/!\ Prise de la ville /!\

Sujet: /! Prise de la ville /! | Jeu 28 Déc 2006 - 12:31

Descendant la rue étrangement sombre , la lumière tombant peu à peu laissant passé quelque ombres fantomatiques … j’avançais tranquillement , ma petit robe flottant à chaque nouveau pas .Le sourire angélique , je m’approchais de la sortie de la ville. J’aperçu aussitôt 4 gardes, deux sur le haut de la porte de pierre et deux de chaque coté de celle-ci. Aucun problème à envisager, tout en continuant ma petite marche enfantine, je me dirige droit vers eux, les deux à coté de la porte me fixent et ça sans aucune gêne.

** aucun problème.. je vais vous faire gober votre arrogance vermines… **

Un ton était glacial et assez strident. Hirador ne releva pas et préféra ignorer cette parole…

Les fixant à mon tour de mon air sournois, l’un deux me sourit n’ayant sûrement pas les neurones assez développer pour comprendre dans qu’elle genre de chose il venait de s’engouffrer.

Son sourire, similaire à un rangée de carrés de citron me vint aux yeux, faisant la grimace mais celle-ci non contrôlable, il continu pourtant à me regarder, puis une sorte d’image me traverse l’esprit et un sourire sarcastique me vint alors aux lèvres. Tout en m’accroupissant sur le sol poussiéreux, l’un deux m’approche, mes mains touchent le sol et la terre sèche se met à scintiller sous mon touché, l’homme aux dents jaunes me fixe tout à coup me regarde le visage crispé alors que moi je lui sourit à pleine dents (blanches !) puis ses genoux touchent le sol et pour finir sa tête le heurte, il est raide mort si je puis dire … le deuxième n’a même pas le pas le temps d’accourir qu’une sorte de filament argenté glisse sur le sol pour entrer en lui tel un poison , ses yeux se mettent à scintiller et il tomba à son tour .

Pas un instant de plus à attendre, je cours tel un félin vers les deux autres perchés sur le mur , ils n’ont encore rien remarqués , dommage pour eux. J’accroche le mur et en quelque appui me retrouve dans le dos de l’un, celui-ci se retrouve sans même avoir le temps de s’en rendre compte, égorgé par mon poignard, l’autre qu’en a lui sent mon épée lui transpercer le ventre. Je retire mes armes des corps inertes et sans même plus y prêter attention me mets face à la forêt. J’approche mes mains prés de ma bouche et doucement envoie comme un baisé imaginaire. Seulement une sorte d’onde se propage et aussitôt des hommes de sous les arbres se dispersent , rapides comme des ombres et aussi discrets que des serpents.

Ils se mettent à approcher les remparts et encerclant la ville, on peut découvrir qu’ils sont facilement 9 milles assassins, ils envahissent les hauts murs, des sacs tombent ? Non des corps sans aucun doute, des cris retentissent mais aussitôt étouffés par des lames glissantes dans la chaire. Sans plus attendre je souris à voir que les remparts sont bientôt à nous ! J’envois un second baisé empoisonné et un second mouvement se fait dans les fourrés 6 milles féroces guerriers en sortent, toujours aussi discrets. Je leur ouvre la porte principale avec honneur, ils s’y engouffrent avec fureur. Les armes acérées et les visages fermés, tel une fourmilière, tout ce met en mouvement dans la ville, des cris de femmes et d’enfants se font entendre. Mais s’étouffe quelques minutes après, des bruits d’armes raisonne dans certain croisement pour ensuite s’effacer plus vite que l’on ne le penserait…

Les soldats de l’ombre envahissent la ville qui est dite redoutable… mais face à de vrai combattant plus rien n’est réellement redoutable…

J’observe sagement la ville se faire piétiner quand tout a coup une cloche retenti et des lumières alors éteintes s’illuminent. Je viens de commettre une petite erreur. Le chef de la ville et encore en vie … Sans plus attendre je me téléport vers la tour principale en laissant derrière moi une poussière ocre.

