(pff, vous faites ch*** avec Ramos, là, on a assez de boulets comme ça, il nous a attaqué sans raison plusieurs fois et sans motifs ! Son rpg n'est pas interessant, franchement, c'est une erreur de le prendre, même pour en faire un espion ou je ne sais quoi.)

Jeff revint en courant jusqu'à la forteresse.
"Héhé, salut, brex ! ça boum ? Bon, moi, je prendrais bien un ptit verre avant de partir...

Jeff se servit dans les bouteilles personnelles de Lemenct et bu directement au goulot. Il jeta ensuite la bouteille vide dans un coin pour que le nain ne s'en aperçoive pas, ce qui était plutôt impossible car les nains ont une grande mémoire quand il s'agit de leur propre bien et non de leur dette.

"A y est ! je suis paré, on peut y aller quand tu veux ! On va où déjà ? barf, m'en fout, je te suis !"

[bon je continuerais dans le topic de lemenct juste pour te répondre, et dire que ej pars, sans doutes, mais vu le nombre de gentils, faut beaucoup de darks.]

Dragenas, Baal et Eänwen arrivairent devant la forteresse de Durdil. Elle possedait quatres tours et un donjon en son centre, et le liere envahissait les murs.

*Elle tombe un peu en ruine cette forteresse* Ce dit la dragonne.

Elle se tourna ensuite vers ses deux compagnons de route:
*Nous devrions nous dissimuler pour nous approcher du batiment. Ce sera plus prudent et j'ai peur de nous faire reperer avec ma taille et mes ecailles.*

Effectivement le soleil sur ses ecailles produisait une lumiere
asser vive et la dragonne avait peur que celle ci alerte les hommes de la forteresse.

(on s'en fout du nombre, la qualité, c'est mieux !!!
au fait, dragenas... aurais-tu des tendances suicidaires ? Non ? c'est juste une question... au pire, on te repère facilement parce que l'esprit d'un dragon peu expérimenté, ça se remarque vite...)

(j'ajouterait qu'il vous est impossivle d'entrer car nous avons remit les protection magique ... et puis vous n'etes pas cencés etre la... on va vraiment finir par rapliquer. vous soulez bien qie vos personnages meurt?)

[ non mais en fait on vient juste faire un tour avec Baal et Eänwen et on s'en va juste apres. Et pour repondre a la question de Jeff, je ne suis pas encore deprimee a se point pour avoir des tendances suicidaire.mais j'avoue que j'ai plus tendance a penser au meutre. LOL]

Dragenas etait exitee a l'idee de voir la forteresse, mais, mintenant qu'elle etait devant elle ne la trouvait pas si extraordinaire. Et puis c'etait un endroit dangereux et la dragonne ne voulait pas mettre se vie et celle de ces compagnons en danger.

*Je reviendrait quand j'aurai plus d'experience. Je pense que c'est plus prudent.* se dit-elle.

Elle se tourna ensuite vers Baal et Eänwen.
*Je crois que nous devrions retourner dans le village.*

[ bon on reste pas la. On va a La place de Carvahall. Je tien a ma vie moi]

Ramos c'était attendu a ce genre de situation


-Attends !


Puis Ramos jura sur l'ancien l'angage ce qu'Arkillon lui avait dit !

Arkillon attendis que Ramos jure en ancien language. Apres l'avoir entendu dire exactement les meme mots que l'ombre lui avait ordonner de dire, il fit disparaitre son arme et enleva sa jambe de sur Ramos. Il le fit ensuite leviter pour le remettre sur pied et fit voler tranquilement l'arme de son nouvelle aprentis dans la mais de celui-ci.

" Bon, maintenant que tu as jurer, je peux t'emener avec moi, nous avons une mission avant de pouvoir commencer ton aprentissage. "

L'ombre mit sa main sur l'epaule de Ramos et il disparurent tous les deux dans un sombre nuage de fumee noir.

https://brisingr.forumactif.org/sur-les-chemins-f10/campement-a-la-frontiere-d-ellesmera-t4898.htm#419432

Enfin, ils y etaient presque. Le vent frappant son visage, ses yeux rouges sang luisant dans la noirceur de la nuit, Spartan, sur le dos de son dragon, s'approchait a toute vitesse de cet endroit qui l'avait interpelé.

