Jest remercia vaguement le tavernier en s'emparant de la petite clé. Et s'appretait à monter à l'étage, tout son attirail et sa caisse dans les bras, quand l'homme lui posa une question à l'allure d'anodine. La jeune femme ne pensait pas que son nom puisse être d'une quelconque utilité pour le propriétaire, mais elle le lui livra quand même, un petit sourire aux lèvres dont la signification ne pouvait être que dans l'esprit de celui à qui il s'adressait.

"Jest, je pense que cela vous suffira. Et merci pour le cheval"

Sur ce elle s'élança dans l'escalier, remarquant que se large robe l'empêtrait quelque peu dans ses mouvements, ce petit détal conjugué au poid de la caisse rendait l'ascension délicate. Mais rien de bien compliqué, et ainsi se retrouva-t'elle dans un large couloir. Ici le grondement des conversations était un tonnerre lointain et les tintements de divers objets de petites notes cristallines à la limite de l'audible. Cette ambiance feutrée était étayée par le profond tapis couvrant le sol, d'un blanc cassé apaisant, qui étouffait les bruits de pas et donnait une agréable sensation de confort. Les murs couverts de stuc carressaient avec bienveillance l'oeil du Docteur. Le tout était éclairé de petites lampes irradiant une lueur claire et diffuse. La jeune femme retint le nombre gravé sur la boucle de sa clé et parcouru le large corridor, attentive aux numéros des portes. Parfois une plaquette de cuivre sensée indiquer le "nom" de la chambre était absente, ou pendue seulement par un clou. Finalement Jest trouva se qu'elle cherchait, et entra dans ses appartements temporaires. La pièce aux allures ascètiques possédait un mobilier monacal, un petit lit contre le mur, qui était en fait une simple planche avec un matelas usé et une couverture de laine grossièrement filée. Une petite commode aux formes brutales ornait l'autre côté. Face à la porte une fenêtre donnait sur une cour intérieure, pavée de pierres aux couleurs nuancées.
Une vitre bosselée et composée de nombreux morceaux de verre plus translucide que transparent, rouge ou bien bleu, formait un flot vertical sur lequel pouvait se reflèter un coucher de soleil, ou le noir mâtiné de bleu d'une nuit d'été. En s'enfonçant plus profondemment dans la petite pièce on pouvait découvrir un poêle noirâtre niché dans un coin à gauche de la porte.
Le Docteur posa son matériel sur la commode, et entreprit de placer le lit au milieu de sa chambre. Ensuite elle ouvrit la caisse, en sortit une vasque de cuivre qu'elle plaça au pied du lit, fit bouillir un peu d'eau à l'aide du poêle, à côté duquel trônait un peu de bois, et la laissa là, attendant qu'elle refroidisse un peu. Finalement elle enleva le matelas et le posa contre la fenêtre, obtruant cette source naturelle de lumière. Puis, satisfaite, elle redescendit dans la grande salle.

[Euh, Taya, Svean n'est plus en bas, il est dans une chambre à l'étage XD]

Le tavernier regarda Taya avec un air déçu. le sourire aux lèvres, il lui répondit :

"Vous ne savez pas ce que vous perdez... cette attraction vous aurait sans doute rapporté au moins 50% de la recette ! En plus, votre gentil lézard aurait pu faire office de chimpanzé dressé, à défaut d'avoir une guenon... quoique...", ajouta-t-il en glissant un regard amusé sur la dragonnière.

Lui tournant le dos sans se démonter, il adressa un sourire à Laïaga, puis retourna au comptoir en voyant la dénommée Jest revenir. Puis il apostropha la jeune femme :

"Dites, si vous pouviez aussi arrêter de hurler comme une folle, vous voyez pas que ça traumatise les clients ? En plus, vous aggravez votre cas..."

Son sourire mesquin et narquois ne fit que s'élargir un peu plus...

[ xD jvais edit ici -__- la flemme]

Non pa en regardant le corps mais en ce rememorrant le corps qui était passé devant ses yeux! OUps!
Bien evidemment elle avait réagit comme si elle venait de le voir...

Le tavernier se mit a lui adresser la parole avec arrogance. Et l'arrogance?! seule elle en a le libre arbitre xD
Le regardant avec un regard vraiment comment dire ...
Irracible. Elle le fixa de haut en bas, tel une merde sur pattes.

