[Topic unique] Arrivée à Urû'Baen

je descendis de mon cheval, puis le mit de l'ecurie.

*Cela fait un bon moment que je ne suis pas allé dans cette ville!!*

*On va où?*

*Euh... A la taverne. J'ai besoin de me reposer les jambes.*

*ne te plains pas! tu étais à cheval J'ai du voler pendant...*

*Ca va, ca va..*

Leeloo arriva a quelques metres de la porte de la capitale. Les porte immense étaient impressionnantes. Leeloo s'arreta quelques minutes pour se reposer avant d'aller se désaltérer dans un taverne. Ses cheveux bleutés volaient aux vents et la brise lui carraissai le visage comme un message de bienvenue. Un groupe de soldats passa devant elle suivit de chevaliers. lle admiraitses hommes et ses femmes qui s'étaent entrainés, mais bientot ce seras a son tour de monter un cheval puis un dragon.
Leeloo sortit de ses pensées et repris son chemin direction la taverne ...

Wird salua les gardes de la ville , puis rejoins la taverne...

Samoth passa rapidemant, le voyage qui l'avait amené ici l'avait fatigué, il souhaitait se reposer tranquillement.

Wird entra dans la ville et se dirigea vers la taverne.

Sujet: Re: [Topic unique] Arrivée à Urû'Baen | Dim 20 Jan 2008 - 15:21

Shankaï étais sur le dos d'un bel étalon blanc, qui trotait a une allure modérée vers les portes de la ville.
Elle était grande, su haut de cette bête à l'air si sur, si noble, elle se tenais droite, tenant les rênes dans une seule main, lautre main étant posée sous sa cuisse. Elle était habillée à la manière d'une elfe, avec de fins habits élégants, mais pratiques en cas de combat, d'un vert aussi pure que de la mousse, la soie de sa robe se fendait au niveau des jembes pour lui permettre de chevaucher. Ses cheveux étaient tirés en arrière en demi que, laissant ses longeus boucles brunes tomber dans son dos, mais pas devant ses yeux.
Cepandant, sous cet air sur, ses manières robustes et ses habits distingués, ses yeux ne restaient pas plus d'une seconde immobiles, on sentait sa nervositée, pourtant très bien camouflée. Sous sa main, un petit poignard était caché par le tissu, mais parfaitement accesible en cas de besoin.
Son entrée dans la ville fut sans embauche, mais elle ne se détendit pas pour autant, cherchant desespérament des yeux une de ses connaisances.
Elle se dirigea sans accelérer vers la taverne, qu'elle espérait apartenais toujours à Takhis.

Le hasard était décidément une chose bien passionante... Vraiment, les hommes étaient bien peu de chose face à cette étrange phénomène, faisant tomber les dés aussi bien sur le deux que le six ou le trois. Ou encore permettant à une pièce d'atterir six fois sur face pour tomber la septième sur pile.
Mais ce n'était sûrement pas de son fait si, en ce matin frais où le soleil se faisait prier pour quitter son nid de nuage, un homme aux allures de soldat atteignait la ville d'Urû'Baen.

Assit deux mètres au dessus du sol, sur le dos solide de sa monture au pelage étrange, Zell goûtait tout particuliérement à ce sentiment de supériorité qu'il éprouvait en présence du commun des mortels. Les gens du peuple, ceux qu'il était si facile de tuer, de manipuler. Les gens simples. Incapables de se défendre et de défendre leurs biens.
Ces gens qu'il aimait pouvoir regarder avec hauteur, ou ignorer avec superbe quand leurs regards se fixaient sur lui, sur son haut cheval, sa gigantesque épée en travers de son dos. L'émerveillement des enfants l'amusait, l'admiration des femmes le flattait. Mais de tout, c'était la jalousie et la crainte des autres mâles qui lui plaisait, lui procurant une joie féroce, une impression de puissance et de force brutale, presque bestiale.
C'était sûrement ce qu'il appréciait le plus quand il arrivait en ville.

