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Garl Latimont

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Garl Latimont


Nombre de messages : 4
Âge : 30



Garl Latimont Vide

Garl Latimont
Message Sujet: Garl Latimont | Lun 7 Juil 2014 - 0:37


Garl Latimont
Surnom ou citation

Sexe : Homme
Race : Premier Homme
Âge : 25 ans
Faction : Premiers Hommes / SUNNITTELIJAT, LA CASTE DES RUNISTES

Fonction/profession : Runiste
Particularités : Il porte des cicatrices de runes temporaires un peu partout sur son corps, des restes de son apprentissage.
Possessions : Un harnois avec des runes pour en réduire le poids et renforcer sa résistance. Deux épées courtes et une hache avec des runes d’affûtage et de renforcement. Un bouclier en acier. Une « petite » dragonne noire.
But, projets : Apprendre, comprendre, maitriser puis dominer.

Descriptions

Physique :
Du haut de ses vingt-cinq ans, Garl Latimon est un jeune Premier Homme avec déjà des traces de blanc dans ses courts cheveux bruns. Son visage ainsi que son cou sont exemptes de cicatrices, mais le reste de son corps est recouvert des stigmates de son enseignement. Essais ratés, runes temporaires, coupures de lames, tous cela à enlaidi a peau. Ces yeux bruns toujours en alerte parcours les environs afin d’apprendre du moindre détail, ces mains sont rarement inoccupés avec toujours un morceau de bois à tailler ou un bout de métal à plier. Les seules choses qui ont lieu d’être sur son corps, et qui le rendent fiers, sont ces runes de force et de vigueur répartit sur son corps. Dessinées et gravées par son maître lui-même. Tandis que l’Horn Triskelion des runistes orne son front.


Mentale :
Garl est un Premier Homme runiste. Ce qui en fait une personne prenant et prônant du recul sur les situations que l’on rencontre dans la vie, ce qui évite de faire des erreurs. Et toutes les rencontres qu’il a pu faire, toutes les épreuves qu’il a traversé ne l’on pas laissé intact. C’est un homme qui peut vivre ans la solitude la plus totale et retourner dans une ville sans avoir besoin de transition. L’épreuve initiatique pour devenir runiste est en grande partie responsable de son attitude, mais la rencontre avec les dragons lui a rappelé que le monde n’a de limite que celle que l’on lui pose. Cette découverte d’une espèce absolument différente avec une nature animale très présente l’a beaucoup marqué. Sa culture l’influence pour dire que rien ne peut surpasser la magie des runes, mais son vécu lui a ouvert d’autre portes, et rien que le faite de ne pas pouvoir mentir dans l’ancien langage est une chose très perturbante. Et une question le taraude, est-ce que les Premiers Hommes sont aussi puissant qu’ils veulent le croire ?

Histoire
Garl est l’enfant d’un père barde et d’une mère runiste. Tous deux ouverts d’esprits, ils lui fournirent une éducation commune avant qu’il ne fasse son choix. Et il le fit dès ses neufs ans, lors d’une cérémonie d’intronisation d’un nouveau maître des runes. Toutes ces lumières, ces objets ayant traversé les âges ainsi que l’ambiance le séduisit. A neuf ans, voir un homme graver une rune sur une bague et après quelques instants l’observer s’illuminer comme le feu d’une cheminé, c’est tout bonnement extraordinaire, c’est magique.
Son père fut déçu de cette prise de position qui venait très tôt, trop tôt pour lui. Mais au fil du temps qui passa, il en oublia sa déception quand son fils lui demanda de participer à ces voyages. Il essaya de lui apprendre à conter les plus grandes histoires des Premiers Hommes, comment captiver son entourage et l’influencer pour qu’il soit pris d’un frisson d’excitation quand il le fallait. Garl n’avait pas son talent, mais il se révéla un bon public en n’hésitant pas à lui poser des questions sur les zones troubles de leur histoire.

