapprochaient du but, ils le sentaient, et leur vision ne les trompait, Cithri n’était plus qu’à une petite dizaine de kilomètre. Les herbes avaient surement couvert le bruit, et la poussière de leur déplacement, mais dans un peu moins de deux kilomètres, ils seraient visibles.
Un jeune homme revêtu d’une armure d’un blanc éclatant leva le bras, et tel un seul homme, tout le monde s’arrêta. Yorwan, sourit dans sa barbe d’un noir de jais. Il aimait la guerre, elle était faite pour lui, et le fait de rester cloitré à Dras Leonas après leur victoire sur le reste de l’Alagaësia l’avait profondément ennuyé. C’était un homme d’action, il trouvait cela indigne de restait assis, à ripailler, alors que tant d’appels aux armes était discernables. Son katana au fourreau noir comme la nuit semblait luire d’une joie mauvaise. Le sang goûterait bientôt cette lame, et il le savait.
Yorwan se remémora rapidement comment tout cela avait commencé. Il traîné, fulminant de ne rien pouvoir faire dans les rues de Dras Leonas, lorsqu’une légère lueur attira son regard, ainsi que son attention. Non en fait, cette lueur c’était emparé de toute son attention. Etant magicien, il avait repéré le tour, et l’avait contré, mais c’était tout de même approché de l’endroit, au fond d’une ruelle sombre plus exactement, où un petit vieillard se tenait, un jeu de tarot à la main. Sa peau était marqué par la vieillesse et la fatigue, mais pourtant l’éclat qui illuminé ses yeux, et la fluidité de ses geste lorsqu’il mélangea les cartes de tarot, et qu’il avait tiré une carte, avait démenti cette espèce de faiblesse. Il regarda la carte qu’un seul instant, puis avec un sourire enfantin, il dit d’une voix enjoué :


-La guerre approche.


Tout avait changé à partir de cet instant, aujourd’hui il était colonel de guerre, sous les ordres d’un certain Kael, dit l’éclair d’argent. Un général qui c’était illustré lors de la guerre précédente, qui avait mêlé les elfes à la guerre. Aujourd’hui, ils combattraient ensemble pour l’annexion du Surda. Quand au petit vieux, qui se prénommait Nard, il le suivait en tant que conseiller personnel, près de son cheval de trait.
Sortant peu à peu de son rêve, il appela son second, et lui dit de transmettre ce message à ses hommes, qui étaient composé de neuf escadrons de Dragon, ce qui faisait à quatre cent pas escadron un nombre de trois milles six cent, et de trois escadrons de lanciers lourds, soit mille cinq cent. Chaque escadron avait un chef, qui eux même avait un chef, qui eux même étaient dirigé par son second et lui Yorwan. Yorwan souffla à l’homme :


- Attendez-moi ici, avec mon conseiller, nous allons faire une petite manœuvre stratégique, pour nous permettre une entrée dans la ville bien plus simple.


Le second acquiesça, et attendit une suite, que Yorwan lui donna :

-Si dans une demi-heure nous ne somme pas là, tu prendras le commandement Juugo, et tu prendras cette putain de ville à ma place d’accord ?


Le colonel en second Juugo approuva par un hochement de tête, avant de faire partir la nouvelle aux troupes.
A peine le second avait il tourné le dos, que Nard s’avança vers Yorwan, et lui souffla, un léger sourire aux lèvres :


-J’ai tiré les cartes pour toi Yorwan, il y a de cela quelques instants. Elles nous prédisent un succès imminent mon cher.

Yorwan éclata de rire, ce qui ressemblait plus à un aboiement qu’à autre chose, et lui dit :

-Pour ça, Nard, j’avas pas besoin que tu me le précises !


Le viellard rit de concert avec Yorwan, avant de se calmer, et de lui dire :


-Bon finit la rigolade mon cher Yorwan, il faut nous téléporter juste devant l’entrée, mais caché, pour en pas effrayé ces chers Cithriens.

Il se tut un instant avant de rajouter :

-Ah et aussi, j’aimerais que tu laisse quelques corps de résistants en bon état, c’est pour une vieille connaissance à moi, une certaine Jest, elle viendra ici sous peu.

Yorwan acquiesça tranquillement, avant de se téléporter, suivit de très près par nard, qui souriait toujours, comme à son habitude.
Ils réapparurent à quelques centaines de mètres de Cithri, d’un point qu’ils avaient visualisé quelques instants plus tôt. Sortant l’objet que l’état major lui avait confié, il dégrafa l’insigne de l’annexion, pour mettre celui pour l’indépendance du Surda.
Uns fois cela fait, ils partirent à pied, vers la cité. Du premier coup d’œil, Yorwan vit que la cité était encore ouverte, et qu’il n’avait point repéré l’avant-garde qui se dirigeait vers eux à l’heure actuelle. Deux gardes étaient postés à l’entrée de la ville, deux gardes qui semblaient assez entraîné. Les deux hommes d’aspect anodin avancèrent vers les deux gardes, qui les regardaient avec circonception. Mettant son insigne en avant, Yorwan avança vers le garde de gauche, et lui dit :


-Bonjour, nous somme deux émissaires provenant d’une avant-garde pour l’indépendance du Surda. Nos chefs nous ont prévenus qu’une attaque provenant du Nord de la ville aurait lieu dans très peu de temps. Nous aimerions prendre place dans la ville, pour assurer sa défense. Nos hommes sont à quelques kilomètres de la ville.

Tandis que Yorwan s’évertuait, Nard plaça deux sorts très discrètement sur les chaînes de métal du pont levis. Si dans le pire des cas ils refusaient de les entendre, et de les tués, Nard ferait exploser les chaînes de métal.
Les gardes se concertèrent du regard, avant de dire :


-Nous ne pouvons pas prendre de décision tous seuls, il faut concerter le doyen de Cithri pour pouvoir vous faire entrer.

