Pas assez sûre pour une jeune femme ?! Espèce de... De...

* Mysogyne ?*, chuchota une voix dans son esprit, avant de se retirer imméditement, quelque peu échaudée par l'accueil chaleureux que lui avait réservé Robert. Trop ravie de trouver le mot qui refusait d'agiter ses cordes vocales, Amayläe ne fit pas plus attention que cela au fait que quelqu'un venait de s'introfuire dans son esprit.
En quelques enjmabées, elle eut vite fait de rejoindre le chevalier et pour une fois, son heaume devait trouver son utilité - enfin, presque. N'étant pas particulièrement portée sur la masochie, la dragonnière se retint de lui flanquer son poing dans la figure et prononça un petit "Reisa" à destination du heaume...
Au grand désespoir des amateurs de marques rouges à cinq doigts et de clacs sonores, la dragonnière se retint - là encore, quelle maitrise de soi ! - de frapper le visage aisni découvert et se contenta de fourdoyer le chevalier du regard.

" Ne me conseillez pas au sujet de ce qui est bon pour moi, me suis-je bien faite comprendre ?"

Quelques racines affolées se rétractèrent en catastrophe au son de sa voix, de peur qu'elle ne les fasse roussir par la froid qui s'en dégageait. Non loin de là, une silhouette - pour l'instant dissimulée derrière les troncs - frisonna au milieu du grésil qui tombait doucement autour de lui...

* Réfléchis un peu espèce de squamate ! Tu vois une girouette dans un caverne, un presse papier ou un abruti relié à un bouquin dans le coin ? Et si t'appelles ça une forêt, c'est que ton cerveau doit peler en même temps que tes écailles, répondit Robert à l'adresse du dragon noir, toute son attention focalisée sur ce dernier. Que les abrutis sur deux pattes se debrouillent entre eux ! Si ce truc était apparu à cause d'eux, ils seraient pas là à trainer et à prendre des bouts d'âmes à tous ceux qu'ils croquent. T'as compris où il faut que je repète, squamate ?*

Suivant une droite étonnament courbe, le fragement qui louvoyait entre les troncs poursuivait inéxorablement son périple, ôtant par là toute chance à Robert de reconstituer son marteau. Il jeta un regard dégouté au manche qui sortait de son bras informe avant de le jeter au loin. Bras comme manche disprarurent dans la frondaison tenue à distance respectueuse par les récents eclats et l'espèce de golem se reduisit à nouveau en un tas de sable. Neuf pattes marron ne tardèrent pas à en sortir puis se parèrent de reflets dorés au fur et à mesure que l'humidité s'échappa de leur sable pour donner une forme acceptable à ce qu'il convenait d'appeler le corps de Robert. A quelques exceptions près, telle la carapace de verre laiteux qui formait une sorte d'écharpe autour de l'endroit ou commençait son abdomen, le résultat ressemblait à une araignée coiffée de l'arbisseau brun-rougeâtre.

" Hum..."

Les grappes d'yeux de Robert - alias l'Araignée de sable - disparurent brusquement dans la masse de sable, hormis deux pâles yeux bleu. Une fois ses problèmes de vision réglés - voir ce dragon noir en un seul exemplaire était déjà une épreuve en soi, alors par centaines ... -, l'ex bonhomme de neige, récemment golem informe, fit quelques essai avec ses nouvelles pattes. Au début, seul fut audible le crissement des grains de sable les uns contre les autres avant d'être remplacé par un cliquetis tout à fait arachnéen...

" Fini !"

Un suite de cliquetis divers et variés témoigna de l'enthousiasme de Robert, puis de sa stupeur lorsqu'un ouch retentit quelque part, suivit d'un éclat scintillant qui frôla Searwdyn et passa en rase motte au dessus de Robert. Le haut de l'arbisseau voltigea dans les airs, répandant sur qui le voulait de la sève rouge et granuleuse, puis retomba mollement sur le sol où il se tortilla comme un ver de terre.

" Joli bâton de reglisse !", s'exclama une voix, juste avant que son propriétaire ne se montre. Propriétaire qui ne possédait rien sur lui, hormis un pagne brunâtre passablement déchiré dont on se demandait comment il pouvait encore tenir sur un tel sac d'os. Les yeux de Robert montèrent d'une petite dizaine de centimètres en observant l'homme devant lui.
Aussi maigre que Famine - mais pas autant que Mort qui avait depuis longtemps dépassé le stade " plus que la peau sur les os " -, il... Non ! L'esprit de Robert se demanda un instant s'il n'avait pas décroché quelque part. L'homme était en train de manger la partie de l'arbrisseau tombée par terre avec une voracité peu commune.

" J'ai toujours aimé la réglisse ! Vous n'en voulez pas ?", proposa-t-il en tendant à Seardwyn un bout de l'arbisseau curieusement noir et luisant, tout en dévorant le dragon noir avec ses yeux verts et hagards, soulignés d'impressionants cernes noirs.

" Oh mince, excusez moi, je suis en retard pour la réunion. je n'ai rien loupé au moins ?", enchaîna-t-il tout en passant une main dans ses cheveux blancs - avec quelques touffes brunes tout de même.

(ha ok j'ai des petit probléme dut au nombre de perso mais sa va^^)

scoliro eu un sourir en coin. son interlocuteur parlait si bas qu'il eu presque a tendre l'oreil pour l'entendre. de plus sa facon de voir les chose marquait une originalité parmit la plupart des humains que scoliro connaissait.enfin il presentait des aspect un peut special qui d'un certain coté derangeait le demi elfe. Deja qu'il n'était pas confiant et cette personne n'avait pas le don d'endormir ce sentiment.

"il ne sagit pas du tout d'extra lucidité.."repondi-t-il sur le même ton"...ce n'était qu'une tournure destiné a vous demander un quelquonque renseignement sur la personne qui desormait m'apparait troublement comme notre disparu de service."

voila scoliro n'avait officielement plus rien a fair ici. mais de toute part la curiosité le devorait. cette foret cette ville qu'il n'avait jamais vu mais qu'il connaissai pour en avoir entendut parlé, ces apparition ect... avaient de quoi attiré la curiosité de tout homme meme le plus desiteressé.

"personnellement je vien des foret des elfes bien qu'ayan precedemment sejourné a uru baen. et savez vous qu'ils existe bien des moyen de sortir d'une ville dont les portes son close?"

il eu encore une fois un petit sourir triste qui passa inapercut sous son capuchon. de toute facont il était censé , juridiquement parlant, etre dehor de la ville a cette heur ainsi que solär qui semblai un peut debousolé dans tout ça. le demis elfe relfechit encore quand son interlocuteur(trice) reitera son invitation a palabré en de lieu moin propice au soupcont. ne voyant absolument pas pourquoi quelqu'un lui voudrait mal et etant a même d'ecarté la plus part de danger guetant les cotoyen dans le genre vol et agretion scoliro opina de la tête en guise de concentement.
*drole d'epoque*

" Dîtes, et si vous faisiez des phrases un petit peu moins compliquées ?, suggéra Belty avec un grand sourire qui s'effaça sitôt apparu. Cela n'atténuera pas le fait que celle que vous cherchez est sans le moindre doute morte, et d'une façon aussi sale qu'inédite..."