Garl fut jusqu’à ces quinze ans séparé entre les voyages avec son père sur les routes et les bateaux, et sa mère avec ses artisans. Mais après sa date anniversaire, ces parents lui expliquèrent qu’il devait se consacrer à l’apprentissage de ce qui serait sa future vie. Tout excité, ce dernier découvrit au premier matin de sa nouvelle éducation qu’il allait passer un certain temps avec des artisans afin d’apprendre une partie de leur art. Voyant la mine déconfite de son enfant, sa mère lui expliqua que les runes étaient des choses intimes qui ne devaient être mise que sur ce dont on était sûr qu’elles y resteraient. Chaque rune est un élément du destin des dieux écrit par le graveur, et celui-ci possède un don qu’il doit honorer. Et comme chacun doit honorer les dieux à sa manière, sa famille le faisait en ne gravant que sur des objets qu’ils savaient fabriquer de leurs propres mains. Ainsi, ils pouvaient être fiers du travail accomplis et être respectés pour leur savoir.
Son éducation dura cinq ans, cinq ans pendant lesquels il passa par tous les artisanats possibles, la poterie, la forge, l’ébénisterie, la maçonnerie, la taille de la pierre ou encore la joaillerie. Mais il pratiqua aussi de courtes périodes à pratiquer certains métiers pour apprendre les rudiments de ces fabrications, il travailla dans les champs, les ateliers, il porta les armes aux côtés d’apprentis guerriers, il fut serviteur, la semaine suivant il était maréchal-ferrant ou encore il stylisé une broche pour un petit seigneur. Comme tous les membres de la famille de sa mère, il devait passer l’épreuve en sachant être autonome.
Avant de passer cette dernière, il décida de partir en voyage seul pendant deux mois, puis d’avoir un mois pour se préparé à l’épreuve. Mais pendant sa deuxième semaine, il traversa un village essentiellement composé d’artisans. Ce qui au premier abord était une communauté sans grand intérêt, se révéla être le lieu de réunion d’une multitude de village. Chaque semaine avait lieu des rencontres pour se retrouver et s’amuser. Garl fut invité, et il y trouva une joie de vivre comme il en avait que peu connu. Il décida de rester un peu plus, et pour son plus grand bonheur une romance débuta avec une des filles du village. Il ne partit qu’au dernier moment pour participer à l’épreuve d’initiation.