La pièce est sombre et malsaine, quelque bougie l’illumine faiblement alors que de l’argent et vieux livres se baladent partout dans la pièce.

« mmhh… cette pièce me plais à ravir vieillard « lui dis je sournoisement

L’homme se retourne épée à la mains , contrairement à ce que je me permets de dire , il est encore bien taillé avec des muscles saillants et il est de taille assez grande , peut étre 1M 80 si ce n’est pas plus donc… Il me dépasse largement mais pourquoi avoir peur de lui ? je le regarde d’un air méprisant.

Toujours l’arme à la main il me dit d’un ton caverneux

« Toi et tes hommes partaient ! Vous êtes la honte de ce pays !! »

Je ne peux m’empêcher de lui ricaner au nez

Il reprend la parole

« Va brûler en enfer ! Toi et tes acolytes ! »

Mon rire s’arrête, je le regarde en souriant

« Avec joie ! Mais d’abord tu nous y attendras ! »

Me téléportant en même temps que ma phrase se termine derrière lui, puis lui fourrant aussitôt mon poignard sous la gorge il n’a même pas le temps de réagir

« Et pars en paix. » tout en prononçant cette phrase une gerbe de sang fuse et le chef s’écroule a terre. Je le retiens pour qu’il ne tombe pas directement sur le sol froid. Du sang venait de m’éclabousser, laissant une apparence animale sur mon visage. J’essaye de l’enlever mais je l’étale … tant pis.

Je sortis de la pièce ayant autre chose à faire à présent. Je montais en haut de la tour et me retrouvais a surplomber tout ce beau monde, je m’accroupis en observant l’horizon, murmurant des paroles d’ancien langage à mi voix. Mes yeux se mirent a scintiller d’un bleu intense, puis brutalement je laissais échaper une énergie sur toute la ville. Celle-ci se déploya rapidement et se mit a former un dôme,, tout en continuant à murmurer tel une damnée , le dôme s’élargissait pour finalement recouvrir toute la ville , la redoutable

Dras-Leona…

Ce dôme était pensé de telle sorte que toute attaque magique lui serait bénéfique, en effet , toute attaque magique le renforcerait d’avantage . De plus aucun être ne pourrais le traverser en dehors de trois personnes. Svean , Nadyssim et moi-même , la seule façon de pouvoir y accéder serais d’être en notre présence . Si ce n’est pas le cas, toute cellule voulant le pénétrer se ferait comme engloutir dans le néant…

Après avoir fini l’incantation, mes yeux se brouilles doucement et finalement je les ferme, quelque seconde après, j’ouvre de nouveau mon regard sur mon œuvre accompli, satisfaite, je me relève , tremblotante encore , m’appuyant sur mon épée , puis m’adressant à tous les hommes

« je suis fière de vous .mais je ne le pas répète, aucun survivants ! Une foi le travail fini empilaient et brûlaient les corps. »

Reprenant mes esprits encore d’avantage

« de plus pillaient la ville si cela vous chante mais ne touchaient en aucun cas aux réserves de celle-ci , que ce soit arme , or ou nourriture ! »

Ma voix raisonnant dans la ville.

Une foi fini je leur faisait signe de commencer et redescendais.

J’entrais de nouveau dans la pièce, le corps du vieux toujours a terre, je tendis ma main vers celui-ci et le fis disparaître en cendres. J’avançais vers le grand fauteuil, m’y installais, laissant divaguer une jambe sur l’un des accoudoirs, mon dos sur l’autre ,ma tête partant en arrière … je soufflais de soulagement tout en attendant.

** Hirador prévient les. **

** tout de suite la miss. **

** je te remercie**

Je souris, le vrai plan venait de débuter... Les Dix mille hommes restant a gil ead étaient parti depuis quelques jours... dans la vilel il n'y avait plus personne... taya avait acomplis sa mission avec brio comme je m'y attendais... Je rentrais dans la ville, mes recherches attendrait.. je entris dans la salle ou était taya, et lui dit d'une voix ferme:

"Taya a on pillé les ressources ou non?"

