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La Traversé du compas rouillé[Privé]

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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Re: La Traversé du compas rouillé[Privé] | Mer 17 Déc 2008 - 20:25


Sabretran observa l'ile en se promettant de la dessiner dans sa carte.

-Elle est grande comment à peu prés ?

Le capitaine sourit et dit :

-A peu prés la taille d'un grand village...

Sabretran hocha la tête et observa silencieusement la grosse battisse qui siégeait au sommet.

-Mais, pourquoi cacher cela à tout le pays, est ce qu'il y a quelque chose de secret dans ce bâtiment pour l'isoler dans une ile et n'en parler à personne ?

Le capitaine tressaillit, réfléchit un instant pour ne pas en dire trop. On aurait dit que quelque chose avait balayé son teint joyeux pour le remplacer par une humeur morbide, à l'évidence, ils étaient en train d'avancer dans un terrain dangereux.

-De toute façon, on crèvera tous, donc ça changera rien si je te le dis. Puis il reprit d'un ton plus solennel. Petit...Dans cette taule, il y a...Des Kulls.

Sabretran eut une sorte de choc. Les bandes de Kull restant de l'ultime empire de Galbatorix ont tous migré à l'extrême nord, au dessus de la forêt du Du WeldenVarden et de la vallée de palancar. Seul quelques rebelles étaient resté et avaient durant un demi siècle livré bataille contre les humains. Faute de nombre, ils avaient évidement perdue, mais personne ne sait ce qu'ils ont été devenue. Une rumeur prétendait que l'on avait fait d'eux des prisonniers, dans le but de les contrôler, et avec le temps, en faire une armée. Le chat garou caressa son menton d'un air pensif, pesant le pour et le contre :

-La rumeur était donc vrai, ils sont là en attendant qu'ils nous soient utile en guerre. Mais je ne comprend toujours pas pourquoi ne pas informer la population, personne ne verrais de mal à voir un Kull enfermé après tout le mal qu'ils ont fait.

Le capitaine hocha la tête d'un air approbateur :

-Ouais, mais par contre, le Roi de l'alagaesia a peur qu'un quelconque peuple comme le Surda ou encore les nains viennent lui détruire son projet, et pour, ça, il doit s'taire le vieux bougre. Tu sais combien il y en a là dedans ? La taule fait six étages, ou un truc du genre. Y a six mille deux cents Kull là dedans, de quoi tenir face à des dizaines de milliers de pion dans une petite guerre.

"alors c'est pour cela qu'on s'est embarquer sur se navire, découvrir des prisons que certaines personnes ne connaissent pas encore."

C'était Brexinga qui venait de parler. Sabretran haussa un sourcil devant la remarque. Si il était vraiment le chef du concile, serait-il vraiment naïf à ce point pour qu'il ne sache pas dans quel bateau il embarque ? Ou peut-être était-ce ironique. Sabretran ne put le savoir, il vit des silhouette arriver en canoë vers eux, jusque là, l'obscurité avait réduite leurs champs de vision et il était trop tard à présent. Même leurs adversaire le savaient, car à ce moment là, ils allumèrent des lampes qui éclairèrent leurs visage : Des Kulls. Ils poussèrent alors un rugissement et crièrent leurs cri de guerre. Sabretran vit aussi que certains sautaient de la falaise. C'était la faute du navire, ils avaient été trop prés. Mais le capitaine aurait dut le savoir, pourquoi avait-il laisser le danger arriver ? Une voie explosa alors dans la tête de Sabretan : "Dégaine ton épée, vieux félin, le roi m'avait pourtant assuré qu'il n'y avait personne pour nous faire du mal" Puis le capitaine tira sa manchette et fit exploser la baie vitrée qui tomba dans la mer agité. Et sous les yeux impressionné de Sabretran, il le vit sauter au milieu d'un canoë Kull. Sabretran sortit du salon et se dirigea le long d'un corridor, le cœur battant. Puis il ouvrit la porte donnant sur le pont et entendit le bruit assourdissant de la bataille. Des dizaines de matelot croisaient le fer avec les assaillants, rugissant de férocité et d'adrénaline. Sabretran leva puis abattit son bâton, faisant étinceler la boule de jade. Une bourrasque puissante propulsa un Kull par dessus bords. Épuisé un peu, il fit tournoyer sa canne et abattit l'extrémité sur la tempe d'un autre adversaire. Il eut une détonation et un éclair explosa dans la tête de la créature, qui s'évanouit. La situation fut plus compliqué ensuite, il reçut un coup de marteau derrière sa jambe, la sentant craquer. Une douleur atroce le submergea, rendant braise ses muscles et bloquant ses réactions. C'est à l'aveuglette qu'il planta son épée derrière lui dans la poitrine velue de l'Urgal. Un "Waise hall" suffit à le guerrir ensuite. Il vit le Morb' combattre vaillament au prés des matelots et lancer des traits de magie, lui laissant la tache de proteger l'quipage, lui devait détruire les canot qui n'ont pas encore faits de dommage. Il se leva et se dirigea vers la proue. Il chercha rapidement des yeux l'ancre du bateau. Une grosse chaine lui indiqua qu'elle était perdue sous un amas de corde. Il la dégagea et jeta son sort "Reiza !" l'ancre tremblota, et Sabretran sentit un flot d'énergie se vider de son corps, avec lenteur, elle s'éleva dans l'air et plana jusqu'au dessus d'un canot contenant cinq Kulls s'apprêtant à embarquer. Ils crièrent un instant avant que le poids s'abattent sur eux, tuant deux sur le coups et faisant couler les autres...Sabretran, épuisé, prit ensuite son arc et tira des flèches. Mais à chaque fois, il ratait sa cible, c'est là alors qu'il remarqua la flèche planté dans son épaule...
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Brexinga