Yorwan sourit de toutes ses dents, et lui dit qu’il n’y avait pas de problème. Il les regarda s’éloignait tout les deux, avant de dire à Nard :


-Je crois que j’ai bien fait de les ensorceler, ils convaincront le doyen sans grand problème.

Nard ne répondit pas, mais son sourire ne quitta pas son visage. Quelques dizaines de minutes plus tard, les deux gardes revinrent, le regard un peu flou, et lui dirent d’un ton monocorde :


-Le doyen vous laisse les portes ouvertes jusqu'à la nuit, après quoi, il les fermera. Dépêchez vous.

Yorwan sourit, laissant son emprise sur els deux gardes, il se téléporta rapidement avec son vieillard d’ami au campement. Les hommes étaient tous sur le qui-vive, et prêt à partir, car cela faisait bientôt une demi-heure qu’ils attendaient. Yorwan éleva la voix lorsque tout le monde parlait en même temps. Il donna un ordre bref et simple :

-A l’assaut !

Tout le monde le regarda, lui, le colonel Yorwan, celui que tout le monde admirait dans cet escadron. Il était grand et bien bâtît, mais à cet instant, il était une sorte de Dieu de la guerre et de la mort, mort qu’ils allaient tous donné s’il y avait des résistants dans cette putain de ville !
Comme un seul homme, ils s’élancèrent rapidement vers la ville, avalant les dix kilomètres comme s’ils volaient. Les sentinelles virent l’avant-garde arrivait devant elles, avec un petit sentiment de fierté devant tant de puissance. Fierté qui mourut dans l’œuf, quand les carreaux d’arbalétriers fondirent dans leurs corps, ils moururent tous sans comprendre ce qui leurs arrivaient. Tout de suite, un message fut envoyé aux gardiens des portes, toutes les portes furent fermé, les ponts-levis s’enclenchèrent, toutes, sauf le pont-levis Est.
Le pont-levis ou était les deux soldats envoûtaient. Lorsqu’on s’en rendit compte, on essaya de fermer le portail quand même, mes chaîne explosèrent à peine le manche actionnant la remontait du pont-levis fut touché.
Il n’y avait plus un seul soldat dans la cité, tous étaient en Aberon, lorsque les guerriers de l’annexion pénétrèrent dans la ville, ce fut la débandade générale, on se cloîtrait chez soi, attendant une mort qui allait certainement venir les chercher.
Pourtant, les soldats n’avait tué personne, mis à part les sentinelles, et les quelques miliciens qui chercher se rebeller. Ce nombres de rebelles augmentait de minutes en minutes, ayant déjà tué quelques soldats.
Nard n’avait pas daigné utiliser sa magie, cela ne servait à rien. Il dit simplement à Yorwan, au milieu du Tumulte :


-Le doyen est dans cette maison, il se terre, tue le publiquement.

Yorwan acquiesça, et défonça la porte d’un coup de pied bien placé, après être descendu de son cheval. Un vieillard se tenait au fond de la pièce, un vieillard qui n’allait pas tardait à mourir. Il lui agrippa le bras, et se téléporta sur le toit le plus proche.
Lorsque tous les regards se portèrent sur eux, Yorwan sortit son katana de son fourreau, et trancha la tête du vieillard dans un même mouvement. Sa tête glissa sur le toit, avant de tomber au sol, la peur se lisant sur le visage mortifié de l’homme. Un geyser de sang coula, lorsqu’il jeta le cadavre au sol, prêt de la tête. Yorwan ne sourit pas, et bientôt un vieillard fut à ses côté sur le toit. Un vieillard au sourire à toutes épreuves…
Le jeune homme brun, cria alors :


-Vous n’avez plus aucune raison de vous battre, il n’y a plus aucun soldats dans cette citée, donc vous êtes perdus. Si vous persistez dans votre folie, nous devrons vous tuer tous un par un, et nous commencerons par les enfants.


Les hommes reculèrent sous l’effroi, et tous tombèrent à genoux. La pression était trop grande pour leurs épaules. Ils étaient des paysans, non des guerriers, tous les guerriers était parti en Aberon. Les paysans lâchèrent leurs armes improviser, et ce rendirent aux soldats.
Yorwan enchaîna :


-Rentrez dans vos foyers à présent, et sachez que ce territoire n’appartiendra bientôt plus au Surda, inutile de vous rebellez, en ce moment même, la capitale est en train de tomber.

Utilisez la torture psychologique, était un moyen effroyable contre les êtres humains, et Yorwan le vit, lorsque tout signe d’espoir s’éteignit sur le visage des citadins. Ils n’avaient plus aucun espoir d’être sauvé.
Yorwan sourit intérieurement, comme il venait de tuait dans l’œuf, tout idée de rébellion, avec un pur mensonge.
Tous les citadins rentrèrent chez eux, démoralisé, épuisé, et traumatisés, mais bel et bien vivants. On dénombra les pertes chez eux, qui étaient d’une dizaine de soldat, et du même nombre de chevaux. Des pertes plus que minime.
D’un geste négligeant de la main, Yorwan envoya le signal pour dire que la prise de la ville c’était parfaitement bien dérouler. Beaucoup de choses étaient encore à faire, comme aménager des espaces pour les guerriers, et tout cela, mais l’épreuve la plus importantes était passé, c’est à dire la prise de la ville. Un léger sourire aux lèvres, Nard et Yorwan descendirent du toit, et partirent en direction du centre ville, pour participer à la suite des événements.
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