"bon ben on y vas alor je vous suis"

Izumie avait quité la taverne aprés avoir payé tenant son cheval par la bride dans l'intention de le vendre.
"ne me regerde pas comme ça Zoulou mais t'es vraiment trops lent et je dois aller à Teirmet c'est trés loin !!"

En sortent de la bibliotheque je me retrouva dans les rues bonder de Uru'Baen avec la ferme intention de faire le touriste quand tout a cout je vis mon enemis de toujours Urgans et dicida d en finir avec lui une bonne fois pour toute, alors je degena mon epee et lui sa dague fouiller qu il trouva par terre et nous nous battame. Le combat fut de courte durer, je venais de le tuer avec ma belle epee, planter dans son coeur, alors je retira ma lame et l essuya car elle etait couverte de son sang. Je m ecriya : " ENFIN, J AI ACOMPLIT MA VANGANCE, ENFIN JE PEUX VIVRE TRANQUILLE, MAINTENANT QUE JE SAIS QU IL EST MORT JE VAIS POUVOIR DORMIR EN PAIX !!!!!!!!! " Je le fouilla et trouva sur lui 5 pieces d or que je prit et continua mon chemin et arriva a la salle d entrainement.

je marchea dans les rue d uru'baen et en profita pour ''foncée'' dans les gens pour volé leurs biens. un peu plus tard, je vit une tavern. j y entra et y deposa tout mes affaires apres y avoir louer une chambre.

'' bon, continuons les malheures!''dis-je

je retourna dehord.

Après avoir erré pendant des jours dans le sable brûlant du Hadarac, Aldrae avait fini par se rendre à l'évidence: elle ne retrouverait pas sa dragonnière seule....
La dragonne avait finalement décider de demander de l'aide à des personnes qui seraient plus à même de trouver des informations n'importe où et surtout n'importe quand... Les vents l'avaient porté jusqu'à la ville d'Uru Baen. En regardant dans ses souvenirs, elle s'était souvenue que les voleurs avaient parler d'Uru Baen comme un reservoir infini de bourses gonflées d'or et de richissimes propriétaires à delester de leurs biens...
Et maintenant, elle survolait les rues de la ville, à la recherche d'esprits qui lui étaient familiers. Finalement, elle réussit à en détecter un et elle fila comme une flèche vers l'endroit où elle l'avait localisé. Sa vue perçante, ainsi que l'avantage que lui conférait sa position en hauteur lui permirent -enfin !- de trouver celui qu'elle cherchait. Bien qu'il soit difficile de savoir lequel des six c'était, Aldrae élimina immédiatement le Sanguinaire. Celui ci, compte tenu de sa carrure, naurait pas pu dérober de manière aussi discrète cette bourse remplie d'or accrochée à la ceinture de ce riche bourgeois.
Ne resistant pas à la tentation, elle tendit son esprit vers le sien:

*Pris sur le fait !!*

En entendant cette voix résonner dans son esprit, le voleur sursauta, attirant sur lui les regards des passants étonnés. Tous ces gens qui le regardaient, c'était assez génant pour mener ses activités en secret. Finalement, il opta pour le plan B, où comment passer de criminel à victime.
Quasi machinalment, il porta la main vers là où se mettaient les bourses et referma sa main libre sur le vide. Une expression d'intense surprise, feinte, se peignit sur son visage, remplacée bientôt par de la colère...

"Au voleur, on m'a volé mon or !!!"

Affolés, les passant vérifièrent si leurs bourses étaient toujours là. La victime de la Noisette poussa alors un grand cri:

"Moi aussi, on m'a volé mon or. Appelez la garde !!"

Il s'ensuivit alors une jolie cohue provoquée par ceux qui avaient des choses à cacher, ce dont profita la Noisette pour s'esquiver discrètement, sous les yeux flammes d'Aldrae. Après avoir vérifié qu'il n'était pas suivi, il adressa à la dragonne une pensée furieuse:

*Ah ça c'est malin, j'aurais pu me faire arréter à cause d'une dragonne écervelée qui profite que sa dragonnière soit allée boire un verre à la taverne pour maltraiter un pauvre voleur sans défense !!*

Il ignorait une bonne partie des éléments passés, aussi fut-il surpris de la réaction de la dragonne. Au lieu de lui faire la morale, comme quoi voler n'était pas bien, qu'il n'était qu'un calamar sans cervelle ou un truc dans ce genre, la dragonne conserva un silence de tristesse. Devant cette réaction innatendue, la Noisette renonça à une boutade...