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Brexinga
Dirigeant de l'Umettelig Jeger
Message Sujet: Re: La Traversé du compas rouillé[Privé] | Jeu 18 Déc 2008 - 1:03


[Sabretan je vais te laisser utiliser ton pnj, perso j'ai peur de massacrer sa personnalité][Deuxième parenthèse, pour qu'il n'y ai pas d'Ambiguité je veux juste vous avertir dès le début car à chaque fois il y a des questions, Rasapa étant un pnj donner par les Admins il a une puissance égal à mon grade, soit Ombre *]


Aucune réponse, personne ne me répondit, personne en fit même comme si j'avais parler, l'invisibilité total, décidément le voyage commencait bien et Rasapa commencait déjà à en vouloir à Brexinga de lui avoir donner cette mission ridicule. Récupérer des informations et dessiner une carte, quel perte de temps. décidément il ne comprenait vraiment pas, mais il savais une chose cependant, il savais ce qu'était cette ile pour avoir eu accès à certain document classé Confidentiel par le Concile et qui donnais des informations sur cette île dans laquelle se trouvait des Kulls. C'éétait ici qu'on avait enfermé les derniers, enfin enfermé était un grand mots car il y avait des rumeurs qu'on leur faisait plus que simplement les retenir en captivit, amsi cela personne n'en avait de preuve.

Peu importait Rasapa, il décida de se détendre et laissa sa tête basculer vers l'arrière. Ces probablement se mouvement qui lui permis de remarquer un détail, qui était à peineperceptible, mais qui était quand même la, un mouvement dans les vagues de l'océan, mais un mouvement contraire au vague, comme si un objet essayais de briser celle-ci. Rasapa étendit aussitôt ses sens à la recherche du dit objet. Il ressentit tout de suite l'aura de plusieurs Kulls, et leur idées étaient très clairs, tous nous tuer. Rasapa devait empêcher cela. Il se connecta à l'Esprit des Kulls pour essayer de leur donner l'ordre d'arrêter, son haut grade dans al hiérarchie devait lui permettre de les arrêter, cependant se à quoi il s'affronta le perturba au plus haut point. L'esprit des Kulls était complètement détruit, ce n'était plus des Kulls, seulement des bêtes assoifé e sang. il ne comprenait plus rien, ce qui faisait une des grandes différences entre lles Urgals et les Kulls était le fait que les Kulls dominait par leur intelligence, cependant ceux-ci en était complètement dénudé. Il ne réussit rien. Il rouvrit les yeux pour avertir ces compagnons du danger mais il était trop tard. Lorsqu'il ouvrit les yeux plus personnes ne se trouvait dans la salle. Il entendit un cri en contre-bas, il fonca vers le bord de la paroi et vit le capitaine affronter à lui seul 5 Kulls, il ne lui restait plus beaucoup de temps. Le capitaine fut soulever du bateau et au même moment un éclair frappa la chaloupe qui la fit exploser tuant du même coup les Kulls à l'intérieur. Le capitaine fut retransporté dans la salle et un Waise hell le guérit de ces blessure.

Restez-ici, ne bougez plus, je reviens

Sur ces mots Rasapa fit demi-tour et fonca vers le pont principal téléportant ses deux couteaux longs d'une soixantaine de centimètres dans chaque mains. En courant j'envoya un message mental à tout l'équipage.

*Restez sur vos gardes, les Kulls qui attaquent sont encore plus dangereux que les anciens, ils se battent avec plus de fougue et de puissances, prenez soin de vous et en courez pas trop de risque inutile*

JE déboucha sur le pont et prit quelques secondes pour regarder le spectacle qui se jouait devant mes yeux, Sabretan était éloigné du combat, mais semblait hors du jeu, il semblait épuisé, Rasapa devait el sauver avant tout. Il remarqua aussi du coin de l'oeil l'autre homme de la salle, il devait protégé ses deux hommes en prioriété. Il envoya un éclair de lumière qui frappa le Morb sans le déranger au niveau du dos. l'instant d'après une immense d'écharge électrifié frappa tout l'entourage du Morb et tous les Kulls qui se trouvait à une distance de moins de 5 mètres de lui, sans le blesser pour autant, lui laissant ainsi une chance récupéré. J'Arriva à coté de Sabretan et colla mes mains sur sa peau. Un halo mauve en sortit et entoura le corps de Sabretan, l'instant d'après il venait de retrouver un peu d'énergie, du moins assez poru tenir jusqu'a la fin du combat, ensuite il créa autour de Sabretan un bouclier sphérique sur lequel zigzaguait des petit serpents électrifié. le protégeant ainsi contre tout agresseur un peu plus téméraires.