Urû'Baen ne lui était pas inconnu, cependant lors de ses précédentes venues, il avait prit la peine d'abandonner sa monture près du fleuve. Mieux vallait se faire discret quand on entrait dans une si grande ville pour y faire couler larmes et sang.
Perdu dans ses pensées, le jeune mercenaire observait d'un oeil vague les murs de la ville, ne tenant les rênes que d'un main, l'autre négligement posé sur sa cuisse. La dernière fois... Il était venu à la demande d'un semi elfe, pour ce qu'il s'en souvenait, et avait pour mission de réduire au silence un colporteur ambulant. Un homme assez petit, sec, d'une perversité sans fond. Il avait du essayer de le corrompre avec une somme impressionnante. Du moins pour un autre. Lui, l'or ne l'impressionnait plus depuis longtemps. Qu'avait dit le colporteur? Oui, en échange de cette or, il devait s'en retourner tué celui qui l'envoyait. Il avait accepté, prit l'or. Puis fini son travail, détachant la tête du petit homme du reste de son corps. Il l'avait réduit en de nombreux morceaux, avant de le distribuer aux quatres coins de la ville, entre les gamelles tendus des chiens et des mendiants affamés.
Ensuite il avait retrouvé Bouton d'or, les poches pleines de liquide. Il avait rejoint le semi elfe qui lui avait versé le reste de sa récompense. Il avait enfoncé son épée entre les deux oreilles pointus.

Il finissait toujours ce qu'on lui demandait de faire. C'était pour ça qu'on le payait. Même mort, la volonté son commanditaire était valable.
C'était ce qui l'amenait à Urû'Baen. La commande d'un autre mort. Un elfe également, qui lui avait demandé de tuer pour une somme assez fantastique, même pour lui. Ca remontait à quelques temps, mais il avait bonne mémoire: ce type lui avait versé la totalité de la somme sans attendre de pouvoir être sûr qu'il remplirai les clos du contrat.
Quand les types de cette guilde, avec qui il avait cheminé dans le désert, avait émit le nom de sa victime, il avait deviné qu'il allait enfin pouvoir mériter cet argent. En les cuisinant un peu, il avait réussi à le localiser.
Le trouver dans cette ville serait un jeu d'enfant.

La monture couleur pissenlis passa les portes de la ville, les gens s'écartant sur son passage. En même temps, qui aurait été assez stupide pour s'interposer à une telle masse de chair et d'os? Qui plus est monté par un homme d'armes? Pas grand monde. Quoique de toute façon, Bouton d'or n'aurait écrasé personne. C'était un cheval de guerre, dressé à la perfection. Il ne tuait pas sans que ce lui soit demandé.
Zell soupira et fronça légèrement les sourcils. La traque reprenait, enfin... Il s'enfonça à travers le dédal de rues, à la recherche d'un endroit où il pourrait trouver les pièces manquantes du puzzle.

Et il n'avait que son prénom. Velthégor...

Samoth avait marché tout le jour, et à présent, il arrivait aux portes de la cité, capitale de l'Alagaesia. Il devrai bientôt y rejoindre Ketis qui faisait des recherches à l'école des dragonniers. Le ciel était couvert, et la pluie risquait bientôt de recouvrir l'air, Samoth décida donc de rejoindre une taverne ou une auberge au plus vite...

Eänwen arriva enfin à Urû'Baen, après quelque jours de marche. Elle ne connaissait pas vraiment cet endroit mais au moins elle était toujours en vie. Elle observa ce qui se trouvait autour d'elle.
Elle avisa une taverne où elle pourrait manger et boire à son aise, et peut-être trouver quelqu'un qui pourrait l'aider dans sa quête.

Tonian et Rokna arrivèrent enfin en vue de la gigantesque ville qui malgré le temps passé n'inspirait rien de bon aux voyageurs cependant ils décidèrent de s'y arrêter car ils étaient trop épuisés pour continuer lorqu'ils ne virent plus que la muraille gigantesque devant eux ils demandèrent au garde en faction s'il pouvait rentrer et le garde très pointilleus dans son métier les questionna sur ce qu'il venaient faire ici et toutes les questions inutiles face à deux voyageurs fatigués mais qu'il avait surement eu ordre de poser à tout les voyageurs qui voulaient entrer dans la ville. Tonian et Rokna répondirent à toutes les questions une par une de plus en plus las puis le garde disparut et ils crurent qu'ils n'avaient pas le droit de rentrer et s'apprètèrent à monter un camp dehors quand ils entendirent le bruit des lourds gonds de métal qui coulissaient et ils en furent très heureux puis le garde leur lança un bienvenue à Urû Beän que Tonian aurait préférer plus chaleureux puis ils répondirent en coeur merci au garde qui devait lui aussi être épuisé. Et ils entrèrent dans la ville.

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