Il laissa passer quelques secondes de silence histoire de laisser à penser qu'il compatissait au sort de l'infortunée histoire de faire bonne mesure. son esprit n'en avait cependant absolument rien à faire et se réjouissait plutôt de ce qu'il venait d'entendre. Ainsi donc, il avait séjourné à Uru'Baen et admettait être un elfe, ce qui rimait avec respectabilité dans la plupart des mondes civilisés - même si Sil'Arn l'était bel et bien. Voilà qui pouvait s'avérer des plus intéressants pour son avenir. Quoique, l'autre semblait sûr de pouvoir se débrouiller tout seul pour franchir les portes. Une gravissime erreur de jugement que Belty - toujours à l'écoute de son prochain - comptait bien rectifier, une fois hors de vue de n'importe quel quidam.

" Le seul problème, c'est qu'il n'y a pas que les portes qui sont closes. C'est tout l'espace autour de la ville qui est clos, et même vos techniques pour vous retrouver à un endroit différent le temps d'un claquement de doigt ne fonctionnent pas.", commença-t-il tout en faisant signe aux deux de le suivre dans une rue bordée d'étals colorés et desertés.

" Le sacrifice d'Esphyn Bar'Ghain a permis de protéger la ville contre les intrusions extérieures si cela s'avérait nécessaire, et apparement, notre bon Sobek a jugé bon de commettre le sacrilège - diraient certains - d'éveiller la Tour du Ciel Chantant, plus de cinq siècles après qu'elle se soit tue...

Belty s'interrompit le temps de jeter un regard sur ses deux nouveaux amis - du moins espérait-il plus ou moins que c'était le cas et parfaitement réciproque - et décida de ne pas les ennuyer davantage avec toutes ces considérations historiques. Il tourna dans une ruelle étroite pavée d'une roche laiteuse et bordée de murs d'une blancheur immaculée...

" Lorsque vous quittez un endroit, quelque chose vous remplace à ce même endroit. Donc, si vous quittez un lieu clos, comme Sil'arn actuellement, il faut que quelque chose vienne de l'extérieur vous remplacer, ce qui est totalement impossible." , continua d'expliquer le guide improvisé, sans même se soucier de savoir si les deux y comprenaient quoi que ce soit. "Et c'est là que j'interviens. ah, c'est ici..."

Belty se pencha et ota dautour de son coup un médaillon de forme farfelue, l'enfonça entre deux pavés et souleva carrément le sol sur un cercle de moins d'un mètre de diamètre.

" Après vous, je vous prie", fit-il en indiquant les échelons d'une échelle qui plongeait dans d'obscures profondeurs." C'est là qu'est cachée votre clef pour la liberté. Et faites attention, je ne voudrai pas que vous trouviez une autre sorte de liberté..."

Du genre absolue et éternelle, mais c'était là une chose assez évidente, aussi Belty ne trouva pas nécessaire de la préciser à haute voix. Il se contenta de poser la plaque de métal recouverte de pavés de quelques centimètres d'épaisseurs contre un mur et de siffloter sans cesser de surveiller les environs et prêt à déguerpir dès que le besoin s'en ferait ressentir... A vrai dire, cette fameuse clef risquait fort de déclencher quelque esclandre ou peut-être la mort de quelqu'un...

(desolé j'ai eu ds probléme de carte graphique ^^)
scoliro soupira. il aurait dut s'en douté qu'un ville ayant pour voisin une foret poussant au milieu d'un desert devait avoir des protection un peut plus élaboré que les petit village avec leur balustrades ou patrouillait deux trois gardes sur leur palissade de bois.les batiment defilait sans qu'ils n'en aient cure, le demi elfe suivant son nouvel hote a longue foulé.

il ecoutat attentivement les explication que lui exposait son interlocuteur bien que n'y comprenant rien, il enregistra attentivement les nom et les legende qui luis servirait bien un jour, ou pas."le ciel chantant" scoliro s'pprétait a demandé de plus amples information sur se sujet quand son guide s'arreta devant un dalle tout a fait normal en apparence...en apparence seulement puisqu'il y enfonca alegrement un medaillon avant que ne se souléve un grande partie su perimetre.

"vive la discretion" murmura le demi elfe en regardant l'ouverture behante qui s'étalait devant lui. l'alusion de l'home fit naitre un demi sourir au coin de ses levres. il avait croisé tellement de phenoméne bizaroide d'evenement glauque, de salle horrifique qu'il pensait que la peur pour se genre de chose avait definitivement cessé en lui. pourtant il senti un frisson parcourir son echine devant cette beance sortie de nul part. exitation peur ? il n'aurait sut le precisé mais en tout cas tout ses sens le priait de fair passé son hote avant

affichant un sourir des plus naturel, mais dont l'accent ne se pretait pas au circonstance scoliro avanca d'un pas. il sifla un petit coup pour jugé la profondeur...profonde. trop pour sauté en tout cas se qui en sa calité d'elfe était un indisateur assé grand. prenant une inspiration il posa le piede sur la premiere marche de bois puis sur la deuxieme ect...

(moi il n'y a pas que la carte graphique ... c'est tout mon ordi qui a explosé !)

solär commençait à en avoir marre de rester sur le banc de touche. Surtout que depuis qu'il avait passé la porte, il avait l'impression d'avoir une sacrée g**** de bois
* de bois ? de métal, plutôt *
Il voyait tout ce qui l'entourait avec une sorte de lucidité affreuse. C'est dans ce genre de moment qu'on regrettait de ne pas avoir une bouteille d'alcool à 148° dans sa main. Il sentait nettement une lance lui transpercer la tête et avait l'impression horrible que cela ne serait bientôt plus une métaphore. Aussi, il préféra attendre que l'elfe soit passé avant d'y aller. Pendant sa descente, le noir le fit réfléchir et toutes les réalités l'assaillirent en même temps :
* Dame Wyen est peut-être morte je suis tout seul avec un elfe et un inconnu dans un tunnel sombre je ne connait pas ma destination j'ai peur du noir JE NE LA SENS PAS DU TOUT, CETTE HISTOIRE !*
...

