[Merci pour la qualification de blondasse, Marekounet, mais j'ai les cheveux rose pâle! Na! Et tiens, j'crois que j'vais Back to Wow...Enfin, j'irais plutôt demain, ma trollesse bug --']

Nienna laissa le gnom la soigner. Il n'avait pas d'intentions perverses, comme auraient déjà eu certains hommes... Le gnom lui dit:
"Il ne faut pas qu'un si jolie visage que le tiens soi sali par le sang, tu devrais faire plus attention à toi"
Nienna sourit, et dit:
-Merci de tout coeur, Zangro!
Le gnome unijambiste dansa, ce qui eut pour effet de la faire rire. Une musique joyeuse retentit. Ce devait être la jeune fille qui avait la flûte. Elle jouait bien, très bien... Nienna ne fit pas attention à ce qu'il se passait du côté du chamelier, et du zombie. Nienna decida de faire danser les deux kéopards, sur la musique joyeuse. Elle siffla, et les deux animaux commencèrent des figure quasiment impossibles pour des anilaux, enchainant une danse magnifique. Une danse d'autant plus magnifique, que Nienna rajouta des cercles de feu, d'eau et un de glace ou passait les léopards avec aisance.

En observant Zangro, l'elfe ne put s'empecher de rire. Il avait vraiment un aspect comique, et le voir danser était encore mieux. Elya tourna sur elle-même, faisant virevolter d'un même mouvement sa robe blanche et ses longs cheveux blonds, puis se dirigea vers le pantin, en faisant quelques pas de danse au lieu de marcher. Elle s'arreta devant lui, souriante,et etnedit devant lui ses longs bras. A ce moment là, une fine fumée bleu turquoise s'echapa du sol, pour venir s'enrouler autour du pantin, tout en remontant vers le ciel. Tout le monde commençait à faire de petits tours, pourquoi pas elle?

Le felin, quand à lui, décida de suivre le mouvement des autres animaux, seulement sa taille ne lui permettait pas de traverser les cercles. Il fit donc quelques bond, pour se retrouver sur la tete de Zangro.

- Voyons voir si tu dance aussi bien avec un chat sur la tête.

Lorsque Elya entendit les paroles de son frère, elle se tourna vers eux, et tendit de nouveau ses bras. En quelques secondes, aux yeux des spectateurs, il n'y avait plus un chat sur la tête de Zangro, mais un elephant.

- Ou bien avec quelque chose de plus lourd -lui dit-elle avec un sourire.

[i]melodie reguarda la fumé avec une sorte d'apréention dans le visage . il re leva sobn sourir fixe de son enorme bouche vers l'elfe qui avait fait surgire la fumé.il l'a fixa d'un regauard vide qu'aurait pu avoir un pentin non animé puis penchant la tête sur le côté.il aussa les epaules en un claquement sec puis s'en allat a côté de la joueuse toujour entouré de sa fumé violette.
il ne pouvait en aucun cas dansé ...en totu cas pas mieux que les abomination deja a l'euvre sur le terrain. mais joué sa il savait fair... de plus il avait une certainne "oreille "(bien que sa tête en fusse dépourvut) pour la musique . il avait réussit a calqué dans sa tête la gamme qu'employait la musisciéne.
mélodi pris son chapaux dans la main gauche apré avoir acroché sa canne a son bras et fi mine , avec son membre droit , de fouillé dans le chapaux. il s'y enfonca jusqu'a l'épaule pour enfin en sortir un joli violon sopranne dont les cordes se mirent sonné l'egerement dans la légére brise.
puis le pentin remit son chapaux d'un geste abrupte et tirra sur le pommau recourbé de sa canne. celle ci se separa en deux laissant apparaitre un arché de bonne taille. lep pantin fous cala sur son épaule anguleuse le violont et se mit a accompagné la flutiste sur un petit air danssant et melodique.

Vous pourrez me laisse rrépondre un tout petit moment ? ^^
J'éditerais ce message.
Merci.

