Kaylan aperçut une aura qui était venu les aider, c'était Laïaga. Kaylan avait déjà entendu parler de lui ! Il envoya une pensée à Arkillon qui bien sûr est protégé !

*Essaie de faire tomber Siri (pas Eleane) de sa dragonne*

Kaylan, sortit une nouvelle flèche empoisonné, il créa une couche d'air tour autour puis tira dans le dos de Siri qui était occupé avec Arkillon. Lorsque la flèche quitta l'arc et presque lorsqu'elle va atteindre son but, Kaylan enleva la couche de vent pour que la flèche par plus vite et la blessure plus profonde ! Si la flèche frappe Siri dans le dos, celle-ci rencontrera des maux de tête puis elle allait sombrer dans un someil profond sans rêve où le poison vas prendre de l'empleur et déchirer les muscles de la dragonnière, il n'y a que Kaylan qui possède l'antidote. Aymalaë était occupé donc ne pouvait aider Siri, et Brume lui aussi occupé par le dragon et ne sera pas de grand secours à celle-ci qui est déjà en mauvaise posture à cause d'Arkillon

(bon, moi je pense que je ne pourrais pas revenir avant lundi ou dimanche soir... Je vous laisse donc disposer de mon corps [dans les limites du raisonnable ] et vous démerdez entre vous pour savoir si je suis emmenée chez Pierrot ou si je suis fait prisonnière... bonnes délibérations...

ps : prévenez moi de la décision en mp)

Edit By Svean: Disposer de ton corp?? O_o Expldrrr
Je crois que tu vas atterrir chez Pierrot...

édit by mwa : bah dites vous bien que dans un cas comme dans l'autre je pourrirais la vie des personnes qui sont prêts de mwa niark niark niark
à pierrot pour m'avoir empêché de combattre et d'être capturée
à toi pour m'avoir capturé

Edit by Laïaga : Tu sais qu'on t'aime beaucoup, chère tantine, mais on a pas envie de se retrouver dans la position d'être obligés de te renvoyer chez les elfes parce que tu deviens insupportable...

Depuis un certain temps, Flaïnor avait l’impression qu’il n’était pas pris au sérieux. Kaylan s’acharnait à vouloir le transformer en un hideux porc épique. Tant d’efforts qui n’allaient finalement aboutir à rien. Penser à viser les yeux était une chose des plus faciles, mais tenter de tirer dans les yeux, c’était assez risible. Le dragon rouge se contenta ‘simplement’ d’imiter la chute de ce qu’il était au plus profond de lui-même : une sorte de boulet rouge. Les flèches, trop bien ajustées, lui passèrent au dessus de la tête, légèrement déviées par Amayläe lorsque le besoin s’en faisait ressentir. Une simple promenade de santé au vu du niveau actuel de la dragonnière.

* Ca par contre, c’est beaucoup plus intéressant...* fit remarquer Flaïnor en pointant une griffe effilée et manucurée par le contact répété avec des roches vers la chose d’une taille immense qui venait d’apparaître, et qui déjà semblait vouloir en découdre avec Brume.(/i]

*Je me demande quel goût ça a...*

[i]Sur cette remarque des plus pertinentes lancées à l’adresse de sa dragonnière, Flaïnor s’apprêtait à tenter une nouvelle expérience culinaire, ou tout du moins d’essayer de s’arranger pour faire choir le truc sur le coin du nez de Brexinga. Autant de plans farfelus qui s’agitaient dans sa cervelle de dragon. Des trucs tordus, il en avait à revendre, et pour l’instant, le plus grand défi qui se posait à Flaïnor était comment les utiliser pour permettre à la reine du Surda et à Torca de prendre la poudre d’escampette – et cela s’appliquait à eux aussi.
Un dénouement heureux qui venait de s’éloigner encore davantage puisque il y avait un nouvel arrivant parmi tout ce charivari. Quelqu’un qui éveillait chez Flaïnor des souvenirs. Il avait la sensation de l’avoir déjà vu... Mais où ?

« C’est la moindre des politesses... répondit Amayläe avec une fausse modestie.
Intérieurement, elle ne pouvait que constater qu’arriver dans le dos des gens en catimini était quelque chose de toujours aussi populaire. La dragonnière tourna la tête de manière à voir son interlocuteur mystérieux et lorsque elle le vit et entendit ses derniers mots, un sourire fugitif passa sur ses lèvres. Ce qu’elle allait lui réserver ? Sans nul doute des choses qui allaient lui en mettre plein les mirettes. Flaïnor perçu cette pensée et parti d’un fou rire mental. Oui, Svean allait voir des choses qu’il n’avait encore jamais vues. Ca allait être du joli, du grand spectacle qui allait sans nul doute rester dans les annales – si tant est que quelque troubadour avait assisté à tout ça.

* Ah ça y est !!!* Flaïnor venait enfin de placer un nom sur cette voix, non sans une certaine fierté. Au moins, s’il venait à mourir sans avoir même vu son adversaire – vu qu’il lui tournait le dos – il savait que ce serait par les mains de quelqu’un dont la renommée dépassait le petit patelin perdu au fond de nulle part. une belle mort, même si elle devait être foncièrement inutile. Il y avait tout de même un hic. Quelque chose d’indéfinissable qui emplissait l’esprit du dragon rouge. Comme si ses oreilles s’étaient soudainement mises à siffler. Il n’y accorda pas d’importance, se préparant à tout et à n’importe quoi, surtout n’importe quoi.
Tous ces abysses de réflexion n’avaient duré que quelques secondes, mais ça avait été suffisant pour que quelque chose se passe. Un subtil frémissement dans l’air, et l’impression croissante du danger. Une Un centième de seconde plus tard, Flaïnor se sentait étrangement oppressé. Dans le dixième de seconde qui suivit, il vit du coin de l’œil quelque chose qui clochait dans l’air paisible. Comme si six trucs fonçaient sur eux - à moins que ce ne fut purement et simplement une vue de l’éprit. Ami ou ennemi ? Difficile de le dire, vu que Flaïnor et Amayläe se tenaient entre les sphères et Svean. Un centième de seconde plus tard, Flaïnor se surpris en train de constater que décidemment, le sol se rapprochait bien vite. Quand à Amayläe, accrochée à la selle par les sangles, elle était en train de regretter son repas.