"Continue à tirer, tu es guéris, ton épaule en te fera plus souffrir, mais reste sous le bouclier, je ne t'ai pas redonner assez d'énergie pour te permettre de continuer à te battre au corps à corps."

Sur ce il se tourna vers le champ de combat et fonca vers le Morb, si il se battait ensemble il avait plus de chance de vaincre.
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Sawer


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Sawer
Message Sujet: Re: La Traversé du compas rouillé[Privé] | Ven 19 Déc 2008 - 19:56


Le Morb vit qu'un éclair venait de massacrer tout les ennemis environnants. Il se demanda si c'était lui qui avait fait sa ... Il se dit qu'il n'aurait jamais put le faire car ce sort était difficile a exécuter pour un simple magicien ... Alors le faire sans en avoir conscience ... C'est pratiquement impossible ! Lorsqu'il se retourna, il vit que l'Ombre qui les accompagnait, Brexinga était l'auteur de ce sort qui lui permis de reculer et de lancer quelques sort qui tuèrent deux Kulls. Il se jeta après avoir récupérer un peu d'énergie pour protéger un matelot qui voulait a tout pris aider en contrant un coup de Kulls avant de lui enfoncer son épée en plein cœur. "Restez sur vos gardes, les Kulls qui attaquent sont encore plus dangereux que les anciens, ils se battent avec plus de fougue et de puissances, prenez soin de vous et en courez pas trop de risque inutile" leur avait dit l'Ombre avant de les aider. Il se rendait compte maintenant que ces Kulls n'avaient pas beaucoup de matière grise. Le Morb concentra une boule de feu et l'envoya au milieu d'un groupe de Kull. Cette boule explosa en jetant 3 des Kulls par dessus bord et en blessant 5 autres. Il recula car il trouvait qu'il perdait trop d'énergie combattre au corps à corps. A peine un de leurs ennemis mourait qu'un autre prenait sa place ... Ils n'y arriveraient jamais ... Il encocha 3 flèches qu'il lança contre ses ennemis. Il rata une des 3 cibles et blessa les deux autres au bras. Ceci ne manieraient plus leurs armes avec la même habiliter dorénavant !

* Il faut s'éloigner de l'île et détruire les derniers Kulls qui seront sur le bateau car sinon ils nous tuerons !*


Il continua à tirer des flèches jusqu'à ce qu'il n'en a plus. Il commença alors à lancer des sorts. Il étendit son esprit à tout le bateau et découvrit de l'énergie dans les cales. Il y avait la quelques pierres précieuse pleine d'énergie ! Il y avait trois pierres, une pour chacun des compagnons.

* La cale ! Il y a 3 pierres d'énergie ! Une pour chacun de nous ! On pourrait essayer de s'en servir * Dit-il a ses compagnons et a eux seuls. Le trio était le seul à avoir reçut se message que Le Morb avait sécurisé.
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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Re: La Traversé du compas rouillé[Privé] | Dim 21 Déc 2008 - 15:48


Le capitaine se sentit soulevé de la chaloupe par une force irrésistible qui devait surement être magique, c'est alors qu'un violent éclair fit éclater le bois de la barque, massacrant au passage touts ses ennemis, levant une fumée acre et vive qui éclaira la scène d'une lueur aussi pâle que la mort. Le capitaine fut ensuite déposé sur le plancher chaud du salon, il entendit la voie de Brexinga dire

"Restez-ici, ne bougez plus, je reviens"

Puis l'ombre partit dans un dernier coup de vent. Le capitaine, furieux, cria aux vagues, plus pour lui que pour le chef du concile :

-Mais j'm'en fiche royalement de vot' magie, c'est par le fer et ma sueur que je remporte un combat, par l'envie de la gloire et non celle d'un claquement de doigt et de ridicules étincelles !!

Il se leva ensuite et fila vers le pont en poussant des grognements de colère, il emprunta un escalier, là, il vit un Kull qui se dressait devant lui, prêt a frapper.
Le sabre du capitaine émit un bref scintillement avant de se couvrir du sang du Kull qui s'effondra avant même d'avoir compris ce qui se passait. On ne rigolait pas avec l'un des chefs de navire les plus fort de la flotte Alagâesiene.

-J'vais vous apprendre moi a envahir mon P'ti navire.