Ses parents le virent arriver qu’au début de la cérémonie, le visage radieux et avec la volonté de survivre afin de retrouver celle qu’il voulait prendre pour femme. Sans attendre un instant, il s’installa et regarda droit dans les yeux le maître des runes en lui disant qu’il devait commencer le plus tôt possible afin qu’il puisse demander la main de celle qu’il aimait. Face à cette nouvelle, l’atmosphère de la pièce s’allégea, car beaucoup avaient craint qu’il ne repousse qu’au dernier moment l’affrontement de l’épreuve, ce qui l’aurait sûrement conduit à l’échec, et à la folie ou la mort. Le maître des runes de le rabroua pour le remettre à sa place et lui dit que si il était le père de la dulcinée, il aurait tout le temps de le taquiner après l’épreuve. Ces dernières paroles firent sourires tous les observateurs, car généralement quand le maître s’adressait de cette manière à un futur initié, cela augurait de bonnes nouvelles. On l’installa confortablement tandis que le stresse monté en lui, et que l’on lui posé la question rituelle lui demandant si il voulait continuer sur ce chemin qui lui ferait quitter le commun des mortels, pour être de ceux qui les guides vers les dessins des dieux. Au travers de ces gouttes de sueurs, il leur adressa un regard de fer et répondit d’un oui du bout des lèvres.
Et ainsi il avança dans les lignes écrites par les dieux, il s’enfonça, plongea dans les tréfonds. Et cette vision à la fois nette et trouble des futurs, présents et passés possibles, impossibles mais aussi de choses incompréhensibles pour son esprit le firent vaciller. Il vit, sentit et connu la mort d’un enfant. Puis ce fut la vision d’un accouchement, il ressentit la douleur de la libération pendant toutes ces heures de travail qu’il passa avec cette femme à endurer l’enfantement. Il voyagea ainsi d’histoire en sensation, il vola au travers des forêts, il fut la pierre d’une colline pendant toute une vie. Mais une vie à quelle échelle ? Son esprit brisé se reconstitue, il ne voie pas de lumière comme le disent certaines légendes. Non, c’est une sensation, c’est un instinct, une éducation qui le guide. Il ne cherche pas à savoir d’où cela provient, car toute vérité n’est pas bonne à connaître. Tandis qu’il reforme sa personnalité, il voit certains chemins, il peut décider dès maintenant de qui il est et sera.
Le voilà maintenant proche de sortir de la transe, mais ce petit quelque chose qui est en lui mais en même temps totalement étranger, lui montre un chemin, un petit écart avec une finalité différente, plus grande. Garl n’en perçoit pas les effets ni les conséquences, mais il sait que c’est grâce à ce petit quelque chose qu’il a pu survivre et construire ce qu’il veut être. Ainsi, il prend ce petit écart et ouvre les yeux. Il se lève, puis découvre une assemblée stupéfaite, apeurée avec des armes de sorties. Reprenant petit à petit conscience, il sent du sang sur son front. Passant les doigts sur ce dernier, il devine une cicatrice ayant la forme de l’Horn Triskelion. Légèrement surpris, il regarde sa main un long moment avant de se tourner vers le maître des runes.


-Veuillez m’excuser, je ne savais pas ce que sa allé donner… J’ai juste, su qu’il fallait le faire.

Puis Garl s’effondra.



Il abandonna son projet de s’installer avec la belle villageoise, car il avait changé mais aussi parce que ce style de vie ne lui conviendrait pas. Il alla donc s’excuser auprès d’elle, puis il partit apprendre son métier.

Son initiation n’étant pas passée inaperçue, il fut pris en temps qu’aspirant par un des grands maîtres des runes. Les facilités qu’il avait pour avancer dans son apprentissage, au travers de son héritage familiale qui était de connaître les matériaux, mais aussi son don d’autodidacte avec la magie des runes ne furent pas pour lui des avantages, mais plutôt des justifications pour son maître de le pousser à de plus grandes hauteurs, à de plus grands défis. Il lui fit pousser sa réflexion mais aussi son corps au maximum de leurs endurances. Il lui fit utiliser son corps pour ses premières runes sur des êtres vivants, ou encore il le lança dans la recherche de la différence du degré de renforcement des matériaux suivants les runes utilisées. Ainsi passèrent trois années d’enseignement éprouvantes.
Ils passèrent ensuite un an et demi en compagnie de guerriers afin de les tatouer, eux et leurs équipements. Entre être tranquillement installé dans un atelier et travailler dans une tente avec des milliers de soldats marchant vers la guerre, les mots distractions et concentrations sont légèrement redéfinis. Cette période fut un grand moment de découverte pour Garl. Il vécut au milieu de cette caste, et apprit plus en les observant que dans toutes les histoires de son père. Puis un beau jour, un vétéran fraîchement tatoué lui proposa de croiser le fer en remerciement. Garl découvrit que ce que lui avait appris sa mère et ses professeurs était bien en dessous de ce qui était nécessaire pour survivre. Et ces échanges avec les soldats le remirent en place face à son talent. Il était peut être quelqu’un possédant un don pour la magie des runes, mais il n’était qu’un homme pour le commun des mortel. Beaucoup de réflexions débutèrent à partir de là, et il persévéra dans son apprentissage des armes. Mais il reprit aussi l’artisanat, non pas qu’il ait perdu la main, mais pour ce rappeler que ce sont parfois les choses les plus simples qui font la différence.
Après ces événements, sont maître l’éleva au titre de maître des runes au plus grand déplaisir de certains hurlant que cela créé un précédent pour un aspirant aussi jeune. Mais quand le grand maître des runes les mit au défis de lui présenter un apprenti capable d’appliquer des tatouages de runes sur toutes les parties du corps sans créer de gênes pour le porteur, alors le silence ce fit. Surtout que certains n’ose pas se risquer trop souvent à cette pratique, car une rune mal placée, une interaction non voulue, une rune mal inscrite et cela peut tuer le porteur. Et si cela ne le tue pas, certains effets secondaires pourraient le paralyser à vie, ou lui faire perdre l’usage de certains membres. Ou dans le pire des cas, lui faire connaître des douleurs infinies. Ainsi il devint maître des runes, mais pas le plus jeune de leur histoire, car il existé des cas dans le passé d’hommes et de femmes ayant obtenu ce titre encore plus tôt. Mais leur talent était tout simplement extraordinaire, voir divin.