Mais après une brève réflexion, cette chute libre n’était pas forcément un mauvaise chose. Avec une dose assez conséquente de chance et si l’auteur de ces sphères était un ennemi, peut-être que les sphères allaient tranquillement suivre leur trajectoire et frapper Svean. Peut-être. Une hypothèse de plus qui ne faisait que menacer davantage la stabilité de cette théorie déjà bancale. Dommage...

Les ailes de Flaïnor étaient sagement repliées le long de son corps – à quel moment cela s’était passé, Amayläe ne le savait pas -, signe que le dragon ne comptait pas tenter de rattrapage in extrémis. Il était casse cou, et ô miracle, semblait avoir un plan assez foireux. Flaïnor et sa passagère se préparaient à un atterrissage un brin chaotique, et à un choc. Il eut bien lieux, et fit légèrement vibrer le sol, écrasant au passage toute la faune souterraine qui aurait pu se trouver en dessous.
Les quatre puissantes pattes capables de fournir l’impulsion nécessaire à un décollage jouèrent cette fois ci d’amortisseur. Le poids du dragon reparti d’une façon à peu près équitable sur chacune d’entre elle. Puis se détendirent, entrainant le dragon dans une série de sauts totalement imprévisibles. Jamais encore personne n’avait vu assisté à une plongée aussi profonde dans les abysses du ridicule – même si quelque part, la technique de Flaïnor avait certains avantages. Heureusement que le ridicule ne tuait pas.

Passé le premier choc, Amayläe avait rapidement fait glisser un poignard sur les sangles afin de s’en débarrasser le plus rapidement possible. Elle jeta un rapide coup d’œil en hauteur, et fut assurée qu’elle était belle et bien la cible de ces sphères. C’était d’autant plus gênant qu’elle n’arrivait pas à identifier leur nature exacte. Mieux valait les esquiver dans un premier temps, à défaut d’essayer de s’en prendre une histoire d’en voir les effets. Aussi risqué que cela fut, elle laissa une petit bourse en cuir attachée à la selle de Flaïnor. De toute façon, elle pourrait bien la récupérer après tout cela.

La dragonnière ne poussa pas plus loin ses interrogations et bondit dans les airs dans la direction opposée à celle prise par les six sphères. Elle avait auparavant pris soin de comprimer de l’air lors de l’impulsion pour augmenter sa vitesse. La dragonnière le recomprima brièvement alors qu’elle allait atteindre la hauteur maximale de son saut pour pouvoir reprendre brièvement appui et sauter à nouveau.
Tant et si bien qu’elle eut assez vite atteint l’altitude demandée. Plus que trois fois, elle pourrait espérer atteindre Svean avec son épée. En plein saut, elle fit apparaître des flammes juste sous le disque d’air comprimé qui le soutenait. Loin d’elle l’idée de lui cramer les pieds.

L’air comprimé du disque de Svean allait chauffer, et les molécules s’agiter de plus en plus – ce qui pourrait nuire à la cohésion du disque. La pression au sein du disque allait augmenter, ce qui une fois plus pouvait nuire à son intégrité d’une manière nettement plus explosive. Alors dans le meilleurs des cas, Svean tomberait et se retrouverait juste en elle et les sphères, et s’en prendrait quelques unes dans la figure.
Tel était l’un des plans d’Amayläe, l’autre consistant à tenter de stopper ces sphères par tous les moyens possibles. Et tant pis si elle perdait cette bataille. Les enseignements qu’elle en tirerait lui seraient précieux. Tandis que les flammèches faisaient leur œuvre, Amayläe envoya une petite boule de feu vers la sphère la plus proche, histoire de voir ce qui se passerait, puis resauta, l'épée dégainée.
Le soleil se prit dans les gemmes qui ornaient le pommeau...

(Laïaga : tu manques de sens ... tu as commis une grosse erreur : tu ne m'a cité qu'en deuxième dans ta liste des "grands de ce monde" ; c'est impardonnable)

[Note pour Svean et Brexinga :
Passé Simple des verbes en -ER (1er groupe):
exemple : Chanter
Je chantai
Tu chantas
Il Chanta
Nous chantâmes
Vous chantâtes
Ils chantèrent]

Au Donjon :

Tous le monde était parti, Pierrot restait seul avec Norwen. Laïaga était revenu, il l'avait senti. Il éprouva d'abord ou soulagement, qui se transforma bien vite en angoisse, puis en colère intense, lorsqu'il comprit que le dragonnier ne revenait pas pour les aider. Un grand dragonnier, plein d'avenir, qui fut si intelligent et brillant, comment se pouvait-il qu'il choisisse la partie de la peur, de la haine, de l'angoisse permanente. Comment cet ardent défenseurs des libertés pouvait choisir sciemment l'oppression des peuples, les crimes arbitraires, la malédiction. Pourquoi un être aussi raisonné avait penché, avait perdu tout raisonnement rationnel, pourquoi avait il rejoint les rangs sombres.
Certains raisonnements inexpliqué faisait complètement basculer un individu, au point même de tout confondre dans son esprit. Ainsi, Laïaga, qui fut juste et bon, décidait de semer la terreur et le chaos dans les peuples. Était-ce par une conviction erronée, ou simplement par soif de pouvoir et de reconnaissance ?

Toujours était-il que Pierrot était coincé dans le donjon, sans pouvoir en sortir, avec, en face de lui, Norwen. Il s'assit en tailleur, et s'adresse sur un ton paternel à la dragonnière.

"Bon, je n'ai pas envie de me battre contre toi, je ne voudrais pas te faire mal ... que va-t-on faire en attendant ?"

[Note 2 : On n'édite pas les post de Pierrot !]

Caessa atterrit lourdement par terre. Décidément, la téléportation n'était vraiment pas son truc. Elle avait encore la tête qui lui en tournait. Elle ferma les yeux quelques secondes avant de les rouvrir. Sa première remarque fut qu'elle n'était pas à Dras Leona, la seconde qu'elle était au beau milieu d'un champs de ruines et la troisième qu'il y avait pas mal d'agitation dans les alentours.

