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Le retour des Ombres

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Brexinga


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Le retour des Ombres Vide

Brexinga
Dirigeant de l'Umettelig Jeger
Message Sujet: Le retour des Ombres | Mar 25 Fév 2014 - 1:14


Dras-Leona, la grande, la magnifique, la redoutable. Appelé la comme vous voulez elle tenait une place importante dans le coeur de Brexinga. Elle était le pilier de son passé, de sa gloire ainsi que de sa chute et son échec. Elle représentait toutes ses accomplissements antérieurs. Était-ce le hasard qui l’avait emmené sur ses terres ou c’était encore le destin qui encore une fois tentait de le mettre sur la bonne voie. Il s’en moquait éperdumment de toute façon.
Il n’était ici que pour une raison et elle n’était pas de reprendre son trône. Il était ici car la trace de l’inconnu disparaissait au porte de la cité. Il l’avait traqué depuis les confins de la terres, à travers le désert qui semblait infini du Hadarac jusqu’au grand lac Leona. Il avancait dans l’invisible, ne sachant ou ses pas allait le mener ni vers quoi. Chaque fois qu’il avait tenté de pénétrer les défenses mentals de la chose, qu’il avait tenté de le voir il c’était frapper à un mur de noirceur. Il avait été incapable de le transpercer. Pire le mur prenait une forme clair mais titanesque. Il n’avait jamais connu quelque chose d’aussi massif qui marchait sur 2 jambes. C’était la seule utilisation qu’il avait fait jusqu’à se jour de sa magie, il ne voulait pas encore se faire percer à jour ou qu’un dragonnier en voyage le repère. Loin d’être trop faible pour se battre, il considérait simplement que son retour n’était pas encore prêt. Il n’était pas un idiot, ni un bourrin. Certe il était assoifé de sang, mais s’il voulait relacher l’apocalypse sur l’Alagaesia son plan devait être parfait.
Un plan ? en avait-il simplement un. Non il avait un but, mais aucun plan encore pour l’atteindre. On aurait dit un chien, sans conscience propre, doté d’une intelligence certe, mais un simple chien qui cours après un os et ne s’arrête que lorsque se dernier est rongé jusqu’à la moelle.
Le soleil était percant et chaud, son manteau de voyage se faisait lourd, il aurait tout simplement put se téléporter à destination ou encore faire appel à son lethrblaka, mais la quantité d’énergie requise l’aurait à coup sur démasqué ou encore pire épuisé pendant plusieurs heures et bon Afganir n’était pas la créature la plus typique au monde. Il se fondait difficilement dans la masse disons. C’est pour cette raison évidente qu’Afganir n’avait toujours pas bougé de sa grotte, attendant son heure lui aussi. L’Humanoide semblait un voyageur solitaire mais surtout infatigable. La chose avancait à un rythme éffréné comme si une armée de Kull assoiffé lui courait dans les fesses. Il ne prenait quasiment jamais de pause et quelques heures de sommeil lui suffisait.
Il ne semblait étrangement pas capable d’aucune magie par contre. C’était une des premières choses que Brexou avait ressenti dans son analyse de la masse de ténèbres. En effet n’importe quel magicien, faible ou grand aurait senti à un kilomètre à la ronde le sort qui lui trainait au cul. C’était la seule solution pour que le sort ne vide pas l’Ombre de sa force vitale, rendre le sort peu subtile au niveau des flux. Il n’avait pas regretté se choix jusqu’à se jour, la chose n’ayant jamais paru se soucier de la magie qui le suivait comme un ver solitaire.

