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L'éveil

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Brexinga


Nombre de messages : 6699
Âge : 33



L'éveil Vide

Brexinga
Dirigeant de l'Umettelig Jeger
Message Sujet: L'éveil | Jeu 20 Fév 2014 - 4:07


Partie 1 : L’éveil

Il avancait, lentement mais surement, il continuait son avancée périlleuse à travers les collines et les rochers. Ses sens étaient au aguet, il regardait autour de lui et essayait d’entendre tous se qui l’entourait. Un voyage aussi dangereux ne se faisait pas sans préparatif ni courage. Il avancait, pas par pas devant sa destiné. Son amour, son âme soeur avait disparu il y avait de cela déjà deux semaines et le dernier endroit ou elle avait été vu était ici, dans un profonds ravin perdus, au milieu de la terre dans la plus grandes chaînes de montagne en Alagaesia.
Il voyageait léger, sur de lui. Ses pas était sûr et prudent mais pressé, elle lui manquais, il était inquiet, jamais auparavant elle n’avait disparu aussi longtemps. Beaucoup de conte se faisait entendre parmi sa tribu sur cette région. On la disait maudite et terrible, tous se qui y pénétrait mourrait disait-on, sans aucune chance de revenir en arrière ni de se défendre. Lui n’en croyait rien, il était fort et fier, un des plus courageux de sa tribu, ne reculant jamais devant un défi ou un ennemi, d’ailleurs il en portait déjà des marques.
Il l’a voyait arrivé, elle n’était plus qu’a une vingtaine de mètre, la zone noire, c’était comme sa qu’on l’appelait. Il fit une pause, un bref instant histoire de se ressaisir. Il était sur le point de continuer sa curiose épopée lorsque quelque chose attira son regard à l’ouest. Il ferma légèrement ses paupières, sa vue face au soleil s’en voyait réduite et après ses longues journée de marche il ne pouvait plus aussi bien discerné mirage et réalité. Une petite forme était étendu plus loin de lui,à environ 15 mètre seulement, elle semblait inerte, mais dans ses yeux encore ouvert on pouvait y lire la peur. Il n’en fallut pas plus. Il avait reconnu sa femme, alongé la, inerte, grillant sous le soleil chaud de l’après midi dans cette terre arride ou rien ne poussait plus. D’un bond il s’élanca et se mit à courir à toutes vitesse. Ses jambres puissantes lui permirent de descendre sans trop de risque la pente abrupte.
Soudainement il sentit un malaise en lui, une incroyable douleur, on aurait pus lui couper chaque once de son corps qu’il n’aurait pas autant souffert, c’était comme si quelqu’un était en train d’essayer de lui arracher tous ses muscles sans avoir au préalable enlever sa peau et ainsi d’un coup il sombra, son esprit s’envola vers les ténèbres de la mort et son corps resta inerte.
Drole de créature les lézards, si malins, si curieux et pourtant si faible. Un rien en venait à bout. Son énergie vitale quitta son corps et voyaga des dizaines et des dizaines de mètres sous terre, comme l’avait fait mille et une créatures avant lui, plantes, oiseaux, insectes, lézards, moutons et chèvres, aucune choses possédant un tant soit peu de vie y avait survécu. Elle descendait toujours plus profond sous la terre pour en trouver la source, la source de tous les malheurs, de toutes les destructions de se paté de rocheuses. Une menace longtemps oublié, endormit, qui avait tenté de trouver le repos éternel mais qui à la place avait sombré dans la folie et dans un vide. On dit qu’un homme n’est jamais complet tant et aussi longtemps qu’il sera seul, l’inverse est aussi vrai, un homme ayant tous perdu se qui lui était le plus precieux ne pourra plus jamais être complet.