*Mais qu'est-ce que je fiche ici moi? Alandor?*
*Caessa? Je ne te vois pas!*
*Ca m'étonne pas, j'ai encore dû atterrir à quelques centaines de kilomètres de mon objectif*
*Montre-moi où t'es et je viendrais te chercher!*
*Ca m'étonnerait que tu reconnaisses.*

Caessa montra ce qu’elle voyait à son dragon. Celui-ci mit à peine quelques secondes pour réagir.

*Si, si, je vois ! Tu es à à peine deux kilomètres ! Bouge pas, j’arrive bientôt !*
*Si j’étais toi je me dépêcherais, ça sent clairement le roussi par ici !*

Caessa se leva et commença à explorer les lieux du regard. Quelle ne fut pas sa surprise quand, au détour d’un mur délabré, elle aperçut un dragon coincé dans un bouclier et qui semblait chercher une issue de secours.

*Ben qu’est-ce qu’il fait là-dedans celui-là ?*

Caessa comprit immédiatement ce qui clochait. La présence de l’Ombre empestait comme un mauvais présage. Elle se retourna et aperçut celui qu’elle cherchait : Brexinga.

*Mauvais, ça* songea-t-elle en sentant ses muscles se crisper, prêts à réagir.

[Waouhh il y en a eu des posts ici. Bon je vais essayer de ne rien oublier.]

---Afganir----

Cette sentsation que s'emparait de mon corps, qui s'emparait de tout mes muscles, qui semblait s'enchainer à mon être et qui semblait comme un immence lancé de pierre s'abattre sur mon corps m,e fit basculer dans le néant du vide. Je bascula et chuta vers le sol, entrainer par une force inconnu et non attendu.JE me sentait irrémédiablement tiré vers le sol. Mon esprit s'était complètement déconnecté. Puis soudainement je me ressaisit. J'ouvrit mes ailes d'un grand coup et projeta la créature plus loin. Certe les dragons avait leur sois-disant feu mais jamais il n'aurait la puissance musculaire de l'un des miens. Je fonca directement vers la créature qui venait de m'empêcher de prendre un repas et rentra directement tête la première dans son poitrail. Nous commencèrent à tourner en rond, se griffant se battant comme de vrai bêtes sauvage. La rencontre entre deux créatures complètement différente, deux ennemis, qui servait deux maîtres qui s'haissaient tout autant. Je recula légèrement pour réattaquer lorsque je sentit el dragon hésitai. Deux instants plus tard il était parti. Peu importait, je ne devais pas abandonner mon maître qui semblait en mauvaise posture. Il était temps de s'attquer à une nouivelle cible. J'attaqua le dragon de la nouvelle arrivante, je ne m'était même pas poser de question sur son identité. Foncant de nouveau directerment sur elle, tel un être suicidaire qui cherche seulement un peu de chair fraîche à se mettre dans la bouche. Ma force n'était plus celle qu'elle était, le combat contre Torca puis Vanyali m'Avait affabli mais je sentais que cette dragonnière et sa dragonne qui s'amusait à attaquer Kaylan allait être très surpris de me voir ainsi arriver. Ses comme un coup de tonnerre que je rentra dans le dragon. Mon but était simple. Fais tomber sa dragonnière et au possible blesser la dragonne. Le coup était extrméement puissant. De quoi destabliliser le plus grand des dragons.

-----Brexinga----

Mon sang commencait à se crisper dans mes veines. Tous n'allait pas aussi bien. Mon bouclier était tout de même encore intact, Lak situation allait tout de même de mal en pis. Afganir se battait sauvagement, i attaquait sans penser a lui, la vrai créature à son maître. Kaylan se battait contre Siri et l'autre dragonnière restait en retrait. MAis qu'es qu'elle faisait la. Soudainement j'entendis un petit bruit. Je pencha la tête et remarqua à mes pieds une petite boule de métal. Je releva la tête puis surprise. Siri était occupé avec Afganir et l'autre par deux êtres, deux personnes que je n'avait pas encore vu dans les combat. Svean et LAIAGA, mais que faisait-il avec nous.Je vu aussi apparaitre l'invocation d'Arkillon. Il l'avait donc rappeler. Finalement tout n'était pas trop pire.

*Svean, je vais aller finir se que j'ai commencer. JE crois que vous allez être capable de vous débrouiller.*

Je rentra dans le boculier de Torca. Je brisa le bouclier. Le Dragon de toute facon était bien attaché au sol. Je fit changer le vent et lui fit tomber comme si une montagne venait de s'écraser sur son dos une colonne de vent. Il ne pouvait plus bouger. E m'Approcha de la reine et déposa ma main sur elle.

"Allez Torca, tu as perdu, vous avez tous perdu, abandonne et relache la avant que l'Air sur ton corps finisse par briser tous tes os"

[Brexinga n'a pas lu ma note ... il devrait, ne serait-ce que pour sa culture ...]

Au Donjon :

Pierrot était toujours assis en face de Norwen, mais il devait sortir. On avait besoin de lui dehors. Il avait une idée. Il fit un bouclier autour de Norwen, pour éviter qu'elle ne le dérange. Il ne pouvait ainsi plus bouger d'où elle était. Le magicien se dirigea vers l'endroit où l'ombre avait déposé sa goute de sang. Il s'agenouilla et posa sa main sur le seul. Le supposé endroit du pentacle. Pierrot se mit à marmonner en ancien langage. Quand il eu fini son incantation, il cria : "Sänghren !"
Le sol se mit à saigner. Un marre de sang se forma. Le sang de tous les défunts de la pièces, de tous ses "gardiens". Il y avait de petite quantités de pleins d'individus qui formaient une marre.

"Waìse Heill !"

La marre se résorba. Le sang des défunt disparut, le sang des vivants réintégra leurs corps. Pierrot était libre de cette salle. Il désintégra le bouclier qui entourait Norwen avant de sauter par la brèche.

Pour arriver rapidement sur les lieux, il n'y avait qu'une solution. Le magicien se téléporta.


Dehors

Brexinga avait cassé le bouclier. Il se tenait près de Torca.