Sa colère de plus en plus dense, il emmergea vers le pont principale, là il vit le spectacle qu'offrait le combat violent, la pluie avait commencé a tomber, doucement d'abord, puis de plus en plus forte, des éclairs zébrèrent le ciel, projetant un flash lumineux de temps en temps sur le visage ridé des Kulls. Le capitaine put voir grâce à cette breve lumière quelque chose comme cinq chefs Urgals qui montaient précautionneusement l'escalier hérissé de pics menant à la cabine du Capitaine, leurs intentions étaient clair, saboter la barre.
Le capitaine rugit et se précipita vers eux, enjambant les corps et s'éclaboussant l'uniforme en marchant sur les flaques de sang. Parfois, d'un mouvement désinvolte du poignet, il ouvrait une profonde plaie sur le corps de quiconque se dressait devant lui. Ainsi, il traversa tout le pont, jusqu'à la première marche, là il s'arrêta et cria dans la nuit :

-Sales fils de chienne ! Vous allez découvrir ce que c'est que de toucher à mon cœur en bois ! Z'allez crevez !

Il leva ensuite une puissante jambe, et donna un coup sur la poutre principale qui soutenait les marches. On entendit un craquement, deux, puis l'ensemble des escaliers de cinq mètres de haut s'effondrèrent, les Kulls poussèrent un dernier cri avant de se faire embrocher par les pics et les nombreux débris qui tombaient dans un incroyable enchevêtrement. Un brève silence envahit la scène avant que le combat ne reprenne de plus belle. Un sourire carnassier flotta sur le visage du capitaine. Il était à présent le seul à savoir comment accéder à la barre. Les débris de l'escalier lui barraient le passage qui menait vers la proue. Le seul moyen était d'enjamber la rambarde et d'aller d'un point à un autre grâce à une corde. Ce qu'il fit. L'air lui siffla aux oreilles et il poussa un cri de joie lorsqu'il décrivit un énorme arc de cercle, frôlant la mer. Il arriva à la fin de la trajectoire, là, il lâcha la corde, plana quelques instant en l'air, et atterrit sur l'extrême proue. Une statue était sculpté sur le devant du bateau, représentant une femme habillé en algue qui tenait un panneau où était gravé la devise du navire "Conquête et richesse, richesse et savoir, savoir et évolution." Le capitaine grimpa sur sa tête, s'appuyant sur son épaule, il était à présent au plus haut point du bateau, si on ne comptait pas les mats.
La barre était à un mètre en dessous de lui, et à trois mètres de loin. Sans aucune hésitation, il sauta la longue distance. Un marin inexpérimenté aurait peut être était emporté par son élan et se serait fracassé six mètres plus bas, parmi les débris de l'escalier, mais il n'était pas ce genre de matelot, et se réception fut parfaite. Il prit avec chaleur et sourire sa fameuse barre, et cria à l'équipage :

-Virez à tribooord !

Il fit ensuite trois tours vers la droite avec la roue. C'est là alors qu'une flèche se planta à quelques centimètres de sa main. Les archers Kulls ne voulaient évidement pas qu'il s'éloigne de la falaise. Le capitaine poussa un juron et pesta contre ces créatures sans cervelles. Une nouvelle volé l'obligea a se cacher derrière la barre. Furieux de cette bassesse, il cria dans le vent :

-Peetiit !! Abbat-les moi !!

Avec un sourire, il ne se préoccupa plus ensuite des archers ni de leurs dards mortelles, cheveux au vent, il prit le large avec un grand éclat de rire...

***


Sabretran jeta un coup d'œil étonné sur les deux flèches plantées dans son épaule gauche. Les dards étaient noir et avaient dut filer dans la nuit sans qu'il s'en aperçoive. A l'évidence, les lampes qui étaient autour de lui le mettaient à découvert sans qu'il puisse, lui, par contre, repérer ses ennemis qui se tannaient dans l'ombre de la falaise. D'autre flèches sifflèrent à se oreilles. Il se cacha derrière la rambarde en attendant que ça passe, puis il se leva et fit tournoyer sa canne, une bruit de verre brisé et d'explosion retentit lorsqu'il cassa les lampes autour de lui avec sa boule de jade d'un Kilo. La nuit s'abattit sur lui alors et il désavantagea les archers ennemi, il se laissa glisser sur le sol pour reprendre de l'énergie lorsqu'il remarqua une douleur qui fusait le long de ses vaisseau sanguin. Du poison, les pointes des flèches en étaient imprégnés. Il sentit sa vue de félin se brouiller lentement, et la mort l'envahir petit à petit. Il lâcha son arc et appuya sur son bras pour retarder l'avancée du poison. Sa boule de jade recelait autant d'énergie que l'on pouvait en mettre continuellement durant trois mois. C'était une arme qu'il s'était construit, lorsque viendra la moment, il avait prévue de la lancer à terre. lorsqu'elle se cassera, une explosion équivalente à celle qu'un dragonnier pourrait faire rasera tout sur un rayon de vingt mètre, l'onde de choc causerait des dégâts sur cinquante mètres de rayon. Une explosion magique. Si il prenait toute l'énergie de la boule, il gâchera un travail de six mois. Mais ce n'était pas grave, puisqu'il était en train de mourir en ce moment. Ainsi, il s'apprêta à vider sa boule de jade lorsque Brexinga s'agenouilla à coté de lui et guerrit instantanément ses blessure mortelles. Il lui envoya ensuite de l'énergie et le couvrit d'un bouclier puissant à vue d'œil. Choqué par la vitesse des événements, Sabretran dit simplement "Merci" Mais au fond de lui, il se promettait de payer la dette.
Brexinga lui dit :

