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>>Les cendres d'une enfance<<

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Shankaï


Nombre de messages : 715
Âge : 31



>>Les cendres d'une enfance<< Vide

Shankaï
Message Sujet: >>Les cendres d'une enfance<< | Jeu 24 Mai 2007 - 22:23


Shankaï ne savais plus trop que faire, elel avais chevauché depuis Teirm, après deux combats consécutifs chez Takis, elle s'étais sentie épuisée, et elle ne suportais pas de vivre dans une grande maison décorrée richement avec des murs en marbres et des fenêtres facilement pénétrables, comme elle l'avis elle même prouvée en s'échapant la nuit en douce sans se faire remarqué.
Le souvenir de la lame sur la gorge d'un homme la fit frisonner, elle avait envisager de le tuer, jamais dans son passé n'avais-elle recourut à une telle nésécité.
Pendant plusieurs disaines de jours, elle avait chevuché, sans destination, reprenant peu à peu ses vieilles hamitudes de nomade, s'étant forgée une nouvelle arme légèrement particulière en chemin, avec un manche enroulé de fines coulés d'argent qui s'adaptés exactement aux rainures qu'elle avait gravé dans le ois, avec une doublure en cuir et une lame de chaque côté du manche. C'étais une arme magnifique, dont elle étais très fière, un de ces anciens maîtres du concile des Ombres en avait une semblable, cependant moins fine et moins mortelle, mais sur la même base, elle s'étais beaucoup entrainée à la manier en chemain, et avec elle se sentais immbatable. Elle étais parfaite, et après chaque utilisation elle la pollisait et l'entretenais avec soin.
Elle avais désidé, àprès plus de 62 ans d'absance, de evenir à l'endroit où pour elle, tout avait commencé, et avait finit ...
Malgré le temps écoulé, elle aurais su retrouvé l'endroit les yeux bandés, il ne lui fallut que quelques jours pour traverser le morceau de forêt perdu du Du Weldenvarden pour arriver, mais elle prit plus de temps qu'il ne lui en aurai fallu car elle avais peur de ce qu'elle trouverais.

Il ne lui restait qu'une nuit avent d'arriver, toutes ses affaires étaient déjà sur le dos du cheval, mais elle avait désider d'y aller à pied. L'ofeur de son passé lui revenais déjà, elle se voyais enfant à courrir seulle entre les arbres, à traquer des animaux, à soigner les blésées, une enfance si solitaire, avec une mère malade et un père trop souvent absant.
Elle se souvenais que sa mère lui racontais l'histoire de leur rencontre ... mais ça c'est un autre chapitre.
akanaï sil'Shankaï avancait prudament entre les troncs couchés couverts de mousse, la végétation s'était totalement emparée de sa dereure et seule héritence pendant ces 60 dèrnières annés, on distinguait encore quelques poutres brûlées qui jonchaient le sol à certaines endrtois, les fondations étaient visibles, mais les trois grands arbres qui avaient servis à acceuillir leur maison étianet maintenant de vrais arbres sauvages se fondant dans le paysanges, bien que quelques tracesde vie civilisée restait.
elle explora ce qui restait de la cuisine, de la salle à manger, mais les cabres furent le plus dificiles à retrouver, tellements de souvenirs s'entrechoquaient dans sa t^te, des souvenirs depuis longtemps perdus ...
Elle se voyais au chevet de sa mère aveugle, qui avait de graves problèmes de santé, lui prommetant de la guérir un jour, promesse qu'elle ne tiendras jamais, elle se voyais dans les bras de son père, jouant et riant pour le plus grand bonheur de Lykalaê, alongée sur le lit, rêvant d'une fille qu'elle avait eu avec quelqu'un dont elle n'avait jamais vu le visage.
Sa chambre de petite elfe solitaire fut encore plus mémorable, et elle avait désormais les larmes uax yeux, un petit miroir brisé se reposait sur le sol. escaladant une branche, elle se baisa et le rammasa, l'essuya de sa poussière et contempla son reflet. Puis le bureau, dirrectement poussé du tronc le l'arbre, légèrement déformé par les diverses branches et noeuds qui en sortaient, attira son attnetion, des plumes, des feuilles, tout s'entassait dans un désordre familier, des dessins, art pour leuquel elle était douée, s'entasaient pelle-melle les uns sur les autres, l'encre effacée laisait encore percevoir quelques traits d'une enfant aus rêves plus grands que sa destinée.
Finalement, elle se dirigea vers le lit miniature, et s'alongea, il avait gardé tout son confort et sa chaleur, sa présence. elle était à nouveau l'enfant Akanaï Sil'Shankaï, fille de Lykalaë et de Shakäm, magitien et aveugle. Elle étais à nouveau elle même.

