En sortant de Dras-Leona, un cavalier manqua de me renverser. Ce devait être un coursier car il était peu armé et son cheval galopait à vive allure. Il se dirigeait manifestement vers Urû-Baene. Pour ma part je pris la direction de Carvahall afin de trouver l'école de mercenaire. J'avais acheté assez de provision pour deux jours de marche. J'espèrai tout de même rencontrer quelque compagnon sur ma route pour que le voyage soit moin ennuyeux. Mon regard se perdit sur le lac Leona un peu plus loin à L'ouest. J'entammais mon voyage d'un bon pas.

Au bout d'un moment, je m'arrêtais. Je n'vais pas beaucoup dormis la dernière nuit, je començais à fatiguer.[/u]
"Désolée, mais je fais une pause."fis-je à Shankaï et Squall.
Je m'assis dans l'herbe sur le bas coté.[/url]

squall s'assit avec illecamie

"je ne t'en veut pas moi aussi je suis fatigué. a au fait je te dois combien?"

"Hein ? Me devoir quoi pour quoi ? Ah ! Pour tes flêches elfiques et tout ça... Laisse, je t'y paye. J'ai assez d'argent pour tenir quelques temps, c'est bon."

je réfléchit un moment... De tout et rien. Puis je pensais à Gwen et me levais

"Bien, repartons."

Shankaï était toujours silencieuse. Comme si elle était à part. Elle restait près de son cheval et ne venait pas ien vers nous. Cela me charginais de la voir ainsi. Mais je n'y pouvais pas grand chose. Nous ne la rejettions pas, pourtant.

squall se releva et demanda
"peut tu m'en dire un peu plus sur ton amie car je sen que je vais encore arriver comme un cheveu dans la soupe(j'aime pa ctexpression)"

"Et bien... C'est une dragonnière. Sa dragonne s'appelle Zéphyr. Nous avons rouvé nos oeuf à peu père à la même époque. Zéphyr et Yawë ont donc à peu pèrs le même âge. Mais à l'époque, l'alagaésia ne regorgeait pas autant de dragonnier ou d'aventurier comme toi ou moi. Nous nous connaissions très bien. Nous étions des presques soeurs, même si nous ne nous ressemblons pas du tout."
Je mu tus un moment. C'était étrange de ressasser ces bons souvenirs. Mais la partie la plus sombre arrivait. Je me demandais si je pouvais faire confiance à Squall. Et je me décidais que oui.
"Mais... Un jour, il y a eu une guerre. Qui affronta l'empire et les verden contre l'alliance. Cela nous avait miné le moral, malgrès notre victoire. Puis, peu aprés, mon père a réapparut. Il était devenu un ombre. Il a tué ma mère. J'aivoulu protégé mon frère avec l'aide de Gwenael. Et... Nous avons échoué. Il est mort. Puis, j'ai voulu me venger. Seule. Mais gwen a voulu me suivre, elle était autant concernée que moi. Elle a voulu passer chez Ellenwen. Une elfe vivant dans la forêt du weldenvarden. Et Ellenwen et Pierrot on tué mon père. Ils nous ont pris, Gwen et moi pour des débutantes incapables. Ne nous ont pas laissé le choix.
Gwenael était lassée par tout e monde de guerre et de sang. Elle est partie. Pendant un certain temps, je ne l'ai plus revue; Je ne savais pas où elle était. Et un jour, dans la clairière aux dragons, elle était de nouveau là. Elle était revenue. Mais elle avait appris son véritable nom. Que je ne te dirais pas. Mais cela l'a miné encore plus, je pense. Mais elle est restée quelque temps. Mais bientôt, elle était repartit. Elle voulait exploré au delà des océans et des montagnes. Maintenant, elle est revenue. Elle m'attend. Dans sa maison. Ma dame blanche... Elle n'était pas là pendant mes heures de souffrances.Et elle m'a manqué."

je me tus. j'en avais peu être trop dit. J'étais bouleversé. J'allais enfin revoir Gwenael. C'était comme voyager dans un rêve. Je me tournais vers Suall et lui adressa un sourire un peu embué. j'avais des larmes dans les yeux. Je ne savais pas pourquoi.

J'étais touchée par sa solicitude. Il n'avait pas fait de commentaire. Je ne parvins qu'a chuchoter :
"Merci..."
J'essuyais mes larmes d'un revers de main. Avec tous ça, nous avions ralentit l'allure. Je regardais devant moi. Le bras de Squall était toujours autour de mes épaules. Il n'y avait pas grand chose à voir. Je conaissais déjà ce paysage. Mais, plus nous avancions, plus cj'avais une impression bizarre. Il y avait une conscience par ici. Je ne dit rien à Squall. J'avais peut-être tord, d'ailleur. Il m'arrivait parfois de me tromper.

la raison reprit le dessu et il retira son bras et souri a la jeune fille et lui demanda pour changer de sujet
"ou allon nous dormir?"