*Bon, excuse moi de m'être emporté..... Qu'est ce que tu veux de ton humble serviteur humain aux mains très agiles ?*
*En fait.... Elfrania a disparu et..... je ne sais pas comment la retrouver......* Sa voix triste était entrecoupée de longs silences
*Alors, c'est aussi sérieux que ça ? La dernière fois que j'ai vu Marnir, il avait une tête à en faire palir de jalousie un ombre et il vérifiait ses armes.... Comme il n'est pas revenu, on s'est dit qu'il en avait peut être marre d'avoir sans cesse les gardes aux trousses...* Malgré son apparente désinvolture, il était franchement inquiet, mais il ne tarda pas à enchainer d'un ton qu'il voulait léger: *Bon, je suppose qu'on va devoir ratisser toute l'Alagaësia à sa recherche. Mais je dois te dire que je n'ai jamais su manié un rateau efficacement....* Sa blague fit autant d'effet que...-existe-t-il seulement des mots pour décrire le manque d'effet qu'elle eut ? pas dans le dictionnaire en tout cas ....
*Peut-être que, ensemble, vous pourriez...*
*Remonter le niveau d'intelligence de cette ville, je ne crois pas...* Nouveau silence de plomb... *Bon, je vais esayer de ne plus faire d'humour. Si j'étais drôle, j'aurais fait clown, mais ce n'est pas le cas...*
*Les bourses auraient perdu leur pire ennemi...*
*Heu, oui, certainement. Bon, mes très chers et estimés collègues ne devraient plus tarder....* Il avait légèrement rougi en entendant la dernière remarque d'Aldrae. Jamais un dragon ne lui avait fait pareil compliment... D'ailleurs, il n'avait pas parlé à d'autres dragons qu'Aldrae... *Au fait, son fiancé, il est aussi avancé que toi ? tu sais où le trouver ? Il est toujours vivant au moins ?*
*Je ne sais pas, non et oui...*
*Voilà qui complique les choses. Bon, je propose qu'on trouve un moyen de le trouver lui, à moins qu'il ne nous trouve d'abord. Ne le prend pas mal, mais tu vas devoir rester à l'extérieur de la planque.... Tu vois, on a pas trop les moyens d'expliquer pour quoi on aurait plus de toit...*

Après un grognement d'Aldrae en guise de réponse, la Noisette parti davant, puis entra dans leur QG, une bâtisse assez délabrée et d'aspect miteux, dont beaucoup disait qu'elle était hantée par une créature ayant un calamar en guise de tête ainsi que d'autres fantomes. Rumeurs encouragées par les voleurs du coin qui savaient pertinnement d'où venaient ces apparitions. Après de longues heures, ils finirent par trouver un moyen d'indiquer leur position à Phöenix. Restait maintenant à savoir si le message serait compréhensible, si il parviendrait au dragonnier, si celui ci comprendrait le message, si il déciderait de venir, si il savait où était la maison....
Mais faire trop d'hypothèse pouvait s'avérer ardu, le mieux restait encore d'attendre qu'il vienne si toutefois.....
Voix d'un pauvre malheureux voleur débutant forcé de veiller :"Et encore des hypothèses.... Et moi qui croyait pouvoir dormir...."

[Mort de rire le coup des hypothèses : si on se base sur le fait que machin est égal au centuple de truc... ^^]

Un éclair argenté illumina une ruelle sombre et abandonnée de la grande cité d'Uru'Baen. Phöenix venait d'arriver, camouflé dans son grand manteau de voyage marron, riche malgré le fait qu'il soit un peu boueux vers le bas du vêtement. A cause des recherches poussées qu'il avait menées et qu'il menait toujours. L'elfe entra dans la foule, puis fouilla la place du regard, sous son grand capuchon. La place, noire de monde, était beaucopup trop vaste et bondée pour trouver quoique ce soit en moins d'une quinzaine de jours. La patience lui faisant défaut depuis l'altercation de Teirm, il ferma les yeux en projettant son esprit pour repérer la source du message qui lui avait été transmis avec difficultés, mais son esprit ayant été à l'affût de quoique ce soit qui puisse l'aider, il avait vite retrouvé les auteurs du message.