*Nous y sommes presque.*

*Oui Thorn, je le sens.*

L'aura qui emannait de ce lieu se faisait de plus en plus fort, lorsqu'ils purent appercevoir les sombre tours de la forteresse.

*Alors c'est donc ça.*

Ils s'approcherent encore. On pouvait ressentir plusieurs protections magiques autour de la forteresse. C'etait du bon travail, bien que l'on pouvait faire mieu.
Sachant pertinement qu'ils avaient été repéré depuis un bon moment, ils attérirent devant la forteresse.

*Une forteresse, pas mal, je me serais presque attendu à une cabane en bois.*

*Il faut croire qu'on est pas si nazes que ça.*

Depuis le fond de sa cachette ou Spartan s'etait fait oublier, il avait pus sentir une aura maléfique se développer au fil du temps, jusqu'a l'interpeller. Il savait que des personnes maléfiques attaquaient de temps a autre des auberges, mais ils semblaient s'etre organisé, et le Parjure s'etait mis en tete de les trouver.

Il attendait qu'on lui prette attention, afin qu'il puisse entrer et se renseigner...

Un nuage de fumee commenca a se former, celui-ci devien de plus en plsu dense et fini par prendre la forme d'un elfe, ensuite le nuage ce dissipa et laissa a la place Arkillon. Il etait aparue a l'entrer de la forterresse. Il pouvait la voir maintenant qu'il y avait deja rentrer une fois, mais ce n'est pas le cas de son aprentis Ramos qui n'avait pas eu l'autorisation de mon ancien mentor d'y rentrer. Alors il devais attendre que celui-ci reussice sa premiere teleportation. Mais `l'ombre n'etait pas des plus pacientes, alors en quete d'une petite distraction il ouvrit son esprit pour guetter le moindre signe de l'aparition de Ramos. C'est alors qu'il sentis une force tres puissante, une force qui n'etait pas la avant son depart pour Ellesmera la cite elfique. Tous en ce servent de son esprit pour se guider, il marcha dans la direction d'un nouvelle arrivant. Il le trouva en train de fixer la porte comme s'il savait qu'elle etait la et qu'il attendait qu'on la lui ouvre.

'' Je te salue etranger, a quoi dois-je le grand plaisir de faire ta connaissance. Je doute fort que tu ne me cherche des ennuies car je sens ton aura sombre. Mais ce n'est pas celle d'un ombre et le dragon que je voix indique plus un parjure. ''

L'ombre attendait toujours que le jeune sorcier qu'il avait prit sous son aile reussice sa premiere Materialisation.

Arkillon fit son aprentis reussire sa premiere teleportation, mais il etait sur le bord de chancelez, il avait ete vider de ces forces, il venait de prouver par contre qu'il avait belle et bien du potentiel. Ensuite l'ombre vit Brexinga aparaitre devant lui et avoir un regard noir pour le parjure.

* Je me souvien maintenant, il s'agit de celui contre qui Brexinga c'etait batu. *

Ensuite l'elfe entendit le message mentale de son ancien professeur. Il avait accorder a Ramos le droit au consil. Les plans commencaient. L'ombre aida son aprentis a rester debout et parla a Brexinga.

" J'ai fait teleporter le butin chez moi, si tu en as besoin, fait moi le savoir. "

Ensuite Arkillon et Ramos disparurent vers le consil des ombres.

( Desoler de jouer pour toi Ramos, mais bon je voulais pas que sa dure trop longtemps, et je sais que tu est d'accord avec le fait que je t'amene au consil des ombres. )

https://brisingr.forumactif.org/le-concil-des-ombres-f44/topic-uniquearrivee-dans-le-concil-des-ombres-t4135-25.htm#419786

Spartan, d'un ton indifférent, s'adressa a l'elfe qui venait de se matérialiser devant lui.

"J'ai simplement senti l'appel d'une aura montant en puissance a cet endroit. Il fallait que je vienne voir ce qu'il en etait."

Il regarda l'elfe droit dans les yeux.

"Et non je ne viens pas te chercher querelle, tu serais deja mort si c'etait le cas."

