Goulot est...

Sujet: Goulot est... | Mar 12 Déc 2006 - 21:02

Gërwoz arrivait avec ses hommes, il avait eu vent d'un combat sur l'arrière garde. Son lieutenant allait tenir. Sa phalange approchait du camp ennemi.
La ligne de bataille était dominée par la camp impérial. Leur position était bien défendue. Ses hommes étaient placés entre la large rivière et la haute colline du nord. Aucune armée ne pourrait passer la rivière en peu de temps, ainsi il en avait couvert les rives avec un petit contingent, histoire de cueillir une éventuelle attaque de cavalerie, seul corps capable de pouvoir passer le bras rapidement...
Quatre milles hommes formaient la phalange, un véritable mur de piques enclosés entre deux immenses obstacles. La retraite serait facile. Deux corps étaient en réserve. L'un d'eux prêt à secourir l'arrière. Des cavaliers se tenaient à la sortie du goulot, évitant toute prise à revers, bien que prise difficile vu la situation...

*Parfait, tenez vous prêts à avancer...*

Sujet: Re: Goulot est... | Mer 13 Déc 2006 - 12:16

Askelaad atterit devant tout ce beau monde.

"Gerwoz au rapport!" dis je en sauttant du dragon.

"Nos troupes se battent ici" dit il en faisant aparaitre une carte"Le mieu serait de les rejoindres, de la ou nous somme"
-"Nous pourrons les prendre a revers"
-"Oui"
"Bon alors on va laisser un corp de cavalerie plus 2000 phalanges ici, pour eviter de se faire prendre a revers, le camp des impériaux est bien garder aussi ne nous faisons pas voir, ça va etre dur mais... si nous faison vite...Previent les officiers, ne pas faire de bruits, en ce qi est de nous voir je devrai pouvoir nous aranger cela..."

Je ferma les yeux, elargissant ma concience, de nombreux etres vivant était au allentours, il y avait aussi des magiciens enemis, ils ne m'avait pas repérés car l'attaque mentale n'était pas puissante...
Je repéra les sentinelle ainsi que les garde et toute personne pouvant nous apercevoir et prononçat un mots, un voile noir recouvrit les yeux des sentinnelle, c'était la vision que l'ont pouvait avoir de l'exterieur, les entinelles elles voyait le paysage exactement comme avant, sauf que rien ne bougeait, ce qui pouvait etre assimiler au manque de vent...

"On peut y aller"

La troupe se mit en marche, silencieuses, mortelle, fatale...