La marche avait duré environ deux semaines, Brex avait réussi à le suivre en marchant, un pas rapide certe, mais la course n’avait jamais été nécéssaire ni un coursier. Il se tenait maintenant à environ deux mîles des portes de Dras Leona assis sur un rocher un peu en retrait de la route. Son dos était courbé pour donner l’image d’un vieillard itinérant et son visage était couvert au complet par sa capuche. Bien qu’il ne sache pas combien de temps c’était écoulé depuis son départ, il savait au moins une chose, son visage devait encore être imprégné dans la conscience de chaque individu ayant un jour foulé l’Alagaesia pendant son regne. Être démasqué était bien la dernière chose qu’il voulait.
Il regardait la ville sous un angle que peu pouvait percevoir. Seul une poignée d’élu avait jamais réussi à pouvoir percevoir les flux, les seuls qui à sa connaissance avaient se don hormis lui était Svean, Shaka, Pierrot, Ellenwen et Laiaga. Il ne savait si d’autre personne avait appris les rudiments de cette magie mais de toute manière cela l’importait peu. En fait se qui le dérangeait le plus c’était l’immense nuage noir qui repoussait tous les flux hors de Dras. En effet, il avait perdu la trace de l’homme à son entré dans la cité, il n’était pas le seul de sa race, il devait y en avoir des centaines voir des milliers tous ammassé dans la vieille cité. Les flux voyageait à travers les rue de facon aléatoires sans jamais touché aucune des masses. Il y en avait tellement on aurait dit que la ville au complet était rendu immunisé à la magie.
Assis sur son rocher Brexinga contemplait la ville en jouant avec une branche de bois. Ses muscles étaient encore fort et frais, cette marche l’avait remis sur pieds, il avait senti son corps se détendre et à chaque pas ses muscles réagir de mieux en mieux. Il avait testé ses réflexes à quelques reprises, tous des échecs lamentables. Il gardait une vitesse au dessus de la normale son agilité et sa force, mais son temps de réaction n’était que l’ombre de son passé. Sept années d’inactivités sa rouille des mécanismes…
Il se savait dans l’impossibilité d’aller seul dans une ville ou tout le monde semblait couvert d’un pouvoir qui lui était inconnu. Il dépendait aujourd’hui plus que jamais de ses capacité magique. Cette dernière était sa porte de sortie, sa technique pour vaincre ses adversaires, dans l’état ou il était sans elle il n’était rien d’autre qu’un homme fort et rapide et il avait l’impression que se ne serait pas suffisant.

Ses yeux roulèrent vers la bague qu’il portait à son doigts. Elle était en or pure et en son centre un joyau resplendissait de mille-feu. Elle portait incrusté dans les contours de la bagues les insignes du concile des Ombres. Autrefois elle se trouvait sur le doigt de Shaka, puis elle avait passé à celui de Svean puis finalement au sien. Joyaux rarement égalé, la bague du dirigeant du concile. Celui qui la portait était l’autorité, la main de fer du concile, l’Ombre dirigeant et tant qu’aucun autre ne la revendiquait ou ne la gagnait par le sang elle ne changeait pas de main.
Brexinga la fit tourner autour de son auriculaire deux fois puis se décida enfin. Il ne savait même pas se que sa allait donner, si il était le dernier Ombre encore en vie ou si d’autre nouveau avait apparu. Il place sa main au sol et en Ombrique entama une légère incantation. Elle ne lui grugeait pas l’âme car se n’était pas un sort. Il se servit de l’énergie accumulé dans le joyau de la bague depuis des années pour renforcir son lien mental avec la collectivité qu’était anciennement le concile. Il lancait un appel, un appel au arme, un appel à un ordre qu’il dirigeait. Il était temps que les Ombres de l’Alagaesia se réunisse de nouveau. Chaque Ombres ayant un jour eu contact avec le concile des ombres percevraient l’appel. Celui-ci avait assez d’étendu pour atteindre Carvahall, sans pourtant percer les montagnes de la crête. Elle s’étandait jusqu’au limite séparant le monde du Surda, ne traversait point le désert du Hadarac ni les Beors cependant. Brexinga n’allait surement pas s’aventurer dans cette ville rendu mystérieuse seul, il était trop brillant pour sa. Il appelait ses frères à revenir des morts. En vérité, il n’avait guère d’espoir de réussite. Jusqu’alors il n’avait senti aucune trace de magie noire ou il était passé, aucune parcelle. Il gardait espoir, il espérait en son fort intérieur avoir encore un ou deux alliés dans ce pays. Le monde allait trembler de nouveau et tout allait commencer ici, la ou tout avait débuté alors, à Dras-Leonas la terrible.
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Nimareth


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Nimareth
Message Sujet: Re: Le retour des Ombres | Jeu 27 Fév 2014 - 17:31