Dans la noirceur totale de cette grotte, une colère ancienne s’apprètait à se réveiller, ses idées était noircit, elle était pourtant clair. Il n’avait été qu’un chien perdu, un chien couronné, mais un chien, il n’avait été qu’une personne sans but ni mission clair qui courrait après un os. Étrange se que pouvait faire un seul homme en semant simplement une goutte d’anarchie dans un monde de paix. Après tout, il n’avait jamais rien fait de tant grandiose mais il avait déranger l’ordre préétabli partout ou il était passé et maintenant il se comprenait. Il n’avait jamais été un bon politicien, il avait toujours eux sa magie pour le faire. C’est mot n’avait toujours été que des lames dans les défenses mentales de ses adversaires, mais jamais il n’avait été le plus brillant sur les point de vue politique ou économique. Bon stratège millitaire, homme craint de plusieurs, il n’avait acquis se qu’il avait que par le sang et la souffrance. Il avait longtemps crut que sa croisade lui permettrait d’oublier son passé, d’oublier son chagrin, le manque qui lui percait le coeur chaque fois qu’il la revoyait. Elle était partout, dans les étoiles, dans ses pensées, dans ses rêves, chaque fois qu’il fermait les yeux il l’a revoyait, si jeune, si innocente, si belle et fraîche et la fois. Elle lui avait manqué, tellement manqué qu’il avait tenté d’apaiser ses souffrances par la douleur des autres. Il avait d’abord tenté de s’emparer du royaume de l’Alagaesia au complet, croyant son désir de puissance surpasser celui du coeur mais il s’était trompé. Il avait ensuite jeté son dévolu dans des entrainements, toujours plus dur, toujours plus ardu au coté de deux des plus grand parjures que le monde n’avait jamais connu, Laiaga et Svean. Il s’était surpassé, ses connaissances du monde avait augmenté à une vitesse incroyable, ses connaissances en magie et ses habileté au combat. Il n’était plus le même homme lorsqu’a sa sortit des murs de cette salle il avais entrepris sa dernière grande oeuvre.
Il devait se venger, il devait tuer, tenter d’assouvrir son pouvoir sur la seule chose qui lui avait toujours été interdit. Il ne désirait plus uniquement de diriger les hommes, il voulait devenir le suprême empereur de tous se qui vivaient, surtout de ceux de sa race. Il avait kidnappé leur reine, tuer au passage un des plus grands magiciens de son époque, Pierrot, du moins c’était se qu’il croyait. Encore aujourd’hui les habitants de l’Alagaesia devait surement en parlé, Brexinga, le Saint empereur, l’assassin de Pierrot.
Cette victoire ne lui avait cependant procurer qu’un nouveau sentiment de vide, quelque chose clochait en lui, dans ses pensées, dans son âme et il le savait. Il avait donc disparu, un bon matin sans laissé de trace ni d’aurevoir. Il avant abandonné ses fonctions, laissé seule son apprenti derrière lui, la sachant plus qu’apte à fonctionner et était aller s’enfoncer dans un des endroits les plus creux de la terre, les chaînes des Beors. Il se coupa de tous contact avec la réalité, longtemps il ragea, longtemps il resta la en trance moitié vivant, moitié mort à se nourrir uniquement de l’énergie vitale de se qui l’entourait pour rester en vie. Il en devint rapidement fou, perdant complètement la boussole, ne comprenant plus se qui lui arrivait.Il avait passé des années enterré ainsi, son corps, il ne s’en souciait, plus, la lumière et le goût de la vrai nourriture lui avait manqué au début, mais il avait vite oublié se léger détail. Il ne se comprenait plus, il ne savait plus qui il était. Se qui parut à ses yeux commes quelques mois dura plutôt des années, entre 6 et 7 pour être plus précis.
Il n’avait pas été le premier à l’accomplir, ni le dernier, mais il y mit du temps. Sa situation n’avait pas facilité la tache, l’imbécile qui avait posséder se corps avant lui était encore trop ancré dans se dernier, il avait tenté de le détruire, mais jamais il n’avait réussit. S’emparer du corps d’un dragonnier, non mais quel idée d’imbécile, un vrai boulet. Cette entrave le ralenti considérablement dans ses recherches. Des heures et des heures de méditation, de réflexion sur se qui était, est, n’est plus ou n’a simplement jamais été. Il repassait en boucle tous ses souvenirs de son enfance à aujourd’hui, jusqu’au jour qu’il l’emmena a se trouver enfermer au fin fonds d’une grotte. Qui était-il, quelles étaient ses qualité, en avait-il? Non sa c’était indéniable il devait en avoir une, m’enfin, il était intelligent, beau…Vaniteux, orgueilleux, narcissique,impulsif, bête, méchant…
Deux points jaunes apparurent à travers l’obscurité, tout se qu’on pouvait voir c’était deux petit point jaune rempli de haine de malice mais déchiré en même temps. Si il pouvait encore ressentir quelque chose une larme aurait probablement coulé le long de sa joue mais ce n’était pas le cas. Il comprenait enfin qui il était. Il était un Ombre, il était l’assassin de Pierrot, le Kidnappeur d’Ellenwen, l’ancien empereur du plus grand empire jamais batti, il était le conquérant et le batailleur. Il était tout cela mais plus encore, il était déchiré entre deux mondes, celui du réel et celui des morts, son corps et son esprit le gardait sur terre, mais le coeur lui voulait disparaitre, ne plus souffrir. Son coeur, étrange petite créature, un organe qui a lui seul tenait le pouvoir de la vie ou de la mort d’un individu. Le sien était brisé, éparpillé, il n’existait plus. Oui il se comprenait parfaitement maintenant, il connaissait enfin son vrai nom.