Le temps s'écoula vite, et la nuit tombait quant elle se désida à resortir de la maison ...
Tout était silencieux.
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Shankaï


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Shankaï
Message Sujet: Re: >>Les cendres d'une enfance<< | Dim 27 Mai 2007 - 18:15


[Excusez le double-post]

Le vent se levais, soulevant ses cheveux, et fesant chanter les feuilles qui formaient le tapis sombre de la forêt. Quelquechose s'acrocha à son pied, en se baissant, elle reconnut un de ses dessins, il représentais [hide=sa mère.]>>Les cendres d'une enfance<< Shanka004jp6[/hide]

L'endroit lui étais pénible, mais il étais son seul héritage de ses parents, et elle avais désidée pendant sa petite sièste de la rénover, de lui rendre toute sa splendeur. Elle se tourna vers la maison, grande et magnifique, lorsqu'on arrivais à la diserner pendant les branchages.


Une semaine plus tard : Shankaï étais a genoux, sur un petit coussin pourpre, ses longs cheveux tirés en arrière, son travail étais presque terminé, elle avais entièrement refaite la maison à partir des branches de l'arbre dans lequelle elle avait été chantée. Elle se trouvais dans une pièce parfaitement ciculaire, les murs en branches qui avaient poussées de manière étrange, tissant des rideaux qui laissaient entrer toute la lumière du jour, la pièce donnais dirèctement sur l'extérieur, et n'avais aucun contact avec le recte de la maison, Enfant, Shankaï ne connaisait pas son expérience, elle l'avait découverte quelques jours plus tôt, marchant dans la foret à la recherche d'un ancien point d'eau qui se trouvais en fait de l'autre chôté. C'était une salle d'armes, les murs avaient un jour été entièrement décorées de divers sabre, arcs, épées, et toute autres armes immaginables, c'étis là ou son père s'entrainais, à la magie aussi. Elle avait été entièrement brûlée lors de l'ataque ds ombres qui lui avait coûté son enfance. Mais elle avait repousée, et shankaï avait retrouvée de nombreuses des armes de son père, les biens les plus précieux de la maison sûrement.
Malgré tout l'éffort qu'elle avait forni en reconstruisant la maison, elle ne lui semblais plus comme chez elle. Pas encore. Un jour peut être, mais une fois qu'elle n'aurais plus rien à faire ici, elle partirais.
Elle avais relaché son cheval dans la forêt, mais il revenais régulièrement, s'abreuver au point d'eau, et c'étais un cheval domestique, et avec le cadeu que Shankaï lui avait fait d'une robe très particulière, entièrement blache, avec une que et une craignière noire, il n'étais pas prèt de pouvoir l'oublier.
C'est sur cette désision qu'elle se leva, qu'elle retourna dans la maison principale, à présent grandiose et commme neuve, et qu'elle se coucha dans la chambre qui avait bercée son enfance.

Au matin, elle se leva, et se prépara, comme les sept jours précédents, mais enfilant une robe légère de voyage qui avait échapée aux flames, appartenant à sa mère, plutôt ue les blles robes couleurs de la forêt qu'elle s'étais permis de revêtir.
Elle se prépara des provisions légères, emportant son arme à deux lammes qu'elle avais désormais batisée Fehlsï et un des sabres de son père, qui avait été renforcé magicalement, laisant sa propre arme ici.
Elle sifla le chval qui lui aussi s'étais approprié un nom pendant ce séjour, Jolabb, qui arriva au petit trot.
Elle sangla une selle sur son dos sur laquelle elle atachà son unique sac, contenant tous ceu dont elle aurais besoin pour le voyage. Elle se retourna une dernière fois vers les cendres de son enfance. N'étant pas sûre de quant elle reviendrais, elle soncentra toute son énergie, prète à faire usge du peu de magie qu'elle maitrisait, pour ralentir la progresion de la forêt autour de la demeure, c'étais le printemps, chaque branche étais en fleur, à son retour, elle espérais decouvrir un spectacle aussi ravisant.
Elle lanca le sort, ce qui l'épuisa aussitôt, tenant debout au prix d'un grand effort, elle monta sur le dos de Jolabb et partis.
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