Sam Son’rel, esprit vagabond née dans un village de guerrier. enfin, un village était un bien grand mot, c’était simplement le rassemblement de deux famille drow echapper d’une ville souteraine. Les parents de Sam n’avais pas évoquer ce lieu plus que ça, ils vivais maintenant ici et ne devais en aucun cas ce faire remarquer. Et ce lieu, il n’y bougea pas. Il y a appris les rudiments de la castagne en tout genre. Aussi bien fine lame que bourrin à la masse-d’arme, il à tout appris, mais ce qui intéressent le jeune drow, n’est pas la dualité mais plutôt l’assassinat. Les combats à la loyal ne sont bon que pour des personnes qui sont d’un niveau quasi identique, néanmoins le jeune Sam compris très vite qu’il était assez rapide et habile pour attaquer par surprise toute les personnes qu’il désiré attaquer, tout du moins, bien plus que la moyenne de son «village». Lors d’un regroupement annuel des guildes organiser dans une grotte non loin du campement des drows, Sam son’rel démontra sa supériorité face à des adversaires pourtant talentueux lors de combat rapide organniser par les guildes. Pratiquement toutes les guildes présentent voulais s’arracher le jeune mais non moins vainqueur, haut la mains des combats, Sam Son’rel. Il a ainsi donc eu la possibilité de choisir entre de nombreuses guildes, une guilde de dragonnier, mais cela ne l’intéresser pas, faire de l’équitation aérienne avec des bestioles ailées, très peu pour lui, surtout qu’il devais ce faire discret sur ses origines. Une guilde de voleur attirât son attention, mais il fut bien vite désintéressé grâce à une discutions avec Orèl-sanktü (lire orél-sanktou), un haut-elf bien particulier car il était l’un des mentors d’un regroupement d’assassin. Sa voix calme et ses paroles réfléchie hypnotisât le jeune drow et le projeta dans des rêves de puissance et de sang. Il aurait adoré partir sur le champs avec cet inconnu à l’aura et au charisme sur-dimensionner, malheureusement, il ne pouvais quitter son nid avant d’avoir atteint sa majorité elfique soit, une année de patience pour Sam.

Orèl-sanktü lui promis de revenir le chercher à ce moment là mais ce fut une bien longue année pour Sam Son’rel, avec pourtant de belle rencontre. L’une des plus belle fut une jeune hybride mi haut-elfe, mi drow, un drôle de phénomène pensa Sam. Une pensée qu’il remplaça rapidement par une certaine attirance, voir même un brin d’amour. Elle ne resta pas bien longtemps dans son village, à peine deux ou trois mois, mais ce fut suffisant pour faire battre pour la première fois, le coeur du futur assassin glaciale que serais Sam Son’rel. Il fit également la rencontre de Torak tim’balak, un drow presque aussi talentueux que lui, j’ai bien dis presque. Ils s’entraînaient ensemble et ce connaissaient presque par coeur, oui, j’ai encore dis presque car Sam ne lui révéla jamais ses sombres desseins d’assassin et le pourquoi de son départ imminent. Mais tout au long de cette année, les chefs de famille tentairent par tout les moyens de dissuader le départ de Sam. Effectivement Le départ fut mal vue par les deux familles qui ne voulais pas risquer d'être débusquer de leurs cachette. La vie en extérieur était un don du ciel qu'ils ne voulaient pas abandonner.

Le soir de son départ, il retrouva Orèl-Sanktü à l’entrée de son village, il dis un bref adieu à ses parents qu’il considérait peu. ils étaient de simple artisans, des pauvres gens selon lui, il les voyait simplement comme des garants le temps de son évolution de l’enfant à l’adulte qu’il est aujourd’hui. Loin de là l’image parentale qu’à un enfant de ses créateurs. Avant de partir, les deux compères discutèrent longuement néanmoins, ce n’était pas innocent de la part de Orèl de tarder pour le départ du périple car, il avait un défi a donner a Sam, et pas des moindres. Il devra supprimer toute les personnes qui on un semblant de lien avec lui. C’est a dire toutes les personnes du village Torak Tim’balak compris, le seul et meilleur ami qu’il ai eu. Pour lui ce fut un défi difficile mais essentiel a son passage a rang d’assassin disciple. Effectivement, il devait ce débarrasser de toute personne qui pourrais être une jour une entrave à son ‘‘métier’’. C’est donc avec tout son talent inné et appris lors des entraînements avec Torak qu’il mit fin aux jours de ce dernier ainsi que ceux du reste des drows dans la plus grande discrétion. Il était déjà digne d’un assassin de haut rang, mais il avais néanmoins a apprendre des choses de Orèl-Sanktü, ne serais-ce que la prestance et l’aura de l’assassin qui venait de tout un art de vie qu’Orèl lui enseignerait au fil des années qu’il passeront ensemble. C’est donc presque sans sourcillé qu’il quitta son "village", avec ses premiers sangs sur les mains et pas des moindres. Malgré tout, une larme coula le long de sa joue. c’était ça première épreuve et il l’avais effectuer au prix d’un lourd sacrifice...