Belty nota avec un certain triomphalisme que les deux semblaient hésiter à vouloir dans l'ouverture qu'il avait dévoilé exprès pour eux. On est moins sûr de soi, songea-t-il un instant avant de se lier à la plaque de métal au moyen d'une corde qu'il enroula autour de sa taille. Puis il s'engagea à son tour sur l'échelle et, arrivé au troisième barreau, il tira un coup sec sur la corde histoire d'éviter à un malheureux passant de tomber dans le trou - même s'il fallait le faire pour ne pas le remarquer. Avec un raclement, la plaque repris sa place initiale, plongea le tout dans le noir, ou presque. Une faible lumière orangée régnait dans les lieux, tout juste suffisante pour éviter de se prendre un mur par indvertance mais Belty était tellement habitué à aller et venir qu'il put descendre l'échelle sans encombre.

" Ne vous en faîtes pas, c'est tout à fait normal, dit-il en faisant allusion au manque de luminosité de l'endroit. Passer de la lumière à l'obscurité aveugle momentanément et ... et c'est tout à fait normal."

Il n'allait tout de même pas leur avouer que cela était prévu pour abattre des invités non désirables. Voir sans être vus, telle était la clef du succès dans les affaires qu'étaient les siennes - quoique actuellement, sa raison aurait nettement préféré nager en plein brouillard.

Marmonnant pour lui même, il sortit d'une de ses poches une poignée de billes de verre qu'il lança dans la quasi obscurité qui devint alors totale et opressante. Le seul bruit audible était celui des respiration et des billes de verre qui roulaient, roulaient. Soudainement, un raclement résonna tout autour du trio et un pinceau de lumière brillante se dessina à quelques dizaines de mètres devant les trois. Belty se retourna alors et fit signe aux deux autres de le suivre...
La porte s'ouvrit davantage et une fois les yeux accomodés, ils ne révélaient rien qui puisse nécessiter un tel besoin de discrétion. quelques tabourets disposés au petit bonheur la chance, un plant de citrouilles, des copeaux de bois, quelques bouteilles d'alcool bon marché ainsi qu'une table retournée sur le sol. De l'autre coté, d'épaisses tentures s'agitaient dans un courant d'air nonchalent. Ce furent vers elles que Belty s'engagea après un moment d'hésitation. Etait-ce vraiment une bonne idée ? Maintenant qu'il y repensait, il n'en était plus aussi sûr.

Son regard oscilla des tentures aux deux hommes et un soupir s'échappa de ses lèvres. Advienne que pourra, il pourrait toujours se mettre à l'abri au cas. Sa main tira le lourd tissus pourpre...

" Qu'est ce...?"

La voix avait onglé de derrière les tentures comme un coup de fouet, rauque et ponctuée de bruits bizarres. Quelque chose s'agita si rapidement que Belty ne vit qu'un amas de tissu noir voltger devant lui. Il acheva de tirer les tentures et se racla discrètement la gorge avant d'arborer le sourire radieux de celui qui vient de sortir un chapeau de son lapin.

" Ep, je te présente les gens dont je t'ai parlé il y a quelques jours. Voici...

Alors c'était ça qui se dérobait sous son doigt depuis quelques minutes déjà ! Il n'avait pas demandé leurs nom... Ni une ni deuxs, le cerveau de Belty démarra au quart de tour et lui fournit la solution tant et si bien que sa solitude ne dura guère plus qu'une fraction de seconde. Ce fut toutefois en adressant un regard entendu à ses deux invités qu'il reprit d'un ton joyeux.

"Voici Raïpo- Il désigna l'homme-et Rayek. Même si ça ne se voit pas, ce sont deux frères. Leurs parents étaient tout deux des demis-elfes et comme je le dis, dans ces cas, il y en a toujours un pour tirer toute la couverture à lui et laisser les courants d'air à l'autre. Mais je ne vais pas t'ennuyer avec toutes ces histoires de famille. J'ai du les ralentir tellement ils avaient envie de t'aider à résoudre tes problèmes... Ah mes je parle, je parle et j'en oublie mon bon sens ! Les deux Raï, je vous présente Ep, le plus surprenant de mes contacts. Ne vous fiez pas aux apparences, c'est le meilleur dans son domaine !"

Quel domaine ? La question était permise, bien que l'option nécromancie soit la première à sauter au visage. Son ample manteau noir était orné d'arabesques et de motifs mystérieux mais laissait toutefois deviner qu'il n'entrait pas dans le catégorie tas de muscle, mais plutôt fil de fer frôlant le mètre quatre-vingt dix. Ses gants remontaient si haut qu'ils disparaisseaient dans le noir de ses manches. Il en allait de même pour la botte de son pied droit, à cela près qu'elle plongeait sous les pans d'un pantalon noir. L'autre était inexistante, remplacée par ce qui semblait être une jambe de bois dont l'extrémité était si pointue qu'elle aurait pu servir de javelot. A cela, on pouvait ajouter un capuchon noir qui laissait apparaître les formes d'une grosse tête ronde dont la face était admirablement cachée par un masque de métal cuivré sur lequel on distinguait un visage ricanant.

L'un dans l'autre, Ep faisait furieusement penser à la représentation d'une lune rousse : un pan de nuit serti d'un visage rond et diabolique. Pas une seule once de son corps était visible, hormis ses yeux ou semblaient danser deux flammes. Vous avez dit nécromancien ? Il fallait peut-être mieux voir la porte à coté, chose que la raison de Belty aurait préféré.
A nouveau, la voix rauque résonna dans la pièce.

"Ravi de faire votre chonnaissance, frères ? Ech...Es...
- Excusez, souffla Belty
- Echusez moi pour le désordre ? J'ai été surpris - Ep crachait littéralement ses p.. - au beau milieu de mes affaires personnelles ? Je suppose - ... les mitraillait dès lors qu'ils étaient doublés..- che vous n'étiez- ... et il en allait de même pour les t - pas sûr de pouvoir me trouver ? C'est peutêtre mieux ainsi ? Le temps manche chruellement ? Chombien vous pesez !"

Belty soupira intérieurement, se maudissant d'avoir donné indiqué à Ep que l'intonation existait. Misère, c'était un miracle s'il était encore compréhensible ! En entendant le dernière phrase de son mystérieux contact, Belty se hâta de fournir quelques explications.