Décidément, on ne pouvait pas dire que le chamelier brillait par son efficacité ou par son envie de trucider du monstre. Mais bon, face à un monstre qui avait une tendance des plus fâcheuses à repousser dès qu’il était tranché quelque part, il fallait être capable de le tuer en un coup. Et avec un cimeterre ridiculement petit par rapport à la taille de la bête, autant dire que ce n’était pas gagné. Le chamelier se préparait tout de même à essayer de trancher ce problème dans le vif lorsqu’un effluve plus poussé parvint jusqu’à ses narines. Il reconnut presque instantanément l’odeur caractéristique d’un sire Jehan ouvrant la bouche – car il semblait bien y avoir des nuances bien différentes dans l’odeur pestilentielle qu’il dégageait.
Mu par un très, mais alors très mauvais pressentiment, le chamelier bondit littéralement pour ne plus se retrouver entre Sire Jehan et le monstre. La boule de fumée noire le frôla dangereusement et, fait assez curieux pour être précisé sans dégager la moindre odeur. Le chevalier sentit ses poils se hérisser du fait de la proximité de la boule, et vit avec un soulagement certain le truc en forme d’ours partir en fumée, au sens propre du terme. Le sort avait été rapide, efficace, et surtout parfaitement maîtrisé. Bref, tout le contraire du sien, lancé à très grande hâte et sans incantation. C’était pour cette raison que le chamelier était en train de suivre les traces d’une certaine « équipe fusée ». Pour l’instant, il en était toujours à la phase ascendante de son bond magique et il profitait pour trouver une solution au douloureux problème qu’était celui de s’écraser sur le sol.
Inexorablement, sa vitesse ascendante commença à diminuer jusqu’à ce que le chamelier se retrouva comme à flotter, suspendu dans les airs qu’il était. Il ferma brièvement les yeux, comme s’il priait quelque divinité inventée pour l’occasion – parce que mine de rien, être athée signifiait ne pas voir des miracles se produire sur soi même. Puis il commença son interminable chute, sans hurler pour épargner son orgueil déjà sérieusement malmené. Et en plus, ça ne lui servirait à rien à part attirer l’attention sur lui – et se trouver dans une situation encore plus ridicule – et l’empêcher d’incanter – ce qu’il commença à faire à une vingtaine de mètres seulement du sol.
Une suite de mots jailli de ses lèvres dans une mélopée étrange, rendue désagréable par un sale écho qui traînait par-là. La chute du chamelier se ralenti sensiblement, et ce dernier commença à respirer un peu plus normalement. Vu comme les choses étaient parties, il atterrirait au saut comme s’il venait juste de faire un saut normal. Un coup d’œil en bas mit cependant à mal tout cet optimiste : son lieu d’atterrissage semblait n’être ni plus ni moins que le toit d’une maison dans ce village particulièrement lugubre. En théorie, ce n’était censé n’être qu’un simple décor avec musique d’ambiance lugubre et fumées étranges aimablement fournies par les magiciens responsables du décor. Et la théorie, c’était dans l’esprit du chamelier bel et bien la réalité, aussi ne put-il s’empêcher d’admirer le talent de ces magiciens dont on ne voyait que le travail…

Le chamelier n’était plus qu’à quelques mètres du village fantôme lorsque il remarqua que le soleil artificiel avait laissé place à une lune rousse et moribonde. Mais là n’était pas le plus inquiétant. Sous les rayons qui auraient du être argentés, les ombres se mouvaient comme si elles étaient dotées de vie et les mots que murmurait le vent avaient pris un ton menaçant pour ses oreilles. Un frisson parcouru l’échine du chamelier, mais cela ne l’inquiéta pas, bien au contraire. S’il n’avait pas eu peur, le décor n’aurait pas été réaliste….