«Adieu Torak, mon ami, mon frère, tu me manquera.»


3. Les assassins : 1er partie.

Le village à son dos, Orèl-Sanktü à ses cotés, Sam pris la route de son apprentissage pour devenir un assassin hors paire. Leurs première destination fut Aberon. Selon Orèl, Un assassin efficace est un assassin intelligent et quel lieu est plus approprier qu’Aberon pour ce cultiver et aiguiser l’intellect ? Sam apprenais chaque jour avec lui, il trouver en Orèl-Sanktü un maître mais également un père spirituel, il se sentait vraiment grandir et ceux bien plus que toute les années qu’il avais passer au village. Lors d'une soirée de campement dans une foret, une discutions s'engagea entre l'élève et le maître.

"- Dis moi Sam, quel est ton point de vue sur l’évolution du monde ?

-Je suis perdu maître. Je regarder le monde qui avancer à un rythme effréné. Le progrès en est à ce stade, en évolution permanente et éparpillé entre toutes les mains sans réel contrôle. Tout est permis pour peu que cela se justifie par une avancer de l'humanité mais je pense bien entendu que par certains actes, l'humanité elle même reculer vers la sauvagerie alors, dans c’est conditions, où est l'humanité ici ? La masse des êtres qui avance sans but précis, ou qui ce caractérise comme une forme de vie douée d'une intelligence exceptionnel me semble totalement ironique car ils foncent droit dans un mur ou dans un ravin . En cette ère pour l'avenir de chaque être, où sont les philosophes qui tenterons d'inculquer le bon sens à cette fameuse masse d'être vivant qui cour vers le suicide collectif ?

-Nous sommes justement là pour recadrer les choses, tu a vue cette fourmilière ?!

-C'est justement ce mouvement de fourmilière qui m'inquiète maître, j'espère qu'à terme, nous saurons au moins préserver notre identité. Imaginez un monde régi par tout ses dragons qui traîne ici et là et chevauché par d'insoucieux personnage, comme si ils pensaient pouvoir les contrôler alors qu'en un coup de mâchoire, c’est même personnes ne serais finalement que des vulgaire amuse-bouches pour cette immenses bestioles !

-Cela n'arrivera jamais. Je comprend ton raisonnement mon apprentie, mais ça ne ce produira pas !

-Et pourquoi donc maître ?!

-Parce que dans un monde où les dragons seraient omniprésent et surtout dirigeant, il n'y aurais plus de place pour toute cette fameuse masse de gens, regarde-les ! Ils sont de simple monture ! Que deviendrais les cavaliers ainsi que les petits gens si les dragons prenaient le pouvoir ? Notre société est pyramidale, il y a une place pour chacun et la base ce sont eux, les dragons. C'est autour de c'est gros monstres volant que l'humanité que nous connaissons aujourd'hui c'est construite. Il en va de la croissance de ta fameuse évolution de l'espèce vivante dites intelligente. Les dragons sont les fondations de notre façon de vivre. Les voyages rapide, la transmission de courrier et tout un engrenage qui prendrais bien trop de temps à être expliquer. J'en viens à notre rôles dans cette fourmilière, nous agissons dans l'ombre afin de supprimer dans la construction de la société les pièces instable qui risque de mettre à défaut la bonne avancer du peuple.

-En espérant que l'avenir vous donne raison maître."