"Continue à tirer, tu es guéris, ton épaule en te fera plus souffrir, mais reste sous le bouclier, je ne t'ai pas redonner assez d'énergie pour te permettre de continuer à te battre au corps à corps."

Puis l'ombre partit ver le Morb. Sabré se dressa et jeta un coup d'oeil sur le pont, le capitaine avait réussi à atteindre la barre et essayait de la faire tourner, mais il était assailli par des archers. Sabré crut même entendre un :

"Peetiit !! Abbat-les moi !! "

Le chat garou, désormais guerrit, leva son arc, son agilité féline la remportant sur son ancienne maladresse. Il envoya une flèche bien mesuré sur le flanc de la chaloupe. La flèche fusa dans la nuit, invisible, mais au dernier moment, elle éclata en une flamme doré, lorsqu'elle s'enfonça dans la bois, une explosion retentit et souffla littéralement la barque, tuant les archers. Sabretran était épuisé mais debout, le capitaine avait réussi, ils avaient pris le large.

-On va la jouer un peu snob maintenant.

Il prit ensuite son chapeau haut-de-forme et le lança au vent. Il décrivit un arc gracieux et plana, se jouant de l'air. Lorsqu'il passa prés du visage d'un ennemi, une lame si mince qu'elle en était invisible lacéra l'air et déchiqueta la joue d'un Kull. Sabré aurait même juré voir des dents voler. La créature poussa un cri de douleur et serra sa bouche. Puis de ses yeux pétillants, chercha son agresseur. La petite once d'intelligence qui lui restait lui dit de regarder derrière lui. Il le fit et remarqua le chapeau qui continuait sa trajectoire. Il sauta dessus, l'attrapant agilement au passage. Il l'observa, le fit tourner, avant, de remarquer qu'il 'était nullement dangereux. Avec un grognement de satisfaction, il le déposa sur sa grande tête velue :

-Hey ! C'est mon chapeau !

Sabretran traversa le pont en courant, puis se planta devant le Kull.

-Tu sais combien il m'a couté ? Alors tu me le donne, je te laisse en vie, et on en parle plus !

*Restez sur vos gardes, les Kulls qui attaquent sont encore plus dangereux que les anciens, ils se battent avec plus de fougue et de puissances, prenez soin de vous et en courez pas trop de risque inutile*

Les Kulls avaient apparemment perdue leurs ancienne brillante intelligence et leurs don du langage. Mais tout de même, il y avait assez d'indice pour qu'il tire une conclusion satisfaisante : Le chapeau l'avait agressé, Sabré était venu chercher ce chapeau, en plus, il avait la même couleur que son costume. Il était donc son agresseur.
Il poussa un mugissement et abattit sa hache sur le bouclier de Sabré, ce dernier sentit que le ciel lui tombait sur la tête mais il tint bon. Le Kull leva une deuxième fois son arme. Et c'est là que tout s'ébranla, tout le pont fut balayé par une incroyable secousse, tout le monde tomba à la renverse tandis que les mat poussaient un grincement. Des tonneau roulèrent et des planches éclatèrent sous le poids des Kulls qui perdaient l'équilibre. Un matelot cria qu'ils avaient heurté un rocher, mais Sabretran savait ce que c'était. C'était lui la cause ! Il avait jeté l'ancre sur la barque, elles 'était surement accroché au fond. Pendant ce temps, les canot prenaient de l'avance et étaient prêt à faire embarquer des douzaines de nouveaux Kulls. Le capitaine avait également compris et cria au Chat-Garou :

-Sabrééé ! Coupe la chaine ! Coupe cette saloperie de chaine avant qu'ils embarquent !

Le maître félin évita un nouveau coup de hache et courra vers la partie poupe, les Kulls s'étaient à présent agrippé et entamaient leurs remonté. Les créatures déjà présentes sur le bateau essayaient de lui barrer le chemin ou d'agripper sa cheville. Une transformation en félin et tout s'arrangea. Il arriva devant la chaine tendu à l'extrême qui semblait solide comme du diamant. Sabré prit l'objet le plus proche et l'abattit sur la chaine, rien n'y fit. Les Kulls s'étaient à présent agrippé à la rambarde et s'apprêtaient à l'enjamber. Le capitaine criait toujours, ordonnant qu'on abandonne l'ancre. Sabretran devait lancer un sort, n'importe lequel, mais seul la magie pouvait casser la chaine. Il saisis un maillon et murmura des paroles en ancien langage. Un flot de magie s'écoula de ses doigts et le fer éclata en un flot d'étincelle. Le navire fut de nouveau secoué et les nouveaux Kulls furent projeté par dessus bord avant d'avoir franchi la rembarre. Sabré fut plaqué contre le sol en attendant que les balancement du bateau se calment. Il se leva ensuite et partit aider le Morb et Brexinga dans leurs combat contre les dernier Kulls.