Il bouscula certaines personnes qui le huèrent légèrement. Le dernier l'ayant fait avait détalé devant lui, tant l'allure qu'il s'était donné était effrayante et vraiment peu engageante. Il suivit l'homme affolé de ses yeux mornes et presque éteints de gaieté, puis vit une demeure d'un aspect repoussant. Il sourit légèrement, en sentant les esprits qui l'avaient contactés farfouiller à l'intérieur comme des abeilles dans leurs ruches. Il s'avança légèrement, puis aperçu Aldrae. Il s'avança vers elle, après avoir inspecté mentalement chaque recoin de la bâtisse pour s'assurer qu'il n'y ait pas de pièges. Depuis le "départ" d'Elfrania, sa méfiance était de plus en plus accrue, surtout depuis qu'il avait perdu ses pouvoirs, et même si il les avait retrouvés depuis, il restait sur ses gardes à chaque minute de la journée. Il se mit aux côtés de la dragonne orangée et ressentit sans difficultés la même tristesse que lui éprouvait depuis ce qui s'était passé dans la forêt. Un abandon, un manque cruel de vie, d'une âme chère et vitale. Même si l'esprit, la force et les pouvoirs du dragonnier avaient été restaurés, il n'en allait pas moins que son coeur était toujours fendu par le chagrin. Il posa une main sur le flanc du reptile puis, sans ôter son capuchon, lui dit, d'une voix lointaine :

"Content de te revoir Aldrae... même si... d'autres circonstances m'auraient été... plus plaisantes."

Il fixa la demeure, ses traits toujours dissimulés, puis il s'adressa mentalement à ses occupants, d'une voix toujours aussi triste :

*Je suis arrivé, c'est moi... Phöenix le fiancé de... d'Elfrania...*

Un grand crac suivi d'un juron répondit aux paroles mentales du dragonnier. La cause n'était pas pourtant celle à laquelle on s'attendait. Le sanguinaire avait profité d'un court moment de répit pour piqué un petit roupillon ni vu ni connu et lorsque la voix de Phöenix avait retentit dans son esprit, il était tombé de son lit... Il se redressa tant bien que mal sous les regards hilares de ses compagnons et se frotta les yeux. Un fiancé? Quel épisode avait-il encore raté...
A ce moment, Aldrae sentit une douce chaleur venant de Phöenix. Non pas parce qu'il avait posé sa main sur ses écailles mais tout simplement parce qu'il était là. Elle tourna son long cou vers le dragonnier et le regarda un instant:

*Je suis contente que tu sois venu....*

*Heureusement qu'il ne rentre pas....*
*Je ne pense pas que ce qu'il va voir lui plaise tellement...*
*On aurait tout de même pu attendre avant de le contacter, histoire qu'on ait le temps de....enfin, de faire vous savez quoi...*
*Maintenant qu'il est là, il va falloir faire avec.... *

Les deux individus respectables dans leurs seuls milieux regardaient la dragonne qui venait de frotter son museau contre le dragonnier. Puis abandonnant ce magnifique spectacle, il retournèrent dans la bâtisse, priant pour que le dragonnier n'ait pas l'idée saugrenue de rentrer.... Pour son bien...

[C'est mal me connaître, je suis très curieux ^^]

Phöenix répondit par une douce caressa sur le sommet de la tête d'Aldrae qui venait de se frotter à lui. Elle représentait la dernière alliée assez forte pour retrouver Elfrania et surtout une de ses meilleures amies dans cette période difficile. Il lui fit un sourire un peu forçé :

*Allez, j'y vais, on a une dragonnière à retrouver... merci d'avoir pensé à moi, c'est très gentil...*

Il lâcha la dragonne, puis s'avança vers la maison. Il laissa toutefois son esprit en alerte, et repensa à ceux qui l'avaient contacté. C'étaient des voleurs, il le savait. Mais Elfrania leur faisait confiance et ils étaient peut-être un moyen vital pour la retrouver. Il soupira, garda tout de même son capuchon, puis poussa la porte de la poignée en s'engouffrant dans la demeure...

La porte s'ouvrit dans un grincement assez lugubre...

"Pas aussi fort !!!"

Trop tard... La porte tapa dans une armoire dont les battants étaient quelque peu vermoulus. L'instant d'après, dans un grondement d'avalanche, une quirielle d'objets, tomba un peu partout, et surtout au pied du dragonniers, manquant de lui écraser des orteils. Le Sanguinaire poussa un soupir désespéré: lui qui s'était donné du mal à ranger tout ça, il allait devoir tout recommencer... Il parvint tout de même à conseiller à Phöenix de marcher sur les zones où le parquet était légèrement lumineux, histoire de ne pas passer au travers...
Aldrae passa sa tête à travers une fenètre, observant avec une curiosité non dissimulée la Noisette qui sortait d'une pièce annexe, tenant en équilibre un service à thé fumant. S'avançant précautionneusement, il les déposa sur une table avant d'inviter le dragonnier à s'asseoir...