Acte I
Le Retour des Ombres

Le retour des Ombres Ban-duel




La citée s'étendait devant moi, vaste, belle. Monstrueusement belle. Depuis la nuit des temps, et surtout depuis le règne du défunt roi Galbatorix, Dras Léona avait été le berceau même du mal. Moins imposante que la capitale de l'ancien Empire, elle était cependant tout aussi effrayante, elle l'était même plus. Mais Dras Léona n'était pas que la deuxième grande citée de l'ancien Empire, elle était bien plus, et cela, tout hommes devrait le savoir. Capitale du Saint Empire Léonien, qui n'était plus que l'ombre de lui même, la citée était aussi à l'Origine de la création d'une entité bien plus puissante que n'importe qu'elle autre. A ses débuts, même les Elfes et les Dragonniers frémissaient en entendant son nom.. Le Concile des Ombres.. voilà ce que Dras Léona avait abrité en son seins..

Le soleil était de plomb en cette période de l'année , et la chaleur et la fatigue se faisaient rapidement sentir durant les voyages, même si cela n'empêchait que peu les gens d'aller d'un endroit à l'autre. J'étais parti voilà plusieurs jours de la Crête, où j'étais resté plusieurs années, beaucoup trop de temps, dans l'inactivité la plus totale. J'avais passé le plus clair de mon temps à échafauder des plans utopiques, où enfin les peuples de l'Alagaësia reconnaîtraient les Ombres comme une menace, mais aussi comme un allié de choix. Reclu dans la Crête, puis prêt de Teirm, je n'avais jamais eu vent des nouvelles de l'Alagaësia. De nature solitaire, et surtout fuyant la chasse aux monstres de mon espèces, j'étais resté seul, loin de tout, mais proche de mon esprit corrompu. Cette corruption n'était pas naturelle, sachez le, car même malgré les apparences , des Ombres peuvent oeuvrés pour le Bien, même si ils emploient des méthodes peu.. Accepté de tous.. Cette corruption, était née dans mon esprit du temps où je n'étais qu'un simple sorcier. Caché dans Therinsfords, j'avais débuté dans l'art de la sorcellerie, dans l'appelle de simples esprits, inutiles, souvent afin de me donner quelques informations sur mes concurrents, car sachez le, avant ma vie telle qu'elle, j'étais un artisan ; un grand « maître du marteau ». Du moins, c'est ce que je pensais. Je n'étais en fait qu'un simple forgeron notoire, forgeant aussi bien qu'un apprenti dans les grandes villes. Ce maniement d'esprit à des fins personnelles, m'avait ouverts les yeux sur une chose : contrôler autrui, c'est contrôler le monde, du moins, c'est contrôler son monde, son monde à lui. Voilà d'où est venu cette envi de contrôle, et ce contrôle, passait bien entendu par le renforcement de soit même.. Et par renforcement de soit même, je ne parle en aucun d'une chose spirituelle, je parle bien et bien du renforcement de soit même. Je parle de l'apprentissage, et de la compréhension même de la Sorcellerie. Même après des années d'apprentissage, de compréhension et d'entraînement, je ne devais avoir compris qu'un infime partie des possibilités qu'ouvrait la Sorcellerie, mais j'avais compris une chose importante : allez au berceau de la création du Concile des Ombres m'aiderait a me connaître, non pas moi en tans qu'être vivant, mais moi en tans qu'être de magie.

Un pèlerinage, voilà ce qu'était mon voyage. Rien de plus, un moyens de me découvrir, et de découvrir des choses, avant de repartir vers les alentours de Teirm, où j'avais élu domicile. Même si la citée semblait normale, un étrange pressentiment naissait peu a peu en moi, comme.. Comme une mauvaise nouvelle, une très mauvaise nouvelle. Je n'étais plus qu'a quelques dizaines de mètres de la grand porte, quand j'entendis l'étrange voix, et son sombre message naître dans ma tête, la voix, me semblait vaguement familière, mais quand l'Ombre déclina son identité, des souvenirs resurgirent soudainement : un contact, rapide, avec les membres du Concile des Ombres, une discutions, rien de plus, puis plus aucuns contacts.. La voix, plus claire, nette, naquis dans mon esprit :