Une fois maître des runes, il était maintenant autonome et indépendant. Il fit ses adieux à son maître qui réfléchissait à prendre un nouvel apprenti ou pas, Garl lui dit que même le plus faible d’entre eux ressortirait avec la perfection d’un diamant une fois entre ces mains. Sur ces mots, il le quitta pour revenir dans sa ville natale.
Il retrouva sa famille et ses amis. Garl avait compris que son passage dans les songes des dieux n’avait pas détruit la personne qu’il était, mais que cela l’avait plutôt changé. Il regretté d’avoir coupés les ponts de manière abrupte, mais cette cassure nette lui avait permis de se reconstruire et de se retrouver. Il renoua pendant quelques jours avec eux, avant de repartir pour proposer à l’armée sa participation aux efforts de conquêtes. Celle-ci accepta de grand cœur et lui demanda plus précisément ce qu’il voulait faire. Car il est vrai que certains membres de la caste des runistes ce portes volontaires plus souvent pour de courtes périodes, mais tous ont souvent des objectifs derrières. Et l’armée cherche à ménager ceux qui lui permettent de transformer ses soldats en guerriers pouvant survivre aux plus terribles champs de batailles. Alors quand Garl demanda à avoir un commandement sur le front, ce fut la surprise la plus totale. Car la demande la plus commune est d’avoir un poste à l’arrière pour, voir un commandement. Il fut demandé à Garl si il était sûr, et celui-ci leur répondit que oui.
Comme le commandement devait se gagner sur le champ de bataille, il lui fut refusé par principe. Mais on lui donna le titre de capitaine de réserve, un titre honoraire.
Sa première mission, peu après le débarquement en Alagaësia, fut de faire route vers Urû Baen afin d’en prendre possession. Une longue marche les mena dans des embuscades, leur fit faire des saisies de villages et de petites villes. Cette guerre éclaire était d’une efficacité étonnante, car les autochtones ne connaissaient pas l’existence de ces géants ayant deux têtes de plus qu’un être humain normal. La guerre psychologique à demi remporté avant même de devoir sortir d’arme, la fureur et l’expérience du combat finir d’écraser leurs adversaires. Mais l’assaut sur Urû Baen qui devait être un glorieux combat, devint un désastre. Des sorts explosèrent, d’autres s’activèrent, et certains disparurent simplement. C’est un prisonnier mage qui lui expliqua ce qu’il se passé, et suite à cela, il prit la tête d’une compagnie d’une centaine de guerriers pour organiser le repli à l’une des portes de la ville. Pendant qu’il disposait ses soldats pour canaliser et protéger les fuyards, une jeune magicienne fraichement capturé et en chemin pour les geôles insista pour lui parler d’une terrible menace magique qu’elle pouvait ressentir à même pas quelques rues de la voie d’évacuation. Malgré les avis contraires de ses compagnons, il se précipita dans la zone indiqué pour découvrir le fin mot de cette histoire. Et ce qu’il vit le marqua, des êtres humains, des elfes, des nains et des animaux se battent entre eux. Ce dévorant entre eux tandis que des formes indistinctes traversés en arrière plans la scène. Les soldats sous le choc ne purent soutenir plus longtemps cette vision d’horreur et lâchèrent pour certains des hurlements de terreur, ce qui déclencha comme un déclic chez ces, choses. Toutes celles qui les entendirent malgré la fureur de la bataille et les détonations des sorts se tournèrent vers eux. Une dizaine de Premiers Hommes pouvaient faire face à beaucoup de menaces sans trop de craintes, mais face à des centaines de personnes, la qualité ne fait plus grand poids…
Garl secoua ses soldats et pris la fuite sans plus attendre, vite suivit par ses derniers. Il leur pointa la direction de la porte de la ville avant de se retourner pour foncer dans la multitude. Empoignant son bouclier et son épée runique, il trancha dans la chair sans aucune difficulté. Mais très vite son armure renforcée par des runes commença à présenter des faiblesses, des pièces succombèrent sous les coups enragés des monstres. Puis petit à petit Garl fut submergé, et son monde ne se résuma plus qu’à une mer de montres aux faciès humanoïde avant de sombrer dans l’inconscience.


