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Toute vie véritable est rencontre

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Freya Wolfkin


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Freya Wolfkin
Message Sujet: Toute vie véritable est rencontre | Dim 22 Jan 2017 - 23:28


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Le ciel était couvert depuis quelques jours, étendant une ombre sans fin sur les paysages à la ronde, jusqu’à la citadelle sombre d’Urû’Baen. Freya soupira. Elle avait repris la route tôt dans la matinée, sans avoir d’autre objectif que d’atteindre le Nord du pays, afin revoir des terres qui lui étaient chères. Mais elle ne s’était donné aucun délai à respecter. La vagabonde ne restait tout bonnement pas en place et jouissait d’une liberté à toute épreuve. Cependant il fallait bien avouer que le temps morne commençait à déteindre sérieusement sur son humeur, tout comme la perspective d’Urû’Baen qui se dessinait au loin. Elle avait toujours trouvé ce lieu sinistre et il était hors de question d’y mettre les pieds. La jeune femme avait tout simplement choisi l’immense ville comme point de repère. Elle la contournerait donc.

Les panoramas défilaient et se ressemblaient, les collines et les sous-bois clairsemés s’épanouissaient à perte de vue. A vrai dire, cela aurait plu  à Freya si le temps avait été clair et le soleil lumineux. Enfin elle n’avait pas à se plaindre, elle avait de quoi manger, vivre convenablement et il ne pleuvait pas. Cette pensée venait à peine de lui traverser l’esprit qu’une bruine fine se mit à tomber. Le genre de pluie qui pénétrait les vêtements et les os. La rôdeuse laissa échapper un grognement agacé en se demandant pourquoi il fallait toujours qu’une situation dégénère encore plus une fois qu’on en avait envisagé la possibilité. Heureusement, les dénivelés alentour permettaient de se mettre partiellement à l’abri et Freya décida de s’octroyer une petite pause, la perspective de chevaucher sous le crachin ne la réjouissant guère.

La jeune femme trouva refuge dans un petit bosquet et descendit de cheval. Elle gratta l’encolure d’Ellara, lui déposa un rapide baiser sur le museau et s’étira les membres un à un. Tant qu’à faire, elle pouvait en profiter pour se reposer et faire durer la halte un peu plus longtemps que prévu. La chasseresse débarrassa sa jument de son fardeau et déposa ses affaires au pied d’une racine protubérante sur laquelle elle s’assit, se laissant aller à l’observation des lieux et d’Ellara qui ne semblait pas mécontente de s’être arrêtée. L’endroit était paisible. Freya ferma à moitié les yeux et renversa la tête en arrière, savourant la brise qui s’était levée.

Soudain, quelque chose vint troubler la sérénité de la vagabonde aux cheveux de feu. Une odeur de sang, légère mais bien réelle s’éleva portée par le vent. Elle ouvrit les yeux, inquiète, et promena son regard violet autour d’elle. Mais le craquement qui révéla un danger imminent jailli dans son dos. Avec la vivacité qu’elle avait acquise au cours de ses périples, Freya se retourna et fit face à une montagne de muscles comme elle n’en avait pas vue depuis bien longtemps. Couvert de sang, des blessures lacérant son torse et ses bras, l’homme semblait en proie à une véritable crise de démence. Sa stature imposante lui fit penser aux Premiers Hommes mais l’absence de tatouages et de runes lui appris qu’il n’en était rien. Il portait une armure qui ne le couvrait pas entièrement, ce qui était étrange. Qu’est-ce qu’il lui voulait ? Avec la rage qu’il dégageait, il avait tout l’air d’être un fou. Meurtrier. La jeune femme n’eut pas le temps de réfléchir une seconde de plus alors que l’homme lui fonçait dessus avec une vitesse impressionnante pour sa taille. Il serait sur elle en quelques instants, aussi l’arc n’était pas l’arme la plus appropriée pour se défendre. Freya tira son épée, ne se faisant aucune illusion. Certes elle avait combattu des Urgals autrefois, mais elle avait failli y laisser sa peau. Et là, elle se faisait attaquer par un barbare malade, ensanglanté, armé de deux haches si immenses qu’elle se demanda comment il arrivait à les transporter. Elle n’avait pas le temps de fuir, si elle devait mourir ici et maintenant –ce qui était quand même une pensée déplaisante et morbide- la seule chose qu’elle pouvait faire était de combattre. L’homme n’étant plus qu’à quelques mètres d’elle, elle se prépara à l’affrontement, laissant l’adrénaline l’envahir sans la contrôler.
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Tripalior


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Tripalior
Message Sujet: Re: Toute vie véritable est rencontre | Lun 23 Jan 2017 - 6:28


Je m'étais réveillé tôt en cette journée, j'avais un contrat très simple: jouer au éclaireur et je devais revenir que si la voie était libre dans ce coin de pays parsemé de colline et de sous bois, ils m'avaient payer d'avance et ils devait m'attendre dans un campement a coté du ruisseau signalé, simple, très simple même, je pris l'argent sans demander mon reste, j'avais qu'une seul parole a ce niveau là, surtout si c'était simple, par contre j'avais oublier de leur demander combien de personne ils attendaient, une, deux, cinq ou dix? en plus du fait qu'un autre messager  avec des plans de route de gens important allait passé ici, sans le tuer, je lui prendrais le message pour le vendre au bandits en recherche de nourriture et autre chose de ce genre qui vivent encore dans les villages de la crêtes, ce genre d'information valent chère entre de bonne main et j'avais l'intention de bien remplir ma bourse grâce a ça, en plus du fait de scoutes un peu les environs, surement coupé une tête ou deux, de vider les bourses des morts, l'argent n'est plus un bien qui leur est utile une foi vidé de leur sang.