Ils discutèrent encore une bonne heure avant que Sam Son'rel ne prenne congé afin d'aller dans sa tente. Il n'était pas convaincu et ce sentait mélancolique, habité par un profond doute envers les pensées utopique et idéaliste de son maître. Néanmoins il ne lui en fit pas part, si tel était sa façon de penser, pourquoi ne pas s'en accommoder pour le moment ? De toute façon, peu importe l'évolution du monde, des personnes qui y vivent, Sam Son’rel resterait égale à lui même et à ses pensées sans être influencé par les idées de quiconque vivant dans un monde illusoire et cautionnant les directions parfois folle que prenais le monde. Orèl-Sanktü sera son maître le temps qu'il faut pour apprendre tout ce qu'il avait à savoir de l'art de vivre des assassins. La suite est encore incertaine malgrès un avenir pour Orèl-Sanktü qui ce trace doucement dans l'esprit du jeune Sam Son'rel.


Après des jours et des jours de marche, Aberon ce profila à l'horizon. Le terme de ce premier voyage semblait être sur le point d'aboutir.

4. Les assassins : 2éme partie .

Les deux compères franchissent l’entrée d’Aberon, le jeune disciple très observateur de son nouvel environnement et le maître lui, contrairement a Sam, avance sans prendre compte de ce qui l’entourait. Ce n’était pas de l’inconscience de la part du Maître assassin mais de l’assurance, il savait que si problème il devait y avoir, solution il trouverait et ceux à une vitesse fulgurante. Leurs première escale fut la forge local afin de faire des outils d’assassin de Sam son’rel de vrai armes digne d’un assassin de premier ordre. Orèl-Sanktü en profita pour laisser son épée au forgeron afin qu’il la remettent en état, une bataille entre lui et quelques brigands qu’il a croisé en allant retrouver Sam avait émoussée quelque peu la somptueuse lame que le maître possédé depuis de longue années déjà.

-Maître ? questionna Sam Son’rel, que ce passerait-il si je devais exécuter une personne maintenant ? Je n’ai pas d’arme à ma disposition ?

-Si Sam, tu en a deux magnifique au bout de tes poignées. Il ne faut pas compté uniquement sur les outils que sont les armes, il va t’arrivé de te retrouver désarmé devant un ennemi et ce n’est pas pour cela que tu est plus faible, au contraire. la vigilance de ton adversaire est amoindrit et tes mains sont les armes que tu connais le mieux car tu les possèdent depuis ta naissance et même avant . Ainsi, grâce au leste que fais preuve ton adversaire, soit foudroyant, attaque là où sa fait mal au pire et là où ça tue au mieux. Fais de ta faiblesse une force, c’est ça qui fais un assassin de première ordre, pouvoir réagir rapidement dans une situation imprévue.

-Bien maître, je prend note. réponds Sam avec une moue de réflexion.

Arrivé à leurs second lieu d’escale, la taverne au nom évocateur «au sadique déchaîné», Orèl demande a Sam de rester dehors pendant qu’il réservé une chambre pour deux auprès du tavernier. Ceci fais, les deux homme partirent vers la bibliothèque royal d’Aberon, un bâtiments majestueux tout de pierre blanche sculpté avec une gigantesque porte en bois de chêne et fer forgé, grandiose. Une fois a l’intérieur, l’extérieur semblait minimaliste face a la grandeur et la beauté de l’endroit, plus qu’une bibliothèque, c’été un vrai musée au connaissance qui s’étendait devant les yeux subjugué du jeune drow. Même Orèl-Sanktü semblait quelque peu impressionner par la beauté du lieu. L’étonnement passé, Les deux elfs vinrent prendre conseil auprès de la bibliothécaire afin de savoir où ce trouve les ouvrages les plus intéressant pour aiguiser les connaissances et l’intellect de l’apprentie assassin. Ils se tournèrent vers des ouvrages de philosophie, de psychologie, de science physique, ainsi que la cartographie des villes les plus importantes. La bibliothécaire fut surprise du programme biblio-éducatif des deux élégants personnage, qu’est-ce qui relie la philosophie aux sciences physique ou la psychologie aux cartographies de grandes villes ? Elle ne le sait pas mais tout est étroitement lié pour les assassins que sont Orèl-sanktü et Sam Son’rel. Ils passèrent une années dans cette ville et ce ne fut pas de trop pour que Sam s’imprègne des oeuvres littéraires et cartographique qui étais a sa disposition a ce temple du savoir qu’est la bibliothèque d’Aberon. Durant cette année, Sam fit la connaissance de Nicko, une ancien apprentie d’Orèl devenu artiste peintre le jour, sans pour autant quitter son poste d’assassin la nuit. Nicko a tenu a faire une toile de Sam, ce dernier refusa de nombreuses fois avant d’accepter par désespoir de ne jamais être débarrasser de ce pot de colle tant qu’il n’aurais pas ce qu’il voulait. Au final la toile fut très grandement apprécier par Sam et Orèl.