Il ouvrit lentement la bouche, le mouvement lui arracha une douleur sourde, ses lèvres n’avait point bougé ni remuer depuis si longtemps que même ses muscles la étaient attrophiés. Combien de temps avait-il passé seul, la au beau milieu de sa caverne. Il fit claquer ses machoires quelque fois, plus il le faisait moins la douleur était pénible. Il continua ainsi plusieurs minutes puis lorsqu’il fut sur qu’il pouvait articuler correctement, il tenta quelque mots. Bien facile pour le début, loin de ceux de l’ancien langage. S’en suivit ensuite une discussion entre lui et sa conscience puis lorsque sa voix était redevenu aiguisé et sa machoire solide, ce qui lui prit quelques heures il commenca à tisser son sort. Il savait se dernier protégé derrière les sorts qui recouvrait la caverne. Personne à l’extérieur de ses pans de rocs pourrait sentir les flux qui changeait. Il commenca par donner de léger choc électrique sur chacun de ses muscles, doucement et lentement puis plus vivacement pour les réveiller, les désengourdir et pouvoir les réutiliser de nouveau.
L’expérience prit environ une bonne semaine, la région morte s’étira sur plusieurs kilomètre tant l’énergie demander était grande et constante.
Lorsq’il eut terminé et qu’il sentit ses muscles frais et près il tenta un léger étirement doucement. Sa jambe répondait bien, il entreprit les même exercice pour tous les membres de son corps. Il posa finalement un genou sur le sol, puis un deuxième. Appuya ses deux mains sur le sol, ressemblant ainsi à un chien et s’aida de la force de ses bras pour se lever doucement. Il revenait, il était de retour, il était éveiller…
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Brexinga


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L'éveil Vide

Brexinga
Dirigeant de l'Umettelig Jeger
Message Sujet: Re: L'éveil | Dim 23 Fév 2014 - 0:23


Partie 2 : Le retour des morts

Cette grotte, si vide, si sobre, il s’y sentait bien, comme chez lui au chaud. Elle était devenu son univers, sa vie son identité. Peu lui important réellement de se qui advenait du monde extérieur. En fait il en avait été complètement coupé depuis son départ. À certain moment il s’était pris à se demander se qui pouvait bien advenir de son ancienne apprenti, ou encore de son empire mais bien vite ses idées étaient chassé par d’autre sombre et torturé.
Il n’était plus le même, sa il en était plus que conscient, il avait changé à l’intérieur, il le sentait le percevait, la découverte de son nom ne rendait tout cela que plus clair. Morcelé et découpé il n’avait plus d’autre but que de faire souffrir tout ceux qui avait encore le malheur de marché autant que lui avait souffert dans sa vie. Sa folie lui était par contre inconnu, à ses yeux il était plus calme que jamais auparavant. Ne disons-nous pas justement que pour chaque grin de sagesse vient une pelleté de folie… Il était de nouveau debout, de nouveau réveillé, mais pour qu’elle raison exactement, il ne comprenais pas. Tant d’année s’était écoulée sans que rien en vienne bouleversé son existence. Il se moquait éperdumment de tous se qui pouvait se tramer autour de lui. Il avait senti l’arrivée d’une puissance qu’il ne connaissait pas il y avait déjà de cela quelques années, ou semaines il ne s’en rappelait même plus. Seul un dragon avait pus un jour posséder une tel force, une âme si puissante, mais aujourd’hui son esprit avait disparu, il ne le sentait plus. De toute facon qu’est-ce que tout cela changeait au final, il n’avait tenté des incursions hors de son antre que trop rarement, il se savait protégé par ses protections et le rocs qui l’entourait, mais il n’avait aucune envie de tomber sur une personne donc la conscience lui était connu et ainsi de signaler sa précense encore dans se monde. Il aimait le concept d’avoir à tout jamais quitter l’Alagaesia, d’être parti. Il pouvait ainsi que plus en apprécier ses moments de solitude et de recherche sans se soucier de sa protection…