"Une histoire de transfert de matière à travers une surface plane.", fit-t-il, guère convainquant. Lui même n'y comprenait rien, alors expliquer cela à des gens que qu'il venait de mystifier...

scoliro observa minusieusemment les fait et geste du nouveau guide...il ne fut aveuglé qu'un trés court instant et ne s'en senti pas paniqué son aquité sensoriel lui permettant de placé a peut prés tout dangé dans un circonference de 20 metres.la lueur blafarde avait quelque chose de sinistre que le demie elfe n'avaiy jamais eu le loisir d'observé auparavant. bien que sachant que la situation ne pretaient point au escurtion scientifique il ne put s'empéché de tenté de localisé les sources. peut etre quelque plante phosforecentes ou un quelconque procédé magique en tout cas scoliro ne s'y attarda pas

Il s'interogeat brievement sur l'utilité des billes de verres lancé en travérs le couloir et en deduisi que le plus forte possibilité fut la desactivation d'un piege ou d'un sort destiné a d'eventuel visiteur inatendut. scoliro nota tout de même la direction par rapport a l'echel et le nombre de billes. le silence qui suivit fut quelque peut mal aisé puisque personne ne disait rien et n'avait decidemment pas envi de dire quoi que se soit. le roulement des bille continua un peut avant que le guide ne les invitent a le suivre.

scoliro fut etonné car celon le roulement des billle la porte aurait dut etre loin pourtant cette derniere ne se fit pas attendre bien longtempset debouchait sur un salle assé banal pour ce qui la precedait...la main de leur guide hesitat quelques instant avant de tiré sur une tapisserie se qui eu pour dont de ravivé les tention precedemment resentis par le magiscien...qui eut grande peinne et refoulé un sursaut facial quand apparut un "homme"; enfin se qui devait l'étre, derrier.

examinant repidement le nouvel intervenent scoliro en conclu qu'il devait avoir quelque rapport avec la necromencie mais il ne l'aurait pas parié. sa face destiné visiblement a faire peur n'eveilla qu'un vague sentiment de ressentiment dans le coeur du demi elfe, qui fut acru par l'expretion desastreuse du necromencien. premiere etonnement passé face au second. le fait que le guide mente efrontement ne pouvait que signifié qu'il se passerait quelque chose de desagreable si les evennement en fussent été autrement... se qui etait le cas. comment peut parlé de quelqu'un si on ne la pas rencontré. bon scoliro n'eu pas besoin du sourire entendu du type pour comprendre qu'ils avaient interet a joué le jeu...

pourtant l'histoire d'aide sonna aux oreilles de scoliro comme une siréne d'alarme. donc le passage ne serait pas gratuit... et encore si il ne sagissait que d'argent le probléme serait simple mais vu la tournure des chose il était evident que se ne fut pas le probléme primordial de leur nouvel "ami"...

saluant a la mniere elfique scoliro tenta de demélé les question et affirmation qu'enchainait le nouveau locuteur. chose faite il put repondre en ces terme choisissant soigneusement ses mot bien que contreirement aux apparence l'homme fut plutôt aimable:

"Raïpo pour vous servir... je pense pouvoir parlé en nos deux nom en disant que le desordre ne nous derange guére et que nous avont effectivement eu quelque difficulté a trouvé votre ... residence. pour se qui concerne nos poid je me suis rarement pesé mais je ne doit pas exédé la trentaine"...*normal pour un demi elfe les elfe eux son encore inferieur. pourvu que notre ami ne soit pas au courant*..."...et pour mon frere il serat plus apte a repondre que moi"

* et voila ...*

Un proverbe débile dit qu'on échappe pas à son destin. c'est faux. on peut échapper à son destin à conditon d'avoir une fiole de poison sur soi. Solär n'en avait pas et, de toute façon, il croyait fermement à un certain proverbe débile. En ce qui le concernait,son destin était de rencontrer des gens bizzares et de se retrouver dans ds situation impossible.

* et d'être complêtement largué à chaque fois *

... et aussi d'entendre des voix das sa tête qui se permettent de se moquer de lui. En l'occurence, ses voix lui disaient de fiche le camp d'ici, de rentrer chez lui et de vivre en paysant bien heureux. Malhereusement, la bouche n'obéit pas toujours au cerveau...

"Rayek, également pour vous servir. Mon poids est de 37 kilos mais je ne me suis pesé il y a un moment."
il ne croyait qu'à moitié à cette histoire de transfert mais préféra se taire.et puis, un mensonge avec des détails ressemble plusd à la vérité, de même qu'un cailloux peint en jaune ressemble plus à de l'or qu'un caillou gris.

Trente et trente sept ? Belty ne put retenir un regard pour le moins ébahis. Non, ils étaient en train de se ficher de lui, et surtout d'Ep !!

" Vous en êtes vraiment sûrs ?", s'entendit-il demander, à son plus grand étonnement. Non pas que ceci fut important pour lui, mais quand même. Il entendit vaguement Ep répondre quelquechose avant de s'évanouir.

" Il a dit qu'il ne voulait plus me voir faire ça ?", s'excusa Ep de sa voix étrange. Après tout, puisque Belty était évanoui, il n'allait pas être en mesure de voir la manière qu'utilisait Ep pour passer outre les protections qui entouraient Sil'Arn.
Ce furent la les derniers mots qu'il prononça dans ce qui servait de repaire plus ou moins secret à l'infortuné Belty...

Une bonne poignée de minutes s'écoula sans qu'il ne se passe la moindre chose de notable. Ep jouait les statues et un courant d'air s'infiltrait sous la deuxième porte de la pièce, charriant une odeur indéfinissable et dont il ne fallait mieux pas chercher à connaître l'origine. Une volée de cloches se fit entendre au loin, suivi du bruit du vent dans les arbres. Les verres qui trainaient sur la table commencèrent à trembler, puis la pièce se mit à tournoyer follement tandis que le courant d'air devenait une bourrasque. Elle arracha la porte de ses gonds dans un craquement sinistre, laissant entrer un volée de feuilles mortes et une poignée de graines ovales de couleur pâles.

Dans le même temps, la pièce se mit à tourbilloner dans une multitude de couleurs automnales, jusqu'à en devenir méconnaissable. Lorsque le tourbillon pris fin, il était évident le quatuor ne se trouvait plus dans Sil'Arn, mais à l'extérieur, dans l'étrange forêt qui y avait élu domicile. Quand à la pièce qu'il venait de quitter, elle était envahie par environ soixante dix kilogrammes de choses rondes déclinant les oranges à l'infini qui ne tardèrent pas à s'égailler en tous sens...

"Nous y voilà ?"

Drôle de choix comme lieu d'arrivée, mais Ep n'avait guère eut le choix. Il n'y avait pas d'ombre dans le Hadarac, mais là si, avec trout ce que ça pouvait impliquer comme conséquences tordues...

Y compris de se retrouver à jouer les poupée vaudoux avec des épines longues d'une dizaines de centimètres, ce qui n'allait pas tarder à arriver puisque elles étaient justement en train de fendre l'air vers les intrus, passant entere les 'arbres' qui glissaient sournoisement leurs branches pour frapper tout ce qui contenait du sang dans ses veines...