*Il en faut plus que ça pour briser un dragon ... par contre, une demi-elfe, c'est moins robuste, tu risques de la tuer ...* Le dragon resserra ses crocs autour de la reine, perlant la peau de cette dernière de sang aux endroits des morsures. Superficielles, mais en signe d'avertissement. *Si tu approches encore, je la croque !*

À ce moment là, Pierrot apparut dans le trou, entre Brexinga et Torca. L'ombre en resta coi. Le magicien profita de cette stupeur momentanée pour décrocher un puissant uppercut dans le menton de Brexinga, qui l'envoyait valser hors du trou. Pierrot tapa dans ses mains, et le sol se brisa, libérant ainsi Torca. Le vent s'arrêta de souffler sur le dragon, sans qu'apparemment personne n'ai rien fait. C'était un ordre muet de Pierrot. Le magicien prit la reine, évanouie par le manque d'air, dans ses bras, et monta sur son ami. L'immense dragon décolla en trois coup d'ailes. Profitant que Brexinga était dans les vapes et que les autres étaient tous occupés à se bagarrer, Torca fonça comme une flèche vers Uru'baen.

Arkillon et son esprit du dragon furent projeter vers le sol, ensuite, en essayant de se remettre sur pied, il fut solidement attacher par des liens magques, l'ombre essaya de les briser mais sans resultats. Puis il se tourna vers Eleane et lui fit un petit sourir avant qu'elle ne decole vers Svean, tout a coup, Arkillon et l'esprit devirent flou comme une image a la television qui etait en train de se depiceller, le jeune ombre n'etait en fait qu'un illusion, le veritable Arkillon etait bien haut dans le ciel, derriere un ecran qui le cachait a la vue de tous. Il emit un petit rire sadique et fit disparaitre son image de lui-meme, tout en gardant l'ecran devant lui activer, il fonca vers Eleane, rendu a une dixaines de metres devant elle, il enleva son ecran et pointa du doigt l'aile droites, un puissant rayon de lumiere ardant partie de son doigt et alla en direction la fine membrane de l'aile.

" Si tu croit pouvoir me vaincre aussi facilement, je possede tous le savoir de mes esprits, le dragon et le dragonnier son en moi et te detruiront, cela fait plus de trois ans que Suil'fumalia ( le dragon ) m'as enfermer dans cette epee afin de garder le plein control de se corps, je vais lui montrer ma veritable puissance. ( rire demoniaque ) "

L'ombre ouvrit sa pame de main libre et prononca mentalement les mots en ombrique, une boule mauve se forma tout autour de la dragonniere et du dragon et, une fois completement former, des eclaires commencairent a apparaitre a l'interrieur, et rebondissant sur les paroit du sort, qui etait puisser de la puissance meme de la magie envoronante, dans cette region du monde ou elle etait a ses plus haut sommets.

Caessa regarda avec des yeux écarquillés Pierrot libérer le dragon. Décidément, elle ne comprenait rien à ce qui se passait. Tout ce qu'elle savait, c'était que son adversaire était Brexinga et qu'elle devait l'occuper.

*Bon, c'est pas tout mais il y a du boulot.*

Elle récita une formule à voix basse et deux autres Caessa se formèrent à côté d'elle. Elle releva la tête, fixa l'Ombre des yeux qui ne l'avait toujours pas remarquée.

"Par ici, Brex'!" appela-t-elle.

[Joli post Pierrot, j’en ai presque des remords IRL^^
C’est plus la soif de pouvoir en fait.
Et…Pour les grands de ce monde…Je t’enjoins à venir réparer l’affront arme au poing
En revanche, je crois pas que t’aies le droit de décider pour Brex’ qu’il restait coi^^

Arkillon…Je suis pas sûr d’avoir bien compris ton post, mais si c’est le cas, tu n’as pas le droit de décider que ton sort fait mouche sur son dragon. D’autant plus que, toujours si j’ai bien compris, tu as autant de chances qu’un moucheron face à une bombe de Baygon^^]

Les choses se précipitèrent. Elles allaient déjà assez vite, mais en fait, il fallait bien avouer qu’elles pouvaient aller encore plus vite. D’abord, Amayläe eut la présence d’esprit de se laisser faire, profitant du sort de Svean pour gagner en vitesse et tuer sauvagement la faune sous-terraine qui eut le malheur de se trouver sous les pattes de son dragon-sauteur.
La dragonnière tenta alors de remonter à grands sauts vers Svean. Cependant, elle fut contrée par la magie du parjure. Je souris. Amayläe était d’une rare puissance. Je doutais qu’elle puisse vaincre Svean. Je savais, sans la moindre once de prétention, qu’à deux face à elle nous gagnerions immanquablement. Ainsi, pendant qu’elle se faisait balloter par les sorts de mon ami, les sphères d’énergie vide, toujours sous mon contrôle, modifièrent leur trajectoire, fusant toutes vers son corps traversé par la magie.
Elles s’agencèrent de manière à arriver par tous les angles imaginables, chacune avec de quoi abattre deux apprentis, quoi qu’ils fassent. Bien sûr, Amayläe avait laissé ce niveau à des lieues derrière elle, mais il y avait six sphères simultanées, en plus des attaques de Svean. Saurait-elle y faire face ? Je l’espérais. Car pour l’instant, on pouvait décemment dire que je n’avais rien fait.
C’est à ce moment-là que je compris que la dragonnière se battait face à un clone. J’eus un rire très bref, mais sincère : Svean avait toujours été un grand roi des illusions. Tant et si bien que personne au monde n’était capable de percevoir par lui-même le vrai du faux. En fait, ce moment, c’était celui où mon ami me parla, dans le dos. Je répondis sans me retourner, gardant les yeux fixés sur le champ de bataille. Des choses se passaient pendant que nous parlions. Pierrot qui quittait Dras Leona, emmenant quelqu’un avec lui, mais impossible de dire qui. Une autre personne s’enfuyait subitement de la ville, certainement un dragonnier, et un doué, car il couvrit environ dix kilomètres avant de piler net, et ce en quelques secondes.

-Je comprends, je te reconnais bien là, Svean, répondis-je d’une voix rieuse. Tu sais, je ne me suis pas senti aussi bien depuis longtemps. Quant à mon retournement…disons que…j’ai réfléchi. En fait, je pense que ton idéologie est peut-être la bonne. Je veux dire, c’est mal hein, tout ce que nous faisons, cependant, c’est peut-être un mal pour un bien. Rien n’est pire que la guerre…alors…me voilà…Et puis, je me suis toujours plu à tes côtés. Svean.