Le dernier soir a Aberon, Sam et Nicko exécutèrent un assassinat sans bavure tel une chorégraphie sanglante. Leurs art étais semble t-il poussé à son apogée. Orèl-Sanktü affirma à ses deux disciple, ancien et actuel, qu’il avait était le spectateur du meurtre le plus magnifique de sa vie après celui qu’avais exécuté son propre maître il y a de nombreuses années. Ce dernier étais malheureusement décédé maintenant. Nicko fut honoré, Sam lui étais assit dans son coin entrain de médité en regardant le ciel dégager de cette nuit douce. Les étoiles brillaient de milles feux avec en leurs centre une pleine lune des plus magnifique. Orèl-Sanktü s’approcha de Sam et assied à coté de lui. Il resta silencieux un certain temps comme pour permettre a son esprit de réfléchir puis engagea la conversation...

-Turambar Elentir...
-Plaît-il ? rétorqua Sam Son’rel l’esprit ailleurs.
-Turambar Elentir signifie «maître du destin qui scrute les étoiles». Ce nom elfique te va comme un gant mon cher disciple, surtout a l’instant présent...
-Merci...Avez-vous un nom elfique maître ?
-Mon nom n’est pas assez elfique a ton goût ? reprit-il avec un sourire amuser
-Si... enfin, il n’a pas de réelle signification en elfique... Désoler si je vous ai offensé.
-Nullement Sam. Je vais te faire une confidence, effectivement j’ai un nom elfique donner par mon maître. Mes parents était des humains qui mon recueillit suite au décès des mes véritable parents. Ma mère est morte en me mettant au monde, mon père quand a lui est décédé durant la grossesse de ma mère d’une raison inconnu ou en tout cas, qui ne ma jamais était étais communiquer, j’ai eu beau utiliser tout les moyens possible pour l’apprendre, personne ne ma jamais rien divulgué sur le décès de mon paternel, je pense néanmoins que ça date de la fuite de la cité souterraine de Gôterada. Enfin, mon nom elfique est Turucàno Tyeplerinquar qui signifie «Seigneur et maître à la poigne d’argent». L’explication de ce surnom est que mes parents adoptif étaient des nobles d’une petite bourgade un peu perdu au milieux de rien, du coup, le «seigneur» était de mise. Ensuite «maître» est due à mon passage du rang de disciple à maître assassin et enfin la poigne d’argent est due au fait que ni mon maître, ni quiconque ne m’a jamais battue au bras de fer.
-Attendez une minute.. à votre passage au rang de maître? Mais le nom que vous m’avais affilier est gratifier du terme «maître»... Cela signifie que je suis un maître assassin ?
-Est-ce une question rhétorique mon cher Sam ?

un sourire radieux s’afficha sur le visage de Sam son’rel, puis durant une seconde à peine, son sourire radieux fut remplie de cruauté et de méchanceté avant de ce remplir a nouveau de joie.

-Nous partons demain à l’aube, prend soin de dire au revoir a Nicko comme il ce doit !
- Bien maître enfin... Orèl-sanktü.
-Nous aurons comme destination la base secrète des assassins situer a Dras Léona, Capitale Politique du saint empire léonien.
-Pourquoi la guilde est-elle situé là-bas ? Les assassins font partie du Saint empire léonien ?
-Plus ou moins... De façon discrète nous allons dire. Néanmoins, ça ne nous dérange pas d’effectuer des «restructurations interne». En gros nous somme une aile libre du Saint empire léonien. Je t’amène à la base pour qu’il t’accepte en tant que maître assassin et que tu intègre le Saint Empire pour ton plus grand bien, tu aura un lieux où te reposé si tu en a besoin et surtout un empire derrière toi. Cela te convient-il ?
-Ce sont des avantage non négligeable. je suis preneur. Mais une question me traverse l'esprit, pourquoi base secrète ?
-A ton avis Sam, pourquoi des assassins ont plutôt intérêt de ce faire discret ? Sinon que tout les crimes nous seraient mis sur le dos, même si il n'y a pas d'assassinat. C'est une question de logique, officiellement, la base n'existe pas.
-Effectivement, c'est logique, il n'y a rien de plus normal que de caché l’existence d'un regroupement d'assassins comme ce sont caché ta famille au reste du monde tout ce temps. Officiellement, ce genre de regroupement n'existe pas.

