La nuit tombait. Les clients étaient plus nombreux. Vordwën pensa donc que le moment était venu pour son spectacle. Il grimpa d'un pas lourd sur l'estrade instalé par magie.

-Mesdames, Mesieurs, medemoiselles, bonsoir. J'ai l'honneur de vous dire que, le propriétaire de cette établisement m'a demander de vous faire un petit spectacle !

Quelques clients aplaudirent poliment mais, l'attention n'était pas capté.

-Je vais donc, commencer par une petite chansonnette elfique: La valé de l'eau:

Il sortit son violon en bois de chêne et, joua quelques notes douce. Puis il commenca une mélodie entrainante.

"Dans l'âtre, le feu est rouge,
Sous le toit, il y a un lit;
Mais nos pieds ne sont pas encore las,
Nous pouvons encore rencontrer derrière le tournant
Un arbre soudain ou une pierre levée
Que nul autre n'a vus que nous seuls.
Arbre, fleurs, feuilles, herbe,
Qu'ils passent! Qu'ils passent!
Colline et eau sous le ciel,
Passons-les! Passons-les!
Encore derrière le tournant peut attendre
Une nouvelle route ou une porte secrète,
Et bien que nous les passions aujourd'hui,
Demain nous pouvons revenir ici
Et prendre les sentiers cachés qui courent
Vers la lune ou vers le soleil.
Pomme, épine, noix et prunelle,
Laissons-les! Laissons-les!
Sable et pierre, étang et combe,
Adieu! Adieu!
La maison est derrière, le monde devant,
Et il y a bien des chemins, à parcourir
A travers les ombres jusqu'à l'orée de la nuit,
Jusqu'à ce que les étoiles soient toutes allumées.
Alors, monde derrière et maison devant.
Nous reviendrons vers la maison et le lit.
Brume et crépuscule, nuage et ombre,
S'évanouiront! S'évanouiront!
Feu et lampe, et viande et pain,
Et puis au lit! Et puis au lit"

Les clients aplaudirent, heureux.

Illégaume applaudit avec entrain...

"_Ouais... Bravo bravo..."
*ça mérite un autre verre tiens..."

Il vida son second verre cul sec, et le remplis à nouveau.

Je descendai les escaliers quand j'entendis la fin de la chanson elfique. Je m'assis discrètement dans l'esclaier pour l'écouter jusqu'au bout.
Une fois le dernier mot cahnté, je souris et entrait dans la salle en applaudissant moi aussi.
Je jettais un regard à la ronde et vis Illegaume assit à une table, encore entrain de boire, pour changer. j'allai le voir.

"Bonsoir..."Fis-je seulement en lui enlevant le verre des mains.
"C'est pas bien de boire, ça ne te feras même pas retrouver la mémoire alors arrête avant qu'on te prenne vraiment pour un alcoolique."
je m'assis à coté de lui sans rien dire de plus, me sentant encore trop faible pour rester plus longtemps debout.

Voyant Illecamie vasciller jusqu'a une table, ou ce trouvait un homme, buvant a la suite pluisieurs verres, je m'y dirigea a mona tour, et m'assis a leur table.
"- Ca va mieu ? " fis-je en regardant la blaissure, et heureuse de voir qu'elle était en état de marcher...

Je lachais un soupir en voyant Abyssa.
"Abyssa ! J'ai eu peur qu'il te soit arrivé quelque chose à toi aussi... Moi, ça va, rien de grave, ne t'inquiète pas... C'étiat pas grand chose, juste une flêche pour m'endormir.
Et toi, ça va ? Tu as enfin retrouvé Ilian ! Je suis désolée que tu ais subit de telles retrouvailles..."

"_Euh bonsoir"
dit Illégaume impréssioné par tant de force de caractère...

_je bois pas, je... enfin... juste un verre... quoi? la bouteille... arf... ba non.?!! non, elle était pas pleine, enfin à peine... mais je suis pas alcoolique... les alcoolique ils sont jamais malade. Moi je suis toujours malade... enfin depuis que j'ai perdu la mémoire... hé hé... ca ce peut que ce soit pour ça que je l'ai perdue ma mémoire?? "

_ Autrement? votre blessure va mieux? Vraiment je m'en veux de ce qui s'est passé... C'est dommage, mais quelqu'un à tué mon prisonnier... (celui qu'a capturé ton dragon...) On ne pourra pas l'interroger... tant pis... j'ai juste un maigre indice. Bah...je finirai bien par y arriver."

Vordwën termina sa note la continuant doucement...

Il reprit son souffle, rengea son violon et, s'assit sur un tabouret.

-"Voilà, vous êtes dans le bain !


