Claus, ou plutôt le sergent Claus remontait l’allée d’un pas nerveux. Non pas que l’intervention l’inquiéta, il était au demeurant, accompagné de Megaljii dont les preuves n’étaient plus à faire... Non ce qui le stressait ainsi c’était l’approche du tournoi. Il se savait en bonne faveur et nombreuses étaient les personnes lui ayant signifié leur soutien. Ce n’est pas la peur de ne pas être à la hauteur qui le rongeait mais plutôt le stress du poids des regards qui pèseraient sur lui. Il était bon, fort et rapide comme personne mais les foules ce n’était pas on fort. Fusse-t-il dur de l’admettre.

Cela ne l’empêchait pas de prié tout les soirs, avec une ferveur qui lui était propre. Mais même cela n’enlevait pas l’angoisse trouble qui s’insinuait à l’idée du jour approchant. Heureusement qu’il y a avait encore parmi les prétendus magicien de la « nouvelle terre » des individus encore suffisamment allumé pour lui fournir un bon prétexte pour se changer les idée. Claus ne se considérait pas lui-même comme une brute mais il reconnaissait les bienfaits qu’un rossage en bonne et-dut-formes pouvait avoir sur les surtensions nerveuses. De plus le candidat d’aujourd’hui ne semblait pas joué dans la même basse cours que les deux trois gamins de rue qu’ils se contentaient d’attraper depuis quelques mois. Non là il était question de litanie d’incantations et de murmure dans le langage prohibé. Et pour l’occasion aucun des gars qui l’accompagnaient n’était un bleu.

D’un autre côté les plus grands magiciens du continent était soit mort soit en cavale et asses malin pour ne pas faire étalage de leurs pouvoirs en publiques. Mais celui-ci semblait être un peu en marge. Personne ne l’avait vue, ne le connaissait, on savait juste que la bâtisse était habitée et que pas bon sens le commun des mortelles évitait de s’en approché autant que faire se peut. Les vielles gens parlait de géant aux cheveux d’argents venus de l’est, au temps où les Premiers Hommes passaient pour un ramassis de marchands de poissons sur des rafiots qui peinaient à supporter leurs poids.

*Ouais… les temps on changés * ne put d’empêché de ricaner intérieurement Claus.

Une fois devant la bâtisse il dégaina silencieusement sa lame incurvée, d’où émanait un douce lumières orangée. Il prit le temps d’inspecter rapidement les environs pendant que Sievft en faisait le tour discrètement. La bicoque était miteuse, mal entretenue, et de la fumé s’échappait d’un cheminée à moitié en ruine.

• "Du feu ? en pleine été ?.... les magiciens je vous jure… *

Le retour de Sevft luis apris qu’il n’y avait pas d’autre issue et que l’arrière débouchait sur un apic rocheux peu fréquentable. C’était à la foi une bonne et mauvaise nouvelle. Cela signifiait certe pas d’échappatoire mais aussi qu’une seule entrée. Et globalement 50% de chance en plus de tomber dans un piège.

*Bah… il y a Mega…* pensât le sergent après un rapide coup d’œil à l’intéressé. Celui hocha la tête en signe d’assentiment, pour attesté de sa compréhension de la situation. La lueur verte, si familière, commençait déjà à croitre autour de lui.

Prenant une grande inspiration Claus lança l’entreprise. Les échos de sa voie de centaure se répercutèrent jusqu’à la paroi attenante et s’infiltrèrent brusquement à travers les lambeaux de bois qui tenaient lieux d’entré à la bâtisse.

« Au nom de Mastzaï, et de la loi martial en vigueur des Premiers Hommes, nous sommes en droit de procéder à une inspection par le menu de l’ensemble de vos bien et de votre personne. Afin de ne pas aggravé votre situation vous êtes enjoint à sortir calmement et a vous présenter main devant à notre compagnie ! Vous êtes soupçonné de pratiques prohibé et de sorcellerie impie ! »

Quand il se tu il eut l’impression que l’ensemble de l’environnement retenait son souffle. Cependant seul le crépitement du bois brulant à l’intérieur était parfois perceptible. Quelques secondes passèrent sans que rien ne vienne troubler cette quiétude instable. Puis au bout de ce qui sembla des heures au, un petit rire ou se teintait triomphe et istérie sortie paresseusement de l’antre sombre.

