Artémise
La Nature Indomptable
Sexe : Féminin
Race : Elfe
Âge : Elle ne s’en souvient plus elle-même, mais l’on peut estimer qu’elle vient de quitter l’adolescence elfique. Pour elle, cette donnée n’a plus guère d’importance de toute manière
Faction : Aucune, a l’exception de la sienne
Fonction/profession : Chasseresse
Particularités : Artémise est capable de se métamorphoser totalement en un animal, un puissant Cougar capable de poursuivre ses cibles avec bien plus d’acharnement et de vitesse que ne le ferait la demoiselle elle-même. Par un miracle que seul la magie peut expliquer, elle conserve son équipement et ses quelques vêtements qui reviennent automatiquement lorsqu’elle reprend forme humaine.
Possessions : Outre ses vêtements et le nombre croissant de ses trophées de chasse, Artémise possède des pièges qu’elle fabrique elle-même afin de sécuriser son domaine et un javelot enchanté dont la fonction principale est de revenir dans la main de sa propriétaire une fois que cette dernière le rappelle d’un ordre précis dans l’ancien langage.
But, projets : Artémise n’a jamais était à l’aise avec ses semblables et, dès l’enfance, c’est abandonnée à la nature sauvage. Pour elle, qu’importe les factions du monde, toute son responsable de la corruption ambiante des terres à cause d’une utilisation trop intensive de la magie dans des buts personnels et égoïste issue de la civilisation. Son objectif est donc de devenir l’Alpha de la Forêt, écrasant toute opposition pour lever une armée de créature sauvage, plante et chasseurs, pour renverser les civilisations et faire revenir le monde au premier âge, celui du règne de la nature.
Descriptions
Physique : S’il y a une chose qui ne fait aucun doute lorsque l’on observe Artémise, c’est que cette dernière ne fait résolument pas partie de la civilisation. Non pas qu’elle soit laide, bien au contraire, du haut de son mètre soixante-quinze, sa silhouette est celle d’une femme particulièrement attirante, mais il s’agit d’une beauté sauvage, animale, que l’on ne peut dompter et donc s’approprier. Tout dans l’apparence de la chasseresse transpire l’agressivité, la méfiance et le goût de la chasse. La Nature n’est après tout pas réellement faire d’un véritable rapport de force, mais d’un comportement amenant à ce rapport. Si nombre d’espèces plus faible peuvent prospérer parmi les prédateurs, c’est parce qu’elles imposent leurs comportement de dominant, donnant l’impression d’une épreuve insurmontable a ses prédateurs pourtant plus fort et plus rapide qu’eux. La loi du plus fort existe bien, mais elle est tempérée par l’instinct et cela, la jeune femme l’a bien compris depuis longtemps. De toute manière, une autre preuve bien plus visuelle prouve que l’Elfe est bien plus sauvage que civilisée : son teint de peau, là où ses semblables affichent une teinte blanche pâle, parfois presque cadavérique, Artémise a résolument la peau mate à cause d’une exposition prolongée au soleil et d’une plongée profonde dans sa nature sauvage ayant fait d’elle ce qu’elle est aujourd’hui.