* La cale ! Il y a 3 pierres d'énergie ! Une pour chacun de nous ! On pourrait essayer de s'en servir *


Sabré hocha la tête en signe de dénégation, sil ils descendaient dans la cale, ils abandonnaient le pont au Kulls, ce qui serait inutile et suicidaire....

***


Le conseiller du Roi observait avec calme le pion se déplacer avec lenteur sur l'énorme maquette représentant l'älagaêsia. Il plissa les sourcils lorsqu'il le vit s'arrêter devant l'île du Lagon perdu. Pourquoi s'arrêtaient-t-il a cet endroit ? Son cœur battit de plus en plus vite et il cria le nom du roi avec puissance pour l'appeler quand il vit l'escalier voler en éclat :


-Mon souverain ! Mon souverain !! Ils sont attaqué par des Kulls, Ils sont attaqué !

Le Roi se précipita sur la carte, et observa le dommages et les balancements du bateau avec appréhension.

-On leur envoi du renfort ?

Le conseiller réfléchit à la question et dit :

-Non mon Seigneur, d'ici là, pour les rassembler, ils seront déjà tous morts, il ne reste plus qu'à prier pour leurs survie.

Le roi passa ses mains contre son visage.

-On m'avait pourtant assuré que le chef de prison ne les attaqueraient pas ! Pourquoi mes ordres ne sont pas exécuté ?

Le conseiller tremblota un moment sous la fureur du Roi et murmura :

-Mais monsieur, nous avons trouvé le chef de prison mort et remplacé par un autre ! Il semblerait que quelqu'un mijote un coup...

[Le roi et son conseiller sont également des PNJ crée pour le bon déroulement du RP, vous pourrez les utilisez quand vous voulez, avec la charactére qui vous chante ^^]
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Brexinga


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La Traversé du compas rouillé[Privé] - Page 2 Vide

Brexinga
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Message Sujet: Re: La Traversé du compas rouillé[Privé] | Ven 2 Jan 2009 - 18:58


­[Désoler, vancances de fou, j'ai pas eu aucuen instants seuls dans mon bureau, on n'est reparti.]

LE combat commencait à tourner à l'avantage des Kulls, à chaque instants ils devenaient plus nombreux et plus féroces. Nous nous battions bien, mais se qui m'effrayait surtout c'était les matelots, ceux-la n'avait pas la même expériences du combat que nous et si ils mourraient tous nous ne nous rendrions pas réellement plus loin. JE devais trouver quelque chose. J'abbatatit un dernier Kulls avant de em téléporte plus haut sur le navires. je me tenait sur un mat observant le navires et les barques qui s'en approchait. Nous devions nous séparer du rocher. mais comment. Je pouvait utiliser ma magie mais sa en demandrait beaucoup trop, je perdrait une dose importante d'énergie et la métamorphose s'Arrêterait, je devais al garder pour l'instants. Je ferma les yeux et ragea intérieurement lorsque soudainement une bénédiction se fit entendre dans le ciel. De l'eau commencait à perler du ciel, suivit par d'immense éclairs qui déchirait son néant calme. Les Dieux était frustré. Ils étaient même en furie. Malchiaë m'aidait, tendait un flambeau a un de c'est plus fidèle serviteur. Je releva la tête vers les cieux et hurla.


"Merci Malchiaë, que tu sois béni"


Je repencha la tête, ferma les yeux et tint mes mains en haut de ma tête. Je commenca à marmonner quelques paroles en langage Ombrique. L'incantation commencait et la magie venait déjà entouré le bateau. Creer quelque chose demandait beaucoup d'énergie, la dévié par contre était beaucoup plus simple, et lorsque cet élément était ton élémetn de prédilection c'était tache facile. Un premier éclair fut expulsé des cieux et fonca dans mes mains. Arrié au niveau de mes mains elle se compressa et finit en boule, une petit boule jaune sur laquelle serpentait de legers éclairs. Le tonerre s'emplifia et les éclairs pleuvèrent presque dans mes mains. En l'espace de 5 minutes la boules dans mes mains avait atteint la tête d'une homme. Assez puissante et dévastatrice pour faire éclater un paysage au complet. Je descendit mes mains au niveau et de mon torse et commenca à regarder tous les Kulss sur el bateau en repétant les même incantation à chacun d'entre eux. Je fit de même pour les bateaux qui avancait dans notre direction et tout d'un coup relache al pression. Je sentit l'énergie magique quitter mon corps d'un coup, mais je n'avait d'autre chose que d'essayer cela. Des centaines de petits éclairs condensé frappèrent tos une cible, un Kulls en l'occurence, aucune n'y échapèrent, les éclair quittaient la boule et allait frapper un Kulls en plein ventre, d'autre éclairs plus gros allait faire éclater des bateaux. L'éclair en temps quesoit était puissant mais pas assez pour le sterraser, mais vu qu'il pleuvait depuis maintenant plusieurs minutes le courant électriques était amplifié et le choc que faisait l'éclair lorsqu'il rencontrait el corps était mortel.