Les deux maître assassins pliairent bagage, saluairent Nicko comme il ce doit est partirent vers la base des assassins à Dras Léona.


5. Affranchissement et Meurtre.

Après de longue journée de marche , Le drow et l’elf entrèrent dans l’imposante ville de Dras Léona. Capitale politique du Saint Empire Léonien et donc berceau du meurtre et du pouvoir, que demande le peuple ? Ils se rendirent immédiatement au bâtiment qui servais de planque au assassin où il prirent une nuit de repos bien mérité. Le lendemain matin, Sam devra en fin de matinée, s’affranchir d’une tache, celle de passé devant le maître suprême des assassins afin de recevoir officiellement le Titre de Maître assassin et une lames avec le nom que lui a donner son maître a la fin de sa formation, c’est a dire « Turambar Elentir ». La cérémonie ce déroula sans encombre et ce termina à l’heure du déjeuné. les assassins ce réunirent pour l’occasion afin de fêté l’arriver d’un nouvel assassin talentueux dans la guilde. Sam n’apprécié pas vraiment cette pagaille et tout ce remue ménage, «nous ne somme pas à la fête au village» pense t-il tout bas. Le jeune maître assassin ce retira discrètement afin de s’isolé et réfléchir. il ce lance son propre défis, histoire de parfaire sa formation. Orèl-Sanktü lui à affirmer lors de son départ du village où il habité quand il était jeune, il y a de ça presque deux ans, que c’été essentiel de supprimer toutes les personnes avec qui il a un lien affectif avant de pouvoir possédé le titre d’assassin disciple. Aujourd’hui est un grand jour, il a reçu le titre honorifique de maître assassin ainsi que le nom évocateur Turambar Elentir mais lui même n’avais pas accepter comme il ce dois ce titre et il ce devait d’effectuer ce qui est essentiel à son passage de maître assassin, c’est à dire supprimer la personne qui lui à tout appris afin d’honoré sa mémoire et de prouver que l’éducation à était un franc succès.
Le soir même, Sam Son’rel revêt sa tenu d’assassin, prêt a fondre sur Orèl-sanktü, son ancien maître et père spirituel. Il le traque depuis les toits de la villes, depuis les coins sombre, sans même que le maître du maître actuel ne remarque quoi que ce soit. Sam était à l’apogée de son art, l’art de l’assassinat. Le meurtre ne ce produit pas uniquement quand la lame transperce la peau de la victime, c’est bien plus subtile que ça. Ca demande une mise en place particulière, tout un système de repérage, d’étude comportemental de la cible, de sa vitesse de déplacement, de la force que la cible pourrait générait sous un stress et une terreur intense. Plein de critères sont traitées dans la tête de l’assassin avant qu’il ne passe à l’action, il doit savoir attaquer au moment propice, attendre l’occasion, l’infime instant où la cible est vulnérable, cette instant peut durait plusieurs minutes, plusieurs heures, voir même plusieurs jours mais peut également ne durer qu’une seconde, le temps d’un bruit, d’une vision, d’un bâillement avec les yeux fermer, enfin le moindre petit signe de faiblesse est considérer comme «l’instant» que recherche en ce moment Sam Son’rel sur son maître Orèl-Sanktü. il patienta de longue minutes qui semblaient durait des heures puis «l’instant» arrivât. un ivrogne sortie d’une taverne et vomit avant de s’écrouler sur le sol ivre mort. Cette scène attira l’attention d’Orèl suffisamment de temps pour que Sam sorte la lame qui lui avait était remis l’après-midi même, après avoir était forger d’une main de maître par un forgeron interne au regroupement d’assassin, qu’il la plante dans le dos d’Orèl a tel point qu’elle ressort devant, qu’il tire le corps dans une impasse fréquenté uniquement par les bestioles poisseuses des ruelles de Dras Léona, de sortir sa lame du corps d’Orèl ainsi que de la ranger dans son fourreau après l’avoir essuyer avec un linge blanc qu’il gardera comme un trophée, une relique en mémoire de son père spirituel, de sortir une poignard et le placer prêt de la jugulaire d’Orèl-Sanktü.