"Je vous en prie, asseyez vous.... et ne faite pas attention au bazar. Nous ne sommes ici que depuis très récemment..."
"Et bla bla bla..."

Un autre voleur était apparu à l'entrée, le visage dissimulé par un capuchon. Il tenait à la main les diverses affaires que le Pinson et la l'Idiot avaient laissé en prison lors de leur récent passage....

"Merci beaucoup!" Puis, se tournant vers Phöenix et les autres voleurs.... " Maintenant, si nous parlions de choses sérieuses..."

Les yeux d'Aldrae s'éclairèrent, puis elle goba machinalement une araignée que descendait du plafond...

*Il serait temps....*

Phöenix poussa un cri de surprise, puis fit un bond en arrière. Un belle statue qui semblait particulièrement lourde tomba à quelques millimètres de ses pieds. Il regarda la montagne d'affaires, en repensant à sa chambre quand il était encore un enfant d'à peine quinze ans. Le fouillis, il avait connu. Il sourit, puis écouta le conseil en restant les yeux rivés sur le parquet. Il fit un bond gracieux jusqu'à la table où tout le monde semblait s'être installé. Il regarda l'homme qui semblait s'être donné tant de mal à ranger, puis eut pitié de lui. Il fit un geste de la main et quelques secondes plus, tard, le tas était à peu près rangé, enfin d'une manière moins dangereuse. Le dragonnier ôta son capuchon puis secoua la tête, pour laisser ses cheveux blonds reprendre leur place. Il s'assit suite à l'invitation des autres, puis les regarda uns à uns.

Leur complicité qui tenait en taquineries lui rappelait celle qu'il entretenait avec Sheik. Cette vision lui tira un sourire, qu'il perdit bien vite quand ils abordèrent ce sujet si sensible. Ses yeux perdirent de leur pétillant, puis il dit d'une voix lasse :

"En tout cas, merci à vous de m'avoir contacté... j'ai déjà remercié Aldrae mais merci à vous aussi... Maintenant, venons en au fait."

Un rayon de lumière passa sur le saphir mêlé au rubis qui sertissait sa bague de fiancailles en or...

Voyant que la dragonne ne semblait peut-être pas en état de parler de ça d'une manière aussi.... directe, le Pinson décida de se mettre à l'eau...

"Aldrae nous a raconté ce qui c'était .... disons passé et qu'elle ne sentait pas sa présence...
- Alors, nous nous sommes dit qu'elle n'était peut être pas en Alagaësia... Mais beaucoup plus loin.
- Le désert du Hadarac est immense et de nombreuses tribus nomades le peuplent. Ils ne s'y connaissent peut-être pas en dragon mais ils savent lorsque quelque chose est comment dire anormal...
- Et ils de nombreuses routes traversent des royaumes qui vous sont inconnus, à vous autres, Alagaësiens.... Le nouveau venu venait de prendre la parole, avec un accent des plus étranges, ce qui le rendait quelque peu difficile à comprendre. Il observa une pause avant de reprendre d'une voix calme: De plus, les nouvelles circulent vite dans les cités marchandes.... Je crois d'ailleurs que mon très cher frère m'a demandé aussi gentiment de me déranger rien et que mon autre frère a lourdement insisté...
*Qu'est ce que vous proposez alors ?* La dragonne semblait désemparée... Cela ne faisait qu'aggrandir l'océant dans lequel elle cherchait un grain de sel spécial. Sa pensée raisonna longuement avant que quelqu'un ne repris la parole...
-Eh bien, nous pourrions aller y faire un petit tour.... Ca fait trop longtemps que je n'ai pas revu Sil'Arn... La Noisette poussa un léger soupir nostalgique, ce qui ne lui était guère habituel.

Le sanguinaire, comme à son habitude, profita du silence qui s'était momentanément installé pour faire un razzia sur le thé, et surtout sur les gâteaux.
De son côté, Aldrae restait plutôt songeuse. A en croire cet 'inconnu', ils n'aimaient pas les étrangers, mais que feraient-ils si ces... Elle ne trouva pas d'adjectifs ou de nom pour parler de ce genre d'individus, à conditions qu'ils ne soient pas des bêtes....
Elle tourna ses yeux vers Phöenix, attendant une réponse de sa part...