La mort du messager et la prise des plans

Je suivais ce messager depuis une heure, j'attendais un endroit et un moment idéal pour m,en prendre a ce pauvre type qui ne se doutait de rien, il chevauchait aisément et rapidement dans ce sous-bois, pour ne pas le perdre, je suivais les traces laisser par le cheval sur le sentier et je le rattrapa pandant une pause, il était coucher au sol, a regarder les alentours, quel meilleur moment pour passé a l'attaque? je m'approcha subtilement de lui, aussi subtile pui'je être jusqu'a ce qu'il me remarque, il me regarda d'un aire sceptique sans se douter que j'allais l'attaquer, je m'approche, une hache a la main, il me dit:

-Reculez messire, j'ai une arme et je sais m'en servir.

Je le chargea a cette provocation, il eu le temps de dégainée son arme puis une courte bataille s'en suivis, les messagers ne sont pas assez bien former au maniement des armes pour défaire des mercenaire aguerrie, rapidement, il fini au tapi, il était inconscient, je pris le temps de le regarder. je ne voulais pas réellement le tuer, mais trop de risque qu'il ne divulgue ce que j'avais fait ou alors qu'il garde le silence... Un travail bien fait est un travail propre, je lui enfonça alors ma hache dans la tête, vite fait, bien fait et sans douleur, le cheval maintenant... sa peu aussi se vendre, mais le bordel pour le traîner et le nourrir, il n'en valait pas la paine, il saurais surement survivre a l'état sauvage... ou pas. Rendu là, ça m'étais égale, j'alla vers le lieux de la rumeur de l'embusquade.

Un combat jusqu'a la mort... de mes ennemie

Une foi rendu sur les lieux, l'ambiance était palpable, je sentais quelque chose de clairement mauvais, j'avais ma hache et j'étais prêt a m'en servir contre n'importe qui en voulant a ma vie. Je vis une flèche venir vers mon armure au niveau des jambes, je savais que ces pièce d'armure me sauverais un jours la vie, pas la vie, mais bon, un trou dans le genou.. Je chargea vers la provenance de la flèche vers l'archer qui avait eu le temps de dégainé sa lame et d'y laissé un piège magique sur l'arbre qui décocha des lames sur mon tors, beaucoup de lacération, mais rien de grave. je continua de poursuivre cet assassin. Au cours de la chasse, j'ai trouver un autre assassins, son compatriote, plus corps a corps, pour gagner contre un type armée de deux dague je devais jouer de la porter de mon armes, ce que je fis, je gagna le combat, mais encore une fois assez serrer, avec l'autre qui avait reprit le temps de se cacher, je pris le temps de vite arracher la bourse de la ceinture du mort en lui tranchant la gorge, sais t'on jamais a quel point la résilience des hommes est puissante. Après se combat, je sentis la force nécessaire pour prendre ma deuxième hache de guerre, je le traquais en suivant ses traces dans la boue, je finis par le trouver, je lui hurla dans ma semi transe:

-Votre tentative d'assassina sur moi a coûte la vie de ton ami et maintenant, mes haches on soif de sang et je les abreuverais de ton sang!

Je le chargea a une vitesse fulgurante, bien plus rapide qu'a mon habitude, en me faisant encore sauter des piège au visage, assez c'était assez, je lâcha un long hurlement, ma transe était complète et il était devant moi, sans mes aptitude Physique supérieur de berserker, je serais déjà mort, mais je tenais encore. Il me vie le charger et tenta a nouveau de fuir: On non mon petit, tu es désigné pour mourir, j'étais spectateur dans mon propre corps, ma rage avait prit le dessus, il n'arriva jamais a me distancer et n'eu jamais prit le temps d’enclencher des piège supplémentaire, son agilité supérieur lui permettait de conserver une certaine aise dans la poursuite, c'est alors qu'avec toute la force je lui lança ma hache bien aiguisé dans le dos , ce qui le trancha en deux, une éclaboussure de sang sur-réaliste. Hors de moi et surtout hors de contrôle, j'alla reprendre la hache et continue de le frapper avec frénésie jusqu'a ce qu'il ne reste que du liquide ou des petit morceau de sa dépouille. Une foi bien sur qu'il était mort; je continua ma route, mes deux haches de guerre bien en mains, je voulais continuer de tuer, tuer pour tuer, tuer par manque de confiance et surtout pour essayer de calmer ma rage. Je vie une rouquine, pas que je lui en voulais, loin de là, elle devrait aussi mourir, comme tout ceux qui m'entourais d'ailleurs, sous cette forme, je ne connais aucune forme de pitier, dans la vie, il fallait se battre pour survivre, la nature est faites ainsi. La hurla a plein poumon, ce qui déchira le silence palpable qui régnait, elle dégaina son épée, parfait, elle me provoque en duel en plus a mort, sans aucun réel raisonnement de la part de tripalior, il chargea toujours dans son crie de guerre effroyable. rendu a 2 mètre d'elle, Tripalior se retrouva vidé de son énergie, mais la transe magique lui avait fait résister jusqu'ici sans pause, il  perdu alors l'équilibre et s’effondra au sol sur le ventre, les deux haches encore en mains, il semblait les tenir beaucoup moins fort, signe de son piteux état, le sommeil prit donc le dessus sur la rage question de refaire une santé au corps
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Freya Wolfkin


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Freya Wolfkin
Message Sujet: Re: Toute vie véritable est rencontre | Lun 23 Jan 2017 - 20:59


Le cri que poussa l’homme durant sa charge fut glaçant. Il résonna dans l’air, rauque, bestial, presque totalement dépourvu d’humanité. La jeune femme se concentra sur le son qui rendait l’imminence de l’impact bien réelle avant même qu’il ait eu lieu, et s’efforça de maîtriser sa respiration. Si elle se laissait dominer par la peur, elle était déjà morte et enterrée. Son regard d’améthyste brilla d’une lueur dure et résignée teintée de la mélancolie de ceux qui savent que les chances de s’en sortir sont relativement réduites. Réduites mais existantes. C’était là-dessus qu’il fallait compter. Le barbare n’était plus qu’à quelques pas d’elle. Freya pu alors enfin distinguer l’apparence de son agresseur plus distinctement. Ses traits plutôt fins contrastaient étrangement son imposante musculature et ses yeux hagards brillaient comme s’il était possédé. Peut-être était-il victime d’un quelconque sortilège en fin de compte.