Scraash…
Ouch !
Gling Bling
Crrrrr
Flsshhh

Le chamelier venait de se « poser » avec la délicatesse d’un pachyderme dans la fleur de l’âge sur le toit de la maison. Comme il fallait bien s’y attendre, il le traversa plus qu’il ne pris appui dessus et fini sa chute avec fracas sur le sable glacé.
Une fois ses yeux habitués à l’obscurité, il distingua les reliques d’une table et des débris de toutes sortes disposés tout autour de lui dans le désordre le plus total. Il y avait là des éclats de verre qui reflétaient la lumière blafarde de la lune et le chamelier s’estima heureux d’être encore vivant – même si c’était une partie des risques du métier. Puis il décida de se lever et ressentit un élan de douleur au niveau de la hanche. Il le tâta avec une mine inquiète et se rassura de suite. Ce n’était que la garde de son cimeterre qui avait tapé un peu durement. Un beau bleu en perspective que voilà…
N’ayant pas d’autres blessures plus sérieuses, le chamelier refit soigneusement son turban, prenant un soin particulier à ne laisser de visible qu’une fente au milieu de ses yeux. Ce dernier préparatif fini, il sortit de ce qui restait de la maison abandonnée et commença à marcher pour rejoindre le reste de la troupe. Ils devaient en prendre du bon temps, à en juger les clameurs étouffées que le vent lui portait par intermittence. C’était tout de même bizarre qu’elles ne soient pas plus fortes.

* Mais c’est voulu…* songea-t-il pour lui-même.

Il se surprit néanmoins à tenir fermement la garde de son cimeterre et à tenter de percer les ombres qui s’amassaient autour de lui. Décidément, ce décor ne laissait personne indifférent, et le chamelier avait hâte d’en sortir au plus vite pour retrouver les autres, ce qu’il fit plutôt rapidement…

Ses yeux papillonnèrent quelques instants à cause de la lumière vive dispensée par les flammes magiques et aussi à cause de la surprise de voir autant d’animaux sur la « scène ». Non loin de là, le gnome unijambiste gisait sur le sol – enfin plus pour très longtemps, vu que l’odeur de Sire Jehan pouvait même réveiller les morts. Une musique accompagnait le tout, joué par une jeune et… un pantin. Le chamelier n’en fut pas autrement surpris et s’avança encore, suffisamment en tout cas pour voir un serpent fort mal en point, esthétiquement parlant. Ses écailles qui avaient du être lisses et brillantes étaient piquetées de quelques filament bleutés que l’on eu dit arrachés à une tranche de pain laissé à l’humidité trop longtemps. En y regardant de plus près, le chamelier se rendit compte que ce qu’il avait pris pour des écailles rouge orange était un amas de champignons pas franchement ragoûtant. Il passa sur les autres substances filamenteuses ou moussues qui faisaient ressembler le serpent à un bout de bois qui aurait traîné dans on ne sait quel endroit glauque. A la réflexion, même les bébêtes qui raffolaient des moisissures devaient avoir pris la poudre d’escampette.

« Vous n’avez pas honte ! Donner des cauchemars à ce pauvre serpent … glissa le chamelier dans le dos de Sire Jehan. Sa tension s’était soudainement relâchée au vu du spectacle offert par le malheureux serpent. Ailleurs, il aurait éclaté d’un rire nerveux, mais bon, il devait coller à son impassibilité de surface. Vous n’avez jamais pensé à boire de l’eau de vie. Ca vous éviterait d’éventuelles démangeaisons dues à vos… moisissures intérieures… Son regard fut alors attiré par le diablotin qui dansait une gigue sur son ombre… Ah mince, il l’avait laissé en plan… Et qu’est devenu votre serviteur fantôme ? »

Zangro avait arrêté de danser, s'occupant de fixer tous les acteurs présents, et s'amusant des quelques répliques d'improvisation envoyées.
Il s'imaginait en train de manger une bonne soupe de champignons moisis et de mouches enrobées dans de la salive de chameau... un plat délicieux pour un être tel que lui. Une simple bolée de cet mixture vous remettait d'aplomb en moins de deux!

[dsl pour le court post mais j'avais pas le temps]