*Frères et sœurs Ombres, je me nomme Brexinga, et j'ai conscience que peu d'entre vous sont encore en vie, mais chacun de vous aillant eu un contact avec le Concile des Ombres, entendra ce message. Venait aux commencements du Concile des Ombres, rejoignais moi dans la citée où tout a commencé, venait à Dras Léona et ensemble, reprenons les armes.. Ensembles, reformons le Concile des Ombres*

Avec ce message, mon pèlerinage prenait une toute autre allure. Il prenait l'allure alléchante du combat, et de la venue du Chaos sur l'Alagaësia. Seul un fou ou un pleutre aurait osé refuser cette véritable invitation, et manque de chance, je n'étais ni l'un, ni l'autre. Dans cette citée, un Ombre m'attendait moi, et certains de mes confrères Ombres. Et c'est donc dans cette citée que j'allais le trouver .. Dans cette citée ? Non.. L'appelle semblait plus.. Lointain. Brexinga semblait être à la fois proche, et loin de la citée. Je me retourna, et je scruta le paysage. Un homme pouvait aisément s'y trouver, mais où.. Je me détourna de mon objectif principal, et je commença a marcher vers là où je pensais que Brexinga allait être. Un point en hauteur, surplombant la totalité de la ville.. En marchant, je m'assura que mon capuchon était bien sur ma tête, masquant mon visage d'Ombre, et, une fois que je fûs assez loin, j'ôta les gants qui cachaient mes deux pentacles, tatoué dans le plat de ma main. Croyez le ou non, mais allez voir un Ombre plus puissant que moi ne me rassurait pas des masses..

Après une grosse vingtaine de minutes de marche, j'arriva à l'endroit où Brexinga aurait dût se trouver, seulement, il n'y avait pas l'ombre d'un.. Ombre Je m'avança plus prêt et je dis a voix haute :


« Brexinga, me voilà ! »


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Brexinga


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Brexinga
Dirigeant de l'Umettelig Jeger
Message Sujet: Re: Le retour des Ombres | Mar 11 Mar 2014 - 21:02


L'ombre s'étira doucement. Certains mouvements lui envoyait encore des élancements et des picotement. Rien de bien douloureux, plus comme une abeille qui vous tourne autour de la tête. Elle n'est pas nuisible ni dangereuse, sa on le sait bien car l'enjeu est sa vie, mais le son reste, permanent et entourant chaque seconde de nos pensées. Elle nous obsède et ne nous lâche plus.
Voila le genre de picotement que Brexinga ressentait alors qu'il tentait encore une fois d'assouplir ses vieux muscles endoloris. Le souvenir de sa forme physique antérieur le hantait jour et nuit. Il se rappelait encore les vieux combats qu'il avait mené plus jeune. Sa bataille contre Spartan et son Dragon ou les deux s'était retrouver au fonds d'un fossé et ou le carcasse avait perdu vie. Ces combats contre Krystale au sommet des Beors ou alors armé de sa lance et d'un bouclier il avait vaincu l'ancien maitre de son propre maitre. Surpassé, le maitre de son maître, se devait être un exploit digne des grands livres ou des anales perdues. Ses combats sanglant devant Gil'ead ou il avait vaincu une cité armée de seulement 1900 hommes ou encore le combat de titan l'ayant opposé à Pierrot. Il avait la conviction en son fort intérieur qu'il pourrait répéter l'exploit, mais de manière différente car la force de ses muscles ne lui était plus d'aucune utilité. Il plaça une dernière fois ses mains sur ses genou et tenta de les rapprocher du sol, pour essayer de redonner de la souplesse dans le haut de ses cuisses. L'étirement lui arracha une petite douleur qu'il reçut avec un sourire perfide. La douleur n'était plus un de ses ennemis mais un de ses alliers, s'il la ressentait encore très bien il ne la craignait plus, maintenant il l'accueillait à bras ouvert comme un frère.