Ep sautilla pour avancer sur quelques mètres avant de se rendre compte que quelque chose manquait. Le masque se tourna vers les pousses issues des graines d'un même plan et constata qu'ils ne l'avait pas suivi. Il pivota alors sur lui même, et resautilla vers les deux autres et surtout celui qui le regardait fixement.

" Je ne chomprends pas pourchoi elle sont aussi agressives ? Peut-être charnivores ?, dit-il d'un ton songeur en suivant du regard les branches noirâtres qui vaquaient à leurs occupations comme s'il n'était pas là. A la base, l'envie lui manquait de faire mourir de faim ces pauvres plantes - ce n'était pas de leur faute si les mouches n'étaient pas fréquentes dans cet enfer de sable brûlant. Mais là, Ep réalisait qu'elles étaient un tantinet trop vigoureuses pour les deux - euh non trois - autres. Alors il émis une suite de sifflements et de bruissements qui gagnèrent auquel répondirent les craquements des 'arbres'. Doucement, les branches se retirèrent en se frottant les unes contre les autres là où il y avait des tâches de sang.

" Réglé.", annonça-t-il dans ce qui pouvait paraître un ton satisfait. Et il resta planté là tandis que résonnait au loin le bruit furieux de la pluie sur les feuilles puis une étrange mélodie.

"Pas rester là !!", cria Ep tandis que la lueur de ses yeux perdait en intensité. Contrairement à ce que l'on aurait pu penser, il ressentait la peur au plus plus profond des fibres de son êtres, tout comme il sentait que quelque chose d'étranger approchait à grands même direction que la pluie. Puis ce fut là, au départ simple pmbre se glissant parmi celle des arbres qui gagnait en substance au fur et à mesure qu'elle approchait, jusqu'à former un immense loup noir doté de deux immenses ailes vaporeuses. Dès qu'il fut suffisament proche, il ouvrit sa gueule et un hululement jailli de sa gorge. La chasse était ouverte...

(desolé pour le retard. je suis en vacance depui la mis juin donc j'était pas trop la^^)

scoliro reagit relativement vite. il tournat les talon et se lanca dans une foulé en direction opposé a la provenance du bruit. il atrapa le type evanoui au passage et constata que bien qu'il ne le generait pas par son poid dans sa course il limiterait grandement ses deplacement.il osat jeté un coup d'oeil par dessus son épaule et put admiré un ibride entre loup et chouette assé etonnant...et imposant.il reprimat un frisson espérant de tout coeur que les deux autres suivrait at assé vite pour surpassé le loup se dont il doutait. en effet les loup était rompu a la chasse et un homme ne pouvait pasd rivalisé avec eux en terme de vitesse...

*c'est la qu'on aurait besoin d'un bon dragon..*

il se demandait si la bestiol était toute seul. il penssait pouvoir sen chargé mais pas si une meute se pointait. vu l'apparence et l'aura de la bete scoliro pouvais a peut prés sondé sa puissance et sincerement il n'était pas sur d'y arrivé si une autre se pointait pour fair face. soupirant il se demanda comment il avait bien put en arrivé la...c'ets a ce moment qu'il se rememorat un detail. quand les branche avaient attaqué ep leur avait vraisemblablement demandé de se retiré... il tenta de se connecté a son esprit mais se dernier erigeait des rempart imprenable. il fit en sorte de se fair connaitre et attendi qu'il accepte le passage.

pendant ce temps scoliro se pris quelque branche qui lui eccorchairent la peau de facon superficiel mais en tout point desagreable. de plus le sang qui en degoulinait lui brouillait la vut. *a ce train on va pas fair long feut...*

La face masquée d'Ep se tourna vers scoliro qui tournait déjà les talons, emportant avec lui - ah, comment est ce qu'il s'appelait déjà ? - Belty, toujours aussi inconscient. En personne très conscienscieuse, Ep l'avait poussé à tomber dans le long sommeil hivernal - après tout, il semblait avoir suffisament de réserves pour tenir quelque temps à l'abri du gel et la terre dans le coin n'était pas aussi dure que le béton.
Puis elle se tourna vers l'espèce de loup qui, bien que carnivore, passa une langue rouge sur ses canines étincelantes tout en louchant sur Ep. il n'en fallu pas plus pour que ce dernier ne se mette à sautiller follement pour rattraper Raïpo. Hors de question de laisser ses deux seules chances s'évanouir dans la nature. Du bois craqua lorsque une branche trop butée pour s'éloigner vit Ep se planter dedans avant de repartir de plus belle, non sans proférer une belle flopée de ses sifflements et bruissements si caractéristiques.
Comme en réponse - mais avec un peu de retard -, il sentit quelque chose l'éfleurer et il pivota sur lui même, cherchant l'origine de cette étrange sensation. Si proche tout en étant loin et totalement étranger.

" Qui me parle ?, demanda-t-il, pas le moins du monde essouflé. Toi ?"

Raide comme un balai, il se pencha dans une cacophonie de craquement de bois indigné - l'espèce de loup ne semblait pas être resté planté là en attendant le déluge, bien au contraire - vers une espèce de fleur d'un rouge éclatant veiné de noir qui venait de s'ouvrir sur son passage ne projetant une salve de grains de pollen jaunâtre. Tout compte fait, ce n'était peut-être pas elle, ou peut-être était ce même lui qui se faisait des idées. Cependant... Rien que pour être sûr, il lança un tonitruant" De quoi ?!", à peine atténué par les gouutes de pluies qui commençaient à s'écraser sur les troncs noirâtres des abres dans un doux pschhhhh.

solär ferma les yeux. des nécromants,des branches tueuses, des loups bizzares et des fleurs qui balancent du pollen.*ça tourne vraiment au délire ...*
Il rouvrit les yeux ... juste à temps pour voir scoliro s'enfuir, portant le dormeur sur son épaule. Il commenca à le suivre, d'un pas léger tout d'abord, puis rapide lorsqu'il s'apercu que le loup le regardait.Il regarda derrière lui et remarqua que ce nécromant semblait s'attarder.
*et m**** ...*
il fit demi tour pour aller le chercher... et se prit les pieds dans une racine.Il s'étala par tere ,proprement, sans un cri. lorsqu'il se releva, on aurait pu voir sa tête fumer et sa peau rougir.Il s'approcha de...
* comment il s'appelle, déja ? ah oui, Ep*
Donc il s'approcha d'Ep asser rapidement. Il le vit sautiller vers lui, puis se retourner.
*mais qu'est-ce-qu'il fait ?*
Il approcha plus vite. Comme Ep ne semblait pas réagir, il cria
" Magnez vous, ep ! Vaut mieux pas traîner ici !"
Il le regarda, aparemment interloqué.