Sa protection, oui voila se qui l’avait réveillé, il le sentait maintenant, la raison de son éveil et ensuite de son retour parmi les humains. La première il l’avait senti quelque semaine plus tôt, une immense chaleur qui s’était dissipé dans son trou, comme si les entrailles de la terre eux-même avaient hurlé de douleur et avait décidé de reprendre son flambeau. Il avait eu l’impression que chaque élément de la nature avait décider de noircir l’humanité. L’air avait commencer à devenir vicier, les volcans étaient entrer en iruption et il avait senti une aura de grande souffrance mélangé à une grande terreur se répandre partout autour de lui. Sa source il n’avait pus la localiser, elle était trop généraliser, trop soudaine et trop brusque, comme si les entrailles du monde avait recraché tous les morts d’un coup et que ceux-ci se promenaient de nouveau parmi les vivants pour les hantés.
Des suppositions, se n’étaient rien de plus, il les sentaient, partout ou il étendaient son esprit mais ne pouvait clairement discerner leur nature ni-même leur intention. Tout se qu’il pouvait clairement réaliser était leur étendu, leur nombre et leur aura qui semblait répandre autour d’eux la désolation et le malheure. Cette énergie n’était pas magique, car elle ne pouvait point se ressentir, aucun flux ne semblait altéré, mais elle était bien réelle, le pouvait le percevoir à chaque respiration. Il ne pouvait hélas mettre des mots sur se qui arrivait et bien franchement il s’en balancait. Il n’avait pas levé le petit doigt à l’époque et encore aujourd’hui il s’en moquait. Si d’autre avait repris son flambeau et pouvait être vainqueur alors tant mieux, il avait depuis longtemps oublié ses desseins de controle et de pouvoir. Tant mieux si d’autre réussissaient ou il avait échoué

Non se n’était pas sa qui l’avait poussé à se relever, il le savait. Il avait senti à l’instant de son réveil une énergie qui lui était inconnu. Elle semblait humaine mais elle ne l’était pas en même temps. Son esprit avait agis comme à son habitude, comme elle le faisait à chaque fois qu’une énergie vitale traversait la zone grise, elle avait tenté de lui voler son énergie pour nourrir Brex mais il avait échoué. Pour la première fois en 7 ans ses capacités magiques avait échoué. Il avait frappé un mur, un mur d’une noirceur impénétrable. Il avait tenté de s’y reprendre mentalement mais les flux semblait contourner l’individu, il ne voyait que du noir autour de lui, rien de matériel ou de connu. C’était cela qui l’avait tiré de sa léthargie. Il savait que cet homme n’était pas Laiaga, ni Ellenwen, il ne dégageait pas la même énergie. Pierrot était mort, Marek n’avait pas la puissance de lui résister et il ne voyait vraiment personne d’autre à être capable de réussir une tel prouesse hormis Svean qui lui avait disparu, probablement dans un trou comme le sien bien des années avant lui.
Ne pouvant attaquer directement l’individu, il avait lancé un sort pour le traquer qu’il l’avait emmené directement jusqu’a Dras-Leonas, son ancienne cité, son ancienne capitale. L’individu avait poussé son hypocrisie jusqu’à se rendre chez lui, dans sa demeure, son antre, sa ville.
Son égocentrisme ne le protégea pas, au contraire, Brexinga allait de nouveau revenir d’entre les mort et une fois de plus la mort allait fleurté avec lui. Doucement et tranquillement il entrepris de se revêtir de sa légerte tenu de guerre. Rien de superflu, aucun bijou, aucun signe d’apparat quelquonque, uniquement son habit noir, sans arme attaché à sa taille, de toute facon Krägot n’était jamais loin. Il s’abrita sous sa large cape noire, placa sa capuche sur sa tête pour se couvrir et se décida d’affronter pour la première fois depuis des années le monde des vivants. Il allait traquer l’homme et comprendre la source de son pouvoir…
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