Phöenix, tombé dans un silence de mort, écouta la conversation. Les recherches allaient être de plus en plus compliquées tant la surface devenait de plus en plus vaste. Il écarquilla les yeux, en venant d'avoir une idée géniale. Si la surface était de plus en plus vaste, il fallait plus de monde employés à chercher. Il mit cette idée en attente dans son esprit puis croisa le regard flamme d'Aldrae. Il soupira, puis commença à parler, en faisant des efforts pour être audible et cacher sa tristesse :

"J'ai déjà ratissé tout le nord-ouest de l'Alagaësia au peigne fin. Carvahall, la Crête, Teirm, l'Océan, Urû'Baen ainsi que tous ls chemins environnants. Je n'ai strictement rien trouvé. Et d'ailleurs, en parlant du Désert, je fais des rêves où j'entends sa voix et... à chaque fois jeme trouve dans une immense étendue jaune et sableuse. C'est peut-être un indice. Mais si la surface de recherche est beaucoup plus grande que l'on avait pensé, il faut plus de monde pour effectuer les recherches... Et j'ai un atout de taille pour ça..."

L'elfe émit un sourire énigmatique, en prenant un gâteau qu'il mangea, car le voyage lui avait donné un peu faim. Malgré son apparente force, des rayons de lumière tombaient sur son visage et montraient les cernes qui creusaient son visage...

Le Sanguinaire hocha la tête, faisant mine de comprendre, bien qu'il ne voyait pas du tout comment rassembler autant de monde en si peu de temps. Il pris néanmoins la parole, d'une voix quelque peu ensommeillée:

" Pour autant que je sache, le desert est immense, les oasis ne sont guère nombreux. Alors je ne vois pas comment des milliers, voire même des centaines de gens pourraient s'y déplacer sans y perdre la vie...

Sa reflexion fut interrompue par un grognement sourd de la part d'Aldrae. La dragonne avait du mal à tenir en place et puis pour ce qui est de l'eau ou de la nourriture, ce n'était pas le problème. A ses yeux, des gens parfaitement organisés pouvaient traverser le desert, surtout si il y avait des magiciens parmi eux...

*Dans ce cas là, pourquoi restons nous là, à discuter autour d'une tasse de thé, alors que Phöenix pourrait demander à autant de personnes de ratisser le desert et ce qu'il y a au dela !!*
Malgré le ton furieux d'Aldrae, le frère de la Noisette pris la parole: "Ce n'est malheureusement pas aussi simple que cela. D'après ce que j'ai plus ou moins compris, ceux à causes desquels ta dragonnière a disparu sont aussi à sa recherche...pour l'éliminer selon toute vraisemblance... Il s'interrompit un instant en voyant la fumée noire sortir des naseaux de la dragonne avant de reprendre d'une voix, malgré tout posée
- Je ne vois pas le rapport, au contraire, ça me semble une bonne chose, si on est nombreux, ils ne nous attaquerons pas ...
- Mais nous serions alors surveillés, avec le risque à tout moment de nous faire doubler. Mais encore faut-il trouver assez de personnes qui accepteraient de faire ça, d'autant plus que nos réserves d'argent ne sont pas à leur plus haut niveau. Alors allez-y, proposez nous votre solution." ajouta la Couleuvre en regardant le dragonnier, et ignorant les regards inquiets que la Noisette jetait evrs son frère.
Un silence de plomb s'abbatit dans la masure, roublé seulement par le bruit de la respiration d'Aldrae...

Phöenix acquiesca, puis regarda les autres, avec compréhension :

"Je sais parfaitement que les autres sont encore en vie, et d'ailleurs si je pouvais, je les tuerai de mes mains, avec la plus grande cruatué qui me serait permise. Mais je vous garantis qu'ils n'auront pas le courage de s'attaquer à nous, vu que je peux au minimum rassembler 100 000 personnes, et ce n'est qu'un stricte minimum."

Il prit une longue bouffée d'air, puis s'expliqua :

"Je suis le roi d'un lointain pays appelé Hyrule, au delà de l'Océan qui borde la Crête. Tous les citoyens maîtrisent un élément parfaitement, mieux qu'un magicien expérimenté d'ici. Je n'ai qu'à aller là-bas, puis j'ouvririai un portail pour les faire venir ici. Ensuite, le désert à ratisser ne sera qu'une simple formalité et si les Maîtres de chaque tribu qui forment ce pays viennent, une allaince de maîtres dragonniers ne sauraient en venir à bout."

Il se pencha plus sur la table et plongea son regard de saphir dans chacun des yeux de ses interlocuteurs et d'Aldrae :

"Qu'en dites-vous ? Plus de 100 000 personnes maîtrisant une puissante magie serait un atout non négligeable, pas vrai ?"