*merd** songeat scoliro*le vieux doit telement etre habitué a sa solitude qu'il ne sait même plus reconnaitre l'origine des intrspection psychhique*

il laissa le pseudo epouventail se demené tout seul jusqu'a ce qu'il finnisse par s'arréter.c'ets a ce moment la que scoliro se decida de se retourné pour regardé ce qu'il se passait... et constata ,non sans une certaine pointe de depis, que le reste trainait derrier. scoliro deposa son fardeau par terre et franchit les quelque trentes metres qui le separait d reste du groupe.solär sembai revenir de loin entre le ravalement de facade que les branche semblait lui avoir imposé(scoliro nota au passage qu'apaparement ces dernieres ait apparement un penchant pour l'incandescence)et les trace de boue d'herbe et autre desagrement apparement du a iune chute inopiné !

le demi elfe s'aprétait a parlé quand il observa l'espece de nuage jaunatre qui se dirigeai vers le petit groupe. Il murmura entre ses dent et une legere brise vint dipsers les grains en sens contraire de sote que le loup se retrouva au coeur de la nué.. pendant se temps le magiiscien vint au côté des deux energumen.


"vous savez qu'en restant planté la vous allez sureùment vous retrouvé dans une posture qui n'en suggerrera plus aucunne?"il marquat une breve pose puis se tourna vers ep"bon ...comme la fuitene semble pas etre vos points fort savez vous usez de la magie autre que pour des transféres?"

"Pas enraciné ici. Terre top aride., crachota Ep, un part de lui même cherchant toujours à déterminer qui l'avait appelé, de sorte qu'il ne faisait plus trop attention à la manière dont il tournait les choses. Belty lui avait pourtant conseillé de ne rien dire qui puisse révéler ce qui se cachait sous ce manteau et derrière le masque... Autre chose que les transferts ? Quelle chose était-ce donc que ce transfert ? Peut-être parlait-il de la fois où il avait fait venir ses filles ? Ca, il pouvait le refaire, mais se sentiraient-elles seulement bien ici ? Ne risquaient-elles pas un sort funeste au milieu de tous ces pousses pas très recommandables ? Et Si elles lui étaient à nouveau volées, comme celles de cette terible nuit ?
Ep oscilla comme un frême arbre dans le vent, ne pouvant trouver de solution salvatrice dans des délais aussi courts.

" Arrivée imprévue à une fête imprévue. Sorte transfert vers Lmnrimguroïm, là où il est même si je ne sais pas où il est. Besoin juste d'un peu de temps. Sinon, on peu courir, ça marche aussi, mais j'aime pas le pluie. Ca fait pourrir le coeur. Mais les animaux l'aiment pas non plus alors..."

Et puis, nul ne savait ce qu'un pluie toute bête pouvait faire sur ces arbres avides de sang, quoique pour l'instant maintenus à distance respectable. Déjà qu'ils fumaient à son contact alors si jamais elle avaient des effets plus dévastateurs que cela. Et d'ailleurs, d'où venait donc cette odeur chlorée ?

"Sinon, pour la chose, ça lui prendra des heures pour manger Belty en entier et nous profiterons pour abri sûr. Il ne peut déjà courir pas...", acheva-t-il en désignant Belty, toujours inconscient et en proie à un sommeil sans rêve... [color:aa8a=orange)" Peut-être déjà mort, même."

scoliro eu un moment de blanc. le type en face ne semblai pas comprendre la signification des mots qui lui etaient adressé. il fini par reprendre le fil en entendant le nom du type prononcé par les esprits d'uru baen*encore se limnrmachinbidulle....il comment ce me fair ch***. il eut n sourir par contre quand l'epouventaille luis proposat de fair bouffé leur hote en attendant que lui même puisse les transporté(dieu seul sais comment) a un autre endroit(dieu seul sais où)... bref tous ceci pour dire que le demi elfe n'en voyait pas l'utilité. il ne pourait certe pas transporté le dormeur mais n'avaient nul besoin de s'en servir comme apat. bref ils avaient juste a le laissé la et charger le destin de s'occupé de lui...

"je peut peut etre retenir la bestiole mais pas eternellent et je ne tient pas a m'epuisé tout de suite.... donc depeché vous de fair votre truc."

"Pas problème...", répondit Ep juste avant que la fente des yeux de son masque se s'embrasèrent de lueur automnales sur fond des bruits bizarres et inimitables d'Ep. Cette fois ci, rien ne vint tourbillonner, pas de vent bizarre ou d'autres choses issues d'on ne sait où. Il n'y eu plus que le chanson d'Ep qui ressemblait de temps à autre au bruissement de feuilles ou encore à suite de plop qu'un maïs destiné au pop corn n'aurait pas renié. Les secondes s'écoulèrent, puis les minutes tandis que rien ne se passait, hormis peut-être un flamboiement roux par ci par là et de temps à autre des bruits d'étincelles. Puis sans crier gare, tout ce qu'il y avait autour d'Ep se para de tons fauves, de riches dorés et de roux flamboyants. C'était comme si l'automne avait subitement décidé de repeindre le monde à son image.
Trop conscient de l'urgence de la situation, Ep y mit toute sa bonne volonté et une senteur de champignon se répandit en même temps que les teintes automnales progressaient. Il y mit d'ailleurs tant de volonté que le résultat dépassa de loin ses espérances les plus folles car le phénomène ne se contenta pas de rester là où il avait commencé. Non, il se répandit à travers toute la forêt, provoquant sur son passage les crissements indignés des 'arbres' avides de sang. Il atteignit une boîte de conserve en armure, arracha un soupir nostalgique à Robert, alla titiller un dragon et une dragonnière avant de s'écraser contre les remparts de Sil'Arn telle une vague contre le granit. Cela provoqua d’ailleurs un émoi chez ceux qui n’étaient pas encore chez eux, confortablement installés dans leur hamac en train de roupiller. Un malheur de plus ? Peut-être la fin du monde tant annoncée ? Ou tout simplement la lubie de quelque artiste manifestement dérangé ? Personne ne savait trop et à la vérité, personne ne tenait vraiment à explorer tous les dessous de la question vu qu’on ne savait pas trop ce qui pouvait s’y tapir en attendant de vous sauter à la gorge.