La posture de la vagabonde changea et elle s’apprêtait à parer le coup qui allait certainement venir lorsque l’individu trébucha et s’écroula à ses pieds. Cet événement, improbable et imprévu, la laissa abasourdie les yeux écarquillés sur le colosse. Qu’est-ce que  c’était que ce bazar ? Si la situation n’avait pas été aussi critique, elle en aurait ri. L’homme semblait inconscient et son étreinte sur ses haches s’était relâchée. Pour la rôdeuse c’était le moment ou jamais d’agir, aussi elle désarma son adversaire de deux coups de pied vifs qui la firent grimacer au moment où il rencontrèrent l’acier de bonne facture des armes. Il lui fallait assurer sa sécurité dans l’immédiat et récupérer les armes ennemies pour éviter toute nouvelle opportunité d’attaque en cas de réveil soudain. Et fuir sans demander son reste par la suite. Mais soulever les haches était loin d’être une mince affaire.

*Nom d’un snargol, je n’ai jamais connu quelqu’un capable de porter sans effort un arsenal pareil !*


Alors qu’elle s’affairait non sans mal à mettre les armes hors de portée de l’inconnu en les traînant par terre, l’attention de Freya fut retenue par un objet reposant près du corps de ce dernier. Après inspection il s’agissait d’une bourse de laquelle paraissaient s’échapper plusieurs feuilles de papier que la voyageuse identifia comme étant des plans de route. Elle fronça les sourcils et ramassa les écrits, l’épée toujours pointée sur l’individu. On n’était jamais trop prudent. Elle parcourut rapidement les feuillets et se rendit compte qu’ils contenaient nombre de détails sur le passage d’une procession de personnages de la petite noblesse d’Urû’Baen.

La chasseresse leva les yeux sur le corps inanimé et après réflexion, se rendit à deux possibilités. La première était que cet homme était un mercenaire employé pour piller le convoi. La seconde était qu’il faisait partie de l’escorte de ce fameux convoi et venait d’être fraîchement attaqué. Si cela expliquait les nombreuses blessures dont il avait été victime et la possession des plans, cela ne justifiait en revanche en rien son offensive hasardeuse sur elle. Sauf si, comme elle l’avait supposé quelques minutes auparavant, il avait été ensorcelé de telle manière qu’il ne pouvait plus distinguer  son ennemi de personnes innocentes. Dans tous les cas cela confirmait qu’il ne faisait pas bon rester ici, avec des bandits traînant dans le coin. D’un autre côté, si l’homme avait essuyé l’altercation violente de la caravane dont il devait assurer  la protection, il fallait l’aider.

Freya soupira indécise. Elle détestait être mêlée à des situations incongrues comme celle-ci et son instinct de survie lui commandait d’abandonner le colosse à son triste sort. Ellara s’approcha d’elle et lui mordilla la main, inquiétée par la brusquerie du début d’attaque qui avait eu lieu. La jeune femme la caressa pour la rassurer tout en scrutant l’agresseur. Elle remarqua ses oreilles plus pointues que la normale sans être tout à fait effilées et nota ce détail dans sa tête, bien que le peuple d’origine de l’individu ne l’intéressât guère. Après mûre réflexion, elle décida d’attendre le réveil du semi-elfe –puisqu’il semblait l’être- afin de lui soutirer son histoire et de déterminer s’il avait besoin d’aide. Ce n’était pas son rôle de l’épauler mais elle pourrait le guider vers des autorités compétentes.

La voyageuse s’assit donc sur la racine où elle s’était prélassée il n’y avait de cela que quelques minutes, à bonne distance de l’inconscient, posant son épée à côté d’elle mais gardant son arc à la main. Ainsi elle pourrait l’empêcher de l’approcher alors qu’elle l’interrogerait. Elle espérait qu’il ne mettrait pas longtemps à émerger, auquel cas elle le laisserait sur place.
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Tripalior


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Tripalior
Message Sujet: Re: Toute vie véritable est rencontre | Mar 24 Jan 2017 - 8:21


Je tombas a terre dans un lourd fracas au pied de ma cible pas désirer, je ne lui aurait pas donner plus que trois minute, mais le temps de marche a l'agonie vers cette endroit m'avait vidé de toute énergie. Je resta inconscient un bon moment, une heure et demi pour être exacte et sans ma transe de berserker fou.