Phöenix sourit en sentant et en voyant la réaction des voleurs quand il avait dit qu'il était roi d'un pays. Tout roi possédant une fortune, et avec lui c'était d'aileurs le cas, il ne doutait pas des intentions peu louables qui leur auraient traversé l'esprit. Il mangea un gâteau plus petit, puis écouta avec attention le discours du voleur qui avait prit la parole. Même si c'était dur à admettre, il avait dans un sens raison. Mais ce n'était pas le moment, pas maintenant de se laisser avoir par ce genre de choses. L'elfe avait des arguments à revendre et il allait les exposer. Il se leva brusquement de toute sa hauteur, puis frappa du point sur la table, en parlant d'une voix forte et aussi furieuse que celle d'Aldrae, qui était sûrement du même avis que Phöenix :

"Depuis bientôt un mois, je n'ai jamais perdu pied avec la réalité bien loin de là, vu que c'est elle qui me pourrit la vie. Je n'ai jamais été aussi lucide et sûr de mes intentions. Je sais bien ce que cela peut faire aux Alagaësiens, protégés par les dragonniers. Mais en plus d'être roi d'Hyrule, je suis moi-même aussi un dragonnier, je sais ce que je fais et ce que je dis ! J'ai la confiance des plus grands de ces dragonniers et ils savent très bien ce qui se passe en ce moment, ils savent très bien que je remue ciel et terre pour retrouver Elfrania ! J'ai tout perdu avec sa disparition et je compte bien la retrouver, même si certaines personnes, aussi puissantes soient-elles s'opposent à cette décision !"

Il fixa plus durement ses interlocuteurs, et poursuivit avec une voix plus dure et métallique que jamais :

"Si une chose comme celle-là arriverait dans mon pays, et qu'un homme aurait les mêmes buts que moi, je n'hésiterai pas à dêpécher autant de moyens que maintenant ! Alors ce n'est pas ce genre de prioblème politique et administratif qui va m'empêcher de retrouver ma fiancée et pouvoir enfin me marier avec elle ! Alors maintenant, je le dis tout net : d'ici demain, tous les hommes que j'aurai recruté seront dans le désert, avec ou sans accord, est-ce que c'est clair ?"

[piaffy s'énerve ^^ extincteur !!! Que c'est émouvant, provoquer une guerre pour sauver ta bien aimée ptdr non, je ne me fous pas de ta gueule ^^]

Le silence repris ses droits, troublé seulement par les bruits de la rue. Aldrae observait les voleurs, puis Phöenix, et encore les voleurs. Elle était de tout coeur avec Phöenix, mais ne pouvait s'empécher de repenser à ce que le frère de la Noisette avait dit. Elfrania aurait-elle été d'accord pour risquer de déclencher, au pire une guerre, pour elle ? Elle n'en était pas si sure. Ses pensées furent interrompues par la réponse du frère de la Noisette, dont elle ne connaissait pas toujours le nom:

"Ce n'est pas parce que vous êtes réputés parmi les votres ou que vous êtes roi que toutes les bouches s'ouvriront en coeur sur le passage de vos hommes. Vous vous dîtes roi, alors agissez en tant que tel. A vous entendre, on croirait que vous êtes un enfant capricieux. 100 000 hommes ne feraient que compliquer la situation: on ne vous laissera pas passer.
Alors faîtes comme bon vous semble, mais ce que vous allez faire équivaudra à sacrifier des milliers de vies pour en sauver une seule. Personnellement, je trouve cela indigne d'un roi, et encore plus d'un dragonnier !!"

L'homme s'était lui aussi levé et regardit Phöenix dans les yeux, sans ciller. Contraierement au dragonnier, il avait gardé un calme étonnant, même si il avait une nuance froide dans sa voix. Les autres voleurs regardaient ,inquiets , le face à face. En temps normal, ils auraient sorti une blague bidon pour détendre l'atmosphère mais quelque chose leur disait que ce n'était pas le moment du tout.
Aldrae conservait un silence de mort, plongée dans ses pensées...

[Ca va ch**r !!!!!!!!!!!! Vais te cramer la baraque moi, ça va aller vite ^^]

Phöenix fixa l'homme à son tour, puis resta ainsi pendant au moins un bon quart d'heures. Les pensées se bousculaient dans son esprit et à vrai dire, il était un peu dérouté. Il ne voulait pas déclencher une guerre, mais il voulait retrouver Elfrania. Et le seul moyen de ratisser le désert tout entier en perdant le moins de temps possible. Il le fixa plus intensément, puis dit d'une voix lasse :

"Eh bien, au lieu d'en envoyer 100 000, on en envoie moins, mais le principe est le même. Pas plus de 200, mais des hommes d'élite, qu'en dites vous ? De toutes façons, c'est ça ou rien et dans un an on y est encore, or je ne tiens pas à patienter une année entière avant de pouvoir me marier !!!"