« C’était la plus belle chose que j’ai jamais vu, devait raconter par la suite un caravanier à ses petits enfants. On aurait dit que le sable s’était mué en poussière d’or, d’ambre et de cuivre qui miroitaient sous le soleil… »

Par la suite, certains devaient même prendre ces mots au pied de la lettre et chercher au pied des remparts ces fameuses poussières précieuse mais cela n’allait pas se passer avant plusieurs bonnes années. Bref, le présent était de toute façon nettement plus intéressant, surtout lorsque l’on regardait du coté d’Ep qui ô miracle semblait avoir disparu dans cette vague de couleur automnale, en même temps que tous les êtres vivants qui n’étaient pas les étranges arbres de cette forêt. Quoique… Il semblait y avoir quelque part une clairière qui n’était pas là auparavant. Etrangers perdus dans un monde qui n’était pas le leur et qui les agressait aussi durement. Pour certains des arbres sanguinaires, c’était du suicide que de s’y enraciner profondément, et forcément, lorsque quelqu’un comme Ep s’essayait sur les transports longue distance dans des conditions qui n’étaient pas optimales, il y avait parfois des passagers en plus dans la cargaison…



A Shereän, c’était le jour du grand marché qui se déroulait au solstice d’été. En cette occasion, l’immense spirale d’or lovée autour de la cité jusqu’à la base même de la haute tour du feu semblait s’être vue parée de guirlandes bigarrées qui ondulaient doucement dans le vent. Voici ce qu’aurait pensé n’importe quel voyageur lambda an levant les yeux. Puis il se serait ravisé en se rapprochant et se serait rendu compte que ce qui était suspendu à la spirale d’or n’était ni plus ni moins qu’une multitude d’échoppes toutes reliées entre elles par des passerelles de tissus – magiquement modifié pour éviter que le malheureux client ne passe à travers ou ne chute dans le vide avant d’avoir pu dépenser son argent. Et plus le client montait sur la spirale, plus les prix ainsi que la qualités devenaient élevés, tant et si bien que les plus hautes échoppes n’étaient fréquentées que par les gens qui pouvaient se le permettre – avouons le, il y avait plus important à faire que gravir quelques centaines de mètres pour aller baver devant les étals. Parmi ces gens là, dont la plupart se targuaient d’être importants se trouvait un individu connu sous le nom de Liarniss. Revêtu de somptueux habits blancs et argent, il avançait au milieu des échoppes, un sourire de façade plaqué sur ses lèvres.
L’opération avait été un bérézina complète et si la mère était morte, sa traîtresse de fille avait semble-t-il échappé à son châtiment. Pourtant, les exécuteurs qu’il avait envoyés n’étaient pas des débutants et pour ce qu’il en savait, son mystérieux allié avait aussi mis quelques bons éléments sur le coup. Visiblement ce n’était pas suffisant et Liarniss se rendait compte qu’il aurait à faire avec plus forte partie que ce qu’il avait escompté. Ces chiens des terres de l’Est avaient été capable de faire tomber un astre sur ses hommes à lui pour en venir à bout. Même les astrologues n’avaient pas été capables d’en faire autant lorsque ils avaient été exterminés sans la moindre once de pitié.
Il aurait pu demander au Seigneur Scintillant de régler le problème, mais ç’aurait été admettre l’ampleur de son échec et se voir condamné à un sort peu enviable. Oh non, il fallait qu’il prévoie de passer à la vitesse supérieure et pour ça, il lui fallait consulter les prophéties du Prophète bâillonné pour chercher le moindre grain de sable susceptible d’enrayer ses plans. Il y avait eu ce tremblement de terre, l’astre tombé des cieux avait déchiré le vent et s’il ne se trompait pas, la mort de l’eau devait correspondre à la sécheresse. Exactement comme dans la prophétie.

*Quel dommage qu’il n’y ait pas un moyen de combattre les Maudits dans ces prophéties !*, regretta-t-il avec amertume. Les maudits… ce ne pouvaient être que ces chiens des terres de l’Est ! Et il était temps de trouver un moyen de mettre fin à leur malédiction...
Le vent s’engouffra dans les habits de Liarniss et il jura à voix basse tandis qu’il sentait que quelque chose n’allait pas du tout dans les parages. Oui, cela avait même l’audace d’utiliser de la magie sous le nez du Seigneur Scintillant sans la moindre autorisation !

Et quelle magie, puisque ce n’était ni plus ni moins que le fameux rendez vous surprise à la fête du Sieur Ep, encore tout chamboulé d’avoir du faire si vite. Il avait d’ailleurs été tellement pressé qu’il avait laissé de côté quelques détails secondaires, comme la précision du lieu d’arrivée. En clair, il avait loupé son but de plusieurs centaines de mètres, tant en hauteurs qu’en distance pure et simple. La vague de couleur automnale se retrouva donc à venir chatoyer entre les colonnes des catacombes de Shereän et lorsque elle se dispersa, les ténèbres engloutirent Ep ainsi que les trois qui l’accompagnait. Pas pour longtemps cependant puisque une lumière orangée clignota par intermittence devant Ep.
Il était aussi loin de son monde douillet que de la forêt sanguinaire qu’ils avaient quitté en catastrophe. Les ombres chassées par son clignotement orange ne cessaient de se mouvoir et de se lover à la frontière de la zone lumineuse comme si elles étaient vivantes. Avec un raclement suivit du bruit d’une jambe de bois contre un sol de pierre, Ep s’appuya contre une colonne de pierre ornée de runes incompréhensibles. Il sentait la fatigue l’envahir et lutta pour ne pas piquer un petit roupillon là, tout de suite. Quelque chose de malsain flottait dans l’air et semblait n’attendre qu’une baisse d’attention de sa part pour le transformer en un tas de bois mort. Peut-être n’était ce là que de la paranoïa, peut-être pas. Pour une fois, Ep était content de ne pas être seul…

« Tout va bien ? », se risqua-t-il à demander dans un murmure semblable au bruissement du vent dans les feuilles. Que pouvait-il faire d’autre sinon montrer qu’il s’inquiétait pour eux. Qu’il n’était pas un monstre sans cœur qui se fichait de les avoir embarqué dans cet endroit qui - comment aurait dit Belty ? – empestait la mort à trois plombes. Non, ce n’était ça l’expression. Qu’est ce que c’était ? Qu’est ce que…

« Sortez de là ! » ,rugit-il sans se soucier de quoi il pourrait bien attirer l’attention. « Laissez moi !! Laissez moi ! »

Il hurla ainsi pendant une bonne minute, avant de se appuyer contre la colonne.