Ca va chier...

[xD marroen pas alex, et c'est que el début des festivités xD]

[Je confirme. La guerre commence aujourd'hui, Alex...]

[ Bon moi j'en ai ras le bol !!! On se fait chier à faire des scénarios et ca déborde toujours à côté !! M**** !! Ca me saoule !! C'est du n'importe quoi total !! J'en ai marre !! Il n'y aura pas de guerre ailleurs qu'à Gil'ead un point c'est tout !! ]

[Legolas d'un point de vue possibilités, c'est tout a fait possible, si 'jai fait ça, c'est que j'ai une bonne raison, avec mes alliés de le faire, car je sais le boulot que ça représente une guerre. Mais c'était soit ça, soit on perdait la guerre Wink

et vu que je suis mauvais joueur, j'aime pas du tout perdre Smile

]

[Gil ead a étét reprise par l'autyre camp vu que vous etes tous ici ^^ dsl mais vous ne pouvez pas conquérir tout]

[J'ai bien sur dit a Alex et audrey (ils se reconnaitront xD que il n'y avait plsu d'homme dans Gil ead, c'était ma précision du jour, et mon petit cadeau de nöel pour els gentils, qui sinon serait rester a Gil ead pour fauire mumuse avec une ville vide xD]

[si u crois qu'on vous laissera gagner... vous vous trompez, la guerre ne prend qu'un tournat plus amusant maintenant...]

[c'est le but du jeu, mais le jeu tourne en notre faveur Smile

]

Amusant amusant, parle pour toi.... Moi je trouve pas ca drôle du tout. On s'est fait chier à préparer un scénario et à tout organiser pendant plusieurs jours et j'en ai plus qu'assez des débordements de certains.

[Mais quel débordement? Le seul but d'une guerre est de la gagner, il n'y a eu aucun débordement de super héros (mis a part pierrot qui a tué 30 000 homme(5000 des notres et 25 000 des siens Wink

) ) Ensuite ou le sénario est il troublé? c'est un argument invalide...Par contre j'avoue que je suis désolé pour l'organisation de Gil ead...]

Je parle pas de débordement de super héros ou quoi que se soit, bien que je ne voit pas d'ou vous avez pondu vos 230000 hommes alors que vous étiez 100000 prévus dans le scénario de Gil'ead... Et comme c'est plus dans Gil'ead, c'est hors du scénario... Et tu as beau être désolé, tu ne t'en ai meme pas soucié un instant avant d'organiser ton petit débarquement dans Dras. En tou cas, je cautionne pas ce genre de comportement de quelqu'un qui se croit tout permis et veut en faire qu'a sa sauce.

[non, on vous en a pas empéché... si on avait voulut paré à toutes éventualités, on aurait dit ...cela ne fait que corser le jeu, et gil'ead a été repris...la guerre à juste pris une nouvelle tournure, de toutes façons, ils sont dans leurs bon droit..]