C’est pendant que je parlais que je sentis la formidable puissance, que recouvrait presque la formidable colère, de Siri. La dragonnière était une mage d’excellence. Mais surtout, elle était la meilleure bretteuse que pouvait se targuer de compter l’Alagaësia. Mais là, maintenant, en ce moment, tout ce que je sentais, c’était une rage aveugle. Ce n’était pas le genre de Siri de se laisser dominer par ses émotions, bien que je ne la connaisse pas plus que ça, je savais au moins ce détail.
Ça avait vraiment dû la mettre en rogne, de me voir changer de camp, pensai-je avec un sourire. Il n’en restait pas moins qu’elle semblait prête à déchainer tout ce qu’elle avait. Sa présence rayonnait de magie. Je tendis le bras vers le boulet de canon qui fusait vers moi plus vite que ce que l’esprit ne devrait pouvoir ne serait-ce que concevoir.
Un énorme rayon d’énergie fusa vers elle. C’était une circonvolution argentée et diaphane, comme une toile d’araignée géante se déplaçant à la vitesse de la pensée et fusant droit vers la dragonnière. En même temps partaient au bas mot une centaine de billes d’énergie minuscules qui s’évasaient pour couvrir l’espace entre moi et la dragonnière. Dans le même temps, mon esprit s’attaqua au sien avec toute la puissance dont je disposais en la matière.
Et juste derrière les billes et le rayon, out ce qu’il y a de plus classique, suivait moi, propulsé par la magie, un grand sourire très joyeux sur les lèvres. Mon bâton en main. Celui avec une lame de trente centimètres à une extrémité.
Ce sourire, il n’avait rien de diabolique. Il n’avait rien, ni de sadique, ni de cruel, c’était un sourire amical, celui que l’on adresse à une vieille connaissance que l’on retrouve après une longue séparation.
La vieille connaissance n’était pas Siri. C’était la magie, le danger, l’adrénaline ! Le plaisir fougueux et impétueux de rencontrer de nouveau un adversaire, un vrai. Un dangereux. Et de me battre pour survivre. Car sous peu, la ville volerait peut-être en éclats, mais la magie jaillirait de ce lieu comme d’une fontaine.

[apparement, et si j'ai bien compris, mon accès à Internet devrai être coupé momentanément pendant le week end... après, je ne serai peut-être pas là à partir de mardi après mdi jusqu'à jeudi ... enfin bref, c'est le gros bazar de chez le bazar :mrgeen:
donc bref, je vais trouver un moyen de m'éclipser. libre à vous de me poursuivre ou pas... c'est juste que je ne risque pas de répondre avant lundi]

C'était une première pour Amayläe que de se casser la figure dans les airs, et vu d'en bas, ce devait être assez comique. suffisament pour que Flaïnor éclate de rire dans son esprit.

* Woah, ça c'est un xploit !!*

(i]décidemment, le dragon rouge n'arriverait jamais à être sérieux une seule fois dans sa vie. La dragonnière n'eut pas le temps de s'exaspérer devant la frivolité d'un tel comportement vu qu'elle se rapprochait de Svean un peu trop rapidement à son goût. Et le voilà qui prenait son temps à donner des explications le plus calmement du monde. Cela aurait été gentil de sa prt en d'autres circonstances. Mais là, elles trouvaient un écho teinté d'une légère suffisance dans l'esprit de la dragonnière.

Mais voilà il avait parlé un brin trop longtemps. dès qu'amayläe avait entendu le mot explosif, elle avait immédiatement réagit en créant un bouclier. non pas pour absorber totalement la force de l'explosion - il ne fallait tout de même pas rêver - mais plutôt pour, dans premier temps, éviter de ressembler à un bout de charbon. dans un second temps, il lui éviterai de se faire démembrer d'un claquement de doigt.
Orienté perpidiculairement à la direction du souffle, et lorsque l'explosion eut lieu, il presque parfaitement sa fonction. Presque, car Amayläe avait tout de même senti la vague de chaleur dégaée, et aussi parce que l'explosion avait quand même achever de la décoiffer.
Amayläe n'avait laissé ce bouclier que le temps de l'explosion en elle même pour ne pas se fatiguer, et aussi se concentrer sur la phase deux de son plan improvisé.
Pour la seconde fois en moins d'une heure, amaylâe était à nouveau en chute libre, à cela près que la rencontre du souffle sur son bouclier avait augmenter sa vitesse de manière considérable.
Comme si au lieu de simplement jeter un cailloux pat terre, vous le projetiez contre le sol. Le souffle était la main, Amayläe la caillou. A ce rythme là, elle n'allait d'ailleurs pas tarder à les rejoindre, ces fameux cailloux. Et par dessus le marché, la rencontre avec les sphères s'anonçait assez imminente. Une partie de pétanque aérienne, rien que ça, avec la dragonnière dans le rôle du cochonnet. Ca promettait, si seulement elle ne s'écrsait pas avant.
Pour remédier à ce problème somme toute assez épineux, Amayläe densifia graduellement l'air sous ses pieds jusqu'à se stabiliser complètement. Elle l'avait échappé belle, même si le plus difficle restait à venir.
En effet, les six sphères étaient prêtes à la frapper. Une rapide analyse de la situation informa la dragonnière que à moins de suivre une cure express d'amincissement foudroyant, il allait être difficile de toute les esquiver.
A la rigueure, peut-être pourrait-elle se débrouiller et se contorsionner pour faire entrer deux d'entre elle en collision. il ne lui en resterai alors plus que quatre à se prendre dessus. Non, mieux valait oublier cela.[/i]

*Un petit coup de feu peut-être ?* demanda malicieusement Flaïnor, non s'en lui rappeler que, comme l'avait souligné Siri, il était temps de décamper, vu que la reine du Surda était en sécurité. Plus facile à dire qu'à faire, surtout d'un claquement de doigt. Amaylâe n'en aquiesça pas moins quand à la proposition du dragon. Sa chute avait décidemment bien fait les choses en la rapprochant suffisament su sol pour être à portée de tir de flaïnor.
Ce dernier visa successivement les sphères qu'il pouvait atteindre sans cramer Amayläe tandis que cette dernière observait l'effet qu'elles avaient sur les six projectiles. Ces dernières étaient encore suffisament loin pour lui laisser une marge de manoeuvre, aussi petite soit elle.
Les flammes ne semblaient pas avoir plus d'effet que ça, et pourtant, il y avait tout de même quelque chose de curieux.P our avoir souvent vu Flaïnor cracher des flammes, Amaylâe connaissait parfaitement leur couleur. D'un rouge sang, mélé de nuances allant du rouge à un orange teinté de jaune selon leur température. Et à en juger par celle que le dragon crachait actuellement, elle aurait du avoir un peu plus chaud que ça. comme si quelque chose absorbait la chaleur.
Ce n'était certainement pas elle, peut-être Svean. A moins que ce ne fusse ces sphères. Mystère et boule de gomme, mais amayläe décida de tenter le tout pour le tout. Et au cas où les choses tourneraient mal, elle n'avais qu'à puiser de l'énergie dans les pierres de la bourse.

