Forces : On ignore l'âge exact de Kheerash mais on suppose que c'est un
Stryge assez ancien, sa corruption est donc assez forte et elle imprègne les endroits où il passe dans un temps relativement moyen.
Ses années de dressage lui ont appris à
rigidifier sa peau avant un contact pour se rendre plus résistant aux morsures/griffures
localisées. Cette capacité se fait
instinctivement et lui garantit une
bonne résistance. Il sait aussi se battre en
transformant son corps ou des parties de son corps en piques pointues et aiguisées mais dont la longueur ne dépasse pas de plus d'une quinzaine de cm la longueur du membre transformé.
Il est
particulièrement violent de nature et a une
grande confiance en ses capacités.
Faiblesses : Il a passé énormément de temps dans son bosquet des Beors (qui est désormais corrompu jusqu'à la moelle d'ailleurs), mais ne s'est jamais réellement déplacé très loin de son nid. Il ne
se sert donc de la perception offerte par la corruption que très maladroitement et peut facilement louper même un de ses congénères. De plus, du fait de son long exil volontaire, il a
perdu beaucoup de ses capacités sociales et sera facilement repéré comme "individu au comportement louche/étrange/suspect" (pour la discrétion des déguisements humains, on repassera, quoi).
Il
ne porte jamais d'armures ou d'habits rembourrés qui pourraient lui offrir une protection contre les armes, ce qui ne lui laisse que sa peau rigide pour parer les attaques. Et pour résistante que soit cette dernière, on peut le voir saigner assez facilement en se concentrant sur un seul endroit de son corps.
Même s'il sait se battre à mains nues et se débarrasser sans effort des aventuriers de passage chez lui, il
ne sait se servir d'aucune arme.
Pas d'attaques à distance pour lui. A la rigueur jeter des cailloux loin mais bon... ça ne vaut pas un arc ou une arbalète.
Ce qui veut aussi dire que s'il est contraint de se défendre un peu activement (il en faut peu pour l'inciter à le faire d'ailleurs), il n'aura
pas d'autres choix que de métamorphoser ses mains/pieds en piques et d'exploser de ce fait allègrement sa couverture (cf.
"Pas près de t'oublier"). Et le dentier du mec en face.