Il ouvrit finalement les yeux, ses derniers brillait d'une lueur nouvelle depuis son réveil, on pouvoir toujours y lire la même malice mais derrière celle-ci se cachait une tristesse profonde torturé par de la folie. Son esprit était détruit, il se devait de le reconstruire, mais tant qu'il n'accepterait pas se bris, il ne pouvait rien faire. Cela devait faire bientôt 10 jours qu'il attendait près de son rocher. Il avait dresser une barrière invisible le protégeant des yeux curieux autour de lui. Les mouvement autour de Dras avait augmenté, il ne savait pas se qui se passait dans la ville, mais une chose était sur, elle n'était plus comme il l'avait connu. Les nouveaux occupants semblaient plus dangereux que tout se qu'il avait rencontré avant et pour une raison qu'il lui était inconnu, il ne pouvait percer leur esprit. Un léger contingent avait frollé son endroit de solitude deux jours auparavant. Il avait essayé de les abattre en leur lancant des sorts mineurs qui aurait aisément tué un être dénoué de magie mais ses derniers n'avaient eu aucun effet sur eux. Pire, il n'avait même pas eu l'air de s'appercevoir que quelqu'un avait tenté de sur briser le coup.
Par chance, il ne semblait pas doté de magie non plus, même si il en possédait une résistance quelconque, ses derniers semblaient incapable de la repérer, il avait était invisible aux homme, même si il l'avait frôlé d'à peine quelque mètre. La méditation, les étirement avait été ses principaux passe-temps. Il n'avait pas bougé, il ne savait pourquoi mais une peur sourde résonnait dans son esprit lorsqu'il pensait à Dras. Il se devait d'y pénétrer mais il avait le sentiment qu'il ne pourrait y arriver seul, encore pire, qu'y entrer signifierait la fin de sa vie. Il ne pouvait que sourire à cette pensée.

C'est au matin du dixième jour qu'il le sentit. Un esprit qui ressemblait au siens, différent en beaucoup de point mais gardant cette même malice et se même désir de souffrance. Il ne pouvait se tromper, il y avait encore en se monde au moins un Ombre qui voguait à travers les terres en errance. Son esprit ne semblait pas avoir le désir de s'attaquer à Brex, encore pire, il semblait décider à le trouver, comme si il savait ou il était. Un Ombre s'approchait, une personne avait répondu à son appel et même si son esprit restait inconnu à Brex, un sentiment de soulagement s'empara de lui.Il relâcha les barrières de protection autour de lui se rendant de nouveau visible au monde extérieur et attendit patiemment le nouvel arrivant.
Il le vit arriver longtemps avant que se dernier ne le remarque. Le visage caché sous sa capuche pour ne pas montrer ses traits apparent. Il était grand et élancé. Il avait tout de la stature d'un guerrier redoutable, d'une peur sans nom. Brexinga sourit et attendit.

« Brexinga, me voilà ! »

Les mots retentirent sur les rochers et dans le vide. L'homme le connaissait, maintenant il en était sur, c'était un Ombre qui avait entendu et répondu à son appel. Brexinga sortit finalement de sa cache et se montra pour la première fois au yeux de l'autre. C'était la première personne en 7 ans qui pouvait voir l'Ombre dans sa terrible splendeur. Ses yeux rouges et ses cheveux couleurs de sang dressé sur sa tête. Brexinga avait mit de coté sa cape et ne portait que son habit de cuir de combat. Sa première réaction fut de sourire, découvrant une rangé de dents pointu et effilé qui rajoutait quelque chose de macabre à l'image. L'expérience n'avait pas été sans douleur, ni complexité. Tailler des dents, en évitant les nerfs n'était pas quelque chose que chaque être avait tenté. Brex n'avait commis que deux erreurs au niveau de ses dents de sagesses supérieur ou il avait accroché le nerf et s'était perdu dans un cri mental désespéré pour tenter d'oublier la douleur. Le résultat pourtant semblait parfait. On aurait quasiment dit un animal.

-Bienvenue à toi frère. Tu semble déjà connaître mon nom. Quel est le tien et quel événement t'a poussé à répondre à cet appel.

Brexinga, même si gardant un air détaché gardait son esprit sur le qui-vive. Il avait été absent bien trop longtemps, il se savait vulnérable si l'autre tentait de l'attaquer physiquement. Son esprit était aussi acéré que sa lame et il regarda l'inconnu dans les yeux, attendant sa réponse et tentant de le dominer de sa prestance du même coup.
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