Il se réveilla dans une grotte, allongé sur de la paille. Quand il releva la tête, se fut pour observer une immense bête de plus de trente mètres de long allongé à même pas quelques mètres. Quand celle-ci tourna la tête, il put voir que c’était un dragon vert. Terrifié, il commença à lever son bras pour s’apercevoir que quelque chose lui pesait sur tout le corps. En baisant la tête, il vit, horrifié, un dragonneau noir étalé sur lui. Quand il releva les yeux, le regard du dragon vert était sans équivoque, il se recoucha et ne bougea plus jusqu’à ce que l’épuisement l’emporte vers le même chemin que le bébé dragon.
Au réveil il découvrit que les dragons étaient télépathes, une surprise fort perturbante pour quelqu’un qui n’a jamais appris à protéger ses pensées… Les parents dragons, une noire et un vert lui expliquèrent qu’ils l’avaient trouvé sur le lieu d’un massacre en plein dans la ville. Quand Garl demanda la raison de leur présence dans ce lieu précis à ce moment particulier, il reçut pour toute réponse qu’un sourire. Le reste de la journée fut très calme en parole. Garl explora les environs pour essayer de se retrouver, mais être dans un pays inconnu, en pleine montagne, constamment dans la brume et avec deux geôliers un peu particulier, ça n’aide pas vraiment.
Deux semaines passèrent tandis que les dragons adultes lui demandaient de faire des runes pour eux, de différents types sur différentes surfaces. Pendant que les parents s’exercés face aux runes, Garl et le dragonneau avaient tous le temps de discuter, voir même de jouer ensemble. Garl apprit beaucoup de choses, comme l’existence de l’ancien langage, son importance. Les différences culturelles entre nains et elfes, les vieux conflits, les nations humaines. Mais aussi sur les dragons, leur longévité et la différence entre un dragon lié et un dragon sauvage. Puis du jour au lendemain, les dragons adultes le transportèrent jusqu’à une vieille ville en ruine, ils le laissèrent en lui disant qu’il avait autant de temps qu’il faudrait pour éduquer leur enfant aux us et coutumes des villes. Interloqué, Garl se reteint de poser toutes questions, se rappelant l’image une mâchoire remplie de dents faisant la longueur de son bras…
Ainsi commença leur amitié, et le « petit dragon » lui révéla son nom, Arielle. Pendant presque cinq mois ils vécurent ensemble, Garl lui enseigna la culture des Premiers Hommes et les manières qu’il avait pu observer chez les gens de ce continent. Il trouva une vielle forge qu’il nettoya dans l’espoir de trouver des matériaux pour forger des équipements, pour remplacer ce qu’il avait perdu pendant sa défense suicidaire. Il ne trouva rien, mais il découvrit un chariot remplit de tout ce qu’il pouvait désirer le lendemain du jour où il parla de son projet à Arielle. Soupçonnant les deux autres dragons, il ne dit rien et joua le jeu. Il trouva un harnois complet, un bouclier en acier avec deux épée courtes ainsi qu’une hache dans le chariot, et de quoi faire marcher la forge.
Garl commença alors un travail de longue haleine, celui d’alléger chaque pièce de l’armure avec une rune et de renforcer ces mêmes pièces avec une autre. Il dut faire quelques tests avant de trouver les runes correspondants parfaitement au métal. Une fois ce travail finit, il affuta les lames des armes et les renforça avec des runes. Pendant tout ce temps, Arielle lui apprit beaucoup de choses sur les courants aériens, comment chasser, la manière de réagir face à une tempête en plein vol, mais aussi, elle lui apprit quelques mots et phrases très basique en ancien langage. Une langue avec laquelle on ne peut pas mentir, promettre et jurer avec celle-ci l’oblige à le faire.