"Ben... Euh... Je... J'en sais rien, en fait. D'habitude, je me pose pas ce genre de question, j'arrive à temps dans une ville. Mais là... euh... T'as pas une tente, sur toi ? Non... bien sur... j'aurais du y penser plus tôt."

La marche de Leamin fut longue. Il se trouvait au beau milieu de nulle part, chacun avait traçé sa route. Mais la sienne n'avait pas l'air de faire long feu. Sélean réclamait souvent de la nourriture ou de la boisson, de même pour son maitre. Mais il fallait continué malgré la douleur. Il marchaient sans cesse jusqu'a ce qu'il trébuche par terre. Les effets de la fatigue étaient stupéfiant. Là où il cru qu'il allait mourrire, son chien aboya et courra partout avec joie. Cela encouragea son maitre à se levé et d'avoir un immense sourire. Apparrament il y a un village à quelques pas d'ici. 'Houra!' S'exclama-t-il heureux. Sélean et Leamin courraient tout les deux vers le petit village de Carvahall. Malheureusement c'était une descente et ils perdaient tout les deux leur élan en même temps. C'est en roulant qu'ils arrivaient devant le village. Le jeune homme ne se plaint pas de la douleur il se mit à rire des plus belles. Il se releva et rentra donc à Carvahall.

"Nous y voici..."

la nuit tombait et squall dit

"faudrait s'arreter on pourer se coucher dans cette petite caverne non?"

Je m'assit prés du feu, en regardant les flammes bouger au grès du vent. Il ne faisait pas très froid, mais c'était rassurant d'avoir une lumière. Je ne craignait pas d'attaque imprévue par des quelquonques bête sauvages ou autre. Shankaï était toujours aussi silencieuse. Elle nous avait suivie de loin, comme si elle avait peur de nous. Comme si elle se sentais à part.
*Les elfes sont vraiment des êtres étranges...*

le matin se le va et ls reprirent la routent et arriverent rapidement en vu de la maison de gwen.

(prochian post ché elle)

HRPG : Squall, tu peux déveloper un peut tes messages STP ? Je trouve pas ca agréable de devoir répondre a ca.

Shankaï s'alongea près du feu, la chaleur des flames la réconfortait. Elle se sentait seule, perdue et congellée ...
Elle passa sa nuit apuiyée contre le flanck de Halashkä, a faire tourner sa petite épée dans ses mains. Elle n'avait perdu aucun de ses talents dans ce dommaine la ... Mais elle ne se souvenait d'aucun mot d'ancien laguage, même pas comment faire de la magie ...
Cela l'énervait profondéement, et quant elle comenca enfin a fermer les yeux, le soleil se levait et Squall était déjà debout.
Shankaï ouvrit les yeux et l'observait sans craine ni pudeur. Ce garçon ne lui plaizait pas, il était trop ... commun. Un suiveur,sans destin particulier ... Mais elle n'exprima pas cette pensée, de peur de leblaisser, lui ou Illecamie, qui avait l'air de tenir a lui. Shankaï se demanda comment ils s'étaient rencontrés, mais repoussa cette question a plus tard.
Quant il eut plié la plus grande partit de ses affaires elle se leva et sortit une petite robe moulante du sac ou elle gardait ses vêtements. La robe était entièrement faite de cuir noir, sauf quelques joyaux qui apparaisaient a certains endroits, comme sur le bras gauche, ou le bas du dos.
Elle enleva ses habits salles et les mit dans le sac, enfilla la robe par dessus son corset. Elle lui allait parfaitement, en s'ajustant a sa carrure féminine et elfique. Il y avait une ouverture tout le long de la gembe, qui lui permaitait de marcher et de se déplacer plus facilement.
En queles minutes, toutes ses afaires étaient prètes sur le dos de son étalon noir.

Odin marchait sur la longue route qui menait à Carvahal, il n'était pas préssé d'arriver, et, pendant ses longues heures de marche à travers le pays, il repansait aux derniers évenements qui s'étaient passé, réssemment, dans sa ville natale, Urû'baen.

* Tout ceci ne peut être une coincidence, la mort de mon père, celle de ma famille adoptive *

Tout s'embrouillait dans son esprit, il ne savait pas qu'est-ce qui pouvait pousser quelqu'un, meurtrier ou pas, à vouloir tuer ses proches.

Il continuait d'avancer et de se raprocher de Carvahall. Et plus il repansait à se qui s'était passé, plus il trouvait illogique se qu'avaient fait ces hommes.
Il n'était plus qu'à quelque heures de sa destination, à présent.