Il commençait à perdre patience et ses émotions influaient sur ses pouvoirs. Un verre se mit à osciller légèrement sous la colère retenue à grand peine par l'elfe qui ne cessait de planter son regard dans celui qui s'était levé à son tour...

Le verre continuait à osciller. Une fourmi qui passait par là et répondant au doux nom de Princesse 103 603 ème regarda la masse transparente en mouvement. Elle frotta ses antennes et lubrifia ses yeux de manière à voir ce qui se passait. Elle n'eut que le temps d'esquiver le fond du verre. Elle entendit alors des bruits qui pour elle n'avaient aucuns sens.

" Puisque vous semblez aussi persuadé que vos sujets peuvent errer dans le désert ni vu ni connus aussi facilement que vous perdez le contrôle de vos pouvoirs, alors envoyez les. Avec beaucoup de chance, ils passeront inaperçus. C'est vrai que 200 étrangers avec un accent bizarre et un peau claire passeront ni vu ni connus sous la barbe de la population locale, et encore plus aux yeux de ceux qui sont responsables de cette situation... Ils vont peut-être avoir eux aussi des difficultés, mais si ils sont aussi puissants qu'on me l'a dit, ils pourraient tout aussi bien ne pas en avoir...
Enfin bref, envoyez vos 200 hommes si cela vous plait, mais personellement, il me semble un peu ardu de préparer suffisament de nourriture et surtout d'eau, et en plus de venir sur ce continent en un jours...."

Il avait ajouté cela sur un ton presque ironique qui n'avait pas échappé à la dragonne. Aldrae était néanmoins plus ou moins forcée d'admettre que le plan de Phöenix n'était pas aussi simple qu'il le disait... A moins qu'il n'est tout prévu. Elle avança encore son coup à travers la fenètre, ou plutôt l'ouverture laissée pour elle. Bien qu'elle ne puisse rentrer dans la maison, elle pouvait glisser suffisament la tête à l'intérieur pour pouvoir l'eau qui avait été mise à sa disposition dans un bac en pierre. Elle but l'eau rafraichissante à grandes gorgée, essayant de faire le moins de bruit possible, mais ce n'était pas facile...
La Couleuvre ainsi que le Sanguinaire et le Pinson s'agitaient, visiblement mal assis ou impatients. Finalement, au bout d'un certain temps, le Pinson lança d'une voix qu'il voulait sûre et enjouée:

"Bon, et bien maintenant que nous sommes tous d'accord, qu'attendons nous donc, le déluge ?"
*Je crois que je préfère du sable à la boue... C'est moins salissant...*
Le Pinson ne releva pas la remarque discrète de l'Ombre et continua comme si de rien n'était.
"Alors, sans vouloir fâcher quiconque, je propose qu'on mette tout en place.... Et, combien de temps faut-il qu'on compte pour être prêts ?
- Voyons, le temps d'aller chercher nos chevaux, de faire des provisions, de prélever dans nos réserves, tout ça en évitant la garde, deux jours au maximum.... Après, quand à savoir si on va se perdre, c'est une autre paire de manche... répondit-il, souriant en se tournant vers l'Idiot qui avait réussi à faire oublier sa présence. Ce dernier rougit légèrement avant de répondre d'un ton offensé:
- Ce n'est pas de ma faute si la carte n'était pas exacte !! Et en plus.... Avant même d'avoir finit sa phrase, il fut interrompu par la dragonne orange:
*Tout doux, tout doux, vous ne comptez quand même pas venir ?*
*Et pourquoi pas, nous aussi, on a le droit de bronzer un peu, de sortir des villes surveillées...*
* Et de s'amuser un peu...*
* Sans oublier les coups de chaleur, la soif, les piqures de scorpions, les morsures de serpents... Qu'est ce que j'ai encore oublié ?*
*Le Verzhards, les nomades, les illithilds ....*
* C'est quoi un illithild ?*
*Un être humanoïde avec une tête qui ressemble à un calamar et qui dévore ton cerveau...*
*Tout compte fait, je vais peut-être rester. J'ai pas envie de faire bouffer le cerveau par une bestiole !
*Je plaisantais, ça n'existe pas...*
*Ouf !! Enfin, tout ça pour dire que si vous croyiez vous débarasser de nous, c'est loupé.... on vient...*

Aldrae ne put s'empécher de sourire devant leur enthousiasme communicatif. Après tout, rien ne semblait pouvoir les arréter et leur compagnie était plutôt joyeuse. Restait maintenant à savoir si Phöenix accepterait la merveilleuse bande soudée qu'ils formaient....