Le sang, le feu, la guerre. Les habitants ne s'y attendaient pas, pourtant ils ne comptent pas laisser la mort les emporter. Des troupes ennemies fondent sur la ville. Et l'armée qui était occupée au loin! N'avaient-ils donc aucune chance? Les mille sept cent hommes restés en faction dans la ville la défendaient tant bien que mal, formant des groupes défensifs se réduisant sans cesse. Près d'un millier avaient déjà rendus l'âme sur les remparts, les sept cent qui restaient formaient des cercles défensifs sur le point de céder. Les dix Danseurs de Sabres, et les cinq Flammes de l'Empire qui restaient se rabattirent sur le réseau de sous-terrain qui courait sous la ville, en vue d'une situation similaire à celle-ci. Ils étaient suivis par une centaine de soldats de métiers, et le double de paysans, commerçants, femmes et enfants. Bref, la plèbe. Les entrées furent scellées, les femmes et enfants, ou hommes trop vieux pour se battre, furent évacués par des passages secrets. Les autres s'armèrent, car les passages secrets contenaient plusieurs armureries, puits et réserves de nourriture. Ils s'organisèrent ensuite. Les résistants de la Dras étaient là! Dans les rues les derniers survivants périssaient, mais ils emmenaient avec eux près de deux mille guerriers Gil'ééns. Dans l'avenue du roi d'or, un groupe de commerçants s'étaient réunis autour d'un Danseur qui n'avait pas pu s'enfuir. Acculés dans une ruelle, ils se battaient comme des beaux diables, le Danseur justifiant amplement sa solde. Les soldats tombaient les uns après les autres, mais ses alliés aussi. A côté de lui, un simple boucher, Barry, se battait comme un démon avec de simples couteaux à viande. Du haut de ses deux mètres, il tranchait sans chercher à faire dans la subtilité, et on n'osait pas s'approcher de lui. Ils étaient maintenant accolés à un mur, dix survivants promis à une mort glorieuse dans un duel épique. Sans qu'ils ne s'en aperçoivent, sur le mur derrière eux ou sur le toit des maisons bordant la ruelle étaient montés des archers. La pluie mortelle s'abattit, fauchant les survivants. En dix secondes, la ruelle était nettoyée. Dans le donjon du Doyen, le maire de la ville, les troupes d'élites de Gil'ead tenaient la partie du fief du Doyen que composait la cuisine et le sellier. Armés de piques et d'arcs, arbalètes et épées, ils ne laissaient entrer personne. Les portes épaisses retenaient les Gil'ééns efficacement, et ceux qui passaient tombaient sous les flèches des archers embusqués derrière les ustensiles. Le Marche-Mort, le garde du corps personnel du Doyen, faisait un carnage, tirant ses couteaux de lancer avec force et précision.

-On tente une sortie!
-Vous êtes fous!
-Non, je suis le Marche-Mort. Si je dis qu'on sort, c'est qu'on peut sortir. On ne pourra tenir indéfiniment ici. Ils ont des mages bien plus puissants que moi. Il faut profiter de la confusion de la bataille!
-Ok, on vous suit. Première phalange de Leona…en avant!

Le Marche-Mort prit place devant ses troupes. C'était un homme de deux mètres de haut, il se battait avec une hache à double lame…et avec une double lame de chaque coté du manche.

-Grind!

Les portes s'ouvrirent, il se mit à genoux tandis qu'une volée de flèches sifflait et dégageait l'entrée. Le Marche-Mort était un magicien.

-Brisingr!

La hache se nimba d'un feu aux flammes noires et blanches entrelacées, et la Mort dans les pas de l'homme marcha. Il passa la porte et se retrouva dans le hall du donjon, au milieu de ses adversaires. Il donna un coup de fantastique hache, la fit tourner sur elle-même. Sept soldats tombèrent, un était à peine entaillé au bras mais le feu magique se répandait dans son sang et il s'embrasait de l'intérieur. Les soldats sortirent derrière lui, prirent une formation en tête de flèche et enfoncèrent les troupes Gil'éennes. Celles-ci, devant le démon nimbé de flammes, reculèrent et paniquèrent. Son arme voltigeait en toute maîtrise dans ses bras puissants, fauchant la vie autour de lui. Cinq minutes plus tard ils étaient à terrain découverts et couraient vers une entrée d'un sous-terrain pas encore obstruée. Le Marche-Mort arriva finalement devant une bouche d'égouts factice, avec douze des guerriers de la première phalange de la Dras, menée par le capitaine Lodrick. Ils pénétrèrent le sous-terrain alors qu'une Flamme s'apprêtait à le détruire. Tout fut obstrué dés qu'ils furent passés.
Partout dans la ville, de tels actes héroïques se produisaient, mais seuls quelques uns aboutissaient sur le sauvetage des soldats.

Alandor atterrit devant les remparts de la ville, encore pleine de mouvements de panique.