Je resta sans bouger, j'avais mal, très mal même, mais ce sont les risques du métier dis t-on... j'aime ma vie... comme parfois je peux la détesté, le contacte froid de l'herbe sur ma peau fut le truc le plus saisissant après le fait que je ne sentais plus mes haches ni dans mon dos, ni près de moi, je me souvenais vaguement de ma transe, j'avais attaqué... ou presque une innocente avant de tomber comme une pierre, je bougea les bras autant que ma forme Physique du moment me permettait de le faire, c'est-à-dire... pas grand chose, juste de subtile mouvement gauche et droite de quelqu'un qui cherchais quelque chose, dans ce cas précis, ses armes, car la jeune femme n'avait rien a voir dans tout ce tracas et je n'avais pas de temps a perdre. Je leva la tête vers elle... Elle avait vraiment attendu mon réveille? Surprenant, ou alors elle était curieuse... trop curieuse. Je rebaissa la tête, pour cacher mon visage, pas qu'elle n'avait pas eue l'occasion de le voir, je voulais dissimuler la légère crainte que j'avais, cette transe de bataille finira bien un jours par me tuer ou me faire faire un truc, qui même pour quelqu'un comme moi était regretable, j'avais déja enlever plusieurs vie, dont celle de mon meilleur ami, c'était d'ailleur la raison pour la quel j,en avait leur, mais je n'oserai pas le montrer. j'utilisa le peu de force magique qui me resta pour activer mon aura de courage toute rouge, pour moi, mais aussi pour elle, je n'avais rien contre elle, hors du fait qu'elle devait savoir ou était mes armes, même si je n'avais pas regarder bien loin. Elle avait des armes pointé sur moi, alors, vue mon état, pour une foi, je devrais rester gentil et obéir. Surtout ne pas bouger sans prévenir question de ne pas la stressé et recevoir une flèche entre les deux yeux. Je lui dit donc en premier lieux d'une voix exténuer, comme si je venais de combattre une armée tout seul et surtout, une voix beaucoup plus humaine qui faisait tache avec le crie de guerre inhumain de tout a l'heure.

-Je...Je vais essayer de me retourner  en premier lieux... Si tu as des question... j'y répondrai si sa met pas mes conviction a l'épreuve...

Je me retourna d'un mouvement très douloureux sur le dos, en parlant de conviction, je venait de sauter a pied-join sur mon amour propre ainsi que mon arrogance habituel, pas qu'elle m'inspirait le respect, mais plustôt qu'elle pouvait a partir de maintenant, elle pouvait mettre fin a mes jours. Je prit un long moment pour regarder les alentour et l,armement de la jeune dame, de loin derrière les mienne en puissance, mais sa faisait bien l'affaire pour se défendre, sauf quand un barbare sauvage vous rentre dedans sans prévenir. Je me demanda encore ou était mes hache car je ne les voyaient pas. Je décida donc de lui demander.

]b]-Sans vouloir vous accuser Lady, j'ai de bonne raison de penser que vous n'êtes pas étrangère a la disparition soudaine de mes armes, pas que je veux les utiliser, mais je me sens plus en sécurité avec voyez-vous?[/b]

Je ne tenta pas encore de m'assoire, c'était parfaitement innutile et en plus, sa risquerais d'être douloureux sans raison valable, j'avais besoin de dormir, mais face a une jolie dame, sa serait grossier, même si en téorie, je l,avais fait, pas longtemps, mais fait quand même. Je décida de lui sauver un peu de temps, je connaissait déja quelques une de ses questions, car c'était souvent innévitable.

-Pour mon nom, c'est tripalior, ce que je fais? j'aimerais mieux ne pas en parler, pourquoi je vous ai attaqué? vous allez me prendre pour un fou, mais c'est un problème de famille, pour faire court, Plus on est proche de crever, plus on est fort, mais on perd aussi la boule, donc tout deviens ennemies.

Je savais pas si ce détail allait la rassurer ou alors l'effrayer davantage, mais elle aurait surement poser la question et pour ce point, ce n'était pas aller trop loin dans les détail et rendu la, je lui devait un minimum d'explication. J’attendis donc qu'elle ouvre la bouche a son tour, car j'aurais aussi quelque question pour elle comme: êtes vous libre pour une bonne choppe d'hydromel a la taverne... non je rigole, mais pas sur le fait d'avoir des question pour elle.
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Freya Wolfkin


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Freya Wolfkin
Message Sujet: Re: Toute vie véritable est rencontre | Mer 25 Jan 2017 - 11:32


Lassée d’attendre le réveil du semi-elfe alors qu’elle ne devait pas tarder à reprendre la route si elle voulait se trouver un abri digne de ce nom avant la nuit, Freya avait préparé son départ non sans garder un œil sur lui. Elle avait rassemblé ses affaires et s’était résignée à s’attarder encore un peu histoire d’être certaine de ne pas louper un mouvement de la part de l’hybride, ou alors de s’assurer complètement de sa mort. Il fallait bien l’envisager. Et tant pis si son convoi s’était fait attaquer, ce n’était pas ses affaires après tout. Sur le point de se lever pour reprendre la route après cette mésaventure loufoque, la vagabonde arrêta son mouvement lorsqu’elle vit enfin remuer l’inconnu. Il semblait tâtonner, sans doute à la recherche de ses armes ce qui était un réflexe compréhensible. Il leva la tête pour la baisser aussitôt et elle se crispa un peu plus sur son arc. Malheureusement pour lui, il n’avait pas le droit à l’erreur. Un soubresaut de trop, une tentative d’altercation et la flèche pouvait partir. Sans ces haches et dans cet état, elle était sûre d’en venir à bout sans difficulté. La voyageuse attendit qu’il prenne la parole, n’ayant aucune envie de l’aborder la première. Elle lui laissait une chance de s’expliquer et c’était vraiment une exception qu’elle ne serait pas prête à refaire de sitôt.

Soudain, sans qu’elle ne sache vraiment ce qui se passe, une aura rouge enveloppa le corps du colosse et s’étendit autour de lui. Cet événement finit d’installer durablement la méfiance et l’aversion en elle. L’homme n’était clairement pas net. Lorsqu’il lui annonça qu’il allait se retourner, elle resta silencieuse mais faillit ricaner quand il parla de convictions.  Qu’est-ce qu’il lui chantait là ? Elle n’avait pas l’intention de remettre en cause les croyances absolues du semi-elfe, seulement de comprendre la situation de manière plus claire. Il bougea et observa les lieux. Il devait être déboussolé puisqu’il ne semblait pas reconnaître l’endroit. Sa voix grave s’éleva alors de nouveau, trahissant sa plus grande préoccupation :

-Sans vouloir vous accuser Lady, j'ai de bonne raison de penser que vous n'êtes pas étrangère a la disparition soudaine de mes armes, pas que je veux les utiliser, mais je me sens plus en sécurité avec voyez-vous?