Son retour parmi les siens fut fait de manière douce, enfin pour un dragon sauvage. Un atterrissage en pleine nuit dans une ville occupé par les Premiers Hommes, devant une patrouille, avec un dragonneau pour seul bagage tandis que deux mastodontes s’envolent vers l’horizon dans le son des cloches sonnant l’alarme. Dur d’expliquer calmement la situation, surtout quand les deux comparses sont pas au courant qu’ils vont rester ensemble…
Garl réussit à gérer la situation après toute une nuit de discussion et la preuve concrète qu’il était un runiste en faisant une rune d’alourdissement temporaire sur l’épée du capitaine. Arielle et lui mirent les voiles dès le lendemain matin, et partirent sur les routes pour rejoindre un fort où Garl pourrait être utile.





Le joueur
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Akkan


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Akkan
Dirigeant de l'Equilibrium
Message Sujet: Re: Garl Latimont | Lun 7 Juil 2014 - 10:26


Bievenu à toi, fiche sympathique, le staff va te valider ta fiche rapidement Wink

A bientôt dans un rp Wink
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Ellenwen

Dirigeante de l'Equilibrium

Nombre de messages : 22351
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Ellenwen
Dirigeante de l'Equilibrium
Message Sujet: Re: Garl Latimont | Mar 8 Juil 2014 - 14:21


Aaaaaaaaaaaaaaaah re-bienvenue ! Ta fiche a l'air super, je m'en occupe dès que possible =)
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Laïaga

Dirigeant du Cam Serarna

Nombre de messages : 15534
Âge : 32

https://brisingr.forumactif.org/corbeille-f19/sur-le-lac-leona-u

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Laïaga
Dirigeant du Cam Serarna
Message Sujet: Re: Garl Latimont | Mar 8 Juil 2014 - 16:04


Salut salut et bienvenue Razz

Alors pour entrer direct dans le vif du sujet je vais te demander de changer un truc avant la validation, c'est au niveau de la maîtrise des runes de Garl et de sa renommée chez les PH : en fait, je pensais te donner 20 points en habileté et 40 en puissance, sauf que du coup pour un maître runiste renommé, ça colle pas trop ! Razz
Du coup voilà, si tu pouvais expliquer que pour une raison ou une autre Garl a perdu une partie de son talent, genre je sais pas il a pris un vieux coup sur la tête pendant sa bataille ou une bricole comme ça x)

Du coup voilà, ce changement fait je valide, à part ça l'histoire est sympa j'ai rien de particulier à redire Razz J'aime bien le point de vue sur l'ouverture de la faille d'Urû Baën^^
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