Elle en revint instantanément à ce truc indéfinissable qui absorbait la chaleur. Or la chaleur n'était qu'une forme d'énergie. Elle avisa la sphère la plus proche d'elle, et murmura quelques mots. Peu après, une couche de glace se forma dans les airs, issue de l'eau de l'atmosphères. Parfaitement transparente, elle offrait aux regard sa forme biconvexe. elle flotta au dessus de la sphère que la dragonnière fixait, concentrant la lumière du soleil en un point précis qui n'était num autre que le centre de la sphère. Amayläe y ajouta des rayons lumineux de son propre cru, parfaitement parallèles entre eux et perpendiculaires à l'axe de la lentille de glace, auss intenses qu'ele le pouvait - et de toute façon, l'espèce de loupe géante et glacée trouverait bien le moyen le la concentrer davantage.
De son coté, flaïnor avait cessé de cracher ses flammes pour prendre son envol. so, timing allait être assez serré, et il allait devoir faire preuve de précision. La suite se passa très rapidement. Au meéris des autres sphères, elle se jeta sur celle qu'elle visait, comprimant l'air derrière elle pour augmenter sa vitesse. elle allait la prendre par au desus pour éviter de se faire cramer par l'étroit faisceau de flammes que Flaïnor venait de lancer sur la sphère tout en décollant. Si ce n'était pas une belle source d'énergie ça. tandis qu'amayläe se rapprochait de la sphère - et que par la même occasion la sphère se rapprochait d'elle, amayläe continuait d'envoyer de la lumière sur la lentille, changeant sa postition pour que l'intersection des rayons lumineux se trouve toujours sur la sphère. Combinée à l'énergie dégagée par les flammes de Flaïnor, celle 'transportée' par la lumière commença à être absorbée par la sphère.
Amaylâe comptait sur l'explosion ou tout autre phénomène qui marquerait la fin de la sphère pour rejoindre le dos de Flaïnor. Restait à savoir si le timing était bon, si elle aurait du y aller un peu plus fort et bourriner. Autant de choses qui lui serviraient pour élaborer une stratégie efficace contre l'attaque qu'elle venait de découvrir. Y aller au petit bonheur la chance n'était une très bonne idée. Flaïnor était à portée de saut, et il diminua la puissance de ses flammes. Les sphère était toujours là. Dangereusement présente.
Tant pis. tentan le tout pour le tout, Amayläe sauta tout en recevant de faibles quantités d'energies par à coups. Tout était une question de temps. si jamais la dragonnière venait à être totalement vidée de son énergie, elle aurait au moins le temps d'un battement de coeur avant de succomber, sauf si l'énergie de son dragon arrivait entre temps. Idée passablement risque et surtout très tordue,.

Pendant son saut, la dragonnière vit la sphère de plus en plus précisément - un peu trop à son gout. La seule chose positive, c'était qu'elle ne l'allait pas se la prendre en plein coeur au vu des trajectoires. Mais est ce que cela allait vraiment changer la donne ? Lorsque le pied gauche traversa la sphère, amayläe sentit son pied s'egoudrir, puis ce même engourdissement remonter lentement le long de son mollet.
elle n'eut pas le temps de dire oups que déjà elle s'écrasait lamentablement sur la selle de Flaïnor. Ce dernier prit rapidement de l'altitude, espérant être suffisament rapide pour échapper à un quelconque coup fourré. dans le dos d'Amayläe, la sphère que son pied avait du arriver à saturation. Quand à la lentille de glace... eh bien, elle alla s'écraser au sol dans une myriade de fragments tranchants qui pouvaient tout à fait transpecer le coeur du'un malheureux ombre de passage.

* Je pense vraiment qu'on aurait du y aller plus sérieusement...*
* De toute façon, je ne savais pas comment m'y prendre... J'ai essayé, et ça a pas eu l'air d'être efficace.*
* Tu feras mieux la prochaine fois...*
*S'il ne nous rattrappent pas d'ici là...*

Amaylâe avait sans trop savoir pourquoi, envie d'un bon café bien fort ...

[Heu, Arkillon, je crois que tu n'as toujours pas compris en fait : Eléane n'est pas ici. Elle est à des kilomètres, en voyage pour Teirm. C'est Siri qui est ici.
Sinon je suis pas d'accord avec tous vos clones, c'est un peu facile de se faire tuer ou emprisonner et de dire "ha mais non c'était qu'une image de moi", alors je propose qu'au moins on interdise d'avoir un clone d'un seul coup, et qu'on soit obligés de dire à l'avance qu'on créé un un clone. Autre chose, si on garde le droit de créer une image de soi-même, cette image ne peut être parfaite, donc il faudrait aussi définir les "propriétés" des images qu'on peut créer.]

Très loin d'ici, hors de portée des Ombres :

Brume volait à toute vitesse. Le poids de Mumak, qui était assis derrière Siri sur son dos, n'y changeait rien. De toutes manières, elle avait dépassé le stade ou deux personne l'embarrassaient pour voler, et elle se sentait capable de continuer sa course contre la montre avec 10 autres nains sur son dos... quoique... Siri, de son côté, se reprenait peu à peu. Elle avait céder à la colère. Bien sur, tout le monde agissait sur le coup de la colère un jour ou l'autre, et il lui était déjà arrivé de sentir la rage pendant un combat, mais cette fois-ci, tout était différent. Si Brume n'avait pas été là, elle n'aurait pas tenu une minute de plus. Elle aurait cette fois, laissé libre cours à sa frustration de voir un de leurs alliées revenir pour le camp opposé. Elle le savait, au plus profond d'elle-même. Il lui faudrait réfléchir à ses actes, mais pas maintenant, pas ici. La dragonnière tenta de repousser les idées sombres qui l'assaillaient et demanda à Mumak :

"Ellen est chez Pierrot j'imagine ? Que lui est-il arrivé ? Je l'ai vu gesticuler sur le dos de Vanyali, alors j'ai pensé qu'il n'y avait rien de grave... Brume, ajouta-t-elle, cap sur la maison de Pierrot."