Freya fronça les sourcils et banda un peu plus son arc. Non seulement le titre de Lady n’était pas adéquat –et puis il fallait l’avouer, elle ne ressemblait aucunement à une dame de la cour-, mais en plus il osait réclamer ses instruments meurtriers ? Jamais elle ne les lui restituerait si facilement après tout ce qui venait de se passer, quand bien même il essaierait de l'amadouer. Le silence s’installa encore puis finit par être brisé par l’hybride qui semblait délier sa langue plus vite qu’elle ne l’aurait pensé.

-Pour mon nom, c'est tripalior, ce que je fais? j'aimerais mieux ne pas en parler, pourquoi je vous ai attaqué? vous allez me prendre pour un fou, mais c'est un problème de famille, pour faire court, Plus on est proche de crever, plus on est fort, mais on perd aussi la boule, donc tout deviens ennemies.


Tripalior c’était un drôle de nom, mais elle n’était pas là pour en juger. En revanche, le reste de sa déclaration l’intrigua bien plus qu’elle ne le fit voir. Elle avait déjà eu vent de ces individus qui ne contrôlaient pas leurs démons intérieurs. Enfin il était plus juste de parler de forme de magie particulière plutôt que de démons. Une fois qu’ils laissaient leur force étrange exploser, ils devenaient inarrêtables. Le fait que cela se déclenche alors que l’étranger était à l’article de la mort était un fait inédit pour elle. Et puis de telles personnes étaient rares en Alagaësia et là, il lui parlait de toute une famille touchée par un pouvoir transmis génétiquement… Elle se concentra alors sur le point de sa phrase qui l’avait le plus dérangée. Le fait qu’il ne veuille rien lui avouer de ses activités était plutôt normal en soit, surtout s’il devait protéger une caravane, mais cela la frustrait. Elle abaissa un peu son arc de manière à attraper la liasse de papier qu’elle avait sorti plus tôt de la bourse de Tripalior.

Vous avez fait tomber ceci.

Sa voix était dure et son regard, perçant et froid.

Des plans de route de toute évidence. Faisiez-vous partie de ce convoi ? Vous n'avez pas l'air d'avoir passé le meilleur moment de votre vie. Par qui avez-vous été attaqués ?


Il lui fallait déterminer si d’autres victimes étaient à déplorer et si elle devait s’attendre à d’autres visites incongrues en plus d’en apprendre d’avantage sur son interlocuteur. Elle était pressée de mettre les voiles une fois qu’elle aurait pu -ou non- apporter son aide. Freya bougea un peu sur sa racine, elle était mal assise et passablement de mauvaise humeur. La bruine n’en finissait pas de tomber.

Vous devez avoir erré un bout de temps pour vous être éloigné à ce point du chemin indiqué là-dessus.

Les plans divulgaient plusieurs étapes. Cela ne devait pas faire longtemps que la caravane était lancée sur les routes. Les yeux violets de la chasseresse se reposèrent sur le visage de Tripalior, qui avait bien du mal à se redresser. Si elle voulait qu’il reste conscient pendant qu’elle l’interrogeait, elle devrait sans doute finir par examiner ses blessures. Cette pensée était loin de l’enchanter.

Quant à vos haches, elles sont désormais entre des mains moins promptes à s’en servir que les vôtres.

Avec un haussement d’épaules, elle ajouta :

Vous comprendrez j’espère que vous les rendre n’est pas ma priorité.

Elle jeta un œil à Ellara qui restait à bonne distance de Tripalior. Au moins elle était sûre que dans cet état, il ne pouvait pas lui voler sa jument, ce qui était rassurant.
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Tripalior


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Tripalior
Message Sujet: Re: Toute vie véritable est rencontre | Jeu 26 Jan 2017 - 19:13


Elle me montra les plans de route, certain avait été acquis de façon honnête, d'autre plus ou moins, en faite pas du tout, c'était des meurtre odieux, mais elle n'avait pas a tout savoir. Elle me parla du convoie pour la quel j'avait jouer au scout, bah, je sais pas trop quoi dire a se sujet, elle avait tout résumer, j'avais pas passé le meilleur jours de ma vie... en effet. Elle banda l,arc toujours un peu plus, je ne pouvais plus y faire grand chose, je l'écouta, toujours un peu dans les vapes, pas complètement réveiller, mais conscient et déjà interrogatoire. Je devrais répondre si je souhaitais récupérer mes armes et encore, avec le fait de lui dire que même si je ne voulais pas, je pourrais l'attaquer, selon moi, je pouvais les oublier pour un sacré bout de temps et je comprenais son point de vue, même si sa me fâchait réellement, mais ça, je ne le laissa pas paraître, trop fatiguant pour le moment. Je réfléchit a mes paroles, je devais réellement trouver quelque chose de brillant a dire, surtout qu'elle ne semblait pas avoir passé sa meilleure journée, surement moins douloureuse que la mienne, mais c'est qu'un léger détail. Après deux minutes a réfléchir et une a tourner ma langue sept foi dans ma bouche avant de perler, je me délia encore la langue au sujet de ses questions.