Je n'eut pas le temps de voir se que j'avais fait ma tête commenca à tourner et je tomba en bas du mats pour aller me fracasser sur le pont du navire inerte. Je en bougeait plus, ma respiration était faible. En fait se qui me retenait ainsi sur el sol était le sorts de métamorphose qui drainait mes dernière parcelles d'énergie. .
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Sawer


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Sawer
Message Sujet: Re: La Traversé du compas rouillé[Privé] | Ven 2 Jan 2009 - 19:25


Le Morb était pris au dépourvu. Les Kulls affluaient vers lui et ses compagnons. Il frappait dans tout les ses et des centaines de ces monstres étaient mort par son épée et ses sorts mais le double avait pris leurs places ... Il commença a perdre espoir. Même avec toute la bonne volonté, le pouvoir et l'agilité du monde, il n'arriverait pas a tous les terrasser. Il se laissa quelque peu tomber, a bout de force lorsqu'un coup d'épée s'abattit sur lui. Il le contra de justesse avant de courir vers l'arrière. Il avait encore le quart de son énergie. Puis, soudain, des éclairs déchirèrent le ciel, et s'abattirent, c'est ce que pensa tout d'abord Le Morb mais il vit soudain quelqu'un au milieu de toute cette foudre. C'était Brexinga ! Il avait fait apparaître tout sa et il le contrôlait. Il lança alors la foudre et tua presque tout le full. Il n'en restait plus que deux. Un qui Le Morb tua d'un coup d'épée dans le cœur et un autre qui essaya de s'enfuir en nageant mais il s'électrocuta car l'eau était pleine de foudre. Il poussa un cri de joie lorsque les attaquants furent tous mort. Mais il vit aussi plein de matelots étendus sur le sol.

- Que dieu ai pitié d'eux dit-il tous bas avant de se retourner pour féliciter Brexinga. Son visage tourna au bleu lorsqu'il le vit la, étendu sur le pont. Brexinga ! Sabretran, regarde, Brexinga va mourir ! Il a dépensé trop d'énergie ! Attend je vais aller chercher une des pierres d'énergie occupe toi de lui en attendant !

Il accouru en bas pour prendre l'une des pierres. la pièce était sombre et pleine de caisses. Le Morb pensa que c'était des provisions pour le voyage... Puis il sentit les pierres. Elles étaient derrière deux tonneaux de bière. Il y en avait bien 3, envelopper dans un mouchoir en soie. Il en prit une et accouru vers son ami à qui il donna la pierre en disant :

- Aller prend sa, sa va te redonner la pèche !
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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Re: La Traversé du compas rouillé[Privé] | Jeu 29 Jan 2009 - 22:47


Je suis vraiment, vraiment desolé du retard, mais Brisingr et le collége en même temps...

Les coups de sabres explosaient en une gerbe d'étincelle dans la nuit sombre tandis que le trio essayait vainement de se défendre contre les derniers Kulls. Les débris des canots détruit caressaient brièvement la coque du navire prenant le large au grès des vagues. Le Morb combattait avec une vivacité assez étonnante pour son age, et une sorte de kull en rage s'acharnait avec férocité sur Sabretran. Ce dernier avait beaucoup de mal a en finir avec lui. Pris d'un excès de fureur, et usant de ses derniers fils de magie, il lança un surplus d'air dans la poitrine du Kull qui explosa en lambeaux. S'affalant sur le coté, il vit Brexinga sur le mat, les bras en l'air invoquant il ne savait quelle créature démoniaque. L'enfer se déchaina alors, avec une multitude de coups assourdissants, des éclairs pleuvaient avec force, illuminant les environs sur plusieurs dizaines de kilomètres, les canot explosèrent et les derniers Kulls s'effondrèrent mollement sur le coté, une spirale de fumée émanant de leurs tête désormais rasé. Sabretran ne put s'empêcher d'admirer la puissance extrême de l'ombre. Il leva le regard pour le remercier et laissa échapper une exclamation en l'observant chuter du haut du mât, sans gesticuler, la cape crépitant à la façon d'un drapeau le suivant irrésistiblement. Le chat garou bondit d'une force féline, et courra vers le point de chute. Mais il était trop tard, et l'Ombre s'écrasa...Contre ce qui semblait être un matelas invisible, magique. Le maître félin, sans se laisser aller aux réjouissances, se précipita sur le corps inerte de Brexinga en même temps que le Morb se précipitait vers la cave en bafouant un :

"Brexinga ! Sabretran, regarde, Brexinga va mourir ! Il a dépensé trop d'énergie ! Attend je vais aller chercher une des pierres d'énergie occupe toi de lui en attendant !"