« Morts…. Tous morts… Perdus dans le noir… »

(c'ets nous qui somme pomé???) bon bah on vca fair comme si non)

1ere option sco debarque avec ep dans le joli monde:

scoliro se senti come aspiré vers ep. cette senstaion fit naitre une impretion de sureté qui le trompa.en effet le gentil toutou qui s'amusait avec lui planta ses canine juste au dessus du poignet du demi elfe lui brisant l'os principal, un demi second trop tôt et scoliro senti le mugissement de la douleur s'levé dans son cerveaux . tentant de lutté contré l'evanouissement il fit coulé un flux de magie en travers de son cannal nerveux pour en apaisé les sens.. la douleyr s'atenu luis permetant de reprendre ses idée.

il fut une nouvel fois secoué et appraut dans un endroit inconnu a a peut prés tout le mondea en jugé pas la tête des gents. enfin si il y avait eu des gents autre que ep qui semblai plus proche de l'enterrement que de la cremation enregetique... cet instant de confusion lui fit presque oublié qu'il n'avait presque plus qu'un moignon de peau qui pendait au bout de son bras..scoliro regarda et eu un gemissement de degout incontenu. non seulement il avait le bras dechiqueté mais en plus la moitié de la tête du loup etait resté avec lui les dans planté dans sa chair*au moin on sait comment l'abatre maintenant...*...ne peut il s'mepeché de pensé.

poussant un soupir il fut prit de vertige. se ragrippant a ce qui lui venait sous la main;ce dont il ne se preocupat guére; il se ressaisit . il regarda encore une fois son bras et d'un coup sec en arachat les debrit felins. puis utilisant toute sa puissance magique il se mit a réparé peut a peut son bras . pas entierement juste les systhéme nerveux et a relié les fibre musculair entre elle, a replacé les bout d'os dans le bon sens . puis il regarda son travaille eu un sourir et renit tout ce qu'il n'avait pas encore diggéré , a la terre.il s'ecroula même sur place ou il demera la plai beante et saignante.

En parlant de mort, il allait y en avoir un de plus, et cela ne fit rien pour changer l'étrange état d'esprit d'Ep. Il tournait maintenant sur lui même comme une toupie abandonnée par un enfant peu soigneux dans le noir. Tous morts, tous perdus dans le noir, sans personne pour les amener à la lumière. Abandonnés par les leurs, ils erraient dans la nuit, avec le silence et leurs larmes pour seules compagnies. Ah non, peut-être que maintenant ils allaient aussi avoir un chien de compagnie. Un peu agressif, un peu incapable de ramener les balles de jade, mais un brave loup tout de même. Lui non plus ne voyait privé de sa liberté, coupé de ses ailes...
Il vit sans le voir l'un des deux frère s'atteler à la guérison de son bras et s'écrouler à même le sol, soulevant un peu de poussière qui voilà un moment l'éclat de feu derrière les fentes des yeux du masque. Perdues, ces frêles créatures semblaient l'être à jamais, loin de lui, sous un ciel qui n'était pas le leur. Tout cela par sa faute. Ep continua à tournoyer sur lui même, à décrire des cercles comme s'il était ivre, s'éloignant de plus en plus du sang et de la mort... Jusqu'à buter dans quelque chose de mou et à manquer de s'étaler...

 « Hé ! Pourriez pas faire un peu gaffe où vous mettez vos pieds ? », protesta Belty d'une voix pâteuse.  « Et c'est quelle heure là ? »

Pour lui, il faisait nuit, il y avait des nuages et il était allongé à même le sol, à contempler deux lucioles oranges. Il avait aussi un mal de crâne épouvantable et des courbatures de partout, comme s'il s'était enfilé plusieurs tonneaux à la suite de cette vinasse servie au Dromadaire Enchaîné. Pourquoi est-ce qu'il était allé dans ce trou à rat en compagnie d'Ep avec deux frères qu'il ne connaissait même pas ? Et quelle saloperie est-ce qu'on avait fourré dans son sachet d'herbes à fumer ?

 « Ep, tu peux pas faire quelque chose pour ces lumières oranges ?... Ah merci ça va mieux ! »

Bon sang, ce qu'il avait mal à la tête ! Belty n'osa pas se relever de peur de tomber dans les pommes et commença à marcher à quatre pattes vers l'endroit où il gardait sa bassine d'eau froide pour les matins de gueule de bois. En lieu et place, il mit ses mains dans quelque chose de particulièrement gluant, désagréablement tiède.

 « Erk ! »

Dans quoi est ce qu'il venait de mettre la main ? Belty se redressa et sentit le monde tournoyer autour de lui. Il tituba dans le noir sur quelque mètres avant de se cogner dans un Ep qu'il reconnut à la dureté de ses bras.

 « T'as fait quoi de la lumière ? »

Devant le manque de réponse de la part d'Ep, Belty pesta un peu trop fort et se dégagea de son compagnon pour rencontrer un pilier. Pas le genre de truc qu'il gardait chez lui...

 « Eh mais on est où là ? Tu pourrais répondre un peu ? »

Une suite de bruits secs plus tard, une flammèche éclaira le visage de Belty qui se décomposa lorsque il vit dans quoi il venait de marcher...

 « Ep, fais moi de lumière, espèce d'abruti ! Oh et puis va te faire cuire un œuf. »

Tenant son briquet à amadou d'une main, Belty sorti une flasque et en versa généreusement le contenu sur les plaies avant de tenter de faire des pansements avant les lambeaux de sa chemise, choses qui lui prirent un certain temps et tirèrent de ses lèvres bons nombre de jurons colorés sur le comportement d'Ep.

 « Oh non, c'est pas vrai ! Pas maintenant ! Reste allumée, vas-y reste allumée !

En dépit de ses suppliques, la flamme s'éteignit, plongeant tout dans les ténèbres les plus totales. Les mains de Belty eurent beau s'escrimer sur le briquet à amadou, la flamme ne voulu par revenir, ce qui causa chez lui un véritable accès de panique. Il n'était pas magicien, Ep avait éteint ses lueurs et il y avait un mourant avec lui dans...

 « Ep ?! Dis, où est ce que tu nous a emmené ?  Eeeeep ?!
Tu pourrais pas allumer tes trucs oranges que je parle pas dans le vide ? Ah voilà c'est mieux... Merci Ep, c'est sympa d'en avoir fait autant mais pourquoi tu les as faits aussi loin ? Et ça veut dire quelque chose qu'elles ne soient pas oranges ? »

Derrière lui, Ep ne daigna répondre que par un soupir désespéré...

 « Ep ?! Dis moi que trucs rouges là bas c'est toi qui les as fait ? »

La voix de Belty devint suppliante, comme s'il souhaitait plus que tout au monde que Ep soit leur créateur. Au loin – si tant est qu'on pouvait mesurer des distances dans le noir – il voyait presque les points lumineux se déplacer. Non, non, non, non ! C'était une hallucination, juste une hallucination ! Faites que ce soit une hallucination !

 « Par pitié, réveillez vous, allez !! »

La panique lui ayant fait perdre bon nombre de ses moyens, Belty ne trouva de meilleur moyen de réveiller le blesse qu'en lui assénant des paires de claques à tout va.

 « Pou l'amour de dieu, réveillez vous !

 « Dieu ? Qui est ce donc ? 
 « Il ne vous aime pas, on dirait ! »