-Je suis mercenaire et on m'a embaucher pour aller voir en éclaireur et c'est a ce moment que j'ai été attaqué, deux brigand,un dont j'ai pas vu grand chose de lui, le second maîtrisait une forme de piège magique, c'est ça qui m'a presque tuer et pour le comment je me suis ramasser ici, j'étais en transe et c'est une grande partie a cause de la poursuite qui a été longue, elle c'est terminer quand je lui ai lancé l'une de mes haches dans le dos, puis hors de moi j'ai continuer de le frapper, mais au dernière nouvelle, ils sont tous mort, les dirigeant du convie m'on affirmer que si je ne revenait pas, ils passerait ailleurs, ce plan est la routes qu'ils m'on demander d'aller voir et effectivement, par la suite, j'ai errer un sacré bout de temps...

Je savais pas si je devais lui faire confiance, mais je n'avait pas le choix de toute façon, je ne connaissait pas la suite de l'histoire avec cette jeune dame, je resta coucher par terre, je pourrais surement m’asseoir, mais sa serait très laborieux, et sa me fatiguerait, de plus, elle trouvait surement plus sécuritaire de me voir ainsi au tapi, je ne pouvais pas blesser ou tuer grand chose ainsi, sauf si je rentrais en rage berserker, mais sa se produisait jamais deux foi dans la même journée anyway et pas quand je suis trop vidé de mes forces, il me fallait une certaine vigueur pour que cela fonctionne, je ne chercha pas non plus a récupérer mes affaires, rendu là, je n'avais plus rien a cacher, elle savait que j'étais mercenaire, ce que je ne voulais pas lui dire au départ, mais c'était foutu... déjà, juste a espérer qu'elle n'était pas du coté des pillards, car avec ce que je venais de lui dire, j'étais foutu Je fis aussi un effort pour lui répondre du coté de la hache.

-C'est le dernier souvenir que j'ai de mon père, alors sois, mais nos routes se séparerons pas t'en que je ne les aurais pas récupérer, alors si tu accepte de me supporter tout ce temps là, ça va le faire, de toute façon, je n'avais plus d'objectif précis...

Je souriais a ce commentaire, il y avait un brin d'humour et je voulais lui montrer, même si elle devait sans doute comprendre le pourquoi, elle ne semblait pas conne non plus et elle n'était pas non plus une pillarde, car elle serait déja partie, avec le peu d'indice qu'elle avait laissé, je me doutais un peu a quel genre de personne j'avais affaire et dieu sais que j'aurais pu tomber sur pire, chanceux j'étais et je le savais. Je rajouta donc:

-De toute façon, même si tu me la redonnerais, je ne pourrais même pas la porter, alors merci de les garder.

Une autre blague? certe, mais elle avait sa part de vrai, j'avais les yeux mi clos, comme si j'allais me rendormir, en faite... si, mais je faisais un effort pour que cela n'arrive pas, les vrais hommes n'on pas besoin de dormir(je rigole).
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Freya Wolfkin


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Freya Wolfkin
Message Sujet: Re: Toute vie véritable est rencontre | Jeu 26 Jan 2017 - 23:18


Tripalior lui déblatéra d’un coup toute son histoire sans prendre le temps de respirer, et Freya fut un peu étonnée que cela eut été si facile. Elle s’était imaginé le laisser en plan s’il n’avait pas montré un peu de bonne volonté. Mais le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il en avait eu. Il avait même été intarissable, embrayant ensuite sur les haches qui avait apparemment une valeur symbolique tout aussi sentimentale qu’utile. Cela elle pouvait aisément le comprendre, sa propre épée lui venait également de son père. De toute façon il n’avait pas de souci à se faire, elle ne pouvait s’encombrer de tels objets et elle les lui rendrait bien assez tôt. Elle leva un sourcil lorsqu’il s’essaya à l’humour. Le moment était-il vraiment bien choisi pour lui ? Il était presque à l’article de la mort.

Je vois…

La vagabonde reposa doucement son arc à côté d’elle et resta interdite un moment, se plongeant encore quelques instants dans la contemplation des blessures du semi-elfe. Ainsi il était mercenaire. Elle avait vraiment du mal à cerner ce genre d’individus à la fois brigands où gardes du corps, assassins ou protecteurs. Seulement loyaux envers l’argent, cela était certain, et envers celui qui était en mesure de payer le plus grassement. En y réfléchissant bien, ces bougres étaient des personnes bien avides. Il y avait tout un tas de manière de gagner sa vie plus honnêtement, mais jouer aux gros bras était ce qui rapportait le plus il fallait bien l’avouer. Dans tous les cas il fallait faire attention lorsqu’on décidait de fréquenter ces gens. Leur accorder  une totale confiance était idiot et on n’était jamais à l’abri d’une trahison. Même si Tripalior avait l’air sincère sur le moment, il en faudrait un peu plus à la jeune femme pour lui faire oublier ces détails. Elle énonça alors d’une voix claire, coupant court à ses réflexions :

Vous risquez effectivement de perdre votre contrat. Retourner auprès de vos employeurs en moins d’une journée pourrait s’envisager si seulement vous étiez en pleine forme. Mais étant donné votre état, vous pourriez tous aussi bien disposer d’un cheval que cela ne changerait rien.


Il était en effet trop faible et avait certainement perdu trop de sang. Rien que le fait de voir l’hémoglobine commencer à sécher sur son torse était impressionnant. C’était même presque un miracle qu’il ait réussi à rester assez conscient et logique dans ses paroles. La voyageuse se leva. Si le colosse n’exerçait pas une activité des plus nobles, il avait été plutôt correct avec elle (si on ne faisait pas référence à sa tentative d’assassinat ultérieure provoquée par sa folie génétique bizarre). Aussi sa décision fut de l’aider, aussi inconsidéré que cela puisse paraître. Elle était assez solitaire et n’appréciait que peu de compagnie, mais elle ne pouvait se résoudre à refuser son aide une fois qu’elle était un peu trop impliquée.