Maintenant, je vais vous conter une histoire qui s'est déroulé il y à de ça plusieurs année.
Je pense que vous connaisez tous, du moins je l'éspére, l'histoire des Dragonniers. Mais saviez vous que les Dragonniers on bien fallit ne pas exister, par la fautes d'un homme du nom de Galbatorix ? je pense que vous le savez aussi...
Mais connaisez vous la vraie histoire ? j'en doute...La vraie histoire que mon Grand père me racontait à mon jeune age la voici:

"Quand la confréri des dragonniers existait. elle protegeait nos terres avec l'aide des dragons. C'était pendant l'age d'or, comme on l'appellait : les elfes étaient nos alliés comme les nains. La richesse et la joie de vivre iradiaient nos cités et emplissaient le coeur de ses habitants de joie.
Hélas celà ne puvait point durer. A cette époque, nul énemi ne pouvait détruire la confrérie. Or, il advint qu'un jour, un garçons du nom de Galbatorixe, oui, oui, vous conaisez tous ce nom. A dix ans on l'évalua ainsi que le voulait la coutume, et on décela en lui un potentiel exeptionel. Les dragoniers l'accéptèrent commel 'un des leurs. galbatorixe subit l'entrainement et montra des dons remarquable. Doué d'un esprit hos du commun et d'un corps d'une force éxtraordinaire, il quitta rapidement les rangs d'apprenti pour ceux de Maîtres. Certains jugèrent que cette promotion brutale n'était pas préférable ; las, le pouvoir avait érodé la modéstie des Dragoniers, ils étaient devenu trop arrogants pour prendre en compte la mise en garde des sages...
Dès que l'entrainement de Galbatorix fut terminé, il partit en voyage en compagnié de deux amis, à dos de dragon. Ils se hasardèrent profondement dans les pays Urgals, car présomptueux, ils pensaient, ils pensaient que leurs pouvoirs suffiraient...Ils furent pris paar une embuscades. les deux compagnons de Galbatorix et leurs dragons furent masacrés. Cepandant, malgré de grave blessures, Galbatorix réussit à mettre les monstres en déroute. Le malheur voulut q'une fléche ennemie vînt se ficher dans le coeur de sa Dragonne. Incapable de la guérir, Galbatorix la vit mourir dans ses bras. Ainsi furent plantées les graines de sa folie...
Seul, privé d'une grande partie de sa force, rendu presque fou de douleur par la perte de sa monture, Galbatorix erra comme une ame en peine dans un territoire désolé, appelant la mort. mais la mort ne voulut point de lui. Il eut beau se jeter sans craintes au-devant des monstres les plus redoutables, la mort ne voulut de lui.
Galbatorix voulut alors un autre dragon, poussé par cette idée, il enttreprit un voyage immense, à pied, à travers la crête, qu'il avait survolé en un clin d'oeil à dos de dragon. Il lui fallut plusieur mois pour la traverser, lorsqu'il l'eut franchit, il était plus mort que vif.
devant le conseil des dragonniers, Galbatorix demanda une autre monture. La véhémence de sa requête révéla sa demance. Le conseil découvrit son vrait visage et, regeta sa requête. Berné par son délier, Galbatorix parvitn à se persuader que sa dragonne était morte par la faute de ses ex compagnons.
Il trouva un dragonnier compréhensif et, piquant sa sympatie, il inocula au malheur le poison de sa folie. Il recourut au secrets de la magie noir qu'un ombre lui avait enseigner au cours de ses érences. A force il sut enflammer son esprit contre les anciens. enssemble, ils attirèrent tratreusement l'un d'eux dans un piège pour le tuer. Le crime accompli, Galbatorix se retourna contre son compliceet l'abattit. Les dragoniers le surprirent à ce moment les mains pleine de sang. Il s'enfuit.
Puis il rencontra un jeune dragonier du nom de Morzan. Il le persuda de laisser une porte ouverte dans la citadelle, Qu'on appelle Uru'Baen.
Puis Galbatorix y vola un oeuf..."

-La suite je pense que vous la conaisez tous !

Il respira...essoufler.

*C'est bizarre, il m'a tutoyer l'autre fois et plus maintenant...*poensais-je.

"Effectivement, le prisonnier est mort... je connais l'assassin, d'ailleurs, Fis-je en serrant des dents avec une forte envie d'arracher la tête de Squall. "Mais il lui a dit qu'il avait pour ordre de me tuer et de te capturer. Sauf qu'aparemmene,t il n'a pas eu assez de bon sens pour ne aps le tuer car il aurait soi disant eu des tortures mentales....
Comme si je pouvais pas lui les enlever, moi, les tortures mentales ! Non mais quel imbécile !
Euh... pardon...
enfin, bref, euh, voila. C'est tout ce que je sais."