Je me releva lentement, ébroué certe mais assez satisfait de mon coup. Je venais de perdre la reine, je venais de perdre Torca. Mais j'avais quand même tenu tête à des Dragonniers qui me surpassait, et surtout tout mon jeu n'avait pas encore été dévoilé, la surprise qu'allait avoir la reine et surtout son protecteur lorsqu'il allaient découvrir le terrible sort qui allait bientôt s'abbatre sur elle. Ses dragonniers, tous les mêmes, egocentrique et stupide. Se croyyant supérieur car leur lézard volant pouvait cracher du feu. Voila ou ils commentaient leur plus grande erreur, ils sous-estimaient leur adversaires, leurs ennemis. Ils nous croyaient faible, mais bien au contraire, nous sommes des créatures puissantes et perfides. Nous aons un esprit qu'aucun Dragonnier ne réussiras jamais à comprendre, ou même a percer, et c'était la raison pour laquelle je souriait en se moment même. En se moment ou j'avait devant moi trois personnes, dont deux illusions qui se préparait à m'affronter, et que la reine était partit avec tout les autres. C'était cette même raison qui me donnait la force de me battre. La reine à son arrivé allait se sentir très mal. Si seulement se Pierrot avait penser un peu, pourquoi aurais-je seulement déposer ma main sur la reine. Pourquoi je l'aurais-je pas tué, pourquoi ne me serais-je pas téléporté. Pierrot m'avait offert une porte en sortant, il avait débloqué la guaranti que je m'était mit. Lors du contact que j'avais eu avec la reine une partie de mon énergie s'était transféré dans son corps. Pas une grande parcelle de celle-ci. Rien qui serait assez grand pour tuer quelqu'un, mais c'était tout de même une parcelle d'énergie assez puissante et sombre pour faire sombrer le coeur des plus brave dans les ténèbres, ou tuer ceux qui y résisterait et bien sur, le seul à pouvoir débarasser la reine de se fardeau se trouvait déjà bien loin d'elle. Pierrot venait de m'offrir une vu sur leur stratégie et sur la vie de la reine car à si grande distance de moi, je ne pouvais plus controler l'énergie, et la reine allait lentement sombrer dans les ténèbres.

---***---

Je m'avancea lentement vers les trois Caessa. Mon épée matérialiser à la main. Le truc, repérer la bonne Caessa et la blesser assez pour que les illusions disparaissent. Il n'y avait que deux problèmes, nos forces se ressemblaient beaucoup, et après le coup de Mumak ma force avait grandement diminué. J'allais devoir essayer mes nouvelles techniques. Je tappa du pieds sèchement et soudainement toutes la végtation autour de moi fana et mourut. Voila un peu d'énergie qui venait d'être récupéré mais c'était loin d'être assez. Comment allait-elle faire pour lire mes pensée ou même savoir se que je préparait. Je me pencha vers l'avant en position de combat près à attaquer au premier tressailement et d'un coup sec bonbarda les pensées des trois personnes avec des images sans queue ni tête, des image d'Anolwen, qui si mes souvenirs étaient bons, avait des liens familiaux avec Caessa, des images de Mumak morts, des images blessantes, rien que cela et à profusion. Au même moment 6 boules d'énergie vides fusèrent vers les trois Caessa. Deux par personnes. Comment allait-elle réagir

(Il n'y en a qu'un, quand a savoir comment il est créé, je ne vais pas m'embeter a le répéter ici, ça doit être expliquer lors de notre combat avec Laïaga l'année dernière, en cherchant un peu, tu trouveras.
La réaction de "ah mais non c'est pas moi..." est totalement imature, si tu lit attentivement mon message, tu verra trés vite que je marque précisément la différence entre mon clone et moi, de même que dans tout mes Rp ou j'utilise un clone quelconque, je suis la même procédure. Aprés, il faut trouver^^ça demande un sens de l'observation certain.
De même hors de question de dire que l'on a créé un clone, la représentation de sois même doit être parfaite afin de tromper l'adversaire, dans ton message, tu decrit ce que l'autre voit, donc tu ne dit rien.
Si jamais tu dit que tu as fait un clone, alors libre a l'autre de dire "Alors, je reconnu qu'il ne s'agissait là que d'un clone, et decidait de m'en prendre au vrai..." Bref, encore une fois une réaction immature, mais pourtant trop présente sur le forum. Ainsi, dès lors que je combattrai contre une personne dont je ne juge pas la qualité des Rp suffisant, cette personne ne saura pas quelle a affaire a un clone. Vous remarquerez qu'ici, il est dit que c'en est un clone^^)

J'apparus. Amaylaë était hors de combat, nous avions eut raison d'elle. Elle avait cependant réussit a contrer l'explosion, et ce, avec un bouclier. Puis avait réussit à remplir les boules d'énergies vide.
Je ri, elle s'en était plutôt bien sortie. Les boules décrirent un arc de cercle avant de venir vers moi, elle convergèrent et je les aspirai.
En haut, dans le ciel, le clone perdit sa couleur, puis peut a peut, sa consistance, le disque d'air lui perdit sa compression et disparut a son tour.
Tout le monde partait, la mission se révélait être un échec...La princesse du Surda était partie, tout le monde était parti même.
J'ochai la tête, il y avait dependant un bon point, deux en fait, Laïaga m'avais rejoin, et Siri avait laissée sa colère, une colère noire l'envahir...Une colère que je pourrai facilement retourner contre elle...

"Bien, je suis content de te voir parmis nous mon amis. Celà me surprend, c'est vrai, mais je suis content."

*Askelaad, je suis partit de Dras Leona, je vais probablement a Uru'baen, je doit récupérer quelque chose*
*Ok, je te rejoin las bas?*
*Fait comme tu le sens*

"Bien, je pense qu'elle a comprit, les ombres se chargent de remetre le concil en place, les défenses ont étés amochées. Dras Leona se porte plutôt pas mal."