J’ai quelques connaissances en herbologie et je sais préparer des remèdes. Coupures, hématomes, grippes, infections, je suis capable de presque tout soigner dans la mesure du possible bien sûr…


Tout en parlant, elle fouillait dans ses affaires et en ressorti son minuscule chaudron, ses outres d’eau, sa sacoche pleine de plantes qui poussaient dans le coin où ailleurs et quelques bout de tissus achetés en ville. Elle releva la tête vers Tripalior.

Je vais vous aider à vous remettre de vos blessures comme je le pourrais. Je ne fais pas de prodige mais je peux vous éviter un empoisonnement du sang.


Freya alluma un feu tant bien que mal à cause de l’humidité ambiante, le protégea et mit de l’eau à bouillir. Puis elle se dirigea vers l’hybride afin d’examiner et de nettoyer ses blessures. La guérisseuse s’accroupit à ses côtés et se mit à inspecter d’un œil experts les nombreuses estafilades qui barraient le torse de l’homme-elfe, le reste du corps étant protégé par sa lourde armure. Certaines étaient plus superficielles que d’autres qui auraient besoin de sutures pour pouvoir se refermer correctement. Elle passa le textile imbibé d’eau sur les taillades –dommage qu’elle ne transporte sur elle aucun alcool, cela aurait servit-, apercevant au passage de longues cicatrices bien plus anciennes. Il en avait vu manifestement d’autres. Combien d’innocents massacrés pour un dessein égoïste ? En silence, elle lavait le sang et la terre avec des gestes précis, sûrs et méthodiques. Elle aussi, en avait vu d’autres.

Comprenez-moi bien, je fais cela uniquement parce que la vie est importante à mes yeux.


Elle lui apportait son aide parce qu'elle ne savait rien de ses crimes passés, taisant en elle la voix qui annonçait ses crimes futurs. Et puis elle ne lui sauvait pas totalement la vie non plus, contrairement aux apparences il aurait survécu, seulement plus péniblement.  Il ne fallait surtout pas qu’il pense qu’elle adhérait à ses principes ou qu’elle lui devait quelque chose. Elle croisa le regard de Tripalior, de manière à ce qu’il assimile convenablement ses paroles. Une fois le nettoyage des plaies correctement terminé, elle retourna à son chaudron pour préparer une pâte solide à base de plantain et d’usnée. Elle ne croisait par forcément beaucoup de monde dans la nature mais à chaque fois que c’était le cas, elle finissait souvent par soigner des blessés. Elle repensa un instant à Shyvaldalanos et Gallia. C’était en des circonstances presque similaires qu’elle avait fait leur connaissance. Freya sourit vaguement à cette évocation avant de se concentrer de nouveau sur ce qu’elle faisait. Elle devrait bientôt étaler cette mixture sur Tripalior. Il pouvait s’estimer chanceux qu’aucune plaie n’ait besoin d’être cautérisée. Par-dessus le feu, elle lança à l’hybride d’un ton ironique :

J’espère que vos instigateurs ont embauché d’autres gardes , parce qu’ils risquent de devoir se passer de vous.
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Tripalior


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Tripalior
Message Sujet: Re: Toute vie véritable est rencontre | Sam 28 Jan 2017 - 9:07


Je la regarda d'un aire a demi présent, j'allais surement bientôt m'endormir, une lutte contre le désir de dormir, même si à présent, a en juger par ses paroles, elle semblait neutre dans cette histoire, j'avais de la chance, car j'aurais pu tomber sur quelqu'un de malfaisant, contrairement a ce que les gens croient, je ne suis pas malfaisant, car il est bien rare que les gens paient pour détruire une vie innocente sans réel valeur, l'Appel des contrats d'assassina a toujours une cause, sois je dois tuer un autre meurtrier, sois une personne bien assez riche pour brûler sa propre maison et la faire reconstruire a loisir et ce, sans jamais manqué de rien, les bandit sont souvent des personnes qui doivent lutté pour leur propre survie ou celle d'autrui et qui en veulent au gens beaucoup trop riche et souvent assez avide pour en vouloir encore plus au détriment du plus petit en bas de la société qui dois non pas ce demander ce qu'il va manger au lendemain, mais SI il va manger, la question est bien différente et ne propose aucun choix au plus pauvre, donc non, je ne suis pas le genre d'individu a simplement buter l'innocent sur le bord de la route pour trois ou quatre pièces, je tue des gens de la haute société ou les pires racaille qui menace le bon peuple dont la tête est mise a prix par les dirigeant de la ville, a différences des simple briguant, je fais profiter de mes talent aux autres en échange de rémunération, je ne suis certe pas trop considérer comme responsable de mes crimes, mais je ne suis pas non plus la bienvenue en publique quand j'annonce mon métier, qui incite a la méfiance, mais il faut bien comprendre une chose : j'ai besoin d'argent pour vivre. Je n'ai pas une grande expertise en chasse, trapage ou en herbe comestible, je dois donc faire des escale pour acheter ma nourriture, alors je participe très bien au roulement de l'économie et donne une raison de vivre a plusieurs.