Son visage ovale lui-même n’est guère particulièrement sociale : outre l’expression relativement fermée qu’Artémise arbore en permanence, la jeune elfe a coiffée sa chevelure en une immense queue de cheval qui noue entre elle de longue mèche elle-même coiffée en dreadlocks. Cette longue crinière d’ébène descend jusqu’au creux de ses reins et vole au rythme des mouvements agile de la sauvageonne, lui donnant une allure encore plus menaçante, mais également fascinante par certains égards. Pour rendre plus menaçant son regard bleuté, elle n’a pas hésité à se servir de produit naturel pour peindre une large bande verte autour de ses yeux, qui lui permet également de se camoufler dans la végétation et ainsi échapper à l’attention des stupides Premiers Hommes qui osent s’aventurer sur son domaine. Elle a en revanche tatoué le symbole sur son front, son signe de chasseresse lui servant de marque indiquant aux intrus de la Forêt qu’ils viennent désormais sur son territoire et devrons respecter ses règles. Les animaux sauvages le reconnaissent, mais rare sont les civilisés à comprendre leur erreur avant qu’il ne soit trop tard et qu’un piège ou un Javelot n’ai mis fin à leurs visite impromptu… Il est intéressant de remarquer que la demoiselle porte également un nombre impressionnant de collier à son cou, une habitude gardée de son enfance et imposé par sa mère qui souhaitait forcer son cou à être le plus long possible, soi-disant pour le prestige familial…
Un observateur averti ne s’y trompera pourtant pas : Artémise n’a pas la musculature d’une créature sauvage, très loin de là. Si elle est tout de même plus développée que celle du commun des mortels elfique, elle reste une femme séduisante qui s’habille en sauvage, de ce fait, elle a besoin d’artifice pour, dans sa forme humaine, conserver ses instincts de prédateurs et continuer à s’imposer malgré tout, et c’est à ce besoin avant tout que répond son armure. La pudeur ? Aucune importance, si elle pouvait se le permettre, elle se baladerait nue et elle le fait en réalité assez souvent, pour rejoindre le lit d’un fleuve afin de se baigner ou simplement par pur plaisir, lorsqu’elle ne chasse pas. L’armure elle-même ne se compose que des pièces protégeant les bras, les deux épaulières étant maintenue en place par des lanières de cuirs : si le dos est protégé par une plaque, l’avant ne dissimule que l’extrémité des seins, laissant le nombril parfaitement visible, soit assez pour détourner un cou vicieux visant le cœur, mais forçant Artémise à esquiver ceux qui la viserait vers son ventre. Si la main droite reste nue, afin d’assurer une meilleure prise sur son javelot, la gauche en revanche est recouverte de griffe sur l’extrémité des doigts, capable d’ouvrir la cage thoracique d’un homme pour arracher son cœur encore battant de son corps sous ses yeux horrifier, lui faisant prendre conscience de sa mort.
Pour la taille, Artémise n’a adoptée qu’un vulgaire pagne, ou est accroché divers crânes de ses trophées les plus prisées, des créatures dangereuse qu’elle a vaincu lors de combat disputée et éprouvant lui valant aujourd’hui sa place et sa réputation au sein de la forêt. Cependant, ses jambes sont ironiquement bien mieux protégée que son torse, puisque seul l’intérieur des cuisses sont laissée a nue. Pour le reste, la chose la plus remarquable reste les solerets, dotée de griffe acérée à leurs extrémités, permettant de pouvoir aussi griffer avec quelques coups de pied bien sentie ainsi que pouvoir s’accrocher sur des arbres ou des parois en pierre avec bien plus de facilité que ne le ferait un être humain classique. Une chose est certaine : si vous croisez un jour sa silhouette au détour d’une forêt, il sera inutile de courir, c’est elle qui décidera de votre sort, à moins que vous ne soyez assez fort pour vaincre cette beauté naturelle indomptable…
Mentale : Sauvage et indomptable, voilà les deux mots qui caractérise le plus Artémise et pour rien au monde la jeune femme, plus Cougar qu’Elfique désormais, ne renierait ses deux termes. Vivant dans la nature, coupée de la civilisation ou presque depuis des années, ayant préféré s’abandonner à sa nature profonde plutôt que rechercher a la dissimuler derrière la recherche d’une perfection futile et non avenue en ce monde, elle a appris à vivre auprès de la faune et la flore sauvage, adoptant ainsi leur mode de vie et ne comprend plus vraiment les intérêts des civilisés, qu’elle méprise profondément. La jeune femme vie d’ailleurs assez souvent au jour le jour, sans réellement se soucier du lendemain, même si la situation actuelle et l’agression des forces obscures la force à devoir accélérer ses actions pour atteindre son objectif, devenir l’Alpha, la créature la plus puissante de la forêt. Il ne faut toutefois pas croire que ce mode de vie soit de l’insouciance, car lorsque l’on vit dans la forêt, au milieu de la nature sauvage, chaque jour est un véritable combat pour la survie en milieu hostile, il faut s’imposer sur les conditions de vies, les prédateurs et désormais les menaces les plus insidieuses, comme les Stryges.