Phöenix regarda son interlocuteur et lui répondit sur le même ton ironique, avec un sourire aimable :

"Sachez qu'Hyrule n'est pas un simple pays avec une plaine. Il y existe un désert encore plus vaste que celui du Hadarc et la tribu de la Terre, au nombre de 100 000 personnes, y habitent et y vivent tous les jours. Donc, cela ne posera aucun problème si en plus je m'occupe des vivres ainsi que de l'eau. De plus, à part des tribus qui n'en sortent pas, il n'y a quasiement aucun voyageur. Cela ne posera donc aucun problème comme je l'ai dit. Et je contrôle parfaitement mes pouvoirs, quoique vous en disiez."

Il regarda les autres voleurs, souriant d'amusement vu leur enthousiasme. Après tout, ils l'avait aidé dans sa recherche, et ils seraient peut-être un atout inégalable. Il acquiesca, puis dit, avec un large sourire :

"Je propose une chose, vu que tout le monde vient. Je nous téléporte tous à Hyrule, on prend les hommes, les provisions ainsi que l'eau, puis je nous retéléporte dans le désert du Hadarac. Dans une journée maximum, on sera sur place, vous êtes d'accord ? Cela prendrai beaucoup moins de temps, alors vous préparez juste vos chevaux et on part, ok ? En d'autres termes..."

Pour la première fois depuis longtemps, un sourre malicieux s'afficha sur son visage anguleux :

"... c'est moi qui régale !"

Le dragonnier regarda Aldrae, avec léger soupir de soulagement. Le verre cessa de trembler et la détermination reprennait une place omniprésente dans l'esprit de l'elfe...

Phöenix n'ajouta rien, puisqu'il n'allait pas perdre la moindre énergie, partant du fait qu'il allait utiliser un moyen de transport insolite. Il les regarda s'en aller, avec un léger sourire, puis il sortit de la maison, en se mettant contre le mur. Il ferma les yeux, en sentant une nouvelle vague de triste appréhension l'envahir. Il ne se sentait pas bien et il était grand temps de retrouver Elfrania. Cependant, il reprit une attitude normale devant Aldrae pour au moins paraître brave. Il regarda le ciel, puis fixa à son tour la dragonne, en se plongeant dans ses yeux flammes :

"Oui, je te promet que tout se passera bien... Elfrania sera de retour très bientôt, je te l'ai promis. En attendant..."

Il posa une main affective sur le flanc de la dragonne orangée, puis lui sourit, avant de remettre son capuchon sur la tête :

"... A demain ou après demain. Tu peux contacter Sheik et donner rendez-vous aux autres à l'oasis où tu m'avais déposé. Il y est encore, et avec sa dragonne. Comme ça, je ne culpabiliserai pas de te laisser seule. Prends soin de toi..."

Il lui fit une caressa sur son flanc, puis se recula, en sortant son ocarina, de couleur bleu nuit, avec le tatouage qu'il portait à la main à la naissance du bec de l'instrument. Il souffla dedans, puis entonna une douce mélodie d'Hyrule. La chanson semblait d'une harmonie envoûtante et magique. Après quelques minutes de chant à l'ocarina, la magie de l'instrument sacré se déclencha. Il s'illumina d'une lumière dorée, puis laissa échapper une traînée d'étoiles lumineuses qui tournoyèrent autour du corps de Phöenix. Celui-ci s'illumina, noyé et plongé dans cette courte traînée étoilée, sans que la musqiue s'arrête pour autant. Sous cette forme, la traînée s'envola dans les airs, puis disparut dans une espèce de portail doré. L'elfe était parti pour Hyrule... sans Elfrania, alors qu'il lui avait dit qu'il voulait y aller avec elle.

Lemenct courait le plus vite possible dans les rues de Uru baen pour semer son eventuel poursuivant.

Il c'etait retourné et n'avai vue que illécamie derierre lui.
Ils tournairent à deux ou trois carefour

*ouf on a du le semmer*

"OAU AIE!*@-_*/-@"

lemenct venait de se prendre les pieds dans sa cote de maille trop grande pour lui.

"Aie aussi."Répondis-je à Lemenct. Ma jamabe n'avait plsu l'habitude de course éfrénée comme ça et elle me criait d'alelr faire une sieste.

"Tant qu'à faire, on aurait du prendre la caisse. Heureusement qu'il n'a pas réagit très vite !
Bon, maintenant, faut trouver où revendre totue cette camelotte."