Il y eu un silence lorsque de puissant jets de fumée sortirent des narines de Thorn.

*Tu le sens?*

*Oui je le sens Thorn, calme toi, on est pas ici en ennemi.*

En effet, ce qu'ils sentaient apparu, un Elfe sombre, au visage famillier, que le parjure et son dragon avaient deja rencontré plusieur fois, et avec qui leur relations etaient plutot tendues. Brexinga.
Spartan regardait l'Ombre s'avancer vers lui lorsqu'il lui adressa la parole.
Le parjure eu un rictus.

"Tiens tiens, ce cher Brexinga."

Il fronca les sourcil, lancant a l'ombre un regard noir.

"Qui es-tu donc pour m'appeler comme ça?"

[J'ai pas l'accès au concil des ombres..]

[C'est bon j'ai l'accès !]

edit by jeff : ramos, au lieu de reposter comem tu l'as fait, édite ton message. Et puis un message comme ça ne sert à rien, envoyer un mp aurait été plus utile

Spartan éclata de rire, Thorn avec lui, les puissants muscles du dragon faisant trembler le sol dans ses mouvemnts de fou rire.

"Toi m'avoir humilier? Tu n'imagine pas quelle bétise tu viens de raconter."

*Mais c'est que ce pauvre petit n'a pas vraiment l'air aussi renseigné qu'il le prétend!*

*Ca c'est clair!*

Essayant de reprendre son calme, le parjure continua.

"Contrairement a ce que tu pense, ta petite "victoire" n'est pas due a tes talents jeune sot. C'est bien plus compliqué que cela, ce combat avait deja été écrit a l'avance, par une puissance dont tu n'as meme pas idée. Si cela n'avait pas été le cas, je t'aurais tué. Mais je t'expliquerais si tu veux."

Apres avoir laissé le temps a l'Ombre de bien enregistrer le message, Spartan reprit avec un sourrir moqueur.

"Et ne fais pas le malin avec ton concil, regarde le, tu es le dirigeant de quoi? Regarde bien, ton concil n'a rien, ta guilde encore moins. Cela ne te donne aucune qualitée pour pouvoir m'appeler comme ça Brexinga, et je peux te le démontrer sur le champ, mais apparement tu as trop peur pour ça."

Thorn continuait toujours a rire, n'y prettant pas attention, Spartan continua, reprennant un ton courtois.

"Bon, je vais donc répondre a ta question. Je suis venu ici parce que je voulais voir d'ou venait cet aura sombre que je sentais grandir petit a petit, voila. Apres, comme tu le pense bien, je pourrais vous etre utile, mais il faudra me supporter Brexinga, il faudra me supporter. Ou alors, tu ne me prends pas, mais comme tu le sais, tu as besoin de moi, sans compter le fait que si je demande a tes cher accolites qui ils veulent accompagner entre toi et moi, je doute franchement que ce soit toi."

"Ne sois pas stupide Kendall, n'essaie pas de m'insulter. Il y a déjà de cela un bout de temps que nous avons combattu, nso deux forces ont grandement variée et même si tu veux penser que je t'ai battu car quelqu'un nous à controller moi je me plait à croire le contraire. Je n'ai jamais crut en une autre force divine qui planait autour de nous, je me suis fié à moi et à mes talents et aujourd'hui j'ai gravi les échelons."

JE regarda son dragon lentement et longuement, son petit rire commencait vraiment à me tapper sur les nerfs.

"Tu as marquer un point et ej dosi t'avouer que cela me frustre, j'ai besoin de toi. Tu serais un élément important dans mes plans, mais je te connais et je sais à quel point tu n'aimerais pas te faire diriger par quelqu'un que tu crois inférieur à toi. Je te el demande Kendall, car je suis prêt à passer au dessus de mes différent. Le Némésis avait confiance en toi, je m'en remet a son jugement et je te demande si tu ne voudrais pas nous rejoindre. Je ne t'en dirai pas plus pour l'instant, si jamais ton choix est positif nous en discuterons dans un endroit plus fermé et plus secret."

Spartan sourit.