J'aplaudis a nouveau, et regarda Illecamie, qui venait de me faire part de quelque chose... Ilian... J'avais fait comme si de rien n'étais ! comme si je l'avais vu il n'y a pas longtemps ! Je me retourna de sur mon siege, et me leva vers mon dragon qui m regardait d'un air triste, la où je l'avais laissé... Je voulu le soulever de terre, le blotire dans mes bras, comme a mon habitude, mais du me rendre a l'evidence que cela n'était plus possible... Il avait telement grandis, telement changé... J'en eu une ptit humidité a l'oeil, mais me resaisi lorsqu'il me dit :
*- tu es triste ?
- non non... juste... telement heureuse de te revoir...
- hoo oui, moi aussi je suis très heureux...
- Tu a beaucoup evoluer depuis la dernière fois, l'exercice t'a endurcis un peu je trouve. mais tu es magnifique tout simplement.
- merci... *
Je me baissa et, ne pouvant le porter, l'enlassa dans mes bars, le laissant au sol...

Les clients murmurèrent à la fin, D'autre aplaudirent...

-Merci, Merci...dit-il en s'inclinant légèrement.

Il repris son violon
-Maintenant une autre chanson Elfique



-Merci, Merci...je vous rappele que j'accépte tout pour-boire.

[HRPG]--Désolé pour le double post, mais je veux que ce soir plus claire--[/HRPG]

-Et enfin pour terminer cette soiré joyeusement ! Une chanson naine, alors, ivrognes et chanteurs, accompagnez moi !

"Voici l’histoire d’un nain capable de courir vite et de voyager loin
Dans son épopée formidable, nous le suivrons un bière à la main

Nous sommes les nains sous la montagne…On creuse le jour, on boit la nuit
Et on n’aime pas ceux de la surface !

Un jour, mon ancêtre Gurdil fut envoyé creuser dans la forêt
Y’avait soit-disant du Mithril : si y’en avait, on sait pas où il se trouvait !

Il fit sa cabane en bordure d’un bois touffu, peubplé d’elfes sylvains
Des gens qui bouffent de la verdure, évidemment, çà ne fait pas de bon voisins !

Nous sommes les nains sous la montagne…On creuse le jour, on boit la nuit
Et on n’aime pas ceux de la surface !

‘‘Arrière, tu n’es pas bienvenu !’’ lui dirent les elfes, en lui jetant des pierres
Voyant que tout était foutu, il prit la fuite en suivant la rivière

Il fut recueilli par les fées, Ondines bleues bullant sur le rivage
De l’eau de pluie lui fut donnée : il recracha (POUAH !) tout dans leur visage

Nous sommes les nains sous la montagne…On creuse le jour, on boit la nuit
Et on n’aime pas ceux de la surface !

Courant à travers les fougères, il arriva près d’un village humain
Bien sûr qu’on y vendait d’la bière…mais aucun homme ne voulait servir un nain

Gurdil massacra le patron d’une taverne, a coup de tabouret
Puis il rentra à la maison, et de la mine il ne repartit jamais

Nous sommes les nains sous la montagne…On creuse le jour, on boit la nuit
Et on n’aime pas ceux de la surface !

Amis, restons bien à l’abri. Mangeons, buvons dans nos maisons de pierres
La-haut c’est peuplé d’abrutis… Allez patron, re-sert donc une bière !"

Les clients joyeux tapaient du pied et chantaient avec force.

A la fin de la chanson, Vordwën passa dans l'auberge un chapeau dans la main, il demandait un petit pour boire.
des gouttes de sueurs coulait sur son frond, il était fatigué.

Mumak arriva a son tour a la taverne

" Bonsoir tout le monde "

Mumak n'eu pas le temps de realiser qu'il sentit le parfum d'une jeune femme qu'il connaissait bien

" Comment ca va ma belle ? "

Il ne peut resister a son baiser, il la prit dans ses bras

" je te presente Eldeen mon apprentie "

* oups ! bah bravo ! la pauvre, j'arrive sans demander mon reste, et elle me vois te foncer dessus... *
"- enchantée Eldeen, je m'appelle Abyssa ."

" Ravie de vous rencontrer, madame"

Eldeen ne put s'empecher de sourire en pensant au bonheur que devait eprouver ces deux etres l'un avec l'autre.

[i]Mumak sourit a abyssa puis l'embrassa et lui prit la main [/]

" allons nous asseoir "

Je souris en l'entendant m'appeller "madame" alors que je n'eu que 15 ans...

"- moi de même " engageai-je avec un language plutot soutenu...
Et nous nous dirigions vers une table, alors que je lanca un petit raeagrd vers Illegaume et Illecamie, ainsi qu'a Ilian...

Mumak s'asseya a une chaise puis admira abyssa

" Vous prenez quoi les filles ? "

* tu es de plus en plus belle Abyssa *

Je rosis un peu, et lui souris :
*- et toi tu es de plus en plus charmeur et plaisant mon amour *

"- je pencherais bien pour une biere naine ! " ayant prisla facheuse tendance d'en descendre plusieurs d'afilées, j'evita de dire un peu de rhum, ce qui revillerais encore un peu plus mon mal de tête assez insuportable...

" Je prendrais bien de l'hydromel !"

*Meme si je garde un assez mauvais souvenir de la dernière fois que j'en ai bu*