Une sorte de force invisible faisait planer l'Ombre a plus d'une dizaine de pouces sur le sol. Et elle semblait prendre sa puissance des dernière parcelles d'énergie de Brexinga, et se dernier mourra si il ne détruisait pas le sort. D'un mouvement ample de sa canne, Sabré détruisit le sort fragile et le corps de l'ombre tomba d'un dizaine de centimètres. C'est alors que le Morb jaillit et offrit une pierre à l'ombre...

***


-Pitié mon Dieu ! Pourquoi aviez vous pris leurs âmes ?

Sabretran reconnut la voie du capitaine qui, la tête basse, fermait les yeux d'un des matelots tué. Le Maître félin ne sut que dire pour le consoler. Le grand homme barbu s'approcha d'un autre et poussa une nouvelle plainte :

-Huit de mes homme pris par ces bêtes du diable ! Huit courageux marins qui avaient voulu mourir en terre, après être venu de ce voyage et l'avoir raconté à leurs petits enfants !

Puis il se releva, la tête haute, les larmes aux yeux. Dans sa tête, il semblait prendre un decision.

-Nous leurs ferons une sépulture digne d'un marin.

Puis il se retourna et se diriger vers la bastingage d'amarrage, prêt de l'entrepôt. Sabré se retourna et examina le corps des hommes, donnant une bénédiction de chat garou au passage. Et malgré l'atmosphère sobre, Sabré ne put s'empêcher de faire remarquer à l'Ombre et au Morb.

-Messieurs, je crains que nous seront bientôt dans l'obligation d'apprendre l'art des marins, en peu de temps. Ces matelots sont irremplaçable.


Le capitaine emmargea alors de la cave avec une boule de cristal dans sa main. Sabré ressentit sa puissance magique, et fronça les sourcils en attendant une explication de la part du capitaine. Ce dernier, sans se soucier de la curiosité de ses compagnons. Lança, les larmes aux yeux, la boule dans le ciel. Elle dévia brièvement la lumière de la lune. Puis explosa en un flot de plume blanche et d'éclairs orange. Sous les yeux impressionné de Sabretran, huit mouettes aux yeux d'émeraude et grandes comme un enfant jaillirent,et prirent dans leurs serres chacune un homme. Puis dans une tornade de plume et d'aile, s'élancèrent dans le ciel, emportant à jamais les âmes et les corps des matelots. Leurs reflets d'azur se reflétant sur la mer soudainement calme.

***


Le Rois observa avec joie le bateau s'éloigner du lagon perdue, et reprendre sa route vers le large.

-Mon souverain, dit le conseiller, si vous désirez, je vous propose de tenir une équipe d'intervention prête si il y a une nouvelle attaque.

Le Rois se gratta le menton, et répliqua, irrité :

-Tenez prêt, plutôt, une équipe de magicien qui pistera les traîtres internes qui ont assassiné le directeur de prison, et essayez de me dresser un rapport sur qui et quel est l'objectif de ces individus qui veulent à tout prix que le voyage s'arrête...

Le conseiller acquisca et s'en alla, tandis que le Roi observait avec appréhension le pion dépasser la ligne rouge du connue.
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Dayazell


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Dayazell
Message Sujet: Re: La Traversé du compas rouillé[Privé] | Jeu 26 Mar 2009 - 12:06


Plus personne ne post ? Crying or Very sad

Parceque je dois liberer mon personnage
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Ellenwen
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Message Sujet: Re: La Traversé du compas rouillé[Privé] | Jeu 26 Mar 2009 - 12:15


(tu peux poster ailleurs en attendant)
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Dayazell
Message Sujet: Re: La Traversé du compas rouillé[Privé] | Sam 28 Mar 2009 - 13:37


[Bon, ben desolé, les gars, mais comme plus personne ne poste depuis deux mois...]

Sabretran sentit alors une flamme s'éteindre dans son cœur, une connaissance qui s'envolait à jamais, une longue connaissance, une très cher connaissance. Dés le premier instant, il sut qui c'était...La Reine Islanzadi n'était plus.
Un choc électrique traversa le pauvre esprit du chat garou, cette reine qui l'avait accepté au Du Welden Varden, et qu'il avait lui, en contre partie, servit fidèlement pendant prés de quinze ans...

Avec un sourire triste, il annonça :

-Désolé les amis, ça m'est très cher de vous laisser là, mais je dois y aller, un être cher est mort. Dés que je le pourrais, je reviendrais, c'est promis, en attendant...

Il prit le collier que lui avait donné Pasiphaé, et d'un geste emplit de chagrin, le fracassa au sol, il fut instantanément téléporté à Aberon, où il récupérera son cheval pour aller endeuiller la reine. Les vagues contre la coque du navire ne furent qu'un soupir infini dans l'oreille de Sabré.
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