"Je ne t'insulte pas, je ne fais que constater. Et lors du combatBrexinga, c'etait normal, aucun de nous deux n'etait conscient que quelque chose nous observait et nous manipulait comme des pantins. Et si tu ne veux pas y croire, alors comment explique tu que je sois là a te parler trnaquilement? Hum? Ne m'avait tu pas laissé au milieu d'une foret brulée, le ventre transpercé, apres t'etre bien assuré de ma mort? Pourtant regarde! Je suis là! Et en parfaite santé!"

Il s'arreta et reprit un air grave.

"Enfin bref, pour ce qu'il en est de ta guilde, je me fou d'etre commandé par un plus faible que moi, du momment qu'il a de bonnes idées. Mais sois en sur, lorsque quelque chose ne me plaira pas, tu auras de mes nouvelles, et tu aura interet de prendre en compte mes paroles Brexinga, parce que bien que tu n'en sois pas convaincu, je pourrais te réduir en miette. Mais il n'en va pas de mon interet ni du tiens, du moins pour le moment, n'est ce pas? Enfin quoiqu'il en soit, il faut que je réfléchisse."

Au moins il avait compris mon point, nous nous battions tous les deux pour le même but maintenant et nul n'était le besoin de nous combattre sans raison. Notre petite gueguerre n'avait plus sa place pour lemoment, au lieu nous devrions unir nos forces pour aider la cause des Darks.

"Tu marque un point, je n'ai et tu n'As aucun intérêt à tuer l'autre, nous sommes deux personnes influente et surtout puissante et nul n'est besoin de nous attaquer. JE vais te laisser réfléchir le temps que tu voudras, mais sache une chose, le jeu est déjà en marche, les pions ont été placé et la guerre va bientôt commencer. Le temps manquera bientot à beaucoup de personne, ne leur en vol pas trop. Lorsque tu te seras décider ne fais que prononcer mon nom, je viendrai."

[Désoler, je sais ses petits mais l'inspiration commence à me manquer]

Thom avait réussi a fuir la fête et sa cousine, pendant de longs jours il avait erré sans but avant d'être contacté par Gorden, le tavernier, il lui avait parlé d'un rassemblement de méchants alagaësiens plus connus sous le nom de Darks (parce que ça fait plus stylé que « les méchants ».), dans une forteresse sur la Crête. Alors Thom s'était dirigé vers Caravahall, où il avait séjourné un temps, tentant de glaner de glaner des informations, il avait fini par apprendre que la réunion se déroulerait dans un lieu nommé la forteresse de Durdil.

Il se leva à l'aube, il ne pouvait pas dormir, merde il avait prévu de faire la grasse matinée. Pestant il se leva et s'habilla rapidement avant de sortir dans la rue. N'ayant rien à glander, il partit se balader dans les montagnes avec son cheval qui était maron-jaune, pas très très beau, mais la couleur était marrante en plus il était rapide et endurant et il avait pas mal de conversation et il savait bien faire les cakes au jambon (oui je sais c'est n'importe quoi). Ensemble ils se dirigèrent vers la Crête afin d'assister au lever du soleil au dessus des chutes. Une fois de plus ce fut un spectacle magnifique.

"La nature nous fourni des spectacles magnifique quand même, dit Huuu le cheval
- Oui, la nature offre la beauté, et l'homme vient pisser dessus, normal je crois, répondit Thom désabusé.
- Je pense aussi
- Moi aussi
- Oué
- ..."

Thom et son cheval glandèrent là pendant plusieurs heures, devisant sur la nature humaine et ses défauts et ses qualités. Midi venu ils pensèrent qu'il serait peut être temps d'aller manger un bout, mais vu qu'ils n'avaient rien à manger, et bien ils ne mangèrent pas. (NB: n'écoutez pas le dicton qui dit "mange ta main et garde l'autre pour demain" de un parce que ça fait mal et de deux parce que c'est trop con de manger sa main et en plus si ça se trouve c’est même pas bon. Bref.) D’un commun accord, ils décidèrent de se diriger vers la Forteresse qui se trouvait de l’autre coté de la Crête, soit à une distance non négligeable, soit à environ 55,35689 km d’un point où ils ne se trouvaient pas.

Après une longue marche (surtout pour le cheval) ils parvinrent au noir édifice, qui semblait les attendre dans l’or du couchant.