*Nadyssim, où es-tu...*

Kogranne atterit a côté et Norwen descendit elle regarda ce qu'avait fait Taya.

"-Elle a fait du bon boulot quand même. Mais j'ai l'impression qu'on ne passera pas son dôme"

"Non, c'est pour ça que je l'appelle."

*Je veille sur toi, Caessa.*
*Je suis morte de peur*
*Il y a de quoi.*

[Bon Legolas, ne tourne aps autour du pot, et dit moi ce que tu as a dire, au lieu d pretexter la guerre pour pouvoir déverser ta bile.]

Je souris devant les spectacles de rebéllions devant moi... je sortis mon sabre, et embrocha un sldats de la rébéliion d'un coup rapide vers la drotie...

"Mes amis, la fête commence, amusez vous bien!"

Je tranchai la tête d'un homme devant moi, sont tronc retomba au sol, suivit de sa tête un instant plus tard.

"Ecrasons cette rebellions quis e croit invincible."

Des cris fanatiques fuent poussés par els soldats présent dans la ville, quis 'élancèrent avec force core les ennemies, les taillant en pièces... Yorwan fut a mes cotès rapidement, il taillait en pièces tout ennemies croisant son cehmin, les survivants n'en serait bientot plus...
Je levais la mains droites, et chengea les cellule composant le bouclier, pour qu'il accepte l'adn de caessa et norwen...

*Tout de même!*
*On entre?*
*Evidemment!*

Alandor et Caessa franchirent les portes de la ville.

Norwen et Kogranne les suivirent en silence. Il y avait partout des cadavres, là ou les soldats n'avaient pas eu le temps de les bruler.

"-C'est charmant par ici"

Orelïnde se posa prés de Norwen , et je descendis de son dos ses écailles m'écorchant les deux jambes
*Il faut vraiment que je t'achétes une selle !*
*oui ...*
"Bon qu'est ce qui se passe maintenant ?"

Caessa passait parmi les hommes paniqués, les gens pleurant,indfférente à cette misère soudaine. Elle vit au coin d'une rue un hommeà cape disparaître soudainement et un petit sourire se dessina sur son visage.

*Bonne chance...*

Des rebelles avaient bien entendu été coincés dehors. Tous n’avaient pu gagner les sous-terrains, et attendre plus longtemps eut été suicidaire. Dans la ville, tout le monde avait compris qu’il n’y aurait pas de quartiers. Les bouchers sortaient dans la rue avec leurs couteaux, les ménagères avec leurs balais, les quelques maîtres d’arme des salles d’entraînement de la ville s’équipaient, eux, convenablement. Une bande de mercenaires entrain de chercher un employeur dans une taverne, tirèrent leurs armes et se retranchèrent dans le bâtiment. Au nombre de trente-deux, ils étaient accompagnés d’une quarantaine de marchands sachant manier les armes : leurs employeurs. Ils barricadèrent la porte de derrière et se postèrent aux fenêtres, armés d’arcs et d’arbalètes, ou au rez-de-chaussée. Tous les clients de l’auberge s’étaient ralliés à eux, et les marchands piochaient dans leurs marchandises pour armer tout ce monde. Une jeune femme habillée de vert et armée d’un bâton se présenta auprès du chef des mercenaires, Sathuli, comme étant une guerrière émérite. Il ne la crut pas vraiment, mais toutes les bonnes volontés étaient bienvenues. Quand au tenancier, il avait sorti un gourdin en bois tendre lesté de plomb, et semblait savoir le manier. Les tables furent renversées, les portes barricadées. Les défenseurs attendaient patiemment la mort.
Dans une tour de guet, des soldats avaient une réserve de flèches et tenaient tant bien que mal la position. La tour, à un angle du mur, n’était accessible que par le chemin de ronde, large de moins d’un mètre, et les ennemis tentant de s’approcher étaient impitoyablement fauchés. De plus, les flèches des assaillants n’arrivaient pas à passer les meurtrières derrière lesquelles tiraient les soldats.

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