Je parlait plus pour moi que pour quelqu'un d'autre, Laïaga était deja partit, je savais déjà ou, et pourquoi. Il fallait préparer une contre attaque, je svais comment, je savais a peut pret quand, il ne manquait plus que quelques personnes...
Lentement, la silouette de Svean s'effaça, comme emportée par le vent...Ou allait-il, Nul ne pouvais le savoir.

[Les gars vous déconnez, un Ombre* qui fait des boules d’énergie vide et un apprenti qui crée un aigle de glace…Je sais que c’est peut-être mal placé dans ma bouche, mais je trouve que vous outrepassez un peu votre puissance^^.

Yann, en fait j’ai fait un petit décalage temporel, mais post dans la taverne d’Aberon est postérieur à maintenant. Si tu veux nous rejoindre quand t’as terminé à Uru, on devrait y rester un petit moment ]

La bataille était finie. Tous les « gentils » étaient partis. Il restait deux personnes qui se battaient. Caessa et un inconnu. Je sentais distinctement les deux clones, assemblage de magie qui faisaient tâche à côté de la personne vivante qu’était la guerrière.
Je souris en me disant que son adversaire devait sans doute tenter de déterminer qui était la vraie. Svean, lui, « brouillait les flux ». Ses clones étaient bien différents. La Guilde des Ténèbres avait bien de la puissance en réserve, mais aussi un potentiel encore loin de son plein rendement.

-Quand on aura le temps, répondis-je à Svean, je t’expliquerai ce qui m’a décidé, si ça t'intéresse. Quoi qu’il en soit, j’ai dépassé le point de non retour, maintenant. Alors…Gagnons.

Je fis un signe de la main à Svean et disparus dans un très léger nuage de fumée blanche, tout à fait inutile, simplement, j’avais toujours été incapable de concevoir la téléportation sans un petit nuage de fumée, ou un « plop », quelque chose. Me voir être là à un instant et ailleurs à l’autre m’était impossible sans effet particulier, et mes téléporations retranscrivaient ce que j’imaginais.
Je fus à Aberon.

Arkillon ne comprit pas vraiment ce qui se passait ( et c'est vrai, depuis quand tous le monde est partie??? ) il etait encore sur le dos de l'esprit draconnique. Il ne restait que Brexinga qui etait en train de se battre contre une dragonniere inconnu de l'ombre. Keylan regardait le tous comme si cela etait un film a la television. L'ombre decida de venir en aide a son mentor et pointa du doigt la dragonniere et voulu creer un rayon de lumiere ardent dans sa dirrection, mais alors qu'il liberait sa magie, il se mit a tousser, il cracha un peu de sang.

* Merde, on dirai que je ne peux plus garder mon corps dans cette etas, il a besoin de son veritable esprit, et non de se dragonnier decue. *

D'un mouvement de la main, Arkillon essuya le sang sur ses levres et entama une decente, rendu a terre, de la lumiere emana du corps de l'ombre et le dragon perdit sa forme et retourna dans le corps du jeune ombre, la lumiere quita en meme temps le corps d'Arkillon que la fumee rentrait, enfin, toute la fumee fut rentrer dans le corps d'Arkillon et la lumiere, retourna dans la lame de son epee.

Tous d'un coup, son corps se mit a trembler, Arkillon allait payer le prit de ses actes. Il regarda une derniere fois Brexinga et lui envoya un message mentale.

* Desoler, je ne suis pas en etas de te venir en aide. Alors a la prochaine. *

Arkillon fit un petit sourir ou l'on pouvait lire la douleur et se transforma en fumee, qui se dissipa petit a petit, l'ombre etait partie pour le temple de pierre noir.

[o___o]

Après plusieurs minutes de convalescence, Ikotaï ouvrit péniblement les yeux. Tout ce qu'il distingua, d'abord, c'est une lumière vive. Puis, une douleur atroce au nez, et un plancher glacé.

*Suis-je mort?*

Puis, il reconnut la pièce. Le donjon du Concil. Il s'était donc évanoui...pourquoi déjà? Ah oui, un homme lui avait fracassé le nez avec son poing. Ikotaï était si vulnérable que ça? L'Ombre tenta de se lever, mais manque de force oblige, il n'était pas capable. Alors il roula sur le ventre et tenta de se lever a l'aide de ses mains, espérant que ses bras ne le lâchent pas et qu'il puisse tenir debout. Encore beaucoup de difficulté. Étant proche d'un mur, il s'aida de ce même mur et réussi finalement a tenir debout. Miracle!

Il n'y avait presque personne. Sauf Arkillon et Brexinga, et une femme. Arkillon se téléporta, visiblement en piètre état. Dans un coup de génie Ikotaï se dit qu'il pourrait venir en aide à son maître, mais ses forces étaient très limitées et devait par conséquent attendre d'en avoir reprit un peu.

*Maître, avez vous besoin de moi?*

Caessa forma une barrière autour de son esprit semblable à celles que Anolwen avait pu apprendre à faire aux côtés de Pierrot. Ah, le vil, il essayait de la prendre par les émotions! Elle ne le connaissait pas assez bien pour riposter de même et elle se contenta de résister à l'attaque.

Lorsqu'il envoya les six boules d'énergie, Caessa comprit qu'il ne savait pas encore où était la vraie. Il y en avait une à droite, une à gauche et une juste devant lui. Le tout était de ne pas se faire repérer.

Les trois représentations bougèrent les lèvres et Caessa formula le sort d'annulation. Toujours aussi pratique, celui-là, simplement le sort de Brexinga était plus puissant qu'elle ne l'avait prévu et elle sentit un peu de son énergie la quitter.

*Si je n'attaque pas bien vite, il va en profiter pour m'épuiser.*

Les trois Caessa se mirent brusquement à courir vers Brexinga et tendirent chacune leur épée en avant.

"Brisingr, brisingr, brisingr!" murmura Caessa de sorte que Brexinga ne puisse l'entendre sous le bruit de ses pas qui approchaient.

Trois boules de feu se formèrent alors derrière Brexinga, à quelques centimètres de son dos, et fondirent sur lui. Caessa se retint de sourire en songeant qu'il ne pourrait à la fois parer son épée et les boules de feu. Il allait devoir choisir.