Artémise applique dans l’immense majorité des problèmes se posant à elle une stratégie simple : la meilleure défense reste l’attaque : les prédateurs vivent dans une logique de rapport de force, mais sont incapable de l’estimer de manière rationnelle. De cette façon, en montrant que l’on se défend, en feulant et montrant les crocs, en exposant les squelettes des prédateurs vaincus, l’on impose l’idée qu’il faudra prendre beaucoup de risque pour vous vaincre, voire qu’il s’agit d’une mission impossible. La sauvageonne a très bien assimilée cet état d’esprit et se sert donc de cela pour adopter un comportement agressif et ainsi éviter les combats contre les créatures les plus couardes. Elles ne chassent que celle qui souhaite la défier, ou le gibier dont la seule fonction est d’assurer la survie des prédateurs comme elle et lorsqu’elle se lance dans une chasse, la jeune femme est sans aucune pitié : qu’elle décide de faire appel à son javelot, se transformer en Cougar (ou plutôt, comme elle le défini elle-même, retrouver sa véritable nature), elle n’abandonnera jamais une proie avant de l’avoir éliminé, sauf si cette dernière sort trop loin de son domaine ou de ses sens olfactifs, bien que ses derniers soient particulièrement développé lorsqu’elle prend la forme de Cougar. Après tout, elle est un prédateur comme les autres !
De ce fait, Artémise n’a pas vraiment de comportement en société : cela fait si longtemps qu’elle n’a pas mis les pieds dans une ville qu’il est impossible de savoir comment elle s’y comporterait, le plus probable restant qu’elle se montre agressive et constamment sur la défensive dans un univers qu’elle exècre et dont elle méprise le mode de vie. De la même façon, les rares personnes intelligentes qu’elle rencontre sont traitées dans le même rapport de force que les créatures sauvages selon les besoins de la chasseresse. Toutefois, cette dernière semble percevoir les espèces de manière différentes, ainsi, si les Ombres et les Stryges sont naturellement perçus comme des menaces, les Premiers Hommes reçoivent le même traitement de la part de la chasseresse qui les traites sans pitiés car ils sont des prédateurs tentant de s’imposer au-dessus d’elle, un comportement qu’elle ne supporte pas. Pour les autres, tout dépend de leurs comportements propres. La peur est à proscrire, car l’odeur que vous produirez alors lui donnera probablement faim et la placera automatiquement dans une position dominante. En revanche, étant axées sur ses besoins, il lui arrive comme n’importe qui d’avoir besoin du contact physique, la saison des amours existent aussi dans la nature. Parfois, elle capture donc homme ou femme à son goût pour pouvoir s’accoupler avec eux, qu’importe l’orientation sexuelle de l’individu, elle ne laisse que rarement le choix. Ceci dit, race sont ceux ayant refusée ses avances, même si la belle est dominante et se moque du plaisir de ses partenaires, qu’elle congédie sans ménagement l’acte terminé.
D’une certaine façon, Artémise reste dans une phase de transition. Elle n’a pas encore réussie à s’imposer a la forêt comme une composante de son univers, mais compte bel et bien le faire à sa façon, car de son point de vue, cette dernière ne mène pas une croisade assez agressive contre les intrus, elle ne se défend pas assez contre le mal tentant de la détruire. Ce n’est que par une politique expansionniste, en amenant de nouveaux arbres à prendre racine sur les ruines des civilisations que la bataille contre le mal qui la ronge pourront être gagné. Artémise ne fera pas de différence entre civilisé et créature du malin, toutes sont responsable de la souffrance des créatures sauvages et pour cela, tous devrons payer leurs dettes dans le sang, car un chasseur n’abandonne jamais sa proie tant que cette dernière n’est pas capable de prendre le dessus. Devenir l’Alpha, accroître son influence sur les prédateurs pour en faire une armée, accompagnée de plante carnivore et d’esprit des bois déchaînés apte à effrayer les vivants et leurs faire comprendre que l’ère des cités des désormais révolues, voilà son plus grand rêve… Reste à savoir s’il prendra réalité…
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