Le sang de Claus, en bon soldat, ne fit qu’un tour et après avoir obtenu la bénédiction de Megaljii il défonça nonchalamment la porte d’un coup de pied efficace, et entra dans la demeure, suivi de près par sa petite troupe.

A ce moment-là il y eu un crépitement au fond de la bâtisse, du côté de l’âtre puis une vive lumières. La vague de magie qui déferla sur eux n’avait rien de grandiloquente. * Elle ne passerait même pas les défenses de mon armure *se surprit il à penser. Cependant cette question tourna rapidement cours quand le guerrier pris conscience de ce qu’il se passait. Ce n’était pas un piège ! la batisse entière volait en éclat sous le fait d’un évènement inconnu. Et pour sur, Claus aperçut le visage tout aussi apeuré, de son opposant dont les main couverte de sang tenait encore un fiole éclatée. Cette demi-seconde d’hésitation et la trop grande confiance qu’il portait à son attirail, interdirent  à Claus la moindre chance d’un réflexe de survie basique.

« Merde… » Fut le dernier mot qu’il s’entendit prononcé avant que l’un des milliers de copeaux de bois effilé, portés par l’explosion ne trouve la commissure exacte de son casque et ne lui traverse l’œil droit pour se fiché dans l’encéphale correspondant, supprimant a jamais toute les future fonctions auxquelles il aurait  pu participer.

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La première chose qui lui revint fut la douleur à l’arrière du crâne. Une douleur atroce accompagnée d’un sentiment qui lui était totalement inconnu. Un sentiment de perdition. Absolu. Il lui fallut bien 3 4 minutes pour être à même de se rappeler ou il était et ce qu’il faisait. Il lui en fallu une dizaine de plus pour retrouver les contrôle de chacune de ses parties du corps et une heure pour être à même d’en utiliser la force correctement. C’était la première fois qu’il était absolument dépassé. Il avait tout fait correctement, absolument comme à son habitude, avait pris toutes les précautions nécessaires. Il était même sûr et certain que le mélange avait réussi et qu’il avait eu son résultat. Sauf que voilà ce dernier avait muté. A la dernière seconde de la réaction il y avait eu un élément perturbateur. Mais le scellement magique était la normalement pour pourvoir a ce genre de chose.

C’est à ce moment de sa réflexion qu’il prit conscience de la véritable origine de son désarroi. La magie….. Elle avait… changée. Son énergie ses nœud tout était instable. Tous les courant étaient beaucoup plus rapides, des enchevêtrements se formaient, se cassaient et disparaissaient sous l’effet d’une source lointaine. Quelque chose d’affreux avait complètement transcendé l’ordre des choses. Pendant un instant il se laissa aller à la panique. Il venait de vivre 2ans immergé dans ces remous et tout venait de s’effondrer. Il fut pris d’une violente crise de spasme et senti son esprit vacillé. Il eut des flashback, la vague vision d’une tour d’une clairière (à celle-ci un gémissement de douleur lui échappa) puis d’autres images douce et  cruelles à la fois. Jusqu’à qu’il tombe sur les yeux de l’homme. Qu’il se souvienne de la flamme s’éteignant dans son œil gauche pendant qu’une fleur rouge s’ouvrait dans l’iris du droit. Alors seulement il reprit conscience  de ce qui l’entourait. Ouvrant les yeux il apprit qu’il était bloqué par une poutre pas très lourde.

Pour la première fois depuis une éternité le magicien reconnu qu’il n’avait survécut que grâce à la chance. Il avait été pris totalement au dépourvu et la fiole aurait cassée dans le sens inverse, les soldats n’auraient récupéré de lui que sa tête (et encore). Sauf que les soldats étaient morts… tout le 5. Balayés. Et à en jugé par l’odeur pas depuis 3 minutes. Plusieurs heures. Un jour même peut être. Et pour sûr il sentit (plus qu’il n’entendit vu l’état de ses oreille) le second groupe montant le sentier. Sentant le danger le demi-elfe consenti à prendre un nouveau risque. Après s’être extirpé des décombres il prit dans sa sacoche l’une de ses craies et traça sur une parcelle plane son pentacle de téléportation. Il finit juste à temps pour entendre un cri retentir derrière lui. Sans y prêter attention il sauta à l’intérieur des lignes en marmonnant la formule d’activation. Il se senti emporté par le flux juste au moment où la flèche vin se planté dans la poutre ébranlé à son côté. Cependant… il regretta presque de ne pas être resté….