« Je suis docteur… »
« Docteur ? » demanda le fermier, avec un œil torve et globuleux, et une voix empreinte d’une grande et grasse méfiance. Il voulait que tout soit mauvais pour tout tuer ce paysan. Et les gens et les bestiaux, tout ce qui pouvait lui passer sous la main et attiser les braises à peu près ensommeillées de sa suspicion. C’était un vindicatif d’on ne sait quoi le bonhomme.
« Eh bien oui, docteur. Et le docteur veut une monture. Moyennant une certaine somme bien sûr » qu’elle avait répondu.
« La docteur veut … » et lui il corrigeait avec une sacrée morgue, il lui fallait bavouiller sa vétille instamment, sinon il serait nerveux le soir même.
« Oui, vous avez quelque chose pour… la docteur ? »
Que l’autre partit tout de suite dans un gras fou rire, il avait trois animaux dans sa ferme, un cochon, une vache, et un flamand rose. Le cochon lui servirait pour plus tard, la vache servait tout le temps, et le flamand rose était un poids mort. Mais un poids mort exotique quand même. Et puis il était un peu déformé de partout, dans les pattes et dans la tête qu’il était excentrique. Et ça le rendait un peu timbré encore ! Mais il fallait le vendre cher. On avait faim dans le coin, alors deux trois couronnes ça peut pas faire de mal.
« Que oui que j’ai quelque chose. Un flamand rose, je crois que mon chiard l’avait appelé Flippy… Enfin moi je m’en fous… Mais il est assez gros pour porter une docteur, et avec aisance je dirais. Ca fera 50 couronnes. »
« Ca fait cher quand même… Montre la bête, rascale »
Le flamand rose arriva comme par magie, on ondulant abondamment de sa petite tête haut perchée. Il était un peu ridicule, ses pattes étaient enflées, boursouflées. On les sentait douloureuses. Et puis il roulait des yeux bizarrement.
« Il peut vraiment porter quelqu’un ? »
« Oh que oui, vous verrez jamais un autre flamand rose de c’te carrure »



Et voilà comment que le docteur s’est retrouvé avec un superbe spécimen de flamand rose. Il marchait vite le bougre, mais en louvoyant émétiquement. C’était pas très bon pour le cœur tout ça. Mais il était intéressant Flippy, un vrai coup à devenir tératologiste sur un coup de tête. C’est ce qu’a fait Jest, car à défaut d’esprit le volatile avait une sacrée complexion relativement tarabustée. Un truc abracadabrantesque je vous dis. Vous verrez jamais ça en vrai. C’est à ça que ça sert l’imagination, à voir des trucs qui existent pas. C’est assez inutile mais on s’amuse bien. Un flamand rose mutant, c’est quand même notablement drolatique. Enfin moi je dis ça je dis rien, comme dit l’expression populaire idoine. Mais bon…

Donc Jest s’est retrouvée à sillonner la crête sur son drôle d’oiseau. Elle apprit qu’il était cannibale, coprophile et sadique et masochiste et plein d’autres perversités encore. Il était éminemment con mais avait sa dose de personnalité. C’est pas donné à tout le monde la personnalité. Souvent on se contente de ramper, on est un aptère spirituel. On se démarque pas trop, on grouille, on se fond dans la masse. Mais lui, c’était le truc qui brillait, le diamant dans la tourbe la plus crasse. Une vraie perle. Un flamand rose cannibale c’est quelque chose.
Il avait torturé et mangé le chiard du paysan autrefois, c’est pour ça que ce dernier l’avait vendu : l’exil de Flippy le tueur fou. C’est que tuer un flamand rose, c’était pas très intéressant pour lui. La preuve, il s’était fait 50 couronnes d’un coup d’un seul. Trois plumes roses et une trogne blèche et hop, 50 couronnes. Une affaire quoi…

Et pendant qu’ils parcouraient la vieille montagne rabougrie qui s’engraissait depuis un certain temps, il virent des choses pas propres. Un sanglier en train d’éviscérer un chasseur, des lapin en train de se faire broyer par un kangourou… ou un cheval. Et puis des écureuils qui tombaient des arbres et éclataient dans de rubicondes gerbes de sang. Même les oiseaux tombaient du ciel dans des pépiements affolés. Rien n’allait plus. Le drame, l’écosystème bouleversé, la mort derrière chaque arbre, dans chaque bout de tripe de chaque animal qui pouvait rôder dans le coin. Il y avait une raison à tout ça, c’était pas possible. Quelque chose montait à la tête de toute la faune. Sinon ils auraient pas été en train de se suicider aussi connement. Un prurit scientifique atteignit Jest directement dans le cerveau. Et deux trois circonvolutions de cortex plus loin elle cherchait. Et bien qu’elle cherchait !

Elle a soulevé chaque pierre, chaque branche, a talé chaque parcelle d’humus de son auguste escarpin, elle a même gratté l’écorce des arbres malades avec le bec de son flamand rose. Elle a cherché partout, a manqué de tomber dans un ravin profond et béant. Elle a aussi mangé une pomme aux alentours de midi, parce que quand même il fallait se nourrir.

Et puis elle est arrivée, arrivée dans l’œil du cyclone. C’était l’apex de ce sommet aux allures de géhenne. Une lueur saturnienne montait du crépuscule qui frisait en conflagrations rouges, le vent n’était plus, les animaux étaient loin ou morts. Et c’est dans ce lyrisme niais qu’elle s’est approchée, la bouche ouverte par le flux implacable de la stupéfaction. Pantoise, elle manqua de ne pas remarquer le gonzier qui approchait, plus loin. L’or du couchant moirait son visage altier et solide, mais cependant fort laid. Elle le reconnut, une telle insulte à la création ne pouvait être que Thom Malaria, baroudeur de son état. Le mythique errant qui avait un jour dit très justement « Ich bin ein baroudeur ». Ce jour là il avait démontré avec maestria quel était son potentiel littéraire, et le docteur l’avait adjuré d’écrire un livre tout filigrané de calmbredaines à l’avenant, mais il avait refusé.

Depuis elle avait décidé qu’il était un sinistre trou du cul.

« Hé, que fais tu là ? » d’un bond souple et agile, Flippy se planta devant la grossière monture de Thom et lui souffla à l’oreille ces doux mots « Dis, tu aimes qu’on t’insulte pendant ? »

scoliro et illegume réapparuerent dans une des chambre vide de l'etage avec le fruit de leur travaille. il entendait deja les rumeur de convertation a l'etage inferieur qui laissaient predir que brexienga n'avait pas eu besoin de leurs retard pour foutre la merde... scoliro aussat les épaule et descendit d'un pas leger les quelques marches. il avait toujour son capuchont... en bas il aubservat l'un des nouveau venut
*c'est spartan. il fesait partit de l'empire au même moment que moi enfin je ne le connait pas trés bien je croit que c'est un ombre ou un truc dans le genre.*
*merci a chere source d'information*
il sentit l'esprit de scoliro ressombrerr dans les profondeurs. il l'aggacait celui la qui arrivait il ne savait trop comment a faire glissé sur lui tout forme d'atttaques.

" l'ambiance ba son plain a ce que je vois. brex quand tu aurat fini tu pourat monté voir lahaut il y a 6 bouteille qui valent plus que ce chateaux lui même. "
puis il se rassit a la place qu'il avait en partant et se remit a degusté avec delice les nombreux plat qui étaient rster chaud sous l'effet de la magie. decidement les autres ne savaient pas ce qu'ils rattaient

Illégaume decendit a la suiet de scoliro et alla vers la table.

"Ben dit donc Ya du monde Ici tien!! Il est ou le Nain? il est pas encor rentré? Ben je vais pas l'attendre pour bouffer en tout cas."

"hhhhhiiiiiiiiiihiiiiiiiiiiiiiiiihiiiiiiiiiiiii"

"Ben Bouh non plus."

Illégaume s'assit a coté de Jeff et servit deux verre de vin du nain. Un pour lui et un pour Bouh. Il se servit aussi a mangé d'un des plats.

"Bof, tan pis si la bouffe est magique, moi j'ai la dalle."

"Alors, Jeff, sa a été de ton coté? Moi sa va, la balade. Sauf que g pas eu le temps de gouter la spécialité du coin. Mais heuresement j'ai pensé a ramener de la bouffe!!!"