Je ne réfléchissait plus, j'étais toujours concentré sur l'idée de ne pas m'endormir, mais plus j'y pensait, plus mes yeux se fermait, je me souvins d'un truc que mon père m'avait appris : La douleur est le meilleur moyens de ne pas dormir et il est très souvent toujours a porter pour les gens comme nous. Elle me parla ensuite de m'aider a me remettre de mes blessures, parfait, a partir de maintenant, je n'avais plus aucune raison de la tuer, même si on me payait, j'étais ingrat, mais il ne fallait pas abuser non plus, car par chez-moi, il fallait payer pour les soins et elle n'en demandait absolument rien, je n'étais pas totalement insensible a ce genre de chose non plus. Mon contrat, mon employeur m'attendait, fichtre, elle avait bien raison, je devais y retourner pour lui faire le rapport, je bougea aisément mes jambe, de sorte a essayer de me lever tout juste après qu'elle nettoya mes blessures, quand le client payait, il avait droit a un service complet, même si a présent le chemin était libre, il devait le savoir, même si dans les fait, c'était irréalisable... Il ne pourrait pas me reprocher de ne pas essayer, cette pensée m'avait bien donné un peu de jus pour me tenir bien conscient... pour le moment. Je ne réussis même pas à me lever, je ne pouvais donc pas aller bien loin sans aide et loin de moi l'idée de lui en demander plus. Je resta donc coucher a ses dernière paroles de l'ironie, c'est bien comme ça que j'appel ça. Je retenta une dernière foi de me lever et cette foi par pur orgueil, cette force m'avait amener tellement loin et permis a faire des choses qu'il m'aurait paru impossible, comme il m'avait fait faire des choses très loin de la réaliser en terme de logique, comme le fait de se lever avant que m'dame ai terminer et sans repos, c'était tout bonnement innutile. Je lui dit:

-Si j'essaye pas de m'y rendre, sa va polluer mon nom de mercenaire et ce peu importe mon état...

Ses paroles avaient été bien difficile a prononcer, marquer de plusieurs pause et de bégaiement, sans toute foi être incompréhensible.

(Pas trop besoin de l'en empêcher, il ira pas loin, mais si sa t'amuse, va y)
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Freya Wolfkin


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Freya Wolfkin
Message Sujet: Re: Toute vie véritable est rencontre | Mar 31 Jan 2017 - 18:31


Freya resta concentrée un moment sur sa composition. Elle devait faire attention à bien doser les plantes, ne pas trop les faire bouillir pour en conserver toutes les propriétés mais en même temps les réchauffer assez pour qu’elles deviennent malléables. Ne pas trop rajouter d’eau non plus pour ne pas noyer le mélange. Pour un non initié, la confection d’une pâte médicinale était un véritable casse-tête. Pour elle, cela commençait à devenir une habitude. Lorsque les fruits de ses chasses étaient maigres, elle venait parfois en ville vendre ses médicaments et autres services de guérisseuse. Elle n’appréciait pas tellement ça, mais cela lui permettait d’acheter ce qu’il lui manquait. Et puis voir les sourires de soulagement des patients et de leurs proches lui mettait un peu de baume au cœur parfois, il fallait bien l’avouer.

Elle remuait patiemment la préparation quand les efforts que Tripalior déployait pour se mettre debout lui firent lever la tête. Qu’est-ce qu’il était acharné celui-là ! Il ne pouvait pas rester tranquille, même à deux doigts de s’évanouir ? Qu’est-ce qu’il espérait dans cet état, blessé et désarmé ? Il évoqua sa réputation et la vagabonde se retint de s’esclaffer ouvertement tellement la situation était risible. Le demi-elfe avait clairement d’autres chats à fouetter. C’était de la vanité de se soucier de ce que l’on pouvait colporter sur soi et ça ne l’empêcherait pas de retrouver de nouveaux contrats. Le pays était grand et il n’était pas un personnage assez important pour que les rumeurs s’attardent sur lui. Enfin, s’il continuait comme ça, il n’aurait bientôt plus longtemps à se soucier de sa soi-disant renommée. La jeune femme leva un sourcil et se replongea dans son chaudron.

A vous agiter comme ça et à ne vous préoccuper que de futilités, vous ne ferez que retarder votre récupération mais soit. Je vous souhaite bon courage.

*S’il croit que ça m’enthousiasme de le retaper…*


Elle mit un terme à sa confection, satisfaite de la pâte qu’elle avait réussi à produire et s’assit plus confortablement, laissant son regard errer sur l’hybride. De toute manière il était évident qu’il ne pourrait aller bien loin. Et même si par elle ne savait quel miracle -mais de tels miracles n’arrivaient jamais- il se débrouillait à retrouver ses employeurs, ces derniers pourraient revoir les termes de leur contrat. Un mercenaire aussi mal en point ne leur servirait plus à rien. Freya haussa les épaules et entoura ses genoux de ses bras.

Toutefois puisque vous m'aurez fait préparer ce remède pour rien, je garderai vos haches en compensation du mal que je me suis donné.


Ces armes rutilantes valaient bien plus qu’un médicament elle le savait pertinemment. Il faudrait être idiot pour prétendre le contraire. Elle était sûre qu’elles valaient leur pesant d’or sur n’importe quel marché d’Alagaësia. Si elle avait eu le vol dans les gênes ou si elle avait été complètement désespérée, elle se serait déjà enfuie avec. Mais elle n’avait jamais rien dérobé –sauf les fruits du pommier du vieux Harad avec Waen quand elle était enfant mais il s’agissait de menus larcins- et n’avait que faire de la richesse. Elle avait décidé d’aider Tripalior. Ce n’était peut-être pas très prudent ni très réfléchi mais elle n’était attendue nulle part n’est-ce pas ? Et il ne lui ferait aucun mal tant qu’il était désarmé. En fait, elle s’inquiétait plus de la possibilité de voir surgir d’autres bandits de grands chemins mais il ne fallait pas céder à la paranoïa, il n’était pas non plus courant d’en croiser à chaque détour.

Pour l’instant, le demi-elfe devait se résigner à prendre du repos. Mais s’il voulait courir à sa perte, elle ne le retiendrait pas. Chacun était libre de choisir son destin, aussi stupide que soit la décision.

Vous devez être payé un sacré prix pour que la mission vous tienne tant à cœur.


Impossible que l’orgueil ne soit sa seule motivation, non, c’était certain. Il y avait toujours une histoire d’argent dans l’ardeur de ces individus.
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