"Continuez comme ça aussi et vous agraverez votre cas par la même occasion."
son ton jusque là relativement guai et jovial malgrés les actes était devenu d'une froideur a geler tout le pays.
Elle croisa ses bras, d'un air determiné.
Les joutes verbales? Elle connaissait, et elle n'avait pas l'intention de continuer sur ce terrain non pas glissant! Elle adoirait ça!
Mais le problème n'était plus vraiment là, quelque chose de plus grave?
Grave? Mais non voyons! Juste que celui dont elle avait gardé une confiance aveugle venait de devenir un mec normal, proche de Laiagachou!
"Et merde..."
marmonna t'elle, les yeux rivés... dans le vide

Les évenements n'allaient vraiment pas bon train.
A hurler sur place jusqu'a a casser tout les carreaux! Mais elle n'en fera rien bien evidemment.
Elle se téléporta sans même reflechir et sans plus aucunement porter attention aux deux dragonniers.
A peine se fut t'elle téléporté elle se laissa tomber sur les fesses, sur le siege juste en dessous d'elle d'un air abbatu sur le coup.
Vraiment... Ceci est un evement a imortaliser xD

hj tu es toujours dans la taverne?

Mithrandir regarda taya s'exiter puis quand le tavernier commença a la rabrouer il vit que ça ne lui avait pas plus il se dit:

*je sais pas pourquoi mais j'ai le sentiment que si le tavernier continue taya va vraiment peter un cable!*

Amayläe resta de marbre devant la démonstration de Taya. Après tout, cette dragonnière devait avoir l'habitude de se conduire ainsi. Et aussi d'entendre des moqueries. Mais il n'y en avait pas un pour rattraper l'autre. et pour le moment, Korys devenait ridicule en s'apesantissant de cette manière sur cet incident. A vrai dire, il montrait une puérilité semblable à celle de Taya. Pire, il voulait faire le malin en exposant dans la taverne un fairth médiocre. Non pas parce que sa technique était médiocre mais parce que le modèle qu'il avait pris était médiocre. Faire un fairth d'une dragonnière assise sur une chaise... Il y avait de quoi en pleurer. Et c'était d'autant plus pitoyable que le tavernier en était fier. C'était peut-être une question de goût, mais cet objet faisait du plus mauvais effet.

Elle était sur dans l'embrasure de la porte. Ses yeux se posèrent sur le fairth qui tronait toujours dans la pièce. D'une voix claire, elle dit:

" SMessieurs, mesdames, se gausser de cette manière pour cela n'est pas ce que j'appelle être mature. A moins que vous ne soyez tous des pervers et que vous aurez là l'occasion de contempler une dragonnière sous toutes ses coutures..."

Amayläe téléporta alors le fairth au loin, dans un endroit connu d'elle seule. non sans avoir auparavant pris soin de dissimuler tout trace de magie. Et puis, si Taya voulait le récupérer, elle n'avait qu'a demander. Sur ce, elle sorti et disparu dans les rues de Teirm...

[edit: Après reflexion, le tavernier va être débarassé des clients qu'il juge puéril...
et j'allais pas faire un post pour faire remarquer à mossieur sa conduite avec Jest -_-"]

Je jetai un regard sur ma droite, et vis que les sphères traversèrent « Taya » sans lui faire de mal. De plus, le clonage était clairement visible, après avoir affronté ceux du Némésis. Pourtant, il fallait tout de même avouer que le temps de réaction était excellent. Oui, Taya allait vite. Le tout serait de savoir…Vite comment ?

-Bon Korys je te laisse, je m’en vais me chercher un manteau. Au revoir.

Je me levai, prenant mon bâton de la main droite, ce après avoir repéré par magie Taya. Bien entendu, elle n’avait aucun moye de savoir que je savais où elle était, bien qu’elle devait se douter de quelque chose.
Cependant elle décida d’elle-même de me révéler sa présence. Je n’écoutai pas vraiment ce qu’elle dit, me bloquant dans mon mouvement, puis quand elle se tut, finis de me relever.
Alors, et ce avec toute la vivacité dont j’étais capable après avoir renforcé ce que j’avais de réflexes par magie, je me retournai vivement en envoyant dix kunais en plein sur Taya. Cinq en fait, et dans l’ombre des cinq, cinq autres encore, tellement bien collés qu’ils en étaient indiscernables.
Puis à peine les armes parties de mes mains, je me téléportai juste à la périphérie du champ de vision de Taya et lui décochai un coup de poing au creux du dos, juste au-dessus de ses fesses, tout en balançant de l’autre main la lame de mon bâton dans ses pieds pour la faire tomber.
Avant même de savoir si ça portait, je me retéléportai à quelques mètres de là, créai un bouclier anti-téléportations et un autre physique, l’empêchant de se mouvoir.
En fait, elle était coincée par des boucliers formant un hémisphère de quatre mètres de diamètre, ne pouvant ni en sortir en se déplaçant, ni en se téléportant. Et histoire de parachever le tout, j’avais mis suffisamment de puissance dans ce bouclier pour que Taya soit incapable de le détruire en moins de cinq secondes. L’effort me fit ruisseler de sueur, mais je n’étais pas encore épuisé, et l’air dans la demi-bulle s’embrasa tout autour de Taya, sans en sortir cependant, pour évier d’abîmer la taverne plus que nécessaire.
Faisant un petit signe de la main à la jeune femme en guise d’au-revoir, je sortis de la taverne, direction le quartier des tanneurs.

Alors que j'entendis et sentis siffler les Kunais , j'avais déjà disparu.
OUi avec Laiaga la rapidité s'avère étre un des meilleurs alliés. Je commençais serieusement a comprendre son fonctionnement...
J'avais déjà disparu de son champs, laissant a la place un sac de tissus ou était a l'interieur de la poussière que j'avais fais venir alors que je disparaissais et était sur l'une des poutres soutenant la taverne.
J'entendis les kunais et ne m'attendais pas vraiment à en entendre 10 se planter et bien entendu, Laiaga de l'autre coté en train de frapper violemment!.
Tendant l'oreille, je sentis qu'un bouclier s'étalait autour de ce qu'aurait pu être mon corps.
Vraiment aucune pitié ce type.
je crachais de rage et m'évaporais dans l'air aussitot, entendant légèrement le sac qui aurait pu étre mon corps s'embrasait, je ne preferais pas lui dire au revoir... Ce soir, ceci aurait pu s'averer m'être trés.. comment dire... Mortel?.

*salaup...*
voilà la pensé profonde qui vint en premier lieux dans son esprit.
Le petit ange survitaminé venait de disparaitre...

mithrandir regardait le spectacle avec admiration pour les deux dragonnier ils était trés puissant mais laiaga avait l'air de l'être encore plus(je savais pas que superman existait en alagaésia^^)

[Bah maintenant tu le sais ]

Mithrandir regardat les guerriers qui commençait a s'énervé il se leva et dit:

-scoliro vient on s'en va!

*Pose toi la se sera parfait.*

Elle se retrouvait devant la taverne de Teirm. Tellement de bon souvenir revint en surface. Mais elle n'était pas la pour penser a d'anciens souvenirs.
Non, elle était la pour fêter quelques choses qui lui était cher. Qui, d'un coter, ramener des souvenirs mois gaies.
Ca allait faire un an maintenant qu'elle avait fait des connaissances plus ou moins intéressante. Pendant une année complète elle avait changer.
Bien sur, elle restait toujours la jeune Elfe insouciante, apres tout, certaines choses ne peuvent changer. Surtout celles qui tiennent a coeur.
Ca aussi elle se l'avouer plutôt bien par rapport a d'autre chose. Son insouciance. Elle savait tres bien que si elle ne l'aurait pas, si elle serait une jeune fille sérieuse, elle ne serait pas la même. Plus froide, aucun sourire, pus rien.
Elle frissonna a cette pensée. Elle aimait ce qu'elle était, enfin surtout sa personnalité. C'est peut-etre la seule chose dont elle etait sur. Surtout en ce moment.
Apres s'etre perdu quelques secondes dans ses pensees, elle se retourna vers sa dragonne avec un joli sourire en coin.

*Il y a un an, je suis arrivee a Uru'Baen. C'etait un jour de chance pour moi, un jour de fete et tu sais comment j'aime m'amuser. tout en parlant elle ne fit pas attention aux regards serieux de sa dragonne, surtout par rapport au mot "amuser". C'est cette soiree la que j'ai rencontrer mai demi-soeur et d'autre gens.*

Kogranne ne disait rien mais elle l'ecoutait et elle savait aussi de qui elle parlait quand sa dragonniere disait "autre gens".

*Un an. Dans cette annee, je t'ai rencontrer, je suis passer du coter Dark. et j'ai fait tant d'autre chose... Tant de changement...*
*C'est le moins qu'on puisse dire !*

Norwen regardait intensément Kogranne avec ses yeux gris. Elle se demandait ce qu'elle serait sans sa dragonne. Elle ne serait pas grand chose... C'etait bien Kogranne la plus resonable des deux, et de tres tres loin d'ailleurs. Elle n'avait pas besoin de mot pour lui montrer qu'elle lui serait a jamais redevable.
Elle regarda sa dragonne s'envoler et elle se retourna vers la porte de la taverne. L'Elfe entra et ne regarda pas qui il y avait. Elle se mit a une table en se demandant ce qu'elle pourrait bien boire.
Pour un an... La jeune Elfe sourit. Oui elle se ferait ce plaisir, parce que c'etait un evenement important. Du moins a ces yeux.


(Dsl, je suis en Amerique et sur les claviers il n'y a pas d'accents donc ne faites pas attention aux fautes d'ortographe, j'ai eu la flemme de tout remettre normal...)

scoliro avait suivit la scéne songeur ... le temps etait venu de partir d'ici comme le proposaitellegammant mith... il deposa quelques pieces sur le contoir pour le thé ainsi que pour les 2 tasses cassé et les quelques degat occasioné par autruit .puis il rabatit son capuchant sur sa tête ...fëanor vient se posé sur son epaule et finwë se levat et vint prés de luis
"je te suis cher amis"

Jest se retrouva de nouveau dans la grande salle, de nouveau embaumée par le fumet polyforme que dégageaient la multitude de plats, de boissons et de personnes. Le tout nuancé par l'amrtume âcre qu'exhalait l'âtre flambant au bout de la pièce. Et de nouveau la femme s'appretait à trouver un sujet apte à subir son projet. A vrai dire elle ne chercha pas longtemps, et reporta encore une fois son attention sur le pilier du bar, qui avait alors reprit sa position initiale, mais s'était doté d'une chope pleine.
Le Docteur jeta un oeil rapide sur le tavernier, le globe n'eût même pas le temps de toucher ce dernier qu'il était déjà de retour dans son orbite et se tournait sur l'énorme homme en train de siroter sa boisson. Elle s'approcha de lui, prit un tabouret non loin de là et se posa dessus.

"C'est de nouveau moi, bel homme"

Le personnage, qui avait porté sa chope jusqu'à sa gueule béante, s'arrêta net et repose mécaniquement l'objet. Et tourna la tête avec une grande difficulté apparente, la bouche toujours bêtement ouverte. Il scrutait d'un air intrigué sa voisine de comptoir, un sourcil levé faisant preuve d'une grande réflexion de sa part. Elle lui avait trituré le visage il y avait de cela un instant, et maintenant elle l'abordait de façon plus qu'explicite. Parvenu à cette conclusion libidineuse le gros homme ricana, laissant échapper quelques postillons nauséabonds sur Jest, qui prit sur elle pour ne pas s'essuyer en grommelant. Sa proie avait beau être grisée par l'alcool elle s'en sentirait quelque peu insultée.

"Vous venez avec moi ? " dit-elle, une moue faussement gênée déformant sa bouche et un trémolo de trouble parfaitement imité dans la voix. Son interlocuteur, qu'elle nommerait à présent Sujet n°98, ne fit aucune résistance et se leva à sa suite, oubliant par la même occasion sa consommation.

Une vingtaine de marche et quelques mètres après, ils se trouvaient dans la chambre parfaitement préparée. Jest pria son invité de s'allonger sur le lit nu, réduit à l'état de planche montée sur pieds, alors qu'elle déplaçait le matelas. Cela amenait dans la pièce une luminosité appréciable, et le verre était trop grossier pour que l'on voit nettement à travers. Ceci fait elle reporta son attention sur N°98, et entreprit de le sangler à l'aide de deux large ceinture, l'une serrant fermement les pieds, et l'autre les bras en passant sous le sujet, afin de dégager son tronc. Il poussa un rire gras, voyant là-dedans quelque divertissante perversion, et se laissa faire quand Jest le baillonna avec un outil fort spécial.

A présent que tout était prêt elle versa l'eau préalablement bouillie dans la vasque, et étala quelques instruments à portée de main. Puis avec un sourire elle dirigea son couteau sur le ventre déjà dégagé de l'infortuné crétin...

Zorîm continuait tranquillement son repas, tout en écoutant les discussions de ses compagnons, lorsque les paroles de la Couleuvre entraînèrent un grand silence. Le garçon resta immobile durant un certain moment le temps que l’agitation revienne. Il préféra ne pas faire de remarque sur ce qui venait de se produire et continua donc à manger. La viande servie par le tavernier avait un excellent goût, au grand bonheur du jeune gourmet.

* Je ne me souviens pas de la dernière fois où j’ai mangé quelque chose d’aussi appétissant. Finalement, je crois qu’il ne sera pas nécessaire que l’on m’aide à tout finir!*

Oubliant un instant tout ce qui l’entourait, l’enfant prit un certain plaisir à déguster son plat. Pourtant, son attention fut à nouveau distraite par une femme qui s’agitait et criait sans que le jeune spectateur de la scène ne comprenne la raison. Mais ce qui s’en suivit l’étonna encore plus. Le tavernier venait, sous ses yeux ébahis, de reproduire le portrait, presque en un instant, de la femme mouvementée.

* Comment a t’il fait une chose pareille? De la magie? *

L’air hagard, Zorîm n’arrivait pas à détacher son regard du portrait. Cependant, le berger finit par reprendre sa collation, jusqu’à la terminer cette fois ci. C’est à ce moment que Amayläe se leva et partit, non sans toucher un mot au tavernier. Le jeune garçon réussit tout de même à saluer sa compagne d’un moment, tandis que ses pensées allaient bon train.

* Pourquoi ai-je l’impression que tout ne va pas si bien que ça? Amayläe avait l’air mécontente. Je ne comprends pas ce qui a pu la fâcher. *

Bien qu’il fut très jeune, Zorîm n’était pas pour autant stupide. Aussi garda t’il ses pensées pour lui même, pour ne pas s’attirer d’ennuis, mais également parce qu’au fond de lui, il savait que cette histoire ne le concernait en rien. Un bruit de chaise attira de nouveau son attention, tandis que Eldeen se levait à son tour. Quand la femme le salua avec politesse, Zorîm ne put qu’en faire autant.

" Tout le plaisir fut pour moi. Merci de m’avoir invité parmi vous. J’ai passé un excellent moment, aussi ne suis-je pas déçu de m’être introduit dans une ville. Teirm est un endroit très charmant ! "

Sur ces mots, le berger regarda son amie partir. Suite à cela, une nouvelle scène se déclencha, au cours de laquelle la jeune femme dont le portrait avait été fait par le tavernier se battait avec un autre homme. Les échanges furent tels que l’enfant faillit se blottir sous sa table pour se mettre à l’abri. Mais comme personne ne semblait plus impressionné que cela par ce qui se passait, Zorîm revit son jugement et décida d’observer calmement la situation.

* L’homme bouge dans tous les sens, et à toute vitesse...ou plutôt, on dirait qu’il se déplace...sans se déplacer... *

Conscient de l’absurdité de ses propos, le garçon comprit le sens de ces mouvements : téléportation. Zorîm eut un grand sourire. Sa première journée en société n’avait rien des comparable avec celles qu’il vivait autrefois. Après quelques instants d’immobilité, le berger se leva, et alla payer le tavernier pour son repas, ne manquant pas par la même occasion de le remercier pour ce très bon plat. Ceci fait, il récupéra son bâton, plaça son sac sur ses épaules, et repartit vers les portes de la ville, à partir desquelles il rejoignit l’enclos où se trouvait son troupeau.

scoliro salut le dragon a la maniere elfiqueet dit comme il n'est pas couume de parlez a l'esprit d'un dragon
"je ne croi pas